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Chapitre 19: Léon

PDV PERCY 

Hermione saisis la bras de d'Annabeth, Malefoy le mien, et nous transplanons dans le bureau de la directrice. Celle-ci se redresse vivement, surprise. Puis un petit sourire se forme sur ses lèvres en voyant Hermione et moi réuni. 

- Je vois que vous avez enfin entendu raison. 

La fureur de ma sœur, que jusqu'alors, elle retenait avec mal, explose. Ses yeux changent de couleur, allant du bleu au rouge avant de se stabiliser sur une teinte violette. Je sens sa rage sans même avoir besoin de la regarder. Le Serpentard dut prévoir le coup car aussitôt il se jette sur la Gryffondore pour la déconcentrer. La boule de feu qui était en train de se créer dévie alors de sa trajectoire et au lieu de percuter la directrice s'écrase contre un tableau qui semblait immuniser au feu. J'entends ma sœur crier contre la main que le blond avait mis sur sa bouche afin de l'empêcher de jeter des sorts. Et les jurons de ce dernier m'indique qu'elle se débattait et pas que gentiment. J'allais dire à Malefoy de la sortir du bureau quand le hoquet de surprise de Mcgonagall me fait tourner la tête. Des flammes montaient le long de ses vêtements. Hermione qui avait cessé de se débattre fixait la directrice sans bouger. J'envoie la main et asperge les robes mais les flammes avides remontaient inlassablement. 

- Hermione stop !! Arrête tu vas la tuer !! 

Je me rends alors compte qu'aucune chaleur ne se dégageait du feu. J'effleure les flammes mais ne ressent aucune douleur. Pourtant les jupons commençaient déjà à tomber en cendre.

- Jackson, arrête ce sort. Pense à ce que diraient tes amis si ils voyaient ça, lui ordonne le préfet-en-chef. 

Il semblerait que c'était le point sensible car les flammes arrêtent immédiatement leur progression avant se s'évanouir. Le Serpentard lâche ma sœur qui secoue la tête et ses yeux reprennent leur couleur d'origine. 

- C'est vous qui avez enlevé mon sort de protection et soutirer la puissance de Malefoy, chuchote-t-elle en tremblant de colère. 

- Je ne vois pas ce que vous voulez dire. 

- Ne mentez pas ! Je l'ai vu dans votre esprit ! Pourquoi avez-vous fait ça ?! 

- Tiens vous n'avez pas le temps de lire mon esprit jusqu'au bout ? ironise Mcgonagall. 

- Jackson, je tiens à dire que, même si ça m'arrache la bouche, tu m'impressionnes, déclare le Serpentard avant de se tourner vers la directrice. Bon maintenant je vais mettre les choses au clair. Soit vous nous dites tout de suite ce qu'on veut savoir, soit vous vous condamnez à une mort longue et douloureusement car soyez s'en sûr je n'aurais pas autant de scrupules que Jackson. Je ne me contenterais pas de flammes indolores dans le but de vous ouvrir l'esprit. Non, elle, la mort sera bien réelle... 

- Vous avez beau être le fils de dieu de la mort M.Malefoy, les menaces ne m'atteignent pas.

- Comme vous le souhaitez.

Drago lève lentement le bras. Je vois dans ses yeux qu'il est parfaitement capable de mettre sa menace à exécution. Seulement je veux aucune mort sur la conscience ! Alors que j'allais m'interposer, Hermione convainc d'un regard de baisser la main. 

- Les menaces vous concernant sont peut être inutiles mais ça serait dommage que se soit Léon qui paye votre silence... dit ma soeur avec un sourire cruel. 

Je regarde Malefoy et à sa tête je vois qu'il n'a aucune idée non plus de qui est Léon. Mais vu son teint blême, la directrice, elle, sait de qui parle Hermione. 

- Vous n'oseriez pas, murmure Mcgonagall en tremblant. 

- Vous croyez ? rit ma soeur en sortant de sa veste une peluche en forme de lion. C'est bien mal me connaître. 

Le visage de la professeur pâlit encore plus si c'est possible. J'ai peur de comprendre... Non. Hermione n'aurait pas fait ça. Pourtant devant son regard dur, je viens à douter. 

- Il était si mignon à vous appeler. Ses cris déchirants m'ont presque brisés le coeur.... 

- Hermione... Ne me dis pas que.... commencé-je. 

-Maintenant c'est à vous de choisir professeur. Ou vous nous dites pourquoi vous faites ça, pourquoi vous vous immiscez dans notre vie privée, pourquoi vous vouliez absolument que Percy et moi nous retrouvions ou je peux vous assurer que Léon y passera.

