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La femme du train

Au début, je ne la remarquais jamais, aujourd'hui pourtant j'ai l'impression de ne voir qu'elle.
Dans un train rempli, où chacun se retrouve collé les uns au autres, un matin elle c'est accroché à moi. De petite taille, elle devait ce faire écrasée sans cesse. Elle n'a rien de particulier, elle se maquille que légèrement, ses yeux marron clair sont mis en évidence par un peu de maquillage et ses lèvres toujours coloré d'un brillant à lèvre rose que je trouve chaque jour plus attirant. Ses cheveux brun on une odeur de chocolat, comme un shampoing pour enfant. Ils ne sont pas très long, disons qu'il lui arrive tout juste aux épaules. Ses coiffures varies assez, queue haute, chignon, double tresse, relâché. J'aime beaucoup le chignon, il me permet de mieux voir son visage et son cou. Fin. Fragile.
Ses petits yeux semblaient cachés des millions de secrets, elle ne me voit pas, ne me regarde pas et pourtant elle m'hypnotise.
Je ne sais pas vraiment pourquoi c'est à moi qu'elle s'est accrochée, la première fois et même tout les autres. Ça m'intrigue, elle m'intrigue. Je ne dis pas que cela me déplais mais, parmi cette vague humaine, elle aurait pu se tenir à n'importe qui et pourtant, c'est moi qu'elle a choisi, c'est moi qu'elle choisi chaque matin. Ça me fais me questionné sur qui elle s'accroche le soir pour rentrée chez elle. Si, elle le fait aussi ou, si il n'y a que moi. Et puis, si il n'y a que moi, cette question me reviens encore : Pourquoi moi ?
Je fais tout pour paraître discret malgré mon gabarie assez imposant. Je cache mes muscles sous de longues manches, généralement elles sont quand même visible mais je cache bien mieux mes vielles cicatrices. Quoi qu'il en soit, je porte toujours des écouteurs pour entré dans ma bulle afin que les personnes avoisinantes comprennent que je ne compte parlé ou écouté personne. Je fixe toujours devant, comme si une chose invisible me captivais et je suis conscient tout de même d'inspirés une certaine crainte. C'est pour cela, que je me demande encore et encore : pourquoi moi ? Elle pourrait s'accrocher à une personne plus souriante, plus sociable, une personne qui n'inspire pas la crainte. Pourtant, je suis son choix, chaque matin dans le train de 7:15, une gare après la mienne. Elle traverse une foule de personnes pour venir à moi, debout, au fond, tenant une des bars supérieurs.
Je ne comprendrais sans doute jamais, je n'aurais sans doute jamais de réponse. Le seul moyen pour que cela arrive, ce serai de lui parlé et simplement de lui demandé. Sauf que, je ne veux pas. Je ne me sens pas de brisé cette routine qu'il y a entre nous. J'aime le fait qu'elle ne soit que le femme du train. Pourtant, parfois j'aime imaginé que quelque chose arrive, qu'elle me dise son prénom et qu'on parle pendant des heures ou, juste qu'elle me sourit.
Cette femme, me fait songé à des choses inédite et parfois même, dans mes rêves, à des choses interdites.
Elle n'a rien de particulier et pourtant, elle me fait parfois me réveillé en avance pour prendre le train, pour sentir ses doigts se posé sur mon biceps avec fermeté.
Cela dure depuis six mois et, je me pose de plus en plus de question sur qui elle peut bien être tout comme, ce qu'elle est moi pourrions se dire ou, se faire...
Intriguant, voilà ce qui me viens lorsque je la vois sans cesse porté de long manteau. Je sais que c'est pour caché quelque chose, on a tous des choses à caché mais elle, c'est son secret à elle que je souhaite découvrir. Que me cache t-elle sous ses manteaux ? Des choses bien courtes je paris. Trop courte même.
C'est en me demandant quelle profession peut-elle bien exercé que sa tenu c'est mise à m'intriguer. Je ne suis encore sûr de rien, mais parfois son regard glisse vers la honte. Je ne sais jamais à quoi elle pense dans ses moment là mais, je me suis mis à supposé et j'ai trouvé une réponse. Ça me décevrait vraiment d'avoir raison, escorte, ce n'est pas pour elle.

Quand je la vois, je pense à une femme, fragile, innocente, pure, simplement pure. Un métier comme ça la salirait. Mais, si elle n'avais pas le choix, je comprendrais. Je sais bien que la vie ne laisse pour ainsi dire jamais le choix. Pourtant, l'imaginé nue, dans les bras d'un autre, de plusieurs autres me met en colère. Je ne devrais pas, elle n'est rien pour moi, elle n'est que la femme du train, je devrais me résigné à cessé de pensé à elle. Mais, je n'y peux rien. Lorsque j'ai une seconde de répit dans ma journée, c'est vers elle que mes pensées se tourne. Parfois, elle me met en insomnie.
J'ai besoin de savoir qui elle est. C'est pour ça, qu'aujourd'hui je me lance.
Lui parlé ? Trop dure. La suivre ? Flippant. Pourtant, c'est plus facile.
Je m'arrête en même temps qu'elle, généralement, j'ai deux arrêt après le sien. J'ai deux semaines de congé, je compte pas les passés à la suivre, simplement à apprendre à la connaître.
Je n'ai pas peur de lui parlé, j'ai peur de brisé notre histoire. Ce n'est pas un compte merveilleux, mais, c'est une histoire muette qui me convient. Peut-être serai-ce mieux, plus beau, plus joyeux si nos vies entrés en collision pour n'en faire qu'une. Mais, trop de fois j'ai été déçu alors je me contente de peu.
Je marche à distance raisonnable sans la perdre de vue. Je sais que s'est une femme discrète et timide. Ses mentaux et sa simplicité parle d'eux même. Jamais de couleurs vives, jamais de couleurs trop sombre. Elle se limite aux couleurs beige, gris et bordeaux. Je la verrais bien en rose pâle, en noir aussi. En réalité, toutes les couleurs m'irait, si je peux la voir.
Elle entre dans un petit café, un homme est déjà là où elle s'arrête. Il pourrait très bien être son petit ami comme son frère ou même son mac. Lorsqu'il se lève pour la salué je peux déduire que je suis plus grand que lui, il porte des vêtements de lux plutôt chic, il est blond. Je constate qu'il est le genre de personne à se sentir supérieur au autres, simplement parce qu'il boit un verre d'alcool à tout juste 8:00 du matin et aussi parce qu'il porte des lunette de soleil en intérieur. Je ne serais pas surpris de le voir sortir une cigarette dans cette établissement où fumer est interdit.
Ils ne parlent pas longtemps avant qu'un autre homme ne vienne. L'homme blond les présentes et tous les trois partent et monte dans une voiture, plutôt une limousine, garé à l'avant.
Je n'ai aucun moyen de les suivre, je suppose qu'elle rentre comme ça le soir.
Quoi qu'il en soit, cela a renforcé ma supposition au sujet de son travail. Je ne sais plus vraiment quoi pensé d'elle, je sais pas vraiment si c'est ce que je crois.
Je rentre chez moi, on est lundi et je ne travail pas. Je ne sais pas vraiment quoi faire. Mes trois petite sœurs sont à l'école. Je décide de rangé la maison. Évidemment, ce que j'ai vue me hante, je ne cesse de pensé à elle. J'aimais l'imaginé, peintre, professeur ou même serveuse. Maintenant, je ne peux plus vraiment me permettre de pensé qu'elle puisse être autre chose qu'une escorte. J'aimerais me trompé, mais je ne vois pas d'autre travail qui demande ce genre de rencontre.
Je veux oublié ce que j'ai vue, mais comment faire ? Je ne pense qu'à elle, et je vois et revois en boucle cette rencontre dans ce café.
Je dois pensé à autre chose, j'hésite entre un porno et un film. Peut-être même une partie de jeux vidéo. J'ai bien une série à continué mais, les éventements sont si prévisible que ça m'ennuie. Donc, pas suffisamment captivant pour me la faire oublié. Un porno, pire encore...
Trente minutes que je cherche un film mais, les tendances actuels sont peu intéressant. De l'horreur, un peu de frisson m'aérerait l'esprit. Je prend le film avec les meilleurs critiques mais malgré tout, elle semble plus forte qu'un démon hantant une demeure.
Elle, elle, elle toujours elle.
Pourquoi ?
Ce n'est qu'une femme, parmi d'autre. Qu'a t-elle de différent ? Pourquoi son mentaux, sa peau clair, son cou si fin, ses yeux clair, ses lèvre brillant, pourquoi tout cela m'obsède tant ? La pression de ses doigts sur mon bras, m'offre des images interdites.
Peut-être que simplement la voir, la sentir à mes coté pour quelques minutes n'est plus suffisante.
