Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Vérité


Lucile était telle cette lumière ayant surgit dans les ténèbres, brutale, aveuglante, à laquelle lui créature désespérée avait soudain ployé. Il s'aperçu qu'il attendait autant qu'il redoutait sa présence et ses dialogues interne en étaient bouleversés. Ses difficultés à adopter les manières civilisées n'avaient en rien effrayés la petite fille, parfois il se surprenait à penser qu'il pourrait goûter au bonheur de l'humanité, que peut-être la lassitude et le dégoût qu'il pouvait inspirer ne germerait pas dans ce cœur aussi pur que l'eau distillée des nuages. 

C'est à cet espoir qu'il entendait une raillerie gronder, cette voix mentale se gorgeant de ses peurs, ne lui laissant aucun répit, n'ayant aucune clémence elle débuta de la sorte: "Ô! Grand héros de tragédie grec maudit par les dieux, apportant malheurs sur les hommes quelle scène nous joues tu là? Vers quel destin funeste ô combien prévisible te précipite-tu? A quelle folie ton orgueil te transportera? Oh! Oui, tu aimerais tant porter cette faible lumière en ton sein toi incapable d'en être une toi même! En t'illusionnant de mièvreries infectes, tu éjectes sur cette misérable môme les projets futurs insensés qu'avaient Annabelle" 

La violence inouïe psychique rejoignait celle physique, il se recroquevillait sous le choc et il répétait inlassablement contre la voix "Je t'interdis de parler d'Annabelle!" autant mentalement qu'avec sa gorge usée, afin de la faire taire, sa chair le démangeait terriblement.

Or ses mains si l'on peut nommer cela ainsi n'étaient plus depuis fort longtemps capable de le soulager en quoique ce soit. Ces meurtrissures dans le corps avaient pour lui l'attrait des saints, il acceptait son martyre, dans sa démence il se persuadait tant bien que mal que les châtiments corporels se devaient d'être, il acceptait que la souffrance le transperce avec l'envie folle que la voix interne se taise. Que sa démence, ses absences temporaires cessent. 

A peine essayait-il de se conforter avec ceci, aussitôt que cette béatitude crasse essayait de l'envahir que la voix infatigable dans son esprit reprit: "Par ta faute elle est morte, elle doit sûrement chanter là-haut auprès des séraphins, n'est-ce pas? Elle si pieuse, dont le monde ne méritait rien. Non réveille-toi, pauvre fou! Elle n'est plus qu'un cadavre rongé par les vers. Et toi vivant à la chair se dégradant plus vite que la sienne qu'as-tu d'humain? Même encore vivante à tes côtés tu l'étais hideux!

-Oui, mais elle m'aimait, se répliqua t'il avec une indicible tristesse, m'abandonner n'était pas dans son désir. 

-Très certainement, accorda railleuse la voix, c'est cela même l'ayant conduit à sa perte! La malheureuse part en sainte et toi tu survis en impur. Quel amour romanesque!       

-J'ai essayé, Dieu que j'ai essayé, mais ce corps. .ce maudit corps. .cet instinct qui quoique je fasse me submerge. Le suicide ne m'est pas destiné!

-Lâche! conclut la voix. 

Face à cela il ne put qu'approuver, il ne sortait qu'à la tombée de la nuit de peur de tomber en poussière, avec l'effroi constant celui qu'un autre l'observe, la lumière il la désirait autant qu'il la haïssait et alors que la mort lui semblait le seul remède la faim l'avait rendu à sa monstruosité première et la lune complice de ses larcins s'était à jamais tue. 

A la vérité il se répugnait. 

----------------------------------------------

L'enfant la tête fourmillante de théories farfelues semblait bien plus inactive et peu soucieuse de ses corvées qu'à l'accoutumée, fière comme elle était, elle avait consigné sur des pages soigneusement cachées les avancées de sa petite enquête. 

C'était il y a plusieurs hivers de cela qu'on avait aperçu un jeune couple, des originaux venant de la ville, seul leur domestique venait descendre effectuer les emplettes et rendez-vous compte ils ne venaient jamais à la messe! Oh, on avait bien essayé semblant de rien d'aller se renseigner sur ses drôles d'oiseaux, or ils restèrent peu et ils partirent en diligence un soir soit disant que la vie au grand air convenait pas à la petite dame. Cependant y (c'est à dire commères et autres concierges) n'étaient pas dupes quelque chose de ben grave c'était passé! Les moins inventifs parlaient d'adultère, le valet avait trop d'allure pour que le jeune homme maladif dont on avait pas vu grand chose puisse rivaliser, les dames sont pour la plupart frivoles, la ville et ses vices. Et les plus inventifs eux, racontaient que leur richesse (aux yeux d'un paysan) inconcevable était l'œuvre d'un pacte avec le démon celui-ci n'ayant pu obtenir satisfaction du contrat aurait dévoré la jeune fille, éviscéré le laquais et fait du jeune homme son serviteur. Les clameurs nocturnes que le vent charriait étaient les plaintes monstrueuses du jeune homme dont l'âme subirait milles supplices et afin de conférer à tout cela bonne figure on expliquait aux enfants désobéissants que le diable règne encore dans la vieille bâtisse, qu'il ne faut pas s'aventurer dans les endroits reculés.      

