Partie 15
Dedié a @@kala-kala et ma @@princesstorodo
djikko ak borom pakh "sachez le naturel il reviens toujours au galop"
une forte canicule se ressentait en se jour de vendredi la chaleur était intense, le sable ardent , la sueur perlaient sur tout les fronts ,diarra assisse confortablement dans le salon royal , attendaient impatiemment ses hôtes ne se souciaient guère de la chaleur qu'il fesait dehors étant sous la clim et habillée en Khartoum ses hôtes ne tardaient pas a faire leur apparitions Après les salamalecs d'usages digne dune grande drame elles prirent place
Aby: ouff enfin je m'assoie j'ai faillit m'évanouir tout a l'heure hii tangu na dit'elle en s'affaissant sur le fauteuil moelleux qui se trouvé en face d'elle.
diarra : on vous sert quelque chose ?
Aissatou : une eau fraîche avec des morceaux de glaçon feront l'affaire on en a vraiment besoin regarde on transpire dramatisa l'autre amie de Diarra
En effet elles étaient deux aby et aissatou
diarra: vous devriez me dire qu'il y'avait cette chaleur comme sa je vous éviterez tout ceci en envoyant mon chauffeur de venir vous cherchez avec la voiture climatisée mais bon ne vous inquiété pas le clim fera son travail dans quelques seconde
Aissatou: en tout cas il a inter...elle na pas pu termine sa phrase
fatima passa devant le salon avec fadilou voyant que diarra avait des invites elle trace sa route 《surement ses mégères , les briseuses de ménages comme elle car ce qui se ressemble s'assemble 》pensa t'elle oui elle avait de quoi pensait ainsi puisque diarra sa coépouse n'a pas seulement brise son ménage elle a déséquilibré la stabilité de la famille elle a détourné la tète cheikh ibrahim fatima vit sous pression elle n'a plus envie de rien elle a perdu son socle son pellier comment pouvait' elle vivre tout en sachant que son mari est sous l'emprise du mauvais esprit ce dernier n'avait maintenant qu'un oreille et il l'avait tendu a la mauvaise personne il est devenu trop violent ce qui n'est pas sa nature mais doux comme agneau une fois devant diarra bipolaire vous allez me dire il déserte la chambre conjugal depuis sa première nuit avec diarra cette dernière est comme devenue sa drogue douce il ne jure que pour elle et tout ce changement comment fatima peut l'assimile non c'était trop à supporter.
pourtant elle est toujours là pour qui? son fils, pour qui? son mari pour quoi? sauver son ménage comme l'avait oblige sa mère. Parfois l'envie de se révolter l'empare mais elle se met toujours en retrait une fois que ses yeux rencontre celui de son mari ce dernier était méconnaissable de vu il ne ressemble plus a rien le cœur de fatima se serre a chaque fois son regard rencontre le sien elle ne l'haïssait pas non elle ne peut l'hair le sentiment qu'elle ressentait a l'égard de son mari était plus proche de la pitié . Oui elle avait pitié de son mari elle lance un defis qu'est résoudre tout leurs malentendu s'il faut piétine sa dignité bafoué sa caractère et mettre sa vie en danger elle le fera si c'est le prix du rétablissement de son mari.
fadilou? lui que pouvait t'il faire a part parler pourtant il a fini son stock de parole il ne lui a pas fallu faire le tour du Sahara pour se rendre compte du changement subite de son père non il savait très bien que ce métaphore était l'oeuvre des nouveaux arrivé mais il ne pouvait agir il a toujours voulu mais ne pouvait. d'ailleurs par quel moyen la violence ? non sa ne résous rien par menace? non comment on peut faire des menace à des gens impassible alors par quelle moyen ne pouvant plus supportait l'atmosphère de la maison il se dirige au garage prend sa caisse et direction un lieu inconnue fatima se retira alla dans sa chambre pour faire son activité favoris qu'est méditait sur comment faire.
