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La sorcière blanche

La question n'était pas de savoir si Layvin les retrouverait, mais quand.

        Quelques heures plus tard, Luaj poussa un rugissement de joie lorsqu'elle entendit la voix de son ami Athkor.

— Il s'est réveillé !

Elle amorçait déjà sa descente vers la Vallée alors que l'écho de son appel résonnait entre les sommets montagneux. Ses confrères lui répondirent avec joie.

        Le voyage avait été long. La dragonne bleue, malgré l'aide de Leeroy, restait blessée, et si elle avait réussi à faire abstraction de la douleur, la durée du vol n'avait rien arrangé, et elle était soulagée de pouvoir bientôt se poser sur le sol.

        Le jeune blond n'avait cessé de cogiter pendant le trajet, encore choqué par ce qu'ils venaient de vivre. Mais lorsqu'il aperçut la Vallée, le château et les silhouettes volantes dans le ciel, son cœur s'était immédiatement apaisé. Sept mois qu'ils étaient partis à la recherche de la jeune fille. Sept mois qu'ils n'étaient pas rentrés chez eux. Malgré la gravité de la situation, Leeroy ne put s'empêcher de sourire, son cœur gonflé de ce sentiment de bien-être qu'il n'avait plus ressenti depuis longtemps. Le sentiment d'être chez soi.

        Conrad, lui, avait les yeux écarquillés, émerveillé par la beauté du spectacle qui s'offrait à lui. Le décor rocailleux des montagnes, souligné par les éclats de couleurs que le ciel reflétait sur les écailles des dragons qui survolaient la Vallée. Le château était immense, magnifique, majestueux. Sa curiosité de petit garçon et sa béatitude lui firent oublier pendant un court instant qu'ils étaient tous en danger.

        Leeroy se retourna sur la selle de sa dragonne pour observer le lézard ligoté. Emelï ne semblait même pas se rendre compte de ce qu'il se passait. La créature restait imperturbable, placide. Le combattant sourit tristement.

— On va te soigner Emelï. On va trouver une solution.

Mais le doute dans sa voix disait le contraire.

        Athkor rugit à son tour en reconnaissant le timbre de son amie. Poussé par l'adrénaline qui circula soudainement dans ses veines, il tenta de se relever sur ses pattes, mais s'écroula dès son premier essai en poussant un râle rauque. Il était si faible. Il avait passé des semaines dans le coma, sans pouvoir ni manger ni boire, et il avait miraculeusement survécu. Il n'avait même pas la force d'aller chasser, c'étaient ses confrères qui lui apportaient du gibier et qui partageaient leur repas. Il leur était infiniment reconnaissant.

        Mais ce jour-ci, la frustration fut aussi terrible que la douleur qu'il avait endurée. Luaj était de retour, Leeroy aussi. Il savait qu'Aïkida n'était pas avec eux, mais il voulait des réponses. Des explications. Où était-elle ? L'avaient-ils vue ? Que savaient-ils ?

        Athkor aurait voulu s'envoler sur le champ pour les rejoindre, mais il en était incapable. Il devrait attendre encore un peu, et il se consola en se disant que ce ne serait plus long.

        Nàmo s'était levé de son fauteuil comme si on l'avait piqué. Sept mois que ses dragonniers étaient partis. Des semaines qu'il n'avait plus eu de nouvelles après celle de la disparition des deux filles Ar-Feiniel. Et aujourd'hui, Luaj était de retour.

        Sans donner d'explication, il quitta en courant la réunion qu'il avait mis des semaines à organiser. Il ne lui fallut que quelques minutes pour arriver à l'extérieur et voir le spectacle qui lui mit du baume au cœur.

        La dragonne bleue atterrissait gracieusement, faisait virevolter les feuilles autour d'elle tandis qu'elle touchait enfin terre. Sa terre. Sa maison. Elle était de retour.

        Mais l'excitation du Haut-Dragonnier retomba aussitôt lorsqu'il reporta son regard sur la selle. Leeroy était là, ainsi qu'un petit garçon et un corps ligoté qu'il n'arrivait pas à distinguer de là où il était. Mais il ne vit ni Tarek, ni Aïkida.

Il marmonna dans sa barbe :

— Bon sang mais qu'est-ce qu'il se passe ?!

        Après avoir passé la journée à relater les faits depuis leur départ, Leeroy but un grand verre d'eau pour hydrater sa bouche pâteuse. Son récit fut accueilli par un épais silence alors que tous les regards se tournaient vers Conrad et Emelï qui étaient restés au fond de la Salle du Trône, sous l'œil sévère de trois gardes. Ces derniers, par précaution, n'avaient pas défait les liens qui maintenaient immobile la créature mi-lézard, mi-humaine.