Autant dire que ces histoires n'enchantaient pas plus que cela notre enquêteuse!  Lorsqu'elle pensait au monstre, elle avait une idée plus rationnelle. Ces grandes personnes avec des idées aussi fantasques! 

Or elle concédait avec un air important et son écriture soignée aux belles boucles que dans tout mensonge un fond de vérité se trouve et que certains faits manquaient certes de précisions mais avaient leur utilités. "L'importance des détails!" citait -elle fièrement avec la mine d'un crayon qu'elle taillait rarement en vu de sa petite taille. 

Soudain sa mère coupa court au train de ses pensées, Lucile s'empressa de tout dissimuler et feindre de travailler sur son Histoire dont elle n'en avait cure car "c'était des personnes mortes avant même que je naisse, qu'est-ce qui me dit que la vérité a été écrite sur eux?". 

La femme à la stature robuste eût un regard tendre pour sa fille, durant un instant bref car s'occuper des petits, des animaux, du budget, de la nourriture, de la propreté et de son mari ne lui laissait pas le loisir de s'épancher en affection et geste inutile. Elle prit malgré tout le temps de l'observer, avant de ranger le linge dans l'armoire, Lucile sera bientôt considérée comme une femme sans même qu'elle l'ai vu grandir songea t'elle attristée. Oh bien évidemment elle ne se culpabilisait pas, elle savait qu'elle avait effectué son rôle dans beaucoup de domaines, qu'elle était ce qu'on attendait d'une mère et d'une bonne épouse or le temps lui manquait, à table elle ne discutait plus exténuée et effrayée que son homme rentrant de la mine ne s'effondre pas de fatigue dans son assiette d'une minute à l'autre. Elle songeait à la vieillesse, à sa propre mère auquelle elle n'avait pas pu parler à cœur ouvert à cause de ses obligations jusqu'à ce qu'elle meure. 

Et la perspective de rester seule avec ironiquement tout le temps qu'elle souhaitait l'épouvantait alors lorsqu'elle noyait pas sa tête de ses idée en récurrent les tâches des vêtements elle avait un éclat de lucidité. Elle s'assit sur le lit de son enfant et engagea la conversation. 

Autant dire que cela tombait fort mal pour la fille en question qui justement profitait du fait que sa mère soit occupée pour ne pas avoir trop à mentir, étant donné qu'elle n'était pas une experte dans le domaine. Elle essayait d'être la plus naturelle possible en sentant le couperet d'une question qui allait un moment ou l'autre tomber "Quel est donc cet ami avec qui tu passes du temps après les cours?" 

Cependant contrairement à ce qu'elle aurait cru elle parvint à s'extirper de la délicate question avec des mensonges que n'importe quelle grande personne aurait gobé. 

Or ce qu'elle ignorait alors qu'elle poussait un soupir de soulagement lorsqu'une bagarre entre ses deux petits frères éclata est que ce n'était pas n'importe quelle grande personne descendant en vitesse des escaliers pour calmer la crise des jumeaux, c'était une mère. 

--------------------------------------------  

Après l'interminable cours sur comment le nouveau continent avait été découvert et mal nommé par un certain Colomb ancêtres des colons américains dû moins c'est que laissait entendre le nom, la petite fille ne prit pas la peine de surveiller que personne ne la suive et fila en vitesse vers le manoir décrépit.

Or comme sa méfiance ou sa paranoïa l'avait rattrapé en dépit son habileté à la course elle passa effectuer un détour à la librairie. Le propriétaire écarquilla les yeux en la voyant arriver haletante, cela faisait un sacré moment qu'il ne l'avait pas vu mais comme il savait que celle-ci aimait jouer la discrétion (même si aucun secret ne demeurait dans un village) il ne s'en étonna peu. Il s'exclama même passé son rire: "-Toi, ma petite! Je sais pourquoi tu es venue!

-Vraiment? prononça t'elle avec une petite voix apeurée qu'il sache que c'était une couverture. 

