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Frustration.

Le chemisier vert cintré est très féminin et va particulièrement bien à son teint de rousse. Ses cheveux sont attachés en un chignon serré et très professionnel. Sélenne s’est transformée en une employée bien sous tous rapports. Sérieuse, collet monté, bandante. Si quand elle se retourne, j'aperçois des lunettes, elle aura tout du cliché de la femme d’affaire sexy et coincée. Que je dévergonderai en moins de deux. Toutes ces pensées me font me sentir à l’étroit dans mon costume à cinq chiffres.

Merde, je n’ai même pas encore franchi le pas de la porte que je bande et que je suis obsédé par cette femme. Mes résolutions sont mortes et enterrées directement. Je dis adieu à mon plan pour la soumettre et prends la direction de ses hanches que j’entoure de mes mains.

Lui montrer la vérité sur moi et mes activités sera pour après ce que je désire là maintenant. Je peux attendre pour ça, mais ma queue ne veut rien savoir à part comment et où la toucher.

Sélenne sursaute et se redresse. Ses fesses rebondies et fermes se collent à mon entrejambe et elle retient sa respiration en découvrant l’ampleur de mon envie d’elle. Elle jette un regard par-dessus son épaule, ouvre de grands yeux aux couleurs du chocolat fondant en voyant mon expression.

J’appuie fortement mon corps au sien, la coinçant contre le bureau. Mon torse force son dos à se pencher vers l’avant, elle se rattrape à deux mains pour ne pas s’effondrer dessus. Elle émet un hoquet, ce son me traverse. J’adore quand elle fait ces petits bruits, ils annoncent toujours sa reddition et du plaisir. Elle bascule dans un mouvement lent et sensuel sur le bureau où je prends des décisions importantes depuis des années. Son corps se cambre, ses courbes mises en avant me fascinent. Je presse son visage contre les feuilles qu’elle étudiait un instant plus tôt.

Mes dents raclent sa gorge frémissante et remonte vers le lobe délicat qui la surplombe. Tout ce que j’aimerais lui faire ! Mais un doute infime obscurcit mon désir. Que fabrique-t-elle ? Je jette un œil et remarque que ce sont mes dossiers personnels.

— Alors, tu fouines ? je murmure directement dans son oreille.

Elle se tend, devient raide et sa respiration se coupe. Son attitude est ambivalente, je pourrais presque penser suspecte. Je relâche mon étreinte et la laisse se retourner sans lui donner plus d’espace. Son corps frotte le mien et je me raidis de plus belle. Mais je ne me déconcentre pas, le boulot avant le plaisir.

— Non…

Sélenne hésite puis continue en croisant mon regard, son menton pointé vers le haut dans un signe de fierté ou de rébellion.

— Je cherche comment t’aider dans ton travail. Je suis ta nouvelle secrétaire ou assistante et je veux bien le faire malgré le fait que j’ignore ce que tu veux de moi.

Mon sourire revient, les idées ne manquent pas de mon côtés.

— Ce que je veux, mmh…

Je prends place dans mon fauteuil en cuir et l’attire à moi. Elle résiste pour l’exemple, voyant très bien où mon esprit tordu et pervers est parti. Ses yeux chocolat tombent sous ma ceinture et ont la confirmation de ce qu’elle a senti contre son cul. Ses pupilles se dilatent. Oui, ma belle me désire. Elle va se refuser, reculer et jouer avec moi. Mais je lui ferai regretter ma promesse en l’excitant autant que je le suis.

— Viens là, je vais t’expliquer ce que j’attends de toi.

Ses joues rosissent délicatement et ses tâches de rousseurs ressortent de façon sexy. J’aime ce contraste entre son apparence tout en douceur et fausse innocence et son caractère fort et piquant.

— Anton, souffle-t-elle. Tu es bien un mec. Tu sautes toutes tes secrétaires ?

— Je n’en ai jamais vraiment eu, je commence avec toi, je lui avoue.

Elle se laisse entraîner sur mes genoux et je l’oblige à se mettre à califourchon au lieu de s’assoir gentiment. Son sourire devient coquin quand elle devine mes mains sur ses cuisses, je remonte lentement le tissu de sa jupe, profitant du geste pour toucher sa peau douce. Je frôle le bord en dentelle de ses bas en observant la chair de poule que je lui occasionne. Ses jambes écartées me donnent libre accès à son trésor humide. Ses bras s’enroulent autour de ma nuque et Sélenne plaque ses seins contre mon torse, la sensation est une douce torture. Une de mes mains remonte par-dessus son chemisier pour le prendre et le malaxer, puis jouer avec la pointe tendue qui se moque de moi. Ma seconde main se perd sous le tissu et trouve le globe rebondi de sa fesse. La fermeté de son cul me tire un gémissement approbateur.

Ses lèvres tentatrices glissent sur mes joues et ma mâchoire, sans ne serait-ce que frôler les miennes. Elle tente de prendre le dessus de ma démonstration. La maline, qui pense m’avoir avec ses atouts.

Je pince son téton à travers les couches de tissu et passe les doigts entre ses fesses. Sous la surprise, elle colle son bassin contre ma queue et j’entame un mouvement de balancier. Sa respiration devient erratique et ses pupilles se dilatent.

— Oh !

