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Chapitre 1 -« Les chances que ça arrive sont infimes. »

Cette histoire est comme le premier Tome, du point de vue d'Annabeth.

« Non Maman, je te promet que je ne serais pas en retard. » Répétais-je pour environ la dixième fois depuis que cette conversation téléphonique avait commencé.

Le bruit de ma valise raisonnait derrière moi alors que je zigzaguais entre les différentes personnes qui se pressaient sur le trottoir. La rue était très mouvementée et fréquentée, autant par le trafic routier que piétonnier.

« Et tu es sûre que tu as bien tous tes papiers et toutes tes affaires ? Tu n'as rien oublié à la maison ? » Demanda la voix inquiète de ma mère à l'autre bout du fil.

Je secoua la tête en souriant. Je ne l'avais jamais entendue aussi paniquée. « Je t'ai déjà dis il y a deux minutes que j'avais tout ce qu'il me fallait et que tu n'avais pas à t'inquiéter. »

« Ah je savais que j'aurais dû t'accompagner, » dit-elle et je pouvais très bien l'imaginer faire les cents pas dans son bureau, « je n'aurais jamais dû te laisser seule dans une ville pareille. »

Je rigola franchement cette fois-ci en évitant de justesse un petit garçon qui courait rejoindre sa mère. « J'ai grandi à New York, alors je ne pense pas que ce soit une ville comme Boston qui va me dépayser. En plus je ne serais pas seule, je vais aller rejoindre Percy. »

« Et c'est censé me rassurer ? »

Je leva les yeux au ciel, m'arrêtant au feu piéton rouge. « Il est tout aussi responsable que moi maman et tu le sais très bien. »

« Tu es sûre qu'on parle du même Percy ? Celui qui est arrivé à sa remise de diplôme en tenue de plage ? »

Je souris en me remémorant ce jour et me stoppa devant ma destination. « Écoute, tout va très bien se passer, tu peux me faire confiance. Il faut que je te laisse, mais promis je te tiens au courant. »

« Quoi ? Déjà ? Mais je n'ai pas terminé. Annabeth ! »

« Au revoir maman. » Conclus-je avant de raccrocher alors qu'elle était toujours en train de protester.

Je rangea mon téléphone avec le sourire aux lèvres.

Ça y est, c'était maintenant. Le moment que j'avais attendu pendant une grande majorité de ma vie et dont j'étais absolument prête à profiter un maximum. Mon avion avait atterri il y a environ une demi-heure pour ma première rentrée universitaire à Harvard, mais avant de m'y rendre, j'avais rendez-vous avec une certaine personne.

Je m'étais arrêtée devant un petit café qui faisait le coin d'une rue. J'étais légèrement en avance donc je me mis sur le côté et observa les gens qui passaient dans la rue. La météo était plutôt clémente, ce qui expliquait certainement pourquoi il y avait autant de monde à l'extérieur. Boston ressemblait beaucoup à New York dans son architecture et son mode de vie, mais elle était tout de même beaucoup moins bruyante et beaucoup moins encombrée. Même si elles se ressemblaient beaucoup, l'architecture ici avec quelque chose de différent sur lequel je n'arrivais pas à mettre le doigt dessus, c'est pour cela que j'observais les buildings qui m'entouraient avec intérêt.

« Chercheriez-vous quelqu'un Miss Chase ? » Murmura une voix dans mon oreille.

Je fis volte-face et me retrouva devant le propriétaire d'un sourire qui faisait à chaque fois chavirer mon cœur.

Je me jeta dans les bras de Percy en enfouissant mon visage dans son cou. « Tu m'as tellement manquée. »

Ça faisait un mois que je ne l'avais pas vu, tout simplement parce qu'il avait enfin accepté la proposition de son père de partir en vacances rien que tous les deux. Après être rentrés de Grèce, il avait dû refaire sa valise pour partir directement et n'était revenu qu'hier, ce qui expliquait pourquoi je ne l'avais pas vu avant d'arriver ici.

« Toi aussi. » Répondit-il en me serrant un peu plus fort.