-Bien évidemment! J'ai même gardé un exemplaire pour toi et je peux t'assurer que ça n'a pas été une mince affaire!"

Et il sortit le Strand magazine, elle ne put étouffer sa surprise, comment avait-elle put oublier? 

Le libraire content de son petit effet lui assura qu'elle pourrait le lire tout à loisir, or elle ne l'écoutait plus tentant de résister aux appels séducteurs que lui lançait l'impression monochrome inouïe pour l'époque et les polices d'écritures d'encre qu'on ne trouvait qu'en ville. Or si elle n'ignorait pas qu'une fois dans la lecture rien ne la sortirait, elle ne pourrait pas voir son ami ni tirer au clair l'affaire sur laquelle elle était. 

Elle resta un moment interdite devant le papier honteusement offert à ses yeux jusqu'à ce qu'elle entende "Eh bien! Vas-y! Ce ne sont pas les saintes écritures!" elle bredouilla en virant au rouge cramoisi des excuses quelques phrases telles que "Je. .je suis en retard . .un ami m'attends . ." et s'en retourna retrouver le chemin vers le mystère,  stupéfait reposant le journal l'homme la contempla détaler. Cela l'amena à deux conclusions soit la petite était malade soit amoureuse et ça c'était pas bon signe!

--------------------------------------------

 Lucile était en proie à un dilemme, un choix cornélien dont elle avait toujours cru que cela n'arrivait que dans les fictions, tout l'amenait à penser qu'un meurtre avait été commis, un crime odieux sur Annabelle, la jeune fille du couple "étant repartis", sûrement un crime passionnel ou intéressé et elle ne savait qui du jeune homme ou du domestique était le coupable. Toute excitée elle savourait sa victoire, que pour une fois dans sa vie elle ait une importance et surtout qu'on sache qu'elle ait eût raison puis qui sait que ses parents soit fiers d'elle. Cependant si elle avait raison elle s'exposait du haut de ses 1 mètre 50 à un danger largement trop grand pour elle . Son ami était le suspect numéro 1. 

Or elle se persuadait en elle même qu'aucun danger ne serait arrêter son détective préféré donc elle non plus n'allait pas abandonner sans savoir le fin mot de l'histoire! 

Avec précaution elle toqua à la porte et entra, l'obscurité régnait en maîtresse absolue, seul la respiration rauque et imprécise le prouva qu'elle n'était pas seule, comme à son habitude elle alluma la bougie mais sa main trembla autant d'excitation que de terreur.

"Pouvez-vous continuer la lecture de la dernière fois?", elle frissonna et dû plisser les yeux afin de distinguer approximativement d'où s'était dégagée la voix. Elle répondit avec un temps de retard par l'affirmative et descendit en trombe dans le petit salon là où la bibliothèque aux livres à moitiés meurtrit pas la température et les insectes accumulaient la poussière. 

Chaque fois elle songeait avec un sourire à la tête que ferait sa mère en face d'autant de saletés. Ses mains moites saisirent délicatement la peau sèche du livre jaunit par les années, elle remonta prestement avec l'envie folle de connaître chaque raison derrière les gestes de ce qui lui semblait être un vieillard. Incapable disait-il être de lire avec sa vue si faible, pourtant sa mémoire fonctionnait à merveille, ses mains étaient agités de spasmes incontrôlés mais il parlait avec mesure. 

Avec avidité en ne prenant plus la peine de mettre une distance entre eux il l'intima de poursuivre la lecture, en lui donnant la page, en montrant son impatience et en s'enfonçant davantage dans l'ombre. La petite fille suivit ses instructions assisse sur un siège bien trop grand pour elle avec un petit air suffisant mais plein de naïveté elle reprit donc là où le livre les avait laissés: 

"Puisse-t-il mourir dans le désespoir, celui qui se rit du malade qui, pour aller chercher des eaux minérales éloignées, fait un long voyage qui augmentera sa maladie et rendra la fin de sa vie plus douloureuse ! celui qui insulte à ce cœur oppressé qui, pour se délivrer de ses remords, pour calmer son trouble et ses souffrances, fait un pèlerinage au saint sépulcre ! Chaque pas qu'il fait sur la terre durcie, par des routes non frayées, et qui déchire ses pieds, est une goutte de baume sur sa plaie ; et à chaque jour de marche il se couche le cœur soulagé d'une partie du fardeau qui l'accable... Et vous osez appeler cela rêveries, vous autres bavards, mollement assis sur des coussins ! Rêveries !... O Dieu ! tu vois mes larmes...Fallait-il, après avoir formé l'homme si pauvre, lui donner des frères qui le pillent encore dans sa pauvreté, et lui dérobent ce peu de confiance qu'il a en toi ? car la confiance en une racine salutaire, dans les pleurs de la vigne, qu'est-ce, sinon la confiance en toi, qui as mis dans tout ce qui nous environne la guérison et le soulagement dont nous avons besoin à toute heure?" 