pendant ce temps la discussion au salon allé à bond train mais leur sujet était dévié
Aissatou :wow diarra comment tu peut regardé cette déchet dans cette maison ohh je raille la polygamie moi dit'elle avec dégoût
Aby: moi je ne parle pas de cette chose fit'elle en grimaçant...mais son fils miam-miam ohh mon dieu je vous parle d'un dieu grec comme il est si bien sculptait mon dieu je fond dit'elle sans honte
Aissatou: voilà pourquoi suis fan de toi tu s'est distingué les chaires fraîche mon regard s'est attarde sur ce corps ohh mince répliqua aissatou
diarra: ce fils de cromagno vous bavez sur lui tshipp. il est comme sa mere il est trop islamo lui comme il m'énerve vous extasier devant ce porc
Aby: genre il est pudique j'en ferais mon affaire je veux juste que tu me le prête un jour "ma deffar yaramam weuyouwoul "
diarra: mais il est un mineur lui
Aissatou : mineur tu dit! tu as regarde ce corps tu me parle de mineur et aussi ne me fais pas la morale tu n'est pas la mieu placé avant hier req on fesait du sport sur la corniche humm humm alors chutt menaça t'elle
Diarra:oui est ? Répliqua t'elle sur ton defieur tout en sachant la ou elle veut en venir .
Aissatou : ahhh ne fais pas cette tête tu sais bien de quoi je parle quand tu sauté le jeune homme tout en oubliant ton moniteur qui te gate a côté hein
dairra: ahh ce jeune baiseur ohh mon dieu comme il sais la ou cognait et il le fait si bien non vrai un vrai baiseur je vous dit ohh je mouille sakh c'est bon maintenant .....
Aby: dina bon kayy ria t'elle
diarra: aby c'est bon ou tu sort de chez moi tout de suite ne m'énerve pas d'avantage fit'elle visiblement énervé
aby: d'accord seulement un vrai baiseur peut nous faire sortir de nos gongs diarra lui lança un regard tueur elle ajoute un " ohhh oui j'ai rien dit " avant de revenir sur l'objet de leur visite bon pour demain tout est prêt les traiteurs ; le DJ, les couturières les maquilleuses ainsi que celui qui s'occupera du lumière seulement une chose manque dit'elle en attirant l'attention
diarra: une chose? comment sa pourtant javais tout mis en votre disposition non? Posa t'elle soucieuse
aissatou: ohhh toi on parle du coup que tu va reprogrammer on se sait alors explique on est tout ouï ish
diarra: demain tout se saura un scandale va se produire attacher vous bien seulement le meilleur reste a venir ma dernière victoire ce célébra demain maintenant sortez avant que mon fils vous trouve ici
aby: qu'elle ingrate façon on ne comptait pas resté dit'elle touché dans son égo et aussi on n'a trois beau gosse à sauter des proie fraîche mon dieu dit'elle excitée
diarra: peut être je viendrais pour prendre mon pied
"ciao" disaient'elles en chœur les deux amies de diarra quittent le salon pour rentrer au portail elles trouvent ousmane qui descendait de sa bagnole aby lance un clin d'œil avait de disparaître son amie l'avait donne une tape sur l'épaule voulant la faire entendre raison
aissatou : tu oublie que c'est ousmane le fils de diarra
aby: et? je m'en fou tant que la proie est fraiche je m'en fou du reste dit'elle l'aire désintéressée
en effet vous connaissez ces types de nymphomane ces genres de femmes qui côtoient des jeunes hommes qui peut êtres leur petits fils ces genres de femmes qui décaisse une ladite sommes pour une partie de jambes en l'air ces genres de femme qui racontent leur ébats sans gènes ces genres de femme qui pervertie la jeunesse sénégalaise diarra et sa compagnie fesaient partie de cette catégorie? Oui mais elle cache bien son jeu et admettons que c'est devenue très fréquent de faire leur rencontre dans la société actuelle .