        En face de lui, se tenaient Nàmo, Galdor, et deux autres membres haut-placés du château. L'oncle pleurait en silence, ne pouvant détacher son regard de sa nièce, ou plutôt de ce qu'elle était devenue.

        Leeroy déclara :

— La priorité était de ramener Emelï en sécurité, au château. Mais maintenant que c'est chose faite, Luaj et moi repartons à la recherche d'Aïkida et de Tarek.

Le Haut-Dragonnier tourna vers lui un regard foudroyant.

— Il n'en est pas question.

Le jeune blond ouvrit la bouche, mais aucun son n'en sortit, prit de cours par cette réponse qu'il n'attendait pas.

— Je vous demande pardon ?

Le vieil homme secoua sa tête de gauche à droite et répéta :

— C'est hors de question. Non, non et non. Je ne te laisserai pas repartir.

— Mais...

— Ce n'est pas la peine de discuter Leeroy, coupa sèchement son supérieur. Si ce Layvin est capable de retrouver Conrad, j'aurai besoin de toi ici. S'il vient jusqu'à nous et s'il est si puissant que tu le décris, nous ne serons pas deux dragonniers de trop pour l'affronter. Seul, je ne suis pas sûr d'y arriver.

— Mais il faut retrouver Aïkida avant lui ! s'exclama le combattant alors que la colère commençait à lui creuser des rides sur le visage. Elle est restée séquestrée pendant des semaines, elle doit être terriblement affaiblie, Layvin ne fera qu'une bouchée d'elle s'il la retrouve !

Nàmo leva une main autoritaire, lui intimant le silence.

        Il soupira alors en se pinçant l'arête du nez, plongé en pleine réflexion.

— J'en suis conscient, Leeroy. Mais met toi à la place de Layvin. Vaut-il mieux venir chercher Emelï maintenant, alors qu'elle est encore isolée de sa sœur et que tous les dragonniers ne sont pas réunis ? Ou vaut-il mieux d'abord chercher Aïkida — qu'il ne tuera pas — qui elle, se rebellera et l'handicapera dans sa démarche de venir récupérer sa sœur ? Et qui dit que nous ne trouverons pas Tarek avant ? Il se retrouverait alors face à trois dragonniers, plus Aïkida qui le gênerait considérablement.

Leeroy refusait de changer d'avis. Bien qu'il reconnût la pertinence de son supérieur, son entêtement le poussa à contester :

— Certes, mais ici, Emelï est encadrée par des milliers de combattants, par un Haut-Dragonnier, et des dizaines et des dizaines de dragons. Là-bas, j'étais seul face à ce monstre. Mais ici, vous être mille fois plus puissants. Vous n'avez pas besoin de moi pour assurer la sécurité de la petite. Je dois retrouver sa sœur, et Tarek.

Nàmo soupira. S'il voulait convaincre Leeroy de rester, il devrait faire un compromis. Et justement, son dragon Fëanáro venait juste de lui souffler une idée :

— Ecoute mon garçon, Emelï a assez souffert, elle doit être en sécurité. Et si tu ne reste pas au château, elle ne le sera pas assez. Le risque est trop grand et je refuse de le prendre.

Le dragonnier serra les poings.

— Cependant, ajouta le vieil homme, Athkor s'est réveillé dans la nuit. Lorsqu'il aura repris suffisamment de forces pour pouvoir voler, il partira à la recherche d'Aïkida. Leur lien le guidera dans la bonne direction et il perdra moins de temps que si c'était toi qui devais partir. Je vais également envoyer des hommes sillonner les terres du Sud et faire passer le message pour que Tarek rentre à la Vallée. Nous avons besoin de tous nos dragonniers réunis si nous voulons affronter ce Layvin.

Leeroy dut se faire violence pour rester poli et ne pas céder à la rage qui battait dans ses veines. Cette frustration était insupportable.

— Athkor mettra des jours avant de pouvoir voler sur de longues distances, répliqua-t-il entre ses dents.

L'un des deux autres supérieurs lui répondit d'un ton confiant :

— Ne sous-estime pas ce jeune dragon. La force du lien qui l'unit avec la Fille Gelée lui donnera des ailes, dans tous les sens du terme. Lorsque nous lui expliquerons la situation, je suis prêt à parier qu'il se battra corps et âme pour se relever et s'envoler le plus tôt possible.

Là-dessus, Luaj confirma la même chose à son dragonnier. Athkor était le mieux placé pour sauver Aïkida.

        Nàmo sentit un poids se libérer de ses épaules quand il lut dans le regard du jeune blond que le combat était gagné. C'était la meilleure chose à faire.

        Il se tourna ensuite vers Galdor, qui était blanc comme un linge.

— Monsieur Ar-Tondyel, cela fait plusieurs semaines que vous êtes parmi nous maintenant. Bien que les combattants soient satisfaits de vos travaux en tant que forgeron, je vous défais de vos fonctions jusqu'à nouvel ordre.