Il finit par se reculer et encadra mon visage avec ses mains. Il m'observa quelques instants sans rien dire avant de combler l'espace qui nous séparait et de m'embrasser. Je ne pu m'empêcher de sourire contre ses lèvres parce que, par les dieux, ça faisait bien trop longtemps. On dut éventuellement se séparer pour respirer et je l'embrassa une dernière fois sur la joue avant de tourner les talons et de rentrer dans le café, Percy me suivant avec nos valises. Après avoir commandé, on s'assit dans un coin de la pièce.

« D'accord, » m'exclamais-je avec un un grand sourire, « je veux tout savoir ! C'était comment les Caraïbes ? »

Ses yeux s'illuminèrent. « Incroyable ! L'eau est translucide là-bas et la diversité de la vie marine est juste impressionnante. J'ai appris tellement de choses ! Tu savais que l'hippocampe est connu depuis l'Antiquité, mais qu'il existe depuis la préhistoire ? Ou alors que lorsqu'un requin meurt, son squelette se dissout dans l'eau salée et que c'est pour cela qu'il ne reste plus que leurs dents ? C'est passionnant ! »

« Donc tu étais dans ton élément ? » Le taquinais-je alors que notre commande arrivait.

Il me tira la langue et secoua la tête avec un sourire. « C'était magnifique, j'aurais aimé que tu vois ça. »

Je le regarda dans les yeux pendant quelques secondes, mais il finit pas détourner le regard et commencer à chercher quelque chose dans ses poches. « Qu'est-ce que tu fais ? »

Après une bataille acharnée avec la poche de sa veste, il sortit une petite boite carrée et ma la tendit. « Je t'ai ramenée quelque chose. »

Je m'en empara et l'ouvris avec précaution, comme si c'était la chose la plus fragile au monde. À l'intérieur se trouvait une paire de boucles d'oreilles composées chacune d'une petite perle cernée de petits diamants. Mon cœur s'accéléra et ma respiration se coinça dans ma gorge tellement elles étaient belles et délicates.

« Elles sont sublimes Percy. » Murmurais-je en levant les yeux vers lui, un sourire faisant petit à petit son apparition sur mes lèvres.

« J'ai trouvé quelles ressemblaient beaucoup au collier et au bracelet que je t'ai offert à Noël, alors je me suis dis que ça pourrait te plaire. » Dit-il en se passant une main dans les cheveux.

Son insécurité me fit encore plus sourire. Il me connaissait sur le bout des doigts, mais ça ne l'empêchait d'avoir toujours des doutes quand il s'agissait de me faire des cadeaux ou de tout simplement nous organiser une soirée rien que tous les deux.

« C'est parfait. » Le rassurais-je en les enfilant. « D'accord, à mon tour ! »

Il fronça les sourcils et pencha légèrement la tête sur le côté. « Comment ça à ton tour ? »

Je le regarda avec un mélange de confusion, de sidération et d'exaspération. « Dois-je te rappeler que tu n'étais pas là le jour de ton anniversaire et que je n'ai pas pu te donner ton cadeau Cervelle d'Algues ? »

Je devais bien admettre que j'avais été un peu déçu qu'il ne soit pas présent pour son anniversaire car j'aurais aimé qu'on le fête ensemble comme on avait pu le faire avec le mien, après tout, c'était le premier qu'on passait ensemble. Mais, j'avais mis ma déception de côté et j'avais attendu bien sagement qu'il revienne pour lui donner son cadeau.

Je lui tendis donc le petit livre rectangulaire qu'il s'empressa d'ouvrir. « Je sais que ça t'affecte d'être loin de ta famille et de tes amis, même si tu ne veux pas me l'avouer, et puisque je sais que tu adores avoir des photos, j'ai pensé qu'un album photo avec toutes celles que tu adores serait une bonne idée. »

Il me fit un grand sourire et commença à tourner les pages. J'alla m'asseoir à ses côtés et passa mes bras autour de son cou en l'embrassant sur la joue.

On passa le reste du. Temps qu'il nous restait à feuilleter les pages de l'album en se remémorant tous les souvenirs qui s'y trouvait. Il m'expliquait le contexte dans lequel avait avait été prises les photos que je ne connaissais pas et je lui racontais comment je me les étais procurées. Passer un mois sans être à ses côtés avait été drôlement long.

Malheureusement, il fut éventuellement l'heure d'aller dans nos universités respectives, qu'on le veuille ou non.

« Et si mon colocataire est un vrai psychopathe ? Qu'est-ce que je fais ? » Me demanda Percy alors que nous sortions du. café, valises en main.

Je leva les yeux au ciel. « Les chances que ça arrive sont infimes. »

Il ne paru pas convaincu, mais ne fit aucun commentaire. Avant qu'il ne puisse ajouter quoi que ce soit, je le serra dans mes bras, n'ayant vraiment pas envie de le laisser partir. C'était peut-être ridicule, mais cette année allait être tellement différente. Même si nous n'étions as loin l'un de l'autre, je n'allais plus le voir tous les jours.

« Tu n'as pas intérêt à laisser les autres filles flirter avec toi. » Le menaçais-je doucement dans l'oreille.

Je l'entendis réprimer un rire. « Je pourrais dire la même chose pour toi. Je t'aime. » Chuchota-t-il en m'embrassant la tempe.

Je ferma les yeux pour profiter de se moment et le graver dans ma mémoire. « Moi aussi. »

Il m'embrassa rapidement sur les lèvres une dernière fois avant de commencer à s'éloigner à reculons. « Je t'appelle, d'accord ? »

« Tu as plutôt intérêt. » Grommelais-je en faisant la moue de le voir partir.

Il me fit un sourire rayonnant et un clin d'œil avant de tourner les talons et de disparaître dans la foule à l'opposer de moi.

Je soupira. Bon et bien c'est parti.

____________

Honnêtement, le campus d'Harvard était bien plus grand que je ne l'avais pensé. J'avais déjà passé vingt minutes à chercher le bâtiment administratif pour récupérer tous les papiers dont j'avais besoin ainsi que la clé de mon dortoir et maintenant que j'avais tout ce qu'il me fallait, j'étais à la recherche du bâtiment du dit dortoir. Il y avait tellement de bâtiments que je ne savais plus où donner de la tête.

Les gens autour de moi marchaient sans me porter de l'attention, ce qui était une première, et j'allais demander mon chemin quand mon téléphone sonna. Je leva les yeux au ciel quand je vis l'ID qui s'affichait sur l'écran.

« Laisse-moi parier, ton colocataire est un psychopathe. » Affirmais-je dès que je décrocha, sans laissant le temps à mon interlocuteur d'en placer une.

« Comment est-ce que tu sais ? » Me demanda Percy, le choc évidant dans sa voix.

« Si ce n'était pas le cas, tu serais en train de faire connaissance avec lui et tu ne serais pas en train de te plaindre à moi. » Expliquais-je en tournant dans une cour qui débouchait sur cinq bâtiment allant de A à E.

Il y eu un silence de quelques secondes à l'autre bout du fil. « Mais je n'exagère pas Annabeth, ce type est un grand malade ! Il a essayé de s'emparer de ma peluche Némo pour faire une sorte de sacrifice, j'ai rien compris. »

« Attend, tu parles de la peluche que je t'ai acheté à Disney ? Tu ne l'as pas donnée à Estelle ? » Le questionnais-je en fronçant les sourcils et observant un groupe de personnes avec des valises qui me confirmait que c'était bien les bâtiments réservés aux dortoirs.

« Pourquoi est-ce que je lui l'aurais donnée ? Elle en a bien assez, c'est la mienne ! »

Je réprima un sourire et m'approcha du bâtiment C dans lequel je devrais normalement trouver mon dortoir. « Bon écoute Perce, tu vas devoir te débrouiller comme un grand cette fois-ci. Je te laisse, je viens d'arriver dans mon dortoir. »

« Que maintenant ? » S'étonna-t-il.

Je grimaça et commença à monter au troisième étage. « Euh, il se peut que je me sois un peu perdue sur le campus. »

« Tu t'es perdue ? Toi ? » Demanda-t-il en rigolant à moitié.

