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Un plan en trois étapes (I / II).

Élias

Ça fait maintenant une nuit et un jour que nous sommes dans cette chambre d'hôtel. Le soleil se couche et je la regarde dormir. Je repense à notre arrivée en attendant qu'elle ne se réveille.

*-*-*

Après avoir roulé non stop jusqu'à Omaha, Helena a trouvé un motel le plus discret possible. Je l'ai chauffée en lui faisant croire que ne savais pas sortir de la voiture sans aide.

J'ai pris un pied d'enfer en la faisant tomber sur moi au moment où elle se penchait pour me tirer au dehors.

Son corps chaud, tout en courbes s'est figé. Elle s'est tortillée sur moi, de haut en bas, toute la surface de son corps de rêve collée au mien.

J'ai écarté un peu les jambes pour augmenter mes sensations. Ma queue a apprécié le contact.

-Mhh, si tu voulais, tu n'avais qu'à le dire. Pas besoin de faire semblant, ma belle. Je suis toujours partant pour un tour sur la banquette arrière avec une jolie fille, je lui ai dit dans le cou, d'une voix rendue rauque par le désir.

Elle ne savait pas se dégager, affalée de tout son long, ses mains prisonnières entre nous. Les miennes me faisaient un mal de chien, coincées sous moi.

Vu que mon but était atteint, je pouvais ignorer la douleur.

J'ai entamé un mouvement du bassin qui ne pouvait que lui faire comprendre mon dessein.

Qu'allait-elle faire ? Jouer les vierges effarouchées, se lâcher et me donner carte blanche ?

Tous mes fantasmes se bousculaient en moi. Je ne pouvais rien faire dans cette position, mes options étaient limitées. Mais tout était bon à prendre.

-Tu peux profiter de moi. Je suis tout à toi. Bien que ce serait plus confortable dans un lit, je lui ai soufflé en lui mordillant le lobe de l'oreille.

Je l'ai senti trembler. Ma langue, autonome, a été se promener le long de son cou puis est remontée vers sa mâchoire. Avant d'arriver à sa bouche, Helena s'est détournée hors d'atteinte.

-Allez, je suis attaché, tu peux faire de moi ce que tu veux, j'ai continué.

Je ne savais plus si je voulais l'emmerder vraiment ou si je voulais la convaincre d'ouvrir mon pantalon.

La deuxième option était de plus en plus tentante, mais elle a eu un sursaut et s'est dégagée.

Je l'ai de toute évidence trop pressée. Me traîtant de tous les noms, elle s'est redressée et m'a laissé me débrouiller pour me relever et sortir de cette bagnole.

Ce que j'ai fait en serrant les abdos.

Je n'allais quand même pas m'étaler devant elle sur le parking miteux d'un motel tout aussi miteux.

Elle m'a presque fait jouir en se frottant, volontairement ou non, sur moi. Je l'ai senti me désirer avant qu'elle ne se rétracte.

C'était la première partie de mon plan pour me venger. La deuxième phase s'est déroulée comme je le voulais, à un détail près.

Je lui ai dit que je ne pouvais pas rester les mains dans le dos, pour plusieurs raisons, mal aux bras, ne pas pouvoir s'asseoir ou se coucher,...

J'ai bien vu qu'elle avait des remords. Elle est sensible et me faire du mal n'est pas dans sa nature.

Après avoir fermé les tentures de la chambre, elle a pointé le flingue vers moi, a ouvert une menotte et s'est vite éloignée pour que je ne puisse pas la désarmer. Elle avait des doutes sur ma docilité apparente.

La maligne.

Je me suis étiré, j'ai fait rouler les muscles de mes épaules, tiré sur un bras puis l'autre.

-Putain, que ça fait du bien, je lui ai dit.

Elle me matait, les joues roses, le corps figé.

Mais j'ai été trop vite.

J'ai voulu l'approcher et elle est revenue à la réalité puis m'a ordonné de me coucher sur le lit, les bras levés .

