Marco : J'ai pris une grande décision....j'ai...j'ai décidé de partir avec Nina. Izou reviendra demain, et Lisa est la nouvel/

Moi : Sort, sort et ne reviens pas Marco. Je pensai que tu avais plus de respect envers père, mais à ce que je vois tu préfère une femme qui a essayé de détruire l'équipage plutôt que celui qui t'a recueilli et nourri. Tu préfère être aveuglé que de voir la vérité en face. Tu viens de nous trahir, tu viens de trahir père, tu viens de trahir ta famille. Alors pars Marco, dégage et ne reviens pas . DÉGAGE TOUT DE SUITE DE CE BATEAU MARCO, ET PREND TA PUTE AVEC TOI !!!!!!

Marco me regardait, le regard remplis de tristesse, d'incompréhension et de colère. Il sortit du réfectoire avec Nina sans dire un mot. Je le suivi pour voir si il quitait bien le navire.

Marco : Je suis désolé Lisa, je ne pensai pas que tu le prendrai comme ça et/

Moi : Ta gueule et dégage. Je veux plus te voir Marco. Je sais qu'elle partira et que tu reviendra sur le bateau, mais sache que, si tu reviens, tu ne sera ni capitaine, ni second. Tu ne sera qu'un membre de l'équipage, et tu ne retrouvera un grade haut placé que lorsque tu aura retrouvé ma confiance et celle de l'équipage. Sur ce, au revoir Marco.

Il monta dans un canot de sauvetage, mis ses affaires et celle de Nina dedans, et parti avec elle. Je les regardaient s'éloigner et, quand ils furent hors de ma vision, je fondit en larmes. Des larmes de douleurs, de rage, mais aussi de tristesse. J'étais triste d'avoir du virer mon meilleur ami de l'équipage à cause d'une femme, mais je savais qu'il reviendrai en rampant, en nous suppliant de regagner l'équipage car sa bien aimé l'a lâché. Il regrettera son choix. C'est sur.

Des bras me prirent et me portèrent jusqu'à la cabine de Ace. Il me posa sur son lit et s'allongea avec moi. Je m'endormis quelques minutes plus tard, dans ses bras.

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Des clameurs sur le pont me reveillèrent. J'espérais que ce n'était pas une autre bagarre. J'étais de très mauvaise humeur. Je me doucha rapidement et enfila un short et un pull qui m'arrivait à mis cuisse. Je coinça mes cheveux en un rapide chignon puis monta sur le pont. Les clameurs n'avaient pas cessé. Elles me donnaient mal à la tête.

Moi : VOS GUEULES !!!!!

Tout le monde se tut. Ils devaient se rendre compte que je n'étais pas d'humeur à rire. Je me dirigea vers la personne que les marins entouraient.

Moi : IZOU !!!! JE SUIS TROP CONTENTE DE TE VOIR !!!!!

Je lui sauta dans les bras et entoura sa taille avec mes jambes. Il me rendit son étreinte alors que je pleurait de joie.

Izou : Ace m'a tout raconté Lisa. Ce n'est pas de la faute de Marco, il a été manipulé. Nina avait un fruit du démon. Je ne connait ni sa nature ni son nom, mais je sais qu'elle pouvait manipuler une personne pendant une durée indéterminée. Lisa, si Marco reviens, laisse le redevenir capitaine d'une flotte.

Je le lâcha et m'écarta de lui.

Moi : Je veux bien te croire Izou, mais ce que je ne comprend pas c'est pourquoi il a laissé une femme monter sur le bateau ?

Izou : Il la trouvait belle, il c'est dit que ça ne ferai pas de mal si il laissait une femme dans l'équipage pendant quelques semaines et/

Moi : Dans ce cas là, je ne reviendrai pas sur ma décision Izou. Il a laissé une femme monter sur ce navire et c'est de sa faute. Tu crois que père aurait accepté qu'une femme vienne sur ce bateau ? Non, alors il faut respecter ses règles.

