Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Mon histoire : le cauchemard

Mes parents nous avaient donné un ultimatum : une fois l'appartement vendu, mon copain devait trouver un travail. Alors ils nous hebergeraient sans demander quelque chose en retour et aussi longtemps que nous voudrions.

C'est ce qu'il a fait et je l'ai aidé dans ses démarches. Je l'ai accompagné à son entretien d'embauche trois semaines après notre arrivée. Il devait commencé deux semaines plus tard. Deux semaines ou je ne l'ai plus lâché d'une semelle. J'étais à nouveau sur le point de le perdre. Et bien que je savais qu'il le fallait pour nous, notre prochain appartement et notre futur enfant ; je n'arrivais pas à me faire à l'idée qu'il parte.

Le soir de son premier jour de travail je l'ai empêcher de dormir. J'ai pleuré toute la nuit, je l'ai supplié de rester avec moi. Je l'ai menacé de me suicider et de me mutiler. Et lorsqu'il devait partir le lendemain matin j'ai tout fait pour le retenir. Je suis sortit avec lui à la voiture, à moitié nue, et lorsqu'il a commencé à démarrer je suis partit en courant dans la rue dans l'idée qu'il revienne, me rattrape et me dise 《je reste avec toi》.

Il est revenu me chercher. Il m'a crié de rentrer immédiatement. Je l'ai supplié de rester. Je suis tombé au sol en sanglot lorsqu'il est partit pour de bon. Et après une demi heure assise parterre au milieu de la rue, à 6h30 du matin, je suis rentré. Je me suis écroulé sur le canapé et j'ai pleuré. Ma mère m'a réconforté lorsqu'elle s'est levé pour se préparer pour le travail, elle m'a dit de penser au bébé et à nous. Mais ça ne m'aidait pas. Alors j'ai fais mine d'aller mieux, je suis monté dans ma chambre et j'ai pleuré.

Il m'a appelé lors de sa pause de midi. Ça a été un tel réconfort de l'entendre que je n'ai pas pu m'empêcher de pleurer à nouveau. Et je l'ai supplié de rentrer. Je ne voulais pas le laisser raccroché. Mais il a fini par réussir à s'évader de mes griffes. Je me suis écroulée dans ma chambre.

Quand il est rentré j'étais si heureuse de le voir, mais je me suis remis à le détester. Je ne lui ai adressé aucun mot pendant une heure.

Et le soir à nouveau je l'ai empêcher de dormir. J'ai essayé de lui expliquer à quel point c'était douloureux pour moi, mais il ne comprenait pas. Il m'en a voulu de ne pas le laisser dormir, il était énervé.

Ce deuxième jour quand il a réussi à partir, malgré mes supplices et mes pleures, j'ai voulu mourir. J'avais trop mal. Alors j'ai attendue que ma mère parte travailler pour appeler le numéro sos suicide. La dame que j'avais eu m'a presque rit au nez lorsque je lui ai dis que je voulais mettre fin à mes jours parce que mon copain était parti travailler. Elle a dit que je devait m'occuper, faire ce que j'aime. Alors j'ai essayé de dessiner mais je n'ai pas tenu plus de cinq minutes avant de tomber dans un sanglot.

Le troisième jour, après l'avoir une fois de plus empêché de dormir, il a commencé à vraiment être en colère. Il a levé la main sur moi, et je lui l'ai rendu en retour. On s'est tapé dessus le matin à 6 heures, avec mes parents dormant dans leur chambre juste au dessus, parce que je ne voulait pas qu'il parte. Il a fini par réussir.

Après ses deux premiers jours de congé, mercredi et jeudi, ça a été pire. Je l'ai empêcher de dormir, je l'ai menacé de sauter de la fenêtre à quatre heure du matin, j'ai pleuré et je l'ai supplié de rester. Quand il devait partir j'ai fermé le portail qui était électrique et contrôlable avec une télécommande. Il en avait une et j'en avais une. Dès qu'il l'ouvrait, je le refermait avant qu'il ne passe. Plusieurs fois jusqu'à ce qu'il pète un plombs et rentre en trombe. Après une grosse dispute il a réussi à partir bien qu'en retard, me laissant en larme.

