Chapitre 2
Pendant les jours qui suivirent, Sarah pleura beaucoup. Et un jour il reçurent une lettre elle venait de l'armée, espérant de toute ces forces que se soit son père qui revienne. Elle l'ouvrit et la lettre disant que son père était emprisonné dans une stalag. Je pleura de toute mes forces et hurla. Ma famille arriva je m'accrocha au bras de mes oncles. Mon oncle Anes prit la lettre et la lit, il fut aussi choqué que moi. 2 jours plus tard ils apprirent que les Allemand allait débarquer dans 1 semaine. Alors à cette annonce elle pris le seule bagage qu'elle avais, son étui à guitare. Elle entassa 2 robes, quelque livres et ses papiers. Et le lendemain partirent pour le Canada. Mes vous savez chers que rien ne va se passer comme prévue. Lors de la traversé le bateau se fit bombardait par les avions allemand. Il fallut donc évacuer le bateau par des canot de sauvetage. Lorsque que elle monta et s'assit dans la barque, la jeune fille se rendit compte qu'elle avait prit la dernière place. Soudain...
??? : Dégage (pousse) Sale arabe.
Sarah : Kyaaaaaaaaaaaaaa !!!!!!!!!!!!!!!
Khadija : SARAAAAAAAAAAAAH !!!!!!!
L'homme n'avait pas vu où il la poussait, Sarah tomba dans l'eau glacé de l'Atlantique et ne sachant pas nager elle commença à se noyer, et le courant commença à l'emporter au loin. Et puis plus rien ! Gros trou noir quand elle se réveilla et était sur le berge. Son étui à guitare sur le dos, elle était complètement trempé. Elle ne sentait plus son corp. Ces sens revenaient petit à petit. Et put enfin se relever. Elle se leva doucement et en tanguant. Au bout d'environ 25 minutes, elle retrouva l'équilibre et au de 10 elle pouvait courir. Mais elle était toujours trempé
Sarah : Bon maintenant que je peux me déplacer. Je dois savoir, où je suis ! Et quelle jour nous sommes !
Elle fouilla dans son "sac" et fut rassurer quand elle vit que ni sa guitare, ni ses livres n'était mouillé. Elle marcha, dans la foret, pendant plusieurs heures jusqu'à trouvé une route de campagne, elle la longea jusqu'à arrivé a un panneau "Grangeville". Elle rentra dans le village, tout les adultes la regardez mal, ces regard n'était dû qu'a 2 choses précises ! La 1ere était sa couleur légèrement bronzée, et la 2e était le fait qu'elle était trempé comme si elle était un fantôme, au lieu de se faire toute petite, elle gardez tête haute. Un homme ferma le journal et aller le jetée. Elle partit le voir.
Sarah : Euh ! Bonjour ! J'aimerai bien avoir votre journal.
L'homme la regarda déconcerté.
L'homme : Oui bien sûr (tend)
Sarah : Shoukran ! Euh ! Je veux dire... Merci !
La jeune fille chercha la date sur le journal. Soudain elle trouva enfin la date. Elle était 25 novembre 1939 et apparemment elle se trouvait en Normandie. Elle se mit dans un coin de la rue et commença à jouer de la guitare. Quelque jours passa, la jeune fille s'était habitué aux regard noir des adultes et elle avait perdu toute espoir. Lors des derniers jours, plusieurs hommes (qui devait avoir entre 30 à 40 ans) n'arrêtez pas de mal la regarder. Le mois de décembre arriva tous comme la neige. Les seules personnes qui lui ont donné un peu d'argent, sont 2 femmes de plus de 45 ans, un jeune homme roux de 20 ans et un homme d'église. 25 franc assez pour manger du pain, du lait et du fromage. Elle vit un camion transportant des soldats allemands. Elle partit vers un petit magasin, et entra, un petit garçon était devant elle (environ 4 ans), il se tourna vers elle. Et la fixa, pendant 5 minutes.
La maman : Arrête c'est mal poli !
Garçon : Maman ! Regarde !
La maman la regarda puis remit les yeux où elle les avait.
Garçon : Regarde, comme elle est belle.
La jeune fille sourit de toute ces dents malgré elle, ce petit garçon lui avait redonné espoir en la vie et en la liberté en seulement quelque mots. Elle n'était pas un monstre et elle devait se battre pou survivre. La dame tira son fils et partit. Elle acheta du pain et du fromage. Le lait était devenu hors-de-prix, elle sortit du magasin. Et se posa dans une rue près du terrain vague.
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