Il me faut ne serait-ce que son prénom, le son de sa voix.
J'ai l'impression de devenir fou, j'ai besoin d'en apprendre plus sur elle. Je veux lui parlé. Je le dois.
Mais, c'est bien plus fort que moi, je sais que je n'y arriverais pas. Surtout depuis ce que j'ai vu ce matin.
Je pars prendre l'air, j'étouffe chez moi.
Un petit jogging ne me ferais pas de mal, courir aide à aéré l'esprit.

Je m'habille simplement d'une tenu pour courir, mes bras son à l'air libre, c'est uniquement dans ses moments là que je ne les couvres pas. Personne ne voit mes cicatrices lorsque je cours.
Plus jeune, je n'étais pas un garçon bien mais petit à petit je prenais conscience du regard de mes parents. J'avais honte. Alors je jouais avec une lame sur mes poignet pour oublié que je les décevaient. À deux reprise les entaillent on failli me tué, alors mes parents mon aidé et j'ai pu changé et devenir le fils qu'ils voulaient. J'étais heureux. Je restais et reste tout de même un peu renfermé.
Je met mon casque et la musique que je choisi m'importe peu, tant que le volume est à fond et que mes pensées sont inaudible, c'est tout ce qui compte.
Quatre heures de course, allé-retour. Une fois chez moi, je transpire comme si j'avais passé une journée en plein désert.
Je me déshabille rapidement et me glisse sous une eau froide une fois que mon corps a suffisamment refroidis. Je me sens apaisé et mes muscles se détendent, j'ai réussi à l'oublié pendant quatre heures. Mais, ça y est, la revoilà ancrée dans ma tête, son image se dessine dans mon esprit.
Plus précisément, sa main et ses lèvres. Son corps fin au teint clair qui se colle au mien, son cou qui se dévoile à moi m'attirant avec ardeur.
J'ouvre brusquement les yeux, avant que mes pensées ne dérive et ne s'aggrave. Je dois l'oublié, pas fantasmé. Pas encore.
Généralement je rentre trop tard mais aujourd'hui j'ai le temps d'aller récupéré mes petites sœurs à l'école. Je préviens la voisine, une femme d'environs mon age qui n'as pas d'enfant mais qui accepte de me rendre ce service.
Arriver devant l'école, la première à arrivée c'est la plus petite, Élisa, elle a 5 ans. Ses petites bouclettes brune lui recouvre le visage à cause du vent et du fait qu'elle court. Élisa me saute dans les bras et rigole, elle est contente de me voir. Ensuite, Lola et Laura, les jumelles de 7ans arrive en même temps. Elles me font un bisous sur la joue puis on part.
Elles adorent quand je viens. Pas moi. Les gens me dévisage parce que j'ai pas l'apparence type d'un parent. J'ai juste l'air d'un délinquant, celui qui fini en prison une fois qu'il ont environs 25 ans. J'en ai 27. Quoi qu'il en soit leurs regards m'insupporte. Plus jeune, j'étais la personne qu'ils s'imaginent que je suis aujourd'hui et, leurs regards m'aidait à renforcé celui que j'étais : une personne crainte. Aujourd'hui, je veux juste rattrapé mes conneries et simplement élevé mes petites sœurs. Les erreurs, tout le monde en fait, j'en ai fais. Maintenant, je vie simplement. J'estime que je mérite ma petite vie tranquille. J'ai un travail qui me plaît relativement, je suis coach sportif. C'est bien payé, surtout lorsque j'ai des clients qui pèse lourd. Je parle pas de leur poids mais de leurs portes-feuilles.
Mes sœurs me harcèlent pour que je les emmènes au parc et pour manger une glace. Je cède très vite au deux demandes. Elles savent comment s'y prendre avec moi, je trouve ça injuste. Mais bon, ça me fait plaisir.
Passé du temps avec elles me permet de me sentir bien, détendu et mes pensées sont vides.
On rentre lorsque le ciel commence à s'obscurcir. Elles râles, mais je leurs promet de revenir demain alors elles acceptent.
Je prépare le dîné, Élisa m'aide et les jumelles regardent un dessin animé dans le salon.