Izou : Mais père est mort Lisa.

Moi : Non, père n'est pas mort, il vit encore, dans vos coeur. Il est dans chacun de vous si vous croyez encore en lui. Personne ne meurt, sauf si on l'oublie. Père n'est pas mort, je ne l'ai pas oublié, je n'ai pas non plus arrêté de croire en lui. Réfléchissez bien à cela. Je n'ai plus rien à vous dire.

Sur ce, je parti dans la cabine de père. Tout était pareil qu'il y a deux ans, rien n'avait bougé. Je m'installa dans le grand fauteuil et chercha un livre. Un livre dont mon père m'avait parlé il y a quelques années. Un livre avec l'histoire de tout les pirates sur ce navire, sur l'histoire de Gold Roger et sur celles de beaucoup d'autres pirates. Je ne sais pas comment il a put avoir de telles informations, mais ça a du prendre des années pour écrire tout ça. Il ne manquait que les informations sur l'équipage de Luffy et il contiendrait les informations sur les plus grands pirates de se monde.

??? : LISA, UN BATEAU ARRIVE, IL DEMANDE LA PERMISSION DE S'ENTRETENIR AVEC NOTRE CAPITAINE !!!!!!

Moi : QUI EST LE CAPITAINE DE SE NAVIRE !!???

??? : EUSTASS KIDD !!!!

Moi : J'ARRIVE !!!!

Je remit le livre dans son tiroir et me rendis sur le pont. Le bateau de Kidd était déjà amarré sur notre navire et Killer s'apprêtait à monter sur notre pont. Quand il me vit, il se stoppa net et eu un mouvement de recul.

Moi : Ne dit pas à Kidd que c'est moi le capitaine, ça sera une petite surprise. Si tu dit quoi que ce soit, je te tus d'accord ?

Il hocha la tête et monta sur notre pont sans un mot. Très vite, Kidd arriva. Quand il me vit, il blemit et une expression de peur prit place sur son visage.

Moi : Allons Kidd, n'ai pas peur, on va pas te couper les ailes. On va juste te faire assez mal pour que tu t'en souvienne à vie. Je vais juste te faire mal au point que tu appelle ta mère pour qu'elle vienne te sauver, pour que tu ais mal à vie, mentalement et physiquement. Je vais te faire regretter tout ce que tu m'as fait pendant un an, et de m'avoir couper les ailes.

Il eu un mouvement de recul, puis partit en courant. Je le bloqua avec des lianes et le fit revenir vers moi.

Moi : Reste un peu, la fête ne fait que commencer.

Les lianes enlevèrent son manteau.

Moi : On va voir si tu as encore ma marque.

Je me mit derrière lui. La marque était encore un peu visible.

Moi : C'est dommage, elle c'est un peu effacé. Va falloir que je la reface...et si je te marquait au fer rouge ? C'est une bonne idée ça non ? Par contre j'ai pas de fer, on va faire avec du feu directement, ça sera plus drôle.

Une petite flamme sorti de mon index. Je l'approcha de la cicatrice du L et il cria. La flamma léchait doucement sa peau tandis qu'il criait. Une odeur de brûlé sortait de sa peau.

Une fois mon travail fini, il était en sueur, le visage déformé par la douleur.

Moi : Alors...j'avais prévu de te couper les couilles, mais j'aimerai voir la tête de tes gosses, donc je vais éviter. Tu as déjà un bras en moins et tu risque d'avoir du mal à trouver une femme qui acceptera la cicatrice dans ton dos...je suis à cour d'idées, je vais te laisser partir. Mais la prochaine fois, je te ferai autre chose de pire.

Sur ce, je défis ses liens et il parti en courrant sur son bateau. Killer y était déjà retourné.

??? : Tu trouve pas que t'y es allé fort ?

Moi : Après ce qu'il m'a fait endurer ce n'était rien.

Je retourna dans la cabine de père, pressé de lire enfin ce fameux livre.