Elle prit une pause afin de satisfaire et sa gorge et sa curiosité, comme toujours, cela ne l'importunait pas, il lui expliquait chaque mot qu'elle ne comprenait pas, chaque émotion, chaque choix de traduction ayant écorché un peu le sens original. Ses yeux enfantins semblant anormalement grands éclairés par la lumière et les propos savants, emplirent de joie le cœur de l'homme. 

Après un court moment il lui intima de nouveau de poursuivre buvant les paroles familières suivantes reprise par la voix claire: 

 "O père que je ne connais pas, père qui remplissais autrefois toute mon âme,et qui as depuis détourné ta face de dessus moi, appelle moi vers toi ! ne te tais pas plus longtemps ; ton silence n'arrêtera pas mon âme altérée... Et un homme, un père,pourrait-il s'irriter de voir son fils, qu'il n'attendait pas, lui sauter au cou, en s'écriant : « Me voici revenu, mon père ;ne vous fâchez point si j'interromps un voyage que je devais supporter plus long pour vous obéir. Le monde est le même partout ; partout peine et travail, récompense et plaisir : mais que me fait tout cela ? Je ne suis bien qu'où vous êtes, je veux souffrir et jouir en votre présence !... Et toi, père céleste et miséricordieux, pourrais tu repousser ton fils?*" 

Alors qu'elle marqua une pause et prononça à peine "Premier décembre." qu'elle entendait des soupirs et la respiration saccadée de celui dont elle avait peine à considérer comme le suspect numéro 1 à présent. Elle resta immobile, elle ignorait quel comportement adopter car jusque là aucune grande personne n'avait pleuré en sa présence. 

Ces quelques secondes lui parurent éternelles. 

Se souvenant du seul discours qu'il ait prononcé en sa présence et par respect elle garda pour elle le prénom d'Annabelle, elle descendit avec précaution du fauteuil s'approchant à petit pas de l'homme. Ce dernier se recula et avec une voix se désirant âpre et réprobatrice lui demanda de s'en aller aussi vite que possible. 

Elle considérait cela comme un caprice, une de ses phrases d'adultes vides et creuses. L'odeur méphitique affluait dans ses narines plus la distance entre eux se réduisait, comme si quelqu'un avait laissé de la viande avariée à l'air ambiant pendant des semaines. 

Tel un animal traqué, il se dérobait à elle, elle qui n'avait aucune mauvaise intention, elle qui lui rappelait Annabelle, il ne voulait pas qu'elle souffre aussi, non il ne désirait pas, quoiqu'il dusse lui coûter il ne fallait pas qu'elle sache. 

"Allez-vous en! Allez-vous en! Allez-vous en!" psalmodiait-il telle une litanie.

S'il aurait été cruel, voire agressif elle aurait filé aussi vite que le vent, l'aurait maudit et tout aurait bien fini mais il avait eût un moment de faiblesse. 

La curiosité de la petite s'agrandissait à mesure que l'homme se dérobait, même si la scène n'en demeurait pas moins grotesque cela ne l'empêcha pas de fuir face à une enfant et dans sa précipitation il trébucha sur le rideau. Un filament de lumière automnale jaillit sur son visage ou du moins ce qu'il en restait. 

Lucile resta pétrifiée sous cette vision. 

Le rideau était tombé littéralement et il n'y avait personne pour applaudir. Elle ne savait pas où poser ces yeux et ne parvint même pas à détacher son regard. 

Les orbites brûlées par le soleil déjà déclinant, l'homme en toute hâte fit de son mieux pour redresser la barre et refermer les rideaux, il aurait préféré se protéger du regard de la petite fille plutôt que de celui du soleil et douloureusement essayant d'effectuer un sourire il lui déclara: "Si cela peut rassurer ce n'est pas contagieux. . Cela doit être atroce de me voir, moi même je ne puis supporter le spectacle, j'aurais tant préféré que la scarlatine m'emporte moi plutôt qu'elle, j'ignore encore pourquoi je suis vivant. . .Comme les autres vous allez évoquer avec raison les châtiments divins, la lèpre a toujours eût mauvaise presse."  

Aussitôt qu'il eût terminé la rationalité de Lucile détala aussi vite que ses petites jambes