Élisa est timide, même avec ses sœurs. Elle ne se sent bien qu'avec moi, je suis un peu plus comme un père qu'un frère pour elle. Je l'élève depuis qu'elle est bébé. Elle m'appelle papa, je ne pense pas qu'elle sache réellement qui je suis pour elle. Qu'importe. Elle sourit chaque jour. C'est tout ce qui compte. Parfois, je la sens triste et quand je lui demande pourquoi, elle me demande quand est-ce qu'elle pourra avoir une maman comme ses copines. Je sais jamais quoi lui dire. J'aimerais faire un effort, juste pour elle. Mais, j'ai du mal avec la sociabilité. Pour lui trouvé une maman, il me faut une femme. Pour avoir une femme, il me faut leurs parlées. Mais, je déteste ça. Je vie dans ma routine, comme ça je peux contrôlé la situation. Pourtant je le sais, il faut que je sorte de ma zone de confort, pour le bien être de mes sœurs. Elles ont besoins d'une présence féminine.
Je repense tout à coup à la femme du train. Je manque de me coupé le doigt, la lame n'est pas passé loin. Mais, je m'en moque. Pourquoi je pense à elle ? C'est simple, je ne me voile pas la face, je pense à elle comme présence féminine pour mes sœurs, je pense qu'elle pourrait bien être la femme dont-elles ont besoins, dont j'ai besoin. Je ne préfère pas y pensé, pourtant, je me dis que si elle hante sans cesse mes pensées, c'est bien pour une raison. Je ne dis pas que c'est pour cette raison ci, mais pourquoi pas ?
Escorte.
C'est vrai, si c'est ce qu'elle fait, c'est pas bon pour les filles. Pour moi non plus.
Alors je me trompe, je dois trouvé une autre raison pour laquelle j'ai toujours envie de la voir.
Je me vide la tête et continue à cuisiné. On dîne ensuite. On regarde un film. C'est l'heure pour elles d'aller au lit. Je les bordes. Elles veulent une histoire, alors je leurs en lis une. Elle s'endorment. Je porte délicatement Élisa pour la ramené dans sa chambre. Les jumelles dormes ensembles.
Une fois dans mon lit, je m'endors assez vite. Cette journée était vraiment fatigante.

Des mains agrippe mes épaules et des lèvres caresses mon torse. Je sens mon cœur palpité à cent à l'heure. Mes mains se poses sur un corps bouillonnant de désir. Ses doigts me font frissonné et je sens que j'ai de plus en plus envie d'elle. Ses cheveux sont relâché et me chatouille le torse tout en remontant à mon cou. Ses lèvres sont chaude et ses baisés doux. Elle me mordille. Je fais glissé ses cheveux en arrière et je peux voir son cou. Je sens son parfum enivrant et sans réfléchir je la mord. Je la marque comme ci elle était mienne. Je la retourne brusquement, elle gémit de surprise. J'aime se son. Il me rend encore plus désireux de la possédé. Elle m'agrippe et avant que je ne puisse voir son visage elle me plaque contre elle. Ondulant sous moi, nos parties intimes se frôles et je sens qu'elle aussi me désir de plus en plus. Elle m'embrasse, me mordille et me suce le cou. Ses mains glisses dans mon dos et je sens que je la désir un peu plus à chaque fois. Elle frisonne sous mes baisés et je fini par la prendre, par la possédé entièrement. Elle aime ça, elle le murmure et le gémit au creux de mon oreille. Je fini par la regardé, ses yeux m'hypnotise. Comme à chaque fois que je la vois, la femme du train...

Je me réveille.
J'hésite à me rendormir. Je ne veux pas de ça, ce n'est pas le premier rêve que je fais, ni le dernier.
Je décide de descendre, j'allume la télévision. Je remarque qu'il est déjà 3:48 en regardant l'horloge au dessus de mon écran. Je vais sur Netflix et regarde la suite d'une série. À peine cinq minutes après, ma petite sœur Élisa me rejoint et se blottie contre moi. Elle non plus ne dors pas beaucoup. J'ai vue des médecins car elle dormait en cours. Il paraît que les bébés ressentes les sentiments des personnes qui les entoure, surtout leur proche. Alors, si je suis perturbé elle le ressentirait et donc, on serait connecté en quelque sorte. J'en ai vu un autre pour voir son point de vue, il m'a parlé d'un manque dans sa vie. Je lui ai parlé de la mort de nos parents. Elle était dans la voiture quand ils ont eu l'accident. Elle est chanceuse d'avoir survécu. Le médecin a dit qu'il était possible qu'elle en ai le traumatisme, mais que les chances étaient mince. Tout était possible. Il a aussi évoqué ce que l'infirmière de l'école a dit. Alors, ce qu'elle a c'est entre un traumatisme de quand elle avait quelques mois, le manque d'un être dans sa vie et mon sentiment de solitude qui déteindrait sur elle. Dans tout les cas, elle a besoin de stabilité. Je dois trouvé une maison plus près de mes clients pour pouvoir passé plus de temps avec mes sœurs. Ce qui veux dire que je n'aurais plus à prendre le train. Je me demande si je suis près à cela, à ne plus voir la femme du train. Je pourrais lui parlé. Peut-être que le courant passerait et qu'on se verrait dans nos temps libres. J'en sais rien. Je ne sais pas si c'est une bonne idée. Je ne sais pas vraiment quoi faire. Une chose pourtant est sûr, c'est que demain encore, je prendrais le train, alors que je n'en ai pas besoin.