ousmane: maman c'est qui ces trucs qui étaient dans la maison demanda t'il une fois a entrebâillement de la porte du salon
sa maman sursauta mais elle a vite repris son calme pour ne pas paraître suspens
Diarra: salutation tu connais hein? Pourquoi tu es impoli req ousmane mbaye ioe
ousmane: mais maman ..ok salut dit'il après qu'il ai reçu un regard meurtrier de la part de sa mère il poursuit mais maman je ne sais pas si ce sont tes amies ou pas mais une d'entre elles m'a fait un clin d'œil finit'il en faite ousmane peut être le pire des espèces mais son assurance se perd une fois devant sa mere une chose bizarre
dairra: clin quoi ousmane vas-y dit qui te l'a fait genre elle a porte quoi
ousmane: celle qui as mis le tunique jaune je crois ...je l'aime pas du tout
diarra: c'est aby elle seule a cet audace elle verra avec moi murmura t'elle
ousmane : quoi ?
diarra: rien c'est juste les organisatrices pour la fête de demain allé vas-y j'attend que toi dit moi ce que t'a trouvé
voila le signal qu'il attendait pour se déclencher
ousmane: maman hum hum tu me dit pas tout deh bon le voici c'est ce qu'il ma donné dit'il en tendant un sachet
diarra: c'est quoi explique moi aussi mon fils fesant semblant d'ignorer le debut du phrase de son fils
ousmane: c'est le GHB une drogue communément appelé la drogue du violeur et le rohypnol est anesthésiant euphorisant et la mélange des deux drogue peut être fatale il sera ivre fera du n'importe quoi genre danser être sur la piste de la gente féminine comme il sagira d'une fête parcontre y'a des gens qui l'utilise pour violer mais passons c'est pas notre objet alors voila a son réveil il aura des troubles il aura mal partout dans le corps il pourra faire aucun mouvement ses mâchoires lui fera mal ainsi que tout les autres partie de son corps en gros les deux drogues peut faire l'affair de demain.
diarra: superr et les paparazzis et animateurs sans oublie les députés et policiers et aussi. ...
ousmane: t'inquiète ils sont tous convies a l'événement de demain
diarra: ne l'appele plus ainsi c'est un scandale
ousmane: maman alors SCANDAL, bing bang hahaha mais dit moi le coup naq ish
diarra: tu sais mieux que moi que cheikh ibrahim est le parfait au yeux de tout le monde alors moi diarra je me chargerais de ternir sa réputation devant le petit écran après être drogue j'ai engagé une petite pute qui l'amènera dans son lit et aussi on provoquera ou du moins je provoquerais cette chipeuse de fatima a ma maniere et aussi..... ohhh xaral meu pause ko en tout cas ce que je peux te dire sa femme déguerpira la maison ainsi que son chat et toute sa fortune nous reviendra après avoir exécuté le dernier plan hahaha
ousmane: WOW pourquoi t'es superbe maman
diarra: je sais je sais se vanta t'elle
au meme moment cheikh ibrahim franchit le seuil du salon
cheikh ibrahim: bonjour tout le monde salua t'il
ousmane lance sa mère un regard furtif cette dernière reste serein devant le mine affreux de son mari
diarra: sava pas trop fatigué ?
cheikh ibrahim: du tout vous en êtes ou avec les préparations de la fête de demain
ousmane: sava tout est en place
diarra: oui tout est en place ce soir tu va dormir dans la chambre des invites ok
cheikh ibrahim: pourquoi beaute tu sais je ne peux me separe de toi
diarra: comme si c'est la premiere fois tu fais ce que je te dit point
cheikh ibrahiim fit un "oui" a peine audible en effet il est sous l'emprise de diarra elle a réussit a l'accrocher sous ses filets il n'est plus maître de lui. Tout ses acts et fait sont guidés par la maîtresse diarra .....................un silence pesant régna le lieu mais qui est vite interrompue par diarra
diarra: bon je sort à tout a l'heure je dois faire quelques choses dit'elle en tirant son sac
ousmane ;viens je te dépose
diarra: quoi criat'elle subitement non merci repose toi c'est un truc vit fait se précipita t'elle de répondre avant de quitter le salon
........................
