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Chapitre 37: Entre deux

- Alors Grace, tu m'as menti ou non?

La jeune fille se retrouvait coincée par son père dans le lit de l'infirmerie dans lequel elle venait juste de se réveiller. Carène l'observait du lit d'à coté en lui souhaitant bien du courage.

- De quoi est-ce que vous parlez, capitaine?

- Ne fait pas semblant de ne pas comprendre!

- Elle vient juste de se réveiller, tenta de le calmer Shiru, passant juste derrière lui pour aller changer le bandage à la cheville de Carène, il lui faut peut-être quelques minutes avant de comprendre.

Une vaine de colère apparut sur le front du chirurgien.

- Je parle du fait que tu étais malade!

- Mais j'étais pas malade.

- Alors pourquoi est-ce que tout ceux qui ont croisé ta route t'ont considérée comme souffrante.

- Comment est-ce qu'ils pouvaient savoir comment je me portais puisqu'ils n'étaient pas moi?

Il ne savait pas pourquoi, mais il avait l'impression qu'elle se fichait ouvertement de lui. Peut-être était-ce à cause de Carène riant à gorge déployé alors que Grace parlait avec son habituel expression neutre. Cela l'énerva encore plus et il ne put s'empêcher de faire un sermon à sa fille pour lui faire comprendre que ce n'était pas bien de mentir, surtout sur son état de santé. Elle l'écoutait distraitement en hochant la tête de temps à autre.

- Tu m'écoutes quand je parle!? Hurla le chirurgien de la mort, au bord de la crise de nerf.

- Oui.

- Non! Cria-t-il en lui attrapant les joues. Je voie clairement que tu es ailleurs et que ce que je te dis t'ennuie.

- Alors pourquoi poser la question?

Dépassé comme rarement il l'avait été, il lâcha l'affaire pour aller torturer des cadavres.

- Il est bizarre aujourd'hui, le capitaine, commenta la gymnaste.

- Je pense qu'il c'est un peu trop inquiété pour toi, lui expliqua Shiru.

- Moi? Mais j'ai rien.

- C'est ce qu'on a remarqué, mais ça n'a pas empêché ton père de s'inquiéter. C'est la première fois que je le voie réagir comme ça.

- Comment il t'a attrapé les joues, s'esclaffa Carène. C'était tellement drôle.

- T'as manqué de me mettre dans la merde, gronda son amie.

- Mais votre conversations était tellement drôle, j'ai pas pu m'empêcher de rire.

- Je te volerais tes caramels.

- Mais t'as pas besoin d'être désagréable comme ça, grogna la sabreuse, subitement plus sérieuse. Et puis, si tu te sentais mieux, j'aurais pas à me fiche de toi et des réactions démesurées de ton papounet.

- Ne dit jamais ça devant lui, intervint Shiru, où il ne te le pardonnera jamais.

- Ouais, ouais. Ce que tu peux être barbant toi alors.

Alors qu'il s'étonnait de la mauvaise humeur soudaine de Carène à cause d'un sujet sensible, Grace se leva.

- Où est-ce que tu vas?

- Prendre une douche.

- Si un seul de mes bonbons manque à l'appel je te le ferais regretter, Grace, affirma la gloutonne.

***

Carène n'avait pas passé plus d'une journée de plus dans l'infirmerie mais elle avait reçu l'ordre de se reposer. Grace avait profité de la situation de son amie pour demander à s'occuper d'elle. Officieusement, elle se servait de la sabreuse pour pouvoir passer plus de temps allongée, son ventre la tiraillant toujours autant. Pensant qu'elle demandait cela pour passer du temps à lire, son capitaine avait accepté.

Heureusement, elle ne resta que quelques jours de plus dans cet état. Étrangement, lorsque ses règles se finirent, Carène cessa d'avoir besoin de béquilles. La seul personne à avoir remarqué leur manège était Ikkaku. Cette dernière ne dénonça pas les deux filles, voyant qu'elles avaient trouvé un moyen correcte de cacher la douleur de Grace et que celle-ci se faisait moins forte pour l'enfant.