« Tu es le pire copain qui puisse exister Percy. » Soupirais-je même si je n'en pensais pas un mot. « Oui, je me suis perdue. Ça arrive à tout le monde. »

« Aux personnes normales oui, mais tu n'es pas normale Annabeth Chase. » Dit-il avec une voix qui se voulait mystérieuse, mais échouant terriblement.

Un sourire se dessina sur mes lèvres alors que j'arrivais au troisième étage. « Bon, au revoir Percy. »

« Quoi ? Mais qu'est-ce que je fais moi avec l'autre f- »

Je raccrocha avant qu'il ne puisse recommencer à se plaindre que sa vie était un échec tonitruant et me mis en quête de la porte portant le chiffre cinq. Je reçue un message au moment où je m'arrêtais devant.

- Ce n'est pas bien de raccrocher au nez des gens.

Je rigola doucement, mais ne répondis pas. Je frappa à la porte après avoir vérifié que c'était bien ce que m'indiquait le papier qu'on m'avait donnée et au cas où quelqu'un serait déjà à l'intérieur avant d'entrer. Devant se trouvait une pièce avec deux lits de chaque côtés et un porte attenante qui devait mener à la salle de bain. Chaque lit était accompagné d'une commode, d'une table de chevet et d'un petit bureau, et en face de l'un des deux se trouvait un cuisine, petite mais fonctionnelle. Les murs étaient d'un blanc immaculé et la fenêtre se trouvant entre les deux lits donnaient sur une des cours verdoyantes du campus.

Une fille d'environ mon âge et d'une beauté naturelle avec de long cheveux noirs et des yeux d'un bleu envoûtant sortit de la salle de bain. Son sourire était éclatant et bienveillant, j'étais persuadée que nous allions bien nous entendre.

« Salut, c'est donc toi ma colocataire ? » M'interrogea-t-elle d'une voix douce et mélodieuse.

Je m'approcha et lui tendis une main avec un sourire. « Apparemment. Annabeth Chase. »

« Silena Beauregard. » Répondit-elle avec une poigne ferme avant de se tourner vers les lits. « Euh, je me suis permise de prendre le lit de gauche, j'espère que ça ne te dérange pas ? »

Je secoua la tête en me dirigeant vers celui de droite. « Pas de soucis. Alors, tu es dans quelle filière ? »

« En lettre, j'aimerai beaucoup travailler dans quelque chose qui est en rapport avec les langues. » Elle commença à sortir ce qu'il restait dans sa valise. « Et toi ? »

Je vida ma propre valise en commençant par mes vêtements et les plaçant dans la commode qui m'était réservée. « Architecture. »

« C'est pas courant comme filière. » Affirma-t-elle, mais ce n'était pas une critique. Juste une simple observation.

Je rigola brièvement. « C'est vrai, la sélection est difficile et la plupart des gens préfère ne pas se prendre la tête et parte dans autre chose. »

« C'est bête, on a toujours besoin d'architectes. » Elle haussa les épaules et sortit une photo de sa valise qui attira mon attention.

Il s'agissait d'une photo de Silena, visiblement récente puisqu'elle ne semblait pas plus jeune, sur des patins à glace et tenant une coupe dans les mains. L'univers m'était bien trop familier pour que je ne puisse pas le reconnaître.

« Tu fais du patinage artistique ? » Demandais-je de la voix la plus innocente possible.

Une lueur nouvelle éclaira ses yeux. « Depuis que je suis toute petite. Tu en as déjà fait ? »

Sa question était innocente et légitime, elle ne me connaissait pas alors je ne pouvais pas lui en vouloir. J'essayais tout de même de lui faire un petit sourire avant de me retourner vers mes affaires.

« Un peu, mais c'était il y a longtemps. » Je décida quand même de ne pas m'étendre sur le sujet.