nous somme aujourd'hui samedi une musique assourdissante se fesaient entendre dans tout l'habitacle les invites commençaient a tomber dans la villa fadilou venait juste de descendre il était perdu en se demandant s'il n'avait pas confondus les maisons on venait de tirer son bras c'était sa mère cette dernière l'avait conduis a l'étage elle parla avec lui car des autorités étaient présent il ne fallais pas faire quelques chose qui peut alarmer ou parraitre suspens car les journalistes n'attendent qu'une réaction de leur part pour tout divulguer a la une du lendemain fadilou se calmant du mieux qu'il pouvait tout en restant en haut il visualiser et dévisage tout les présents il voulait agir mais il n'en fit rien il suivait la fête de la ou il était par contre cette dernière battait son plein les invites extasier sur les vins au faite ousmane avait aménage une partie de la maison et en fait un bar diarra et sa bande arriva suivie de cheikh ibrahim des poses photos par ci et par la chacun était concentre sur ce qu'il fesait de loin fadilou observe la scène mais lui son regard s'attardait sur un être il ressentait de la haine envers lui il s'est promis de le tue un jour de ses propres main mais en regardant de prêt il suivait les moindre déplacement de ce dernier ousmane alla a la rencontre de sa mère il s'abaisse a son niveau cette dernière murmura quelques chose a son oreille et fit un sourire qui secoua l'observateur il s'avait que le sourire ne présage rien de bon toujours son regard sur ousmane ce dernier se dirigea a la bar demanda au barman un verre de cocktail apres être servis il sort un sachet de sa poche met le contenue dans le verre et se dirigea vers cheikh ibrahim il ne lui y'a pas fallu passe par 4 chemins pour réagir fadilou a un temps record il se retrouva en bas renverse le verre qui était sur les lèvres de cheikh ibrahim a l'envers de sa main .
cheikh ibrahim : qu'est ce que tu viens de faire fadilou hurla t'il attirant ainsi l'attention des invités. Hein quels sont ces manières j'ai dit poursuit'il.
celui qu'il s'adressait ne lui avait pas répondu non il ne lui jeta même pas regard qu'il se rua sur le corps d'Ousmane tel un pretadeur il le remis un cinglant coup de poing qui vacilla ousmane un instant avant de se retrouva au sol KO non cela ne suffisait pas pour fadilou il fallait qu'il se derverse sur lui il se roua sur lui et lui donnant des coup de main accompagne des coups de pied le nez de ousmane saigne levre enflé et le visage entaché de sang les invités tentassaient de les separe tant disque les paparazies filme le spectacle
cheikh ibrahim : bon sang fadilou quesqui te prend . Putain !