J'ai encore fait une blague sur ses tendances SM et sa manie de m'attacher. Obligé de me lier au lit par les barreaux métalliques, je me suis à nouveau retrouvé à sa merci.

Helena m'a laissé un long moment seul pour profiter de la douche.

Seul avec mes fantasmes et mon désir d'elle.

La porte de la salle de bain étant restée entrouverte pour qu'elle puisse entendre s'il se passait quoique ce soit, la torture a commencé.

J'ai eu droit à un jeu de lumières et d'ombres chinoises qui montraient sa silhouette par intermittence.

Comme d'habitude, je n'ai pu que bander.

Sans pouvoir me caresser.

Putain de menottes. Je ne me savais pas à tendance Maso mais je n'aurais raté le spectacle pour rien au monde.

Sortant toute fraîche et encore un peu mouillée, ma kidnappeuse sexy est venue me retirer mes chaussures et ajuster les coussins sous ma tête.

J'en ai profité pour me gorger de son odeur. Même le parfum du savon bon marché fourni par le motel ne pouvait atténuer la fragrance qui la caractérise. Elle m'a annoncé qu'elle sortait chercher de la nourriture et qu'elle m'abandonnait à mon sort un moment.

Ça m'a bien fait chier de rester seul mais ça m'a permis de cogiter sur la suite de mon plan et sur cette troisième étape qui serait la plus importante.

Je devais passer à la vitesse supérieure.

Dès son retour, elle m'a fait promettre de rester sage. Elle voulait me libérer pour pouvoir manger. Afin de sortir de ce lit et pouvoir m'asseoir à table, je voulais bien lui faire croire ce qu'elle voulait.

J'ai du garder les poings liés devant moi, naïve la jolie blonde mais pas conne.

Pour diminuer ses soupçons, j'ai sagement mangé comme je pouvais.

Difficile de jongler avec une fourchette de cette façon. L'excuse était toute trouvée pour la suite de mon plan.

Je me suis levé et elle a sursauté. En faisant le tour de la chambre l'air indifférent, j'ai repéré le sac de courses. J'ai vu qu'elle avait acheté des fringues.

Voilà ce qu'il me fallait.

-Bon alors, je lui ai dit. Comment on fait ?

-De quoi tu parles ? On repartira demain matin. Il y a beaucoup de route à faire.

-Oh, j'imagine bien que tu veux t'éloigner de ton amant. Mais je parlais du fait que tu as pris une douche et moi non. Je suis crevé, tu m'as lié au lit, tu m'as fait manger menotté, je me sens sale.

Je la voyais réfléchir. Elle était toute gênée.

-La douche, j'en rêve...

J'ai reculé vers la salle de bain, qui est minuscule. Elle m'a suivi et a semblé vouloir trouver une excuse.

-Allez, aide-moi à me déshabiller. Promis, je serai sage, je n'essaierai pas de m'échapper, je veux juste être propre...

Helena a sorti la clef de la poche arrière de son jean et m'a détaché une main. Avec dextérité elle l'a accroché au montant de la douche. Puis elle est sortie de la pièce.

-OK...

Avant de comprendre, elle est revenue avec une paire de ciseaux trouvés je ne sais où. À ma plus grande surprise, elle a entrepris de découper mon t-shirt.

-Je ne pensais pas que tu serais si déterminée à me mettre à poil, j'ai ironisé.

Ma queue était toute à fait partante pour un petit jeu. Je me sentais à l'étroit dans mon pantalon.

Cette femme surprenante s'est pressée contre moi afin de mettre en route l'eau de la douche.

-Tu n'as qu'à retirer le reste de tes vêtements et à te mettre sous l'eau.

Elle allait me laisser me débrouiller.

La garce.

☆☆☆☆☆

NA : La mise au passé est faite pour marquer que ce sont des souvenirs. J'espère que ça ne vous perturbera pas trop.

Merci d'être toujours là pour moi. ♡ ♡ ♡

N'hésitez pas à me donnez vos avis et commentaires. Je suis là pour m'améliorer.  ♡ ♡ ♡

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