L'homme ne comprit pas. À vrai dire, il était complètement sonné, mais pas à cause de ce que venait de lui annoncer Nàmo. Non, il n'en croyait tout simplement pas ses yeux. Comment sa si jolie petite nièce, avait pu devenir un monstre pareil ?

— ... avec Leeroy. C'est compris ?

Galdor revint brusquement à la réalité, se rendant compte que le Haut-Dragonnier attendait une réponse.

— Euh... hm... bafouilla-t-il en se râclant la gorge.

Le vieil homme se retint de lever les yeux au ciel, néanmoins compatissant envers ce pauvre oncle qui ne faisait que recevoir de mauvaises nouvelles. Il répéta donc :

— Comme vous êtes un proche de la petite, vous et Leeroy serez chargés de vous occuper d'Emelï. Le but est de lui remémorer de bons souvenirs et essayer de voir si cela fait quelque chose. Il faut observer ses réactions et agir en fonction. Leeroy se chargera des recherches bibliographiques pour essayer de trouver des réponses, et quant à moi, je vais faire appel à certaines connaissances, des mages qui pourrait avoir une idée sur la question.

Galdor et Leeroy hochèrent la tête.

        Nàmo frappa dans ses mains en se levant de son trône, et s'exclama :

— Bon ! Messieurs, au travail ! Nous n'avons pas de temps à perdre, je vais parler au chef des armées pour que tout le monde soit prêt si jamais ce psychopathe se pointe. Quant à toi Luaj, je lui laisse le soin d'expliquer la situation à Athkor. Dis à ta dragonne qu'il aura besoin de soutien, il faut qu'elle l'aide à se remettre rapidement.

— Bien monsieur.

— Vous pouvez disposer.


        Tarek et Othar arpentaient les ruelles d'un petit village à la recherche de nourriture. Manger du gibier, c'était bien, mais ils rêvaient d'un bon morceau de pain et d'une bonne chope de vin. Cela faisait trois jours qu'ils s'étaient rencontrés sur les chemins, et depuis, ils n'avaient cessé de progresser vers le Nord. Eshkhan avait un bon rythme de course, mais deux hommes musclés et un chien, c'était bien plus que le poids qu'il était habitué à porter. Un grand loup était certes plus rapide qu'un cheval, mais bien moins endurant, alors ils avaient fait des pauses régulières pour permettre à l'animal de se reposer un minimum.

        Tarek esquissa un sourire quand il vit son chien se mettre à aboyer après une poule, se lançant dans une course poursuite qui se promettait divertissante.

        Le soleil tombait, se fracassant contre l'horizon dans un éclat de sang qui embellissait les paysages. Les ombres des maisons en pierres découpaient le village en formes géométriques, le tout dans une ambiance calme alors qu'un vent chaud arrivait du Sud et caressait leur visage.

        Se fiant aux rires et à la musique, les deux hommes se dirigèrent vers ce qui s'avéra être une taverne bien animée. Si Tarek n'avait pas d'argent sur lui, c'était Othar qui réglait le peu de dépenses qu'ils effectuaient, refusant de tomber aussi bas qu'un voleur. Ils avaient convenu qu'un petit verre ne leur ferait pas de mal, ne perdant néanmoins pas leur objectif de vue : retrouver la Fille Gelée.

        Lorsqu'ils poussèrent les portes en bois à double battants, les effluves d'alcool vinrent leur caresser les narines alors que la puissance sonore des voix et des instruments vint leur agresser les oreilles. Ils se faufilèrent parmi les ivrognes et les prostituées pour aller s'accouder au comptoir et se commander à boire. Tarek esquissa un sourire lorsqu'il se rendit compte que pour la première fois, il devrait refuser les avances d'une femme, et même de plusieurs.

— Bon, soupira Othar en levant sa chope. Trinquons à notre absence de piste !

Son rire était jaune, amer.

        Le jeune brun entrechoqua son verre avec le sien, et but tout d'une traite.

        Cette situation le rongeait. Ils n'avaient aucun indice hormis la direction « Nord Est », mais puisque le rond de verre surmonté de la flèche indicatrice ne fonctionnait plus, ils n'avaient aucun moyen de savoir s'ils avaient dépassé leur destination ou s'ils se dirigeaient toujours dans la bonne direction.

        Othar but sa chope cul sec lui aussi et la reposa bruyamment sur le comptoir. Il était pleinement conscient des regards posés sur lui. Les elfes ne se promenaient jamais aussi loin de leur Forêt, et la plupart des gens autour de lui n'avaient jamais vu d'oreilles pointues. Ce fut alors sans surprise que de nombreuses filles vinrent l'aborder, ainsi que de nombreux hommes, soit curieux, soit méfiants et violents. Mais il décida de faire abstraction de tout ça et commanda une deuxième boisson, se perdant dans ses pensées et s'isolant du monde. Il se demanda ce qu'Eshkhan allait bien pouvoir chasser cette nuit.