Enfin, peu de temps après, l'équipage entra dans le champs magnétique d'une nouvelle île.

- Atchi!

Tous les pirates se tournèrent vers la personne responsable de cet éternuement qu'ils jugèrent trop mignon. Alors qu'ils s'extasiaient devant la petite responsable de leur distraction, Carène commença à rire.

- Grace, c'est quoi cet éternuement? Tellement marrant.

- C'est pas ma faute, répondit-elle. J'ai jamais supporté les changements de températures rapides.

- Sérieux? Mais comment tu faisais avant?

- Avant quoi? Le temps change tout le temps depuis trois jours. Comme si toutes les demies journées il faisait chaud puis soudainement froid. Y a pas moyen de s'habiller correctement.

- On est entré dans le champs magnétique d'une nouvelle île, expliqua Bepo. C'est certainement pour ça, désolé.

- Et t'inquiètes pas Grace, ajouta Sango, un des infirmiers, tu seras pas la première à avoir de la fièvre.

- Ouais, mais y aura que chez moi que ça va évoluer en bronchite doublée de forte fièvre. Encore.

Ils ne purent que lui sourire, sachant que ça lui était déjà arrivé.

***

Un peu plus tard, alors que les filles étaient à la vaisselle, le capitaine fit son entrée dans le réfectoire. Tous l'y attendait, sachant qu'il avait annoncé une réunion d'information concernant la nouvelle île.

- Les filles, amenez-vous, les appela Shachi, le capitaine est arrivé.

- On est juste à côté, lui sourie Carène.

Il sursauta. Puis repensa à la bonne maîtrise du fluide de perception de Grace. Elle devait l'avoir sentit venir depuis un moment déjà.

- Bon, tout le monde est là? Parfait. L'île sur laquelle nous allons accoster s'appelle Heart Little.

- C'est pas l'île de l'amour en version plus soft que l'île Rose? Questionna Jean Bart.

- Tu en as déjà entendu parlé? Demanda un de ses compagnons.

- Ouais. Elle est passée sous mes yeux lorsque j'ai étudié les climats particuliers enregistrés dans le nouveau monde. Ici, les quatre saisons changent toutes les demies-journées.

- Elle est habitée? S'étonna Penguin.

- Oui, répondit son capitaine. Ils s'agit de trois îles reliées entre elles par des ponts. Elle comprend deux villes et une foret comptant des espèces s'étant adapté au changement rapide de climat. On va devoir y rester une bonne semaine. Donc on se ravitaillera et vous aurez quartier libre. Ikkaku est avec Seiushi en train de faire l'état des machines. Si quelque chose cloche, arrangez-vous pour que ça soit réparé avant notre départ. Après cet île, nous ne remettrons plus pied à terre avant un mois si ce n'est plus.

Ils les virent hocher la tête, signe qu'ils avaient compris qu'il était essentielle de vérifier si ils ne manquaient de rien.

- Si tout se passe bien, nous arriverons demain matin dans la capital, Little Love City.

Sur ceux, il les laissa retourner à leurs corvées. Il allait lui aussi aller à ses recherches quand un éternuement minuscule le fit s'arrêter. Il avait déjà entendu ces «atchi» quelque part. Marchant silencieusement vers les cuisines, il vie Grace en train de se moucher avant de reprendre le lavage de la vaisselle.

- Grace, tu ne serais pas malade, toi aussi?

- J'aime pas le changement de temps, répondit-elle en tendant la dernière assiette à Carène tout en tournant son visage vers lui.

- Passe par l'infirmerie avant que ça ne dégénère. Shiru s'occupera de toi.

Elle hocha la tête et il sortit de son champs de vision.

Lorsqu'elle ne l'entendit plus marcher, Carène prit la parole.

- Il c'est calmé avec toi?

- Je crois pas, il a juste une expérience nécessitant toute son attention.