Puis il est tombé malade, et je m'en suis réjouit. Il est resté deux semaines couché au lit, incapable de bouger. J'étais si heureuse de l'avoir à mes côtés.

Mais lorsqu'il a du recommencer le travail ça a été d'autant plus dur.
J'ai alors commencé une thérapie d'hypnose. J'avais eu ma première séance, qui m'avait aidé le jour même mais plus le lendemain. Ce jour là je l'ai empêché de partir en fermant le portail. Lorsqu'il est rentré en colère, on s'est disputé et il m'a pris la télécommande. J'ai alors tenté quelque chose que je regrette à ce jour car j'ai mis la vie de mon chien en danger.
Mon chien part en courant dès qu'il en a l'occasion, alors je lui ai ouvert la porte et il est partit dans le village. Il a fallu trente minutes à mon copain pour le ramener à la maison, et il m'a détesté. Il s'est énervé et j'ai sortit un couteau de la cuisine. Je l'ai pointé vers lui et je l'ai supplié de rester.

Après plusieurs longues minutes de négociation il a réussi à partir.

Vient ma deuxième séance. Celle-ci était plus prometteuse. Il partait plus facilement le matin, mais je lui faisait la vie dur chaque soir, chaque nuit. Il était épuisé, moi aussi, on se détestait, on se criait dessus. C'était une dispute sans merci chaque nuit.

Après ma troisième séance nous avions réussi à trouver une routine. Ça faisait alors un mois qu'il travaillait et que je lui menais la vie dur.

On se levait à cinq heures. On restait trente minutes au lit dans les bras l'un de l'autre. Je lui préparais son repas à emmené pendant qu'il se préparait. On sortait le chien ensemble. On restait encore dix minutes sur le canapé dans nos bras.

A 6h25 il devait partir pour arriver à l'heure. Je passais jusque là dernière minute dans ses bras, l'accompagnait à sa voiture, l'embrassais sans fin, et le laissais partir. Je pleurais un peu, j'avais mal, c'était très douloureux. Je rentrais dans ma chambre, on s'appelait tout le trajet jusqu'à son lieu de travail. Il m'envoyait un message pour dire qu'il était bien arrivé.

Je m'endormais alors jusqu'à ce qu'il m'appelle à 12 heure. Il passait son heure de pause au téléphone avec moi. Puis je me levais, je me préparais et descendais regarder la télévision tout en dessinant. Je l'attendais patiemment.

Quand il rentrais j'étais un peu énervée. Il montait directement dans la chambre et je le suivais. Après quelques mots doux il arrivait à me redonner le moral et on passait des heures dans les bras l'un de l'autre.

Le soir, je restais collé à lui. Je ne le laissais pas dormir avant une à deux heures du matin. Puis on s'endormait dans les bras l'un de l'autre.

On avait une routine peu commune mais qui fonctionnait, même s'il restait des failles. Par exemples, je prenais absolument tout mes rendez vous médicaux dû à ma grossesse sur ses heures de travail. Je n'avais pas le permis, il était donc obligé de me conduire et je l'avais quelques heures de plus rien que pour moi.

Il restait des jours compliqués, mais ils devenaient de plus en plus rare. Il y avait une règle qu'il respectait à la lettre : ne pas parler de travail. Car ce sujet me faisait si mal, je pleurais rien qu'en y pensant, et je m'énervais. Alors il n'en parlait jamais.

En novembre il avait réuni quatre fiches de paie, et après de très nombreuses recherches nous avons enfin trouvé un appartement qui acceptait notre dossier. La signature du bail était prévu le 9 décembre.

Mais le 8 décembre, lors d'un examen de ma grossesse, on m'annonce des complications. Je devais accouché le 9 décembre. Et j'avais si peur qu'il ne soit pas là. Il est resté avec moi toute la nuit et est partit signer le bail en me promettant d'être là à temps.

Je l'ai harcelé d'appels et de messages, j'ai pleuré, mais il est arrivé à temps.

Il a eu ses trois mois de congé parental après cela. Trois mois avec moi et notre petit garçon prématuré. Je l'avais enfin retrouvé, et tout se passait pour le mieux.

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro