Chapitre 3
Il commença à courir, je fis de même. Il me rattrapait, j'allais plus vite, mais ça ne suffisait pas. Il m'attrapa je me débattus du mieux que je pouvais mais il était plus fort. Il me fit tomber. Cet homme pris ma cheville et la plaqua au sol. Il approcha sa bouche de celle ci, l'ouvrit, et en arracha sauvagement un bout. Je criai de toutes mes forces, il se leva me regarda avec mépris, moi, qui le regardais avec haine et douleur; puis il partit.
Je ne pleurais pas mais je criais le plus fort possible pour ne pas verser de larmes. Je ne le voulais pas, car sinon j'aurais peut être commencée à penser à d'autres choses implaisantes. En essayant d'ignorer la douleur j'enlevai mon haut, et essayai de faire un garrot sur ma plaie, je le serrai le plus fort possible que je pouvais. Une fois le boulot finit je me laissai tomber au solen criant de plus belle. À force je n'avais plus voix et plus aucun moyen d'extérioriser ma douleur... que faire ? J'en sais rien... je fermai mes yeux quelques instants pour me calmer.
Quand je les rouvris, j'aperçus un mur qui me semblait familier je me relevai. J'étais revenu dans cette pièce maudite. Le mur avançait et je commençais à perde conscience. En utilisant toutes mes forces je me levai commençai à marcher lentement mais avec détermination. Je ne pouvaient pas mourir, non, je n'en avait pas le droit pas !
J'étais à quelques centimètres du mur, ma vue se brouillait, mes yeux se refermaient contre mon gré et je n'avais aucun plan. Je commençai à taper dans le mur faiblement. Merde, merde, MERDE !!! Je fus pris d'une rage soudaine c'est peut-être dut à une formation réactionnelle, mais mes poings devinrent plus durs, forts, plus résistants et je sentais quelques chose de chaud en moi, fougueux, indomptable, sauvage, farouche, et enragé. Cette chaleur ne cessait de croître pendant que mon corps tentait d'exprimer toute cette rage, mais il ne tena pas. Mon corps chuta vers le mur mais juste avant de toucher le sol, la chaleur disparu...non c'était plus comme si elle avait enfin réussi à sortir. Ah, ça fait du bien...
J'entrouvris mes yeux et je constatai que j'étais sur un nuage dans un magnifique ciel... ça-y-est je suis enfin au paradis !
FIN
Nda : non je plaisante
je me demande combien y ont cru
Mon vieux studio tellement, extrêmement, formidablement, extraordinairement, rempli d'un matelas individuel, un minifrigo, une étagère étroite et moyenne, une gazinière portable, un micro-onde, une petite table basse et mon ordinateur, sont le paysage que j'aperçus.
Donc ceci était un rêve... pas mal. C'était intense en tout cas mais je regardai ma jambe au cas où et... ça n'avait pas été un rêve. Je pris mon téléphone appelai l'ambulance dans le plus grand des calmes, puis je m'évanouissai.
L'odeur du désinfectant me revaillai.
-Bonjour, comment allez vous ? Me demanda un infirmier à l'air bienveillant et au corps de lâche
-...bien. enfin...
- Votre blessure est assez grave, je ne pense pas que vous rentrerez avant 1 mois même plus. Voulez vous qu'on appelle quelqu'un pour vous, vu que vous êtes orpheline on ne savait pas qui appelez... dit il un peu gêné
- Non, c'est bon.
- D'accord, reposez vous. Je vais appelez le médecin.
Lorsque qu'il ouvrit la porte trois personnes se dressèrent devant lui. Une femme dans la trentaine assez belle au cheveux blonds bouclé attachés. Un homme baraqué chauve couleur caramel au cheveux marron et au yeux vert et un autre plus clair de peau et moins baraqué au cheveux et yeux noirs. Tous les trois était en costard.
-Vous avez de la visite à ce que je vois... je vais vous laissez.
-Non, je ne les connais pas...
La femme poussa brusquement l'infirmier et entra suivi des deux autres. Le brun ferma la porte et se mit devant.
-Toi l'infirmier tu restes ici et si vous crier on vous butera ! Exclama la blonde
J'essayai d'appuyer sur le bouton pour appeler une infirmer mais le brun me vu.
-N'essaye même pas. Dit il d'un ton assez calme
-Qu'est ce que vous voulez ?
Il eu un silence après cette question. Il avaient tous un peu choqué, c'est vrai que j'étais assez calme en vue de la situation mais bon ! À vrai dire je m'en fichais, j'avouais ne pas les prendre au sérieux après tout ce qui m'ait arrivée.
-La clé, nous voulons la clé ! S'exclama encore la blonde. Elle peut pas parler calmement, elle va attirer l'attention des gens à force !
-Heu...
Elle entraina l'infirmier vers elle, l'homme aux cheveux noirs l'immobilisa, il se debattu mais se calma quand elle sortit rapidement un petit couteau.
- Eh, vous faites quoi là, calmez vous je crois savoir de quoi vous ! Donc calmez vous ! Criais-je affolée
La blonde planta le couteau dans le cou de l'infirmier qui tomba à terre. Il essaya d'attraper mon bras tremblant par le choque que je tendit trop tard.
- J'espère que tu m'as pas menti sinon tu finiras comme lui !
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Hello ! Cette dois ci je suis dans les temps ( je pense ) j'espère que ce chapitre vous aura plus. Je vous salue et merci de lire cette fiction !!
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