- Elle a raison, ajouta Nusagi, venant voir où elles en étaient. Il a sauté le repas parce qu'il ne pouvait pas laisser son bébé sans surveillance.

Elle garda une expression figée devant la métaphore. Alors que Carène la regardait continuer de laver des verres, le cuisinier se dit qu'il aurait put mieux choisir ses mots. Il fini par soupirer et se tint à côté de la fille de son capitaine.

- Dis-moi, Grace, quelque chose ne va pas?

- Pourquoi est-ce que tout le monde s'inquiète en ce moment, grogna l'enfant. Je vais bien.

- Tout le monde?

- Surtout le capitaine en faite, expliqua Carène. Mais puisque le capitaine se fait du soucie, les autre aussi et ça fait un cercle visqueux.

- On dit vicieux, corrigea la gymnaste.

Nusagi comprit vite que le sujet était sensible.

- Pourquoi ça te dérange que le capitaine se fasse du soucie pour toi? Ça prouve juste qu'il fait plus attention à sa fille.

- Mais il le faisait pas avant.

- Tu lui en as déjà parlé, pour qu'il essaye de t'expliquer pourquoi il a subitement changé?

- Non.

- Elle a peur qu'il se braque, commenta la brune.

- Grace, lui dit Nusagi en la regardant dans les yeux, le seul moyen de savoir c'est de lui demander. Tu sais comme moi que c'est quelqu'un de compliqué et qu'il n'est pas très ouvert. Mais depuis que tu es entrée dans sa vie, tout le monde remarque qu'il change, qu'il s'ouvre plus. Je ne sais pas comment tu as interprété son comportement de ces derniers jours, mais, même si sa réaction te déçois, la seul façon d'être certaine de ce qu'il se passe dans sa tête, c'est de lui parler.

Elle se contenta de hocher la tête et de s'essuyer les mains. Sa corvée étant terminée, elle alla en salle d'entraînement.

***

Le bruit d'un corps tombant lourdement sur le sol attira l'attention du capitaine lorsqu'il se rendit en salle de sport pour son entraînement quotidien avec ou sens élève. Lorsqu'il y entra pour voir qui s'y trouvait déjà et qui venait de chuter, il ne vit personne. Tout du moins au début. Mais il entendit une respiration haletante du côté des barres. Sachant que seul Grace s'y entraînait, il s'en approcha à grand pas.

- Ça va, Grace? Demanda-t-il à l'enfant couchée en étoile sur son dos.

- J'y arrive pas.

- Depuis combien de temps est-ce que tu t'entraînes? Questionna-t-il en se doutant qu'elle parlait d'un enchaînement de gymnastique.

- Trop longtemps.

Il l'aida à s'asseoir et passa ses mains dans son dos pour s'assurer qu'elle ne s'était pas blessée. Il l'installa contre l'un des pieds de l'une des barres et lui apporta une bouteille d'eau. Elle ne perdit pas de temps et la descendit après l'avoir remercié.

- Ça va mieux?

Elle hocha la tête.

- Tu veux m'expliquer ce que tu essayais de faire?

Il s'était assis à côté d'elle et lui parlait sans animosité.

- Toutes les îles sur lesquelles il y avait des concours de gym sont loin derrière nous, alors je voulais trouver un enchaînement pouvant m'aider à combattre. Quelque chose comme ça?

- Tu ne sais pas clairement ce que tu veux faire?

- Pas vraiment, répondit-elle en se frottant la tête. J'y ai pensé lorsqu'on c'est battu sur la poutre l'autre jour Carène et moi. Le plus compliqué c'est de trouver quelque chose d'assez rythmé.

- Pourquoi est-ce que tu t'imposes un rythme?

- Si on doit tomber sur une île où il y a miraculeusement un concoure, j'aimerais avoir quelque chose à présenter. Je pensais faire d'une pierre deux coups.