Par chance, elle embraya sur autre chose avec un énorme sourire. « En tout cas, j'espère que tu n'es pas le genre de filles à ramener un garçon différent tous les soirs, m'obligeant à trouver un autre endroit pour dormir. C'est la seule condition pour que notre coloc se passe bien. »

J'éclata de rire en secouant la tête. « Je te rassure, ça ne risque pas. »

Elle arrêta ce qu'elle était en train de faire et se tourna vers moi avec un sourire amusé. « Pourquoi ? Parce que tu n'es pas ce genre de filles ou parce que tu as un copain ? »

Je n'eu pas le temps de répondre puisque la porte s'ouvrit à la volée pour laisser entrer une fille de notre âge, plutôt grande avec de larges épaules. Elle avait les cheveux châtains retenus par un bandana et des yeux marron brillants d'une lueur féroce.

« Ma coloc est une vrai barbie ! Je te promet Silena, je vais lui faire la peau avant la fin de semaine. » S'exclama la nouvelle venue en s'avançant d'un pas furieux. Ses yeux se posèrent ensuite sur moi. « Toi aussi à ce que je vois t'es tombée sur une barbie. T'es qui toi, Princesse ? »

Silena se leva en rigolant alors que je toisais la nouvelle d'un œil sévère. « Clarisse, je te présente Annabeth Chase ma coloc. Annabeth, voici Clarisse LaRue, ma meilleure amie. »

Le fait qu'elles soient meilleures amies m'étonnait un peu, je dois bien l'avouer. Pour ce que j'avais vu, Silena était la douceur et la bonne humeur incarnée alors que Clarisse semblait juste brutale, arrogante et toujours de mauvaise humeur. Mais, l'année précédente m'avait apprise à ne pas me fier aux apparences alors je préféra attendre avant de me faire une opinion.

Je me leva à mon tour et croisa les bras sur ma poitrine. « Ravie de te rencontrer, mais pour ton information, je ne suis ni une princesse, ni une barbie. »

Clarisse haussa un sourcil et imita ma position. « Ah ouais ? Laisse-moi parier, tu passes des heures dans la salle de bain à te préparer, tu as eu des résultats parfaits tout le long de ta scolarité c'est d'ailleurs pour cela que tu as été major de promo. Tu as aussi une famille aimante et un petit-copain avec qui tu as une relation stable qui t'attend quelque part dans le pays. En gros tu as une vie parfaite. »

Bon d'accord, certaines des choses qu'elle avait dites étaient vraies, mais je n'étais pas prête à l'admettre alors je plissa les yeux et m'approcha. « Tout d'abord, j'en ai rien à faire de mon apparence et si mes résultats étaient parfaits c'était uniquement parce que je mettais un point d'honneur à obtenir ma place à Harvard pour réussir dans mon métier de rêve. Ensuite, tu ne connais rien à ma vie et même si j'avais un petit-ami, il ne me définit en rien et je suis la seule décisionnaire de mes actions. Alors merci, mais non je ne suis pas une princesse et une barbie. »

On se toisa pendant quelques secondes après mon petit speech, jaugeant visiblement le cran et la personnalité de l'autre.

Un sourire finit par apparaître sur les lèvres de Clarisse et elle me tendit la main. « Je t'aime bien toi, je suis sûre qu'on va bien s'entendre. »

Je m'empara de sa main avec une expression satisfaite sur le visage.

Cette année s'annonçait plutôt bien.


Nombre de mots : 3101

Bonsoir !

Voici donc le premier chapitre du Tome 2 du Renouveau, soit La Décadence ! J'espère qu'il vous plait, mais je dois bien avouer que j'ai eu quelques difficultés à l'écrire. Après, c'est surtout le temps que les choses se mettent en place, alors soyez patient.

Ensuite, je me suis rendue compte qu'il y avait quelques détails que j'avais induits dans le premier Tome, mais que je n'avais pas développés. Le Tome 2 tombe plutôt bien puisque qu'il va me permettre d'en parler.

En tout cas, je suis super contente de retrouver cette Annabeth et ce Percy, j'espère que c'est aussi le cas pour vous.

Bref, n'hésitez pas à commenter, dire ce que vous en pensez, donner des idées et poser des questions.

Peace Out🤙🏼

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