Sa bouche s’ouvre et j’en profite pour lui mordre la lèvre inférieure puis plonger ma langue entre ses dents pour jouer avec la sienne. Elle gémit et pousse de petits cris de plaisir qui me mettent au garde à vous, mon sexe est tendu au maximum et pour lui donner une leçon, je vais devoir moi aussi souffrir. Pour le moment, car j’aurai satisfaction quoiqu’il m’en coûte.

Son corps frémit, elle appuie de plus en plus et ses mouvements se font frénétiques. Elle prend son plaisir, se servant de moi pour atteindre l’orgasme tant désiré.

La sueur coule dans mon dos, je bande mes muscles et attrape ses hanches. Allez courage, tu es un homme, tu peux le faire bordel ! La repousser est un vrai défi, mais je dois marquer le coup et lui démontrer qui est le maître ici.

Je la remets sur pieds d’un seul mouvement, la détachant brusquement de moi. Elle érafle ma lèvre et gémit frustrée.

— Quoi ? Mais …

— Tu m’as extorqué une promesse et je la tiens. Pas de baise.

Mais bon dieu que c’est dur et je ne parle pas que de ma bite qui est au bord de l’explosion. Je garde malgré tout une expression stoïque et je lui souris.

— Salaud ! Tu me laisse dans cet état ?  
Elle recule et s’appuie sur le bureau. L’image qu’elle renvoie est celle d’une femme presque comblée, décoiffée, rose d’excitation et sexy à mort. Je me rapproche et lui caresse la cuisse du dos de la main.

— Si tu veux que j’apaise ton désir, tu vas devoir être plus gentille et serviable.

Elle me montre les dents, les yeux brillants de colère. Ma belle ne supporte pas mon autorité et moi j’adore lui imposer. Cela contrebalance la douleur de mon érection.

— Tu veux quoi ?

— Sois polie déjà.

Les mots claquent dans le silence de la pièce et elle sursaute surprise.

— Tu vas tout d’abord me faire jouir, puis tu continueras ton travail jusqu’à ce que je décide de te faire du bien.

— Tu veux m’empêcher de … qui te dit que je ne me caresserai pas dès que tu auras le dos tourné ?

Sa colère la rend encore plus attirante.

— Tu vas rester près de moi pendant la journée, si tu oses te finir seule, je te ligoterai dans le Donjon et te torturerai bien plus longtemps.

— Tes menaces ne me font pas peur et pourquoi tu aurais le droit de jouir et pas moi ? Tu as accepté mes conditions.

— Oui et tu as parlé de baise, pas de caresses. Je peux donc te toucher et réciproquement. Par contre, je décide de quand, où et surtout avec qui tu jouis.

— Connard !

— Je ne m’en cache pas. Donc tu vas revenir sur mes genoux et me branler.

— C’est un ordre ? grogne-t-elle entre ses dents.

— Oui et tu vas l’exécuter comme une gentille fille qui veut garder son boulot.

— Harcèlement sexuel le premier jour de taff, c’est du joli.

Elle râle, mais obéit. Sa soumission me rend dingue. Bien que j’ai répondu par l’affirmative, je ne l’obligerais pas à des actes qu’elle refuserait et je vois dans son regard une confiance toute nouvelle en moi. Elle joue et feint de reculer, mais au final elle a autant envie que moi.

Sélenne se réinstalle sur mes genoux en libérant suffisamment de place pour que sa main puisse venir se loger entre nous. Je me penche en arrière et elle me suit, ses doigts s'affairent déjà sur ma braguette. Sa bouche reprend le jeu et quémande des baisers.

Dès qu’elle touche mon membre, je la serre plus fort contre moi. Qu’elle se débrouille pour me branler. J’ai besoin de son contact et pas uniquement de ses mains. Des grognements s’échappent de ma gorge tant le plaisir est intense. Je ne tiendrai pas longtemps. Je sors un mouchoir de ma poche et entoure la main de Sélenne et mon sexe. Elle halète en se déhanchant, cherchant sa propre finalité contre ma jambe. L’orgasme me traverse comme une décharge électrique et je mords l’épaule de ma séductrice. Elle se crispe, au bord de sa propre délivrance. Dès que les dernières gouttes de mon plaisir se sont répandues hors de mon corps et que mon cerveau revient à la réalité, je la bloque.

— Anton, gémit-elle.

— Non, pas maintenant.

— S’il te plait.

Qu’elle me supplie me ravit, mais je resterais sur mes positions.

— Non ! Respire et reprend toi. Tu as du travail Sélenne.

— Tu es un…

— Attention, si tu continues à me jeter des insultes, tu seras punie.

Ses mains toujours dans une position équivoque se resserrent autour de mon membre encore érigé et me font grimacer.

— Quoi ? Tu espères que je serai indulgent si tu me l’arraches ?

— Tu ne perds rien pour attendre mon beau.

— Mais toi oui, je ricane. Allez au boulot. J’ai des réunions et ce soir tu feras ma compta.

Elle s’en va vers ma salle de bain privée et j’entends l’eau couler. Je recule mon fauteuil et surveille la porte. Si elle tarde trop j’irai vérifier qu’elle ne contrecarre pas mes ordres. Elle doit rester frustrée le plus longtemps possible pour comprendre qu’on ne joue pas avec moi.

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