La voyant pensive, il posa sa main sur la tête de sa fille. Elle leva un regard interrogateur vers lui. Elle laissait plus clairement transparaître ses émotions depuis un moment déjà, mais puisque aucun d'eux n'avait la parole facile, ils avançaient lentement. Mais pas à pas ne signifiait pas stagner.

- Je suis certain que tu trouveras quelque chose te correspondant, Grace, lui sourit-il. Essaye de travailler avec Carène comme tu le fais d'habitude et ça ira encore mieux.

Elle esquissa un sourire et après deux secondes d'hésitation, lui fit un câlin. Moins surpris qu'au début, son père le lui rendit.

- Merci, papa.

***

- Grace!

La jeune fille que Carène cherchait se rattrapa par un flippe arrière à quelques mètres de la porte de la salle de sport. Elle tourna la tête vers son amie, arrêtée à l'entrée. Elle observait leur capitaine se tenir de l'autre côté de la salle. Lui aussi avait encaissé un coup.

- Qu'est-ce qu'il y a Carène? Demanda la gymnaste. Je suis un peu occupé, là.

- Je voie, mais on est arrivé à la nouvelle île. Il y a du rose partout, dit-elle de la bave au coin de la bouche et les yeux en cœur. On dirait qu'elle est couverte de barbe à papa.

- On était sensé arrivé demain, fit remarquer Law, s'étant rapproché.

La sabreuse se calma un peu et essuya la bave de son visage.

- Bepo et JB ont dit que le courant avait changé et que ça nous avait fait arrivé plus tôt. Ils s'y attendaient pas, donc pour éviter les problèmes ils ont fait surface. Vous avez pas sentit la secousse?

- Non, répondirent-ils d'une même voie.

***

Tout ceux n'étant pas occupé à manœuvrer le navire s'étaient rendus sur le pont pour contempler la beauté de leur nouvelle escale éclairé par le soleil couchant, la rendant d'autant plus attrayante.

- J'avais jamais vu quelque chose de pareil, commenta Carène en se tenant sur la rambarde, les yeux grands ouverts.

Les pirates sourirent de la réaction de l'enfant. La candeur de la jeunesse les attendrissait et les renvoyait au souvenir de la plus belle île qu'il leur avait été donné de voir. À côté de son amie, Grace n'exprimait pas autant d'émotions. Elle observait le rivage de la foret au feuillage rougeoyant avec son expression neutre habituelle, comme si ce paysage féerique ne lui faisait ni chaud ni froid.

- Le seul port officiel se trouve à Little Love City, expliqua leur capitaine, les coupant dans leur contemplation. Je comptais le préciser plus tard, mais bon... Cette île est très réputé pour son tourisme et est très accueillante malgré son climat compliqué. On y restera quelques jours, mais nous n'irons en ville que demain. Nous passerons la nuit du côté de la foret.

Ils hochèrent la tête et retournèrent à leur contemplation. Au fur et à mesure de leur approche du rivage, les formes des plantes se faisaient plus nets.

- Dites, commenta Grace, c'est moi ou tout ces végétaux sont en forme de cœur.

- T'as raison, reconnut Carène. C'est beau.

Son amie haussa les épaules, toujours aussi froide. Elle décida de rentrer avant que la sabreuse ne reprenne sur son manque de réaction devant ce paysage magnifique et gourmand. Son père la regarda faire du coin de l'œil, déjà assis contre son second, les bras derrières la tête.

- Tu as un problème avec les cœur, Grace? Lui demanda-t-il en fermant les yeux alors qu'elle passait à côté de lui.

Étant un passage obligé puisque reposant juste à côté de la seul entrée, elle s'attendait à une remarque.

- Nan, je suis juste fatiguée. Je vais aider en cuisine.

Elle fut à peine rentrée que Law reprit la parole.

- Carène, va aussi aider en cuisine. Et ne te coupe pas cette fois.

Contrairement à sa fille, la brune eut du mal à se détacher de la foret. Il dut l'appeler une nouvelle fois pour qu'elle se reprenne un peu.

