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Chapitre 12 : L'assaut

Trois jours étaient passés et Frisk n'avait plus de nouvelles de Sans, il ne venait plus, elle crut alors qu'il avait consentit à sa demande, celle de s'éloigner d'elle. Elle pleurait maintenant dans sa chambre. L'humaine n'avait pas d'amis ici, elles ne faisaient qu'appâter les clients, M. Staurn ne savait pas que Sans ne viendrait plus et continuait de la préserver de tout autres clients que lui. C'était tant mieux parce qu'elle n'était d'humeur à travailler, elle pleurait plus qu'il ne fallait, cette horrible sensation de ne plus voir celui qu'elle aimait la torturait. Elle s'était même habillée en noir comme si elle était en deuil, un top décolleté en cuir noir, une jupe à volants avec une ceinture cousue à paillettes noires et enfin des collants et des bottines noires.

- « Ma rose ! Viens aider à servir les clients ! »

Frisk essuya vite ses larmes et se leva de son lit avant de courir dans le couloir pour rejoindre Tony. Ce soir il y avait foule et les serveuses, qui faisait double service, manquaient. Tony lui mit un plateau de bières dans les bras.

- « Va servir ça à la table six ! Les filles commencent à manquer »

- « Bien »

- « Et fais un effort pour sourire ou gare à toi ! »

Elle déglutit et alla à la table avant de servir les bières puis se dépêcha de revenir au bar. Tony lui remplit à nouveau son plateau et elle servit encore. Soudain, l'humaine remarqua plusieurs hommes entrer et s'asseoir sur différentes tables voisines, ils discutait mais elle voyait bien qu'ils surveillaient le bar.

- « Tony, tu connais ses gars ? »

- « Ça ma rose, ce sont des gars à la solde de Skeleton, tu sais le squelette qui t'a sauté plus d'une fois chez lui »

Frisk lui jeta un regard noir, n'aimant pas sa grossièreté mais s'abstint de parler.

- « Au lieu de poser des questions idiotes, va donc leur demander si ils ont soif et tâche d'être polie ! » cracha-t-il.

L'humaine alla alors faire ce qu'il lui demandait, elle était sûre qu'il se doutait que Sans n'allait plus foutre un pied ici mais il n'avait pas l'air de vouloir qu'elle le confirme.

- « Bonsoir messieurs, vous souhaitez quelque chose à boire ? »

Les monstres la dévisagèrent avant que l'un d'eux ne chuchote quelque chose à un autre qui était assit au fond de la table.

- « Dix bières et des bonnes ! » déclara un des monstres.

Elle hocha la tête et alla vers le bar, entendant au passage celui au fond dire aux autres.

- « Le premier que je vois mâter son cul devra s'expliquer avec le Boss »

Quand elle revint avec leurs boissons, elle ne fit aucun commentaire mais elle sentait qu'ils l'observait. Ne se sentant pas tranquille, elle voulut aller se réfugier discrètement dans sa chambre.

- « Qu'est-ce que tu fais ? » tonna une voix derrière elle.

Elle se retourna, feignant l'étonnement, reconnaissant son patron.

- « Ben ce que tu m'as demandé, je sers les clients »

- « En faisant rien ? »

- « Si ! J'allais prendre la commande de la table là-bas » bredouilla-t-elle.

- « Menteuse ! » fit-il en lui attrapant le bras.

- « Je...Non »

- « Alors dépêche-toi ! Si je perds des clients parce que tu traînes à les servir, tu vas passer un sale quart-d'heure ! » cracha-t-il en la relâchant.

Elle hocha rapidement la tête et s'empressa de s'éloigner de lui. Pendant ce temps, les monstres que Frisk venait de servir n'avait pas perdu une miette.

- « Cette fille est quand même sacrément bien... »

- « Simon, finis ta phrase et tu vas sentir un truc qui s'appelle une lame te transpercer la gorge, je te préviens en toute amitié mais la prochaine fois ce ne sera pas le cas »

- « Oh allez Sam, j'allais dire qu'elle était jolie »

- « Je préfère »

Sam regarda les environs, sa tête étant encapuchonnée, certains le dévisageait, se demandant sans doute pourquoi il se cachait.

- « Ouais c'est un joli minois qu'elle a cette humaine, tu m'étonnes qu'il craque le Boss »

- « Chut ! Abruti ! Parle plus fort tant que tu y est ! »

- « Ça va Sam, on se détends »

- « Quand est-ce qu'on attaque ? Je commence à m'ennuyer ! »

- « Faut mettre d'abord la fille en sécurité ! »

- « On peut la foutre en sécurité dans la panique »

- « QUOI ? »

Ils se tournèrent et virent Frisk se faire saisir le bras par Tony, elle venait de renverser un verre de bière sur lui.