Pendant une semaine encore j'ai pris le train, je l'ai suivi. Je ne devrais pas mais c'est plus fort que moi. Les hommes que lui présentes le blond prétentieux sont différents mais, ils sont tous un peu pareil. Comme des poupées vide. Je ne sais pas se qu'elle leur trouve. Ni ce qu'elle leur fait. Et, je préfère ne rien savoir.
Aujourd'hui, je décide que j'arrête de la suivre, je remarque aussi qu'elle porte du vernis. Ses doigts son généralement vierge, mais pas ce matin là. C'est jolie, mais je la préfère 100 % naturel.
Je profite de mon congé. Je me demande ce qu'elle fait, avec qui elle est. Je me sens ridicule à pensé à elle comme une ex qui me manquerait. Pourtant, sans sortir avec elle, ne pas prendre le train me donne l'impression d'une douloureuse rupture.
J'arrive à occupé mes pensées, c'était difficile au début mais, maintenant ça peut allé. Je cours beaucoup et je tente une approche vers la voisine. Je sais qu'elle a un petit faible pour moi et comme les filles la connaisse, je me dis que ça devrait allé. Je dois faire en sorte qu'elles aient un environnement stable. Qu'elle me plaise ou non est facultatif. Elle ne me plais pas.

Élisa m'a demandée si elle aurait bientôt une maman.
Aujourd'hui, je dois reprendre le train. Pour le travail. Je me sens tout de même étrange. J'ai l'impression que mon corps devient tout moue. Le train arrive. J'hésite à entré. Mais le fais. Je pourrais simplement changé de place. Mais je ne le fais pas. Je sais qu'au fond de moi, je ne pourrais pas le faire, j'ai besoin de la voir. Je le sais, les battements accéléré de mon cœur me le murmure. Je me place à ma place habituelle. Son arrêt se rapproche. Mes mains deviennent moite. Je me sens stressé. J'essuie mes mains sur mon pantalon et le train s'arrête. Beaucoup de personne entre et, ça y est. Je sens ça main contre mon bras. Je n'es pas mis de longues manches. Je voulais sentir ça peau. Elle est encore plus douce que ce que je m'étais imaginé. Elle aussi est habillée différemment. Une tenu plutôt courte et légère accompagné d'un sac de sport. Elle ne s'arrête pas au même endroit que d'habitude. Je ne peux m'empêcher de la regardé. Et, elle me remarque et fini par levé ses petits yeux marrons vers moi. Elle a un petit sourire timide avant de se mettre à regardée par terre. Elle n'as aucune trace de maquillage sur le visage, j'ai l'impression qu'elle m'attire encore plus.
Je dois descendre et, elle aussi. Je garde une certaine distance entre nous car, je ne veux pas avoir l'air de la suivre, pas comme la semaine où je le faisais mais, elle semble se rendre au même endroit que moi. Elle rentre dans un bâtiment où je la perd de vue. Je possède un locale là où elle est entrée, je reçois la majorité de mes clients ici. Certain le font à domicile et d'autre préfère que ça se fasse ici. J'entre dans les locaux, je ne la vois plus alors je me rends dans ma salle. Je prépare les entraînements de base pour un nouveau client. Je me stop quelque instant. Et si, mon nouveau client, c'était une cliente et que cette personne c'est la femme du train. Je, je serais obligé de lui parlé. Qu'est-ce que je vais faire ?
J'inspire et regarde par l'immense mur fenêtre qui donne sur les buildings de la ville. J'ai comme un vertige tout à coup. Si c'est elle qui va passé la porte de ma salle, je ne sais pas se que je devrais lui dire. Je devrais partir et me faire porté malade pour mes clients du jour. Mais, si c'est vraiment pour un coaching qu'elle est là elle reviendra. À force peut-être qu'elle ira ailleurs. Mais, ce serait un pas vers elle, ce serait peut-être même un signe à mes questionnements.