        Tarek, lui, fit l'opposé de son compagnon de route. Il tendit l'oreille et se mit à épier toutes les conversations. Il fut presque déçu de ne rien entendre de pétillant. Tous les sujets évoqués dans une taverne étaient les mêmes : les femmes, le sexe, l'argent, et la politique.

        Au bout d'une demi-heure, alors que la fatigue commençait à se faire ressentir chez les deux hommes, le brun intercepta une conversation un peu plus virulente :

— ... si jamais je l'attrape je lui coupe la main !

— Allons du calme mon brave, tu es sûr que tu n'as rien imaginé ?

— Pour qui me prends-tu ?! Je ne suis pas fou comme l'aut' Pierrick ! Nan j'sais ce que j'ai vu ! Mes pommes volaient dans les aires pour atterrir dans les mains d'une personne !

— Et pourquoi tu ne l'as pas attrapée ?

— J'ai bien essayé penses-tu ! Mais alors que je la coursais, je l'ai suivie dans un cul de sac et pof ! Personne ! Elle s'est volatilisée comme par magie ! Une sorcière j'te dis, une sorcière !

Tarek fronça les sourcils et se leva de son tabouret haut, suivant la voix enragée.

— À voir ses mains, c'était une gonzesse j'en suis sûr ! Si j'la revois je l'attrape et j'la fais brûler sur le bûcher public !

— Une sorcière dites-vous ? s'incrusta Tarek en donnant des coups d'épaule pour se joindre aux deux hommes.

Ils avaient le nez rouge et le front luisant. Ils se retournèrent vers l'inconnu qui s'introduisait dans la conversation sans gêne, mais la colère envers l'ensorceleuse sembla plus forte que celle envers le jeune homme.

— J'en mettrais ma main au feu mon p'tit gars ! On ne fait pas voler mes pommes dans les airs moi j'vous le dis ! J'vais l'attraper z'allez voir !

— Quand l'avez-vous vu cette sorcière ?

Othar se rendit compte de l'absence de son compagnon et fronça les sourcils.

— Ce matin même m'sieur ! J'venais juste d'installer mon étalage et cette garce m'a volée cinq fruits ! Si jamais...

— Vous êtes sûr que c'était une femme ? coupa Tarek, de plus en plus intéressé.

Othar le rejoignit et lui lança un regard interrogateur auquel il ne reçut pas de réponse.

— Et pour sûr ! s'écria le marchand. Ses mains étaient pâles comme la neige, et elle était pieds nus ! Une preuve de plus qu'c'est une sorcière !

Comprenant rapidement la situation, Othar intervint :

— Auriez-vous vu son visage ? Avait-elle les cheveux blancs ? C'est courant chez les sorcières.

— Hmm... l'autre sembla réfléchir. Non j'ai rien vu, la capuche cachait complètement son visage.

— Et vous dîtes qu'elle s'est volatilisée ?

Le marchand hocha frénétiquement la tête, pas peu fier d'avoir aperçu une enchanteresse en action.

        Othar et Tarek se regardèrent d'un air entendu et quittèrent la taverne avec précipitation, laissant les deux hommes derrière eux, surpris.

— Elle est peut-être encore au village, c'est sûrement Aïkida !

Le jeune brun acquiesça mais restait concentré. Si son amie était réellement dans les parages, il ne savait pas comment la trouver. Le village était un véritable labyrinthe. Ils devaient trouver un moyen de l'appâter.

— Je sais ! s'écria Othar. On n'a qu'à créer un évènement public ?

Tarek s'arrêta en plein milieu de la rue pour regarder l'elfe avec de grands yeux et les sourcils arqués.

— Un évènement public ?

Le rebelle hocha la tête avec un grand sourire en s'arrêtant lui aussi.

— Si elle est vraiment dans ce village, c'est le seul moyen de l'attirer à nous.

Le combattant sembla réfléchir.

— Ce ne pourra pas être avant demain matin, qui nous dit qu'elle ne sera pas déjà partie loin ?

Mais à l'instant où il posait la question, la réponse lui venait à l'esprit. Si Aïkida était ici, et qu'elle volait à l'étalage, c'est qu'elle avait réussi à s'enfuir des griffes de son ravisseur. Et connaissant la jeune femme, pour qu'elle ne respecte pas son code moral et se mette à voler, c'était qu'elle devait être affamée. Et donc qu'elle resterait suffisamment de temps dans le village pour se ravitailler avant de rentrer à la Vallée.

        Même si cette hypothèse semblait alléchante, cela ne restait pas moins que ça : une hypothèse. Mais c'était la seule piste qu'ils avaient.

        Tarek hocha la tête.

— Au travail. 

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