- « Aïe...Changement de plan, tu as raison, mieux vaut la panique »

Frisk de son côté, était tenté de s'enfuir mais M. Staurn la tenait fermement.

- « Je te jure que je ne l'ai pas fait exprès »

- « Tu vas devoir laver ma chemise ma rose si tu veux pas que je te donne aux pires crapules qui viendront ici »

- « Non pitié ! Je suis désolée ! » pleura-t-elle.

Un des hommes de Sans se leva et prit son arme à feu avant de tirer en l'air trois fois, les coups de feux retentirent et ce fut la panique générale. Frisk en profita pour se dégager pendant que tous les clients et putains du bar coururent dehors. Tony allait partir quand il sentit quelqu'un dans son dos et un couteau se posa sur sa gorge.

- « Adieu traître ! »

Et l'homme l'égorgea avant de le laisser tomber lourdement au sol, saignant comme un porc. Frisk l'avait vu faire et vit les autres essayer de l'approcher, elle courut alors vers l'arrière du bar et traversa le rideau où était les chambres de prostituées. L'humaine allait bientôt atteindre la porte donnant sur l'autre ruelle quand un homme l'ouvrit et elle se stoppa. Frisk se retourna et vit qu'elle était prise au piège, l'homme derrière elle lui saisit le bras et le plia dans son dos, elle gémit de douleur avant de gigoter et de lui écraser le pied pour se dégager puis l'envoya sur ses collègues devant elle. Ils le rattrapèrent et elle prit la porte.

- « Mais c'est qu'elle sait se défendre la demoiselle »

- « J'vais m'occuper d'elle, brûlez le bar pendant ce temps, on se voit à la maison » fit Sam avant de prendre la porte aussi.

Frisk courut a travers les ruelles, que pouvait-elle faire ? Ces hommes avait tué Tony ! Ils allaient la tuer aussi, ils la poursuivaient ou pire ils allaient abuser d'elle avant de la tuer. L'humaine tourna, elle avait peur, fallait-il aller chez Sans ? Non, pourquoi il l'aiderait ? Et puis si ils retrouvaient sa trace, ils pouvait le tuer aussi. La jeune fille s'arrêta pour souffler, ces hommes, Tony lui avait pas dit qu'ils étaient à la solde de Sans ? Oui mais ça pouvait très bien être des imposteurs, d'après ce qu'elle avait saisit Sans était assez important dans le milieu, il pouvait avoir certains avantages ainsi que ses hommes, des monstres devaient frauder sur ça. Elle entendit soudain des pas derrière elle, Frisk se retourna mais personne quand elle regarda devant elle par contre...

- « Eh bien c'est pas gentil de fausser compagnie ma jolie »

- « AAAAAAAh » cria-t-elle.

Il la saisit par la taille et la hissa sur son épaule.

- « Lâche-moi sale porc ! »

- « Sam je peux vraiment pas lui donner au moins une fessée »

L'encapuchonné l'approcha furieux.

- « J'ai dis non Scott ! On ne la touche pas comme ça, on ne la mâte pas et on évite tous propos dévalorisant envers elle ! On la ramène, saine, sauve, entière, vivante et si possible pas traumatisée ! »

- « D'acc', d'acc', on peut y aller ? »

- « Allons-y »

- « Lâche-moi ! » continua de crier Frisk en frappant de toutes ses forces le dos du monstre.

Elle le mordit, le griffa et le frappa mais la monstre ne lâcha pas une plainte.

- « Mademoiselle calmez-vous »

- « Me calmer ? Vous m'enlevez et tout ce que vous osez me dire c'est de me calmer ? »

Elle frappa la tête du monstre mais, bien qu'il eut mal, il ne répondit pas.

- « Mais on est-ce que vous m'emmenez ? Qu'est-ce que vous me voulez ? »

- « Il faut qu'on vous ramène au repaire, tout vous sera expliqué le moment venu »

L'encapuchonné retira sa capuche et Frisk crut reconnaître le renard qui avait payé ses services le premier soir où elle avait rencontré Sans.

- « Je m'appelle Sam mademoiselle, pour vous servir »

- « Pour me servir ? J'aurais tout vu, je suis une putain mon gars pas une princesse »

Le renard ne répondit pas et remercia le ciel pour que le repaire ne sois plus très loin, ils passèrent une palissade cassée et entrèrent dans une grande maison délabrée. Arrivé dans le vestibule, elle vit perchée sur l'épaule du monstre d'autres hommes pas loin d'eux, installés dans une grande salle, adéquate pour un bal.