bon je m'excuse tout le monde la fête est terminée je m'excuse encore les gens commence a déserté la maison en murmurant des mots qu'on ne pouvait entendre après qu'il ne restaient que les membres de la famille le maître des lieux se retourna vers fadilou attendant surement des explication de sa part mais on dirait que ce dernier ne l'entendait pas du même oreille qu'il se rejeta sur Ousmane ce dernier se protégea le visage. cette image ne l'arrêtait pas non cela lui donna le courage de continuer il lui donna un coup de pied sur ses parties intimes ce dernier hurlait de partout secondé par sa mère
diarra: wouyyy dinako rayy nak ibrahim xana do guoor ( mon dieu il va le tue ibrahim t'es pas un homme)
(mowaye mom koumou weureu wakh guoor domame bi niouy door mouy daw naq ma diomii)
fadilou: si je n'avais pas réagis c'est toi qui allais être affiché dans les médias dit'il a son père qui demeuré stoïque il se retourne vers Ousmane "t'a fumé ta race ou tu as voulu drogué ou empoisonné mon père "
diara: mais je rêve ou il pointe son doigt a mon fils regarde son piteux état cheikh ibrahim ioe ton fils est un sauvage agit vite ou j'agis
cheikh ibrahim: fadilou quitte ma maison dit'il posément
fatima: il est hors de question que mon fils quitte la maison vous vous entendez parle vous
cheikh ibrahim: ma décision est prise et elle est irrévocable hurla t'il fadilou pas une minutes de plus
fadilou: maman allons y on a plus rien a faire ici et je ne comptais pas reste une minute de plus dans cette maison d'autant plus que la maîtresse n'enchante plus ma présence
diarra: tu vois il te traite de maîtresse legui naq ibrahim layy la mossi dessone
fadilou lui lanca un regard qui en disait long il détestait diarra c'est sur il toise ousmane avant de lui crache en plein visage et se libère de l'emprise de sa mère il lui tapote paisiblement l'épaule avant de quitter la maison fatima se jeta au sol en criant le nom de son fils lorsqu'elle l'a voyait sortir sa bagnole du garage elle se se laissa tombe et le nom echapa de sa bouche" fadilou" hurla t'elle ce dernier ne se retourna pas.
fatima se leva effaça toute larme et fit face a diarra
fatima:"œil pour œil dent pour dent" tu viens de toucher a l'intouchable wallay tu t'en mordra les doigts menaça t'elle
diarra: heheheh revolte waye hehehe chienne aboie tu ne mordra jamais
fatima : theiy bo khamone lilayy yootte
diarra: moi j'ai pas ton temps la classe et la crache ne se mélange jamais
abdou sene : madame ne te dispute pas avec cette femme a cause de cheikh j'étais témoin de tout je sais qui il veut s'il te veut il sait ou te trouve alors preserve ta dignite ne te met pas a son niveau interviens abdou sene le gardien .sorti de nul part
cheikh ibrahim : abdou t'a fumé ou quoi tu viens de s'immiscer dans mes problèmes de couple .cria cheikh Ibrahim lui on n'avais oublié sa présence
diarra : chutt ce n'est rien calme toi je peux gère moi même mes problèmes comme t'es un incapable
en effet seul le gardien savait son secret et d'ailleurs ses secrets raison pour la qu'elle elle l'a craignait elle ne pouvait rien contre lui mystiquement aussi alors pas de solution .
Elle tire sur la main de cheikh Ibrahim qu'il avait dans sa tête et menacé de s'éclater d'une minute a l'autre et de son fils Ousmane qui gisait sur le sol et se tordait de douleur il avait l'oeil au beurre noir elle les amena en haut laissant dans le hall abdou le gardien qui consolait fatima par des paroles.
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de l'autre cote fadilou roule dans sa voiture arrive au bord de la corniche quelque chose attira son attention c'était un groupe d'homme au milieu y'avait une silhouette qui ressemblait plutôt a une femme et cette dernière semblait les supplier il descenda prend son arme et se dirigea vers eux.......................
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Mais nous on raté notre vie keur fadilou Migui done toth
Wow Diarra mom amneu fitt dehh que pensez vous d'elle?
Fatima😢?
Cheikh Ibrahim?
Ousmane😆?
Et fadilou et ki il sauve lui?
bonne fete d'achoura a tous le "thieré" faite doucement cette partie est en guise de ndeweneul xana contane guene door ousmane bi so excellente fete yalla def niou fekei ko ayy siecle siecle nioune nieup amine hahah (j'abuse des siecles) breff tout le bonheur much love
savez-vous une chose hummm prevenu
So partagée l'histoire
Vos impressions
Momo-chro❤
[3298 mots]
16 heures 59 minutes
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