Mcgonagall ne parvenait à détacher son regard du doudou lion. 

- Tic tac tic tac, fait Hermione. 

- Je croyais vraiment que vous valiez mieux que vos parents. Mais vos actes prouvent le contraire...

- Gardez vos leçons de morale pour plus tard et dites nous ce que nous voulons savoir !

- Hermione ! crié-je. Arrêtes ! Tu ne vas pas ça ?!

- Ne vous mêlez pas de ça. C'est une affaire entre elle et Mcgonagall, intervient Malefoy.

- J'entends déjà d'ici les petits cri déchirant de notre cher Léon qui vous appelle. Quel secret peut bien valoir sa vie ?

- Dites moi où il est et je vous dirais tout, cède la directrice après une courte bataille de regard.

- Vous d'abord, dit Malefoy.

- Et comment puis-je être sûr que vous tiendrez cette promesse ?

- Vous avez ma parole sur le Styx.

- Votre parole ne vaut rien M.Malefoy, rétorque la professeur.

- C'est exact, dit joyeusement le préfet. Vous devrez donc vous contenter de mes mots.

- Allez voir l'oracle de Delphes et vous aurez vos réponses.

- L'oracle de Delphes ? Mais c'est à des kilomètres !

- Je vous aie dit ce que vous vouliez savoir maintenant honorez votre parole.

Hermione regarde encore un moment la directrice qui semblait au comble du stress puis elle dû décider qu'elle était honnête car elle déclare:

- Rendez vous près du temple d'Hestia. Vous trouverez un champs. Au milieu de celui, il y a un drapeau blanc. Il ne vous restera plus qu'à creuser et.... ajoute-t-elle en regardant sa montre. Si j'étais vous, je me dépêcherais, il doit lui rester un petit heure d'oxygène.

La professeur de métamorphose ne prend pas le temps de discuter et transplane aussitôt. Je me tourne vers ma soeur, fou de rage.

- Pourquoi as-tu fait ça ?! Tu ne pouvais pas te contenter de la menacer ?! Il fallait que tu mettes la vie d'un enfant en danger ?! Je ne te croyais pas comme ça ! Ma soeur n'est pas comme ça ! crié-je extrêmement déçu avant de me tourner. Maintenant je vais aller l'aider, débrouiller vous pour la suite.

- Je suis d'accord avec Percy, déclare juste Annabeth. Les autres te décrivent comme une héroïne de guerre, je m'attendais à mieux de ta part.

Contre toute attente, ce n'est pas ma soeur qui répond mais Malefoy.

- Qui êtes vous pour la juger ? dit-il simplement.

- Pardon ?! 

- Qui êtes vous pour la juger ? répète tranquillement le préfet.

- Je suis son frère pardi !

- Alors où étais tu pendant toutes ces années ?

Le silence accueille ses paroles qui me font l'effet d'un poignard dans le cœur. Il n'avait pas le droit d'évoquer ça.

- Tu ne sais rien de ce que nous avons vécu. Tu ne sais rien des choix que nous eu à faire, des pertes que nous avons endurées. Tu ne peux pas reprocher à ta soeur d'avoir changé après sept ans d'absence. Car oui elle a évolué. Pour survivre à une guerre, avoir bon coeur ne suffit pas. Il faut savoir se mettre au niveau de l'ennemi ou tu mourras à coup sûr.

- Mais... commencé-je.

- Merci Malefoy pour cette aide inattendue, me coupe la Gryffondor. Même si tout ce que tu as dit est vrai,  je vais quand même me justifier auprès de mon frère. Puis elle se tourne vers moi. Je dois te dire que je ne sais pas qui est Léon.

- Quoi ? bredouillé-je. Comment ça ? 

- Regarde autour de toi, dit-elle en désignant la pièce. Léon Maréchal, Léon Trillade, Léon Van Briken et j'en passe. Tous ses tableaux ne représentent que des Léon puis essai de changer le "e" de Léon pour un "i". 

- Lion... murmuré-je. Comme la maison Gryffondore. 

- Exactement. 

- Mais et la peluche ? 

Elle hausse les épaules. 

- J'ai tenté le coup. Mcgonagall aime tellement sa maison qu'elle doit lui en avoir offert des milliers comme ça. 

- Et que va-t-elle trouver à l'endroit que tu lui as indiqué ? demande Annabeth. 

- Elle va certainement retourné le champs avant de se rendre compte que son Leon n'a absolument pas bougé de la où il était. En attendant, direction Delphes. 


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