Une personne toque à la porte, je me retourne vers un miroir et vérifie que je suis bien présentable. Je suis comme à mon habitude, j'ai remis mon pull. Je me demande si ça fera l'affaire. Quoiqu'il en soit, j'ouvre et, la voilà, c'est bien elle. Je l'invite à entré simplement en me décalant, elle ma reconnu, je l'ai vue dans ses yeux. Pourtant, elle ne semblait pas vraiment surprise. On se retrouve face à face, l'atmosphère devient oppressant. Je ne sais pas ce qui dois ce passé. Je suis coach sportif, je devrais peut-être lui demandé quels son ses objectifs et pourquoi elle pense avoir besoin de faire du sport. Je la regarde brièvement de haut en bas. Elle est parfaite. Je l'imagine nue. J'efface ça de ma mémoire. Je me sens horrible, je n'ai pas à l'imaginé ainsi, j'ai l'air d'un détraqué. J'ai l'impression qu'elle a lu dans mes pensées et que la situation est encore plus gênante. Elle fini par parlée.
« - Je m'appelle Lucy Lawson. »
Sa voix est douce comme de la soie, Lucy, c'est beau. Elle me tend la main.
« - Mathias Evan. Lui répondis-je en serrant sa main. »
Le silence revint.
« - Je, n'es pas besoin de sport. Je voulais juste vous rencontrez.
- Pourquoi ?
- Vous n'étiez plus là. J'étais inquiète. M'avoue t-elle.
- Pourquoi moi ?
- Je vous observez de loin et, vous aviez l'air plutôt sympathique. Tout en imposant.
- Pourquoi toujours vous accrochez à moi.
- Au début, parce qu'à ma gare il y avait un homme qui regardait les femmes étrangement, souvent il entrait dans le train et se collait aux femmes. Accroché à toi, je savais que ça le dissuaderait de recommencé avec moi. Un jour il n'est plus jamais venu. Mais, j'aimais bien ce qu'on avait. C'est bizarre mais, j'avais comme le sentiment d'avoir un lien avec vous. Je vous ai cherché sur internet, le logo sur votre sac n'as pas étais évident à décrire sur la bar de recherche mais, je vous ai trouvé. Vous étiez en congé, d'où votre abscence.
- En effet, je dois vous avouez que vous m'intriguiez aussi. Alors je vous ai suivi.
- Ah. Et donc ? »
Elle me semble un peu intimidé mais, j'ai aussi l'impression qu'elle est flatté. Peut-être qu'elle aussi m'as déjà suivi avant.
« - Vous êtes escorte girl ? »
Elle sembla surprise de la question mais émit un petit rire mignon avant de répondre.
« - Je peux comprendre de quoi ça avait l'air. Les mentaux et les hommes. Mais, non. Je suis mannequin. Petite taille. Je dois porté la tenu pour être à l'aise dedans au moment des photos mais personnes ne doit voir de quoi ça a l'air avant la publication. C'est vrai que parfois je met de la lingeries pour les photos mais, je me couvre de vêtements normaux sous mon mentaux. Mon agent me présente les hommes avec qui je vais posé dans un petit café parce qu'il a pour habitude de boire un verre pour débuté la journée. Il a sa routine et ça ne me dérange pas. On change souvent de mannequin homme car je faisais la rubrique « comment avoir un homme par jour ? ». »
Je me sens soulagé, elle est comme je l'avais imaginé au début. J'ai envie de la connaître plus encore. Alors on discute pendant une heure puis, j'ai un nouveau client. On se donne rendez-vous.
Trois jours plus tard, on dîne ensemble en ville, proche de chez nous. On c'était vue dans le train comme d'habitude les matins avant notre rendez-vous. On se saluait d'un sourire et, on passait le trajet comme à notre habitude.
Le dîné se passe à merveille. On a plein de point commun, on s'entend bien, on est totalement sur la même longueur d'onde.
Lucy et moi on dîne souvent ensemble, au bout de trois mois je lui présente mes sœurs. Elle les adore et c'est réciproque.
Élisa me demande si c'est elle la maman qu'elle attendait. Je ne savais pas quoi lui répondre mais, au bout de six mois les choses deviennes de plus en plus sérieux entre nous. Je peux finalement lui dire que oui lorsque Lucy, la femme du train accepte de devenir ma femme.

Fin.

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