- Vous pensez que les fruits en forme de cœur et tout rose sont super sucré? Demanda-t-elle sans réel destinataire.

- Tu ferais mieux d'écouter le capitaine, lui recommanda Shiru, avant qu'il ne perde patience.

Elle hocha la tête et avec tout le mal du monde courut vers l'intérieur, de la bave au coin de la bouche et de nouveau les yeux en cœur.

***

Accosté au bord de la foret juste après le dîné, l'équipage alluma un feu de camps sur la terre ferme. Leur capitaine leur avait rendu leur marshmallow quelques jour auparavant et ils voulaient les consommer avant de se les faire une nouvelle fois confisqué pour abus de sucrerie. Ils n'en revenaient toujours pas que les gamines accroc au sucre leur tenant compagnie ne soient pas autant victime qu'eux des punitions alimentaires de leur supérieur. Enfin, ils profiteraient tous ensemble de sucrerie caramélisé au bout d'une branche.

- C'est de la guimauve?

- Vous en voulez aussi les filles? Demanda Shachi avec le sourire.

Elles venaient juste de finie la vaisselle et observaient le reste de l'équipage du pont. Lorsqu'elles sautèrent à terre en se rattrapant avec agilité, comme à leur habitude, les garçons leurs firent de la place.

- Donc, c'est bien de la guimauve? Redemanda Carène.

- Tu n'en as jamais mangé?

- Non, maman m'a toujours interdit parce qu'elle trouvait ça trop sucré pour le régime alimentaire qu'elle ne manquait pas de joindre à mon entraînement.

- C'est pour ça que tu manges des sucreries à la pelle? Ricanèrent les pirates.

- C'est pas ma faute si j'aime bien ça. Et je voie mal qui va me blâmer pour. Grace en mange bien plus que moi.

- Ça c'est parce que le capitaine à pas encore trouvé où elle les a planqué, affirma Shiru.

- Il y arrivera jamais, affirma la concernée.

Elle évita avec aisance le coup de pied de son père, couché juste derrière elle sur Bepo.

- Faudra les prendre sur mon cadavre.

- Fait attention à ce que tu dis, Grace.

- J'y penserais.

Les autres rirent nerveusement. Ces deux là avait toujours des façons étrange de communiquer en publique. Mais d'une certaine manière c'était amusant, puisque Carène éclatait de rire à chaque fois.

- Assez parlé de chose qui fâche, trancha Penguin. Les chamallow sont fin prêt! Faites passer les brindilles.

Ils eurent la surprise de voir Grace passer sa branche à sa voisine.

- Tu n'aimes pas ça?

- Nan, je trouve que ça a une texture étrange.

- Comment ça? Demanda Shachi intrigué en enfournant sa première portion.

Elle sembla réfléchir au meilleur moyen de s'expliquer avant de le faire.

- C'est mou mais quand même consistant et parfois dur à cause de la caramélisation. Ça change d'aspect tout le temps sans vraiment avoir une consistance propre. En plus à chaque fois ça fond dans la bouche en même temps que sa colle sans vraiment le faire entièrement. L'autre raison c'est parce que je trouve que ça a pas vraiment de goût.

- C'est... détaillé, commenta Shiru avec un air légèrement gêné, qu'arborait aussi certains garçons.

- Y a un problème? Questionna Carène en les voyant faire de drôles de tête.

- Laisse tomber, Carène, soupira Ikkaku, c'est qu'une bande de pervers.

- Pervers? Répéta-t-elle en mangeant encore un marshmallow. Je vois pas ce qu'il y a de pervers dans ce qu'elle a dit.

- Rien, justement. Mais, ajouta-t-elle avec un sourire plein de sous entendu, ça la leur a coupé.

- Ikkaku! C'est qui qui est pervers là!?

Elle éclata de rire sous les commentaires des hommes tendis que Grace posait sa main sur l'épaule de Carène pour qu'elle se détourne de leur conversation stupidement pleine de sous-entendu.

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