- « Mon ami va vous poser mais vous devez vous promettre de ne pas vous enfuir »

- « La parole d'une pute ça vaut que dalle » répondit-elle.

- « Pour moi elle est comme les autres »

- « Bon ok, promis »

Sam fit signe qu'on la dépose et elle s'étira avant de regarder l'endroit.

- « Venez, le Boss vous attends »

- « Le Boss ? »

- « Oui, il a hâte de vous voir »

- « De me... »

Elle ne put terminer sa phrase, l'humaine fut encadrée par deux monstres mesurant une tête de plus qu'elle. Ils lui prirent un bras chacun puis l'entraînèrent dans les escaliers, le renard devant. Une fois devant la porte, le renard toqua puis ouvrit et passa la tête dans l'ouverture.

- « Patron elle est là »

Une réponse incompréhensible vint aux oreilles de la jeune fille, curieuse.

- « Bien »

Il fit signe aux monstres qui la tenait d'entrer. Quand elle fut dans la pièce, c'était un immense bureau très lumineux grâce aux grandes fenêtres, quelqu'un était assit sur un fauteuil de qualité, tourné vers les fenêtres, fumant sans doute étant donné la fumée qui s'échappait au dessus de sa tête. Frisk cette fois craqua et se dégagea.

- « Bon maintenant ça suffit ! »

Les trois monstres qui l'entourait la dévisagèrent comme si ils craignaient que le monstre qui était assit s'énerve.

- « Vous trois vous êtes grossiers de me kidnapper ! Et vous monsieur le « Patron » j'aimerais bien savoir ce qui vous a pris de vouloir assassiner mon employeur et d'avoir en même temps brûlé le bar qui était ma maison ! »

Les trois monstres furent étonnés et admirèrent presque le cran de la jeune fille.

- « Et puis ça vient d'où cette envie de kidnapper une pute ? Vous savez, vu le nombre de vos hommes et où vous êtes caché, vous devez avoir plus de Gold qu'autre chose alors la prochaine fois vous pouvez juste prendre rendez-vous et vous en aurez une de pute sans être obligé de brûler un bar ! »

Elle croisa les bras, l'air défiant, pendant que les autres monstres suait à grosses gouttes. Le Boss lui était resté tranquillement assit, fumant, il leva soudain la main et les trois monstres s'en allèrent, Frisk les regarda partir puis se tourna à nouveau vers le Boss.

- « Quel accueil Frisk »

La jeune fille fut choqué d'entendre cette voix et quand il se tourna vers elle, elle n'en crut pas ses yeux.

- « Je pensais pas que tu tenais à ce point à la chambre miteuse que tu avais au bar »

Le squelette se leva et écrasa son mégot dans le cendrier sur son bureau.

- « J'ai ordonné de tuer Tony et de brûler ce bar pour que tu sois libre »

Il la vit soudain tomber à genoux, les bras croisés sur son ventre et penchée le plus possible en avant. Sans s'avança alors et lui dit.

- « Frisk...Tout va bien ? Je t'en prie ne baisse pas les yeux...Tu n'est plus obligée d'obéir... »

- « J'ai crus...J'ai crus que je ne te reverrais plus jamais » murmura-t-elle la voix tremblante.

Il s'accroupit et l'aida à se relever.

- « Je ne t'aurais jamais abandonnée ! Je t'aime de tout mon cœur et je voulais que tu sois heureuse »

Il la vit soudain pleurer.

- « Je t'en prie ne pleure pas »

- « C'est pas de tristesse que je pleure, c'est de joie »

Elle le serra contre elle, le visage fourré dans son cou.

- « Je t'aime aussi »

Il l'écarta quelques minutes après, lui prit le menton et l'embrassa, elle lui répondit aussitôt et il la porta pour la faire s'asseoir sur le bureau.


(LEMON !!!!!!!!!!!!!! Ça va jusqu'à la fin du chapitre donc vous pouvez vous arrêter là !!!!)

Elle s'y allongea et lui caressa la joue, signe qu'elle était consentante, il lui embrassa le cou avant de lui retirer ses collants, il lui retira ensuite le haut et il mordilla et lécha le ventre de Frisk qui posa ses mains sur son crâne avant de lui mit un doigt. Il le laissa le temps qu'il titille son clitoris de sa langue où elle eu du mal à rester en place. La sentant assez mouillée il retira son doigt, baissa son pantalon et la pénétra, il la fit s'asseoir, voulant la serrer contre lui et commença ses va et viens, Frisk était tellement excitée et heureuse de le revoir, qu'elle n'arrêta pas de l'embrasser. La jouissance vient plus vite que prévu et il la serra un peu plus contre lui. Le soir venu, il la ramena chez lui, en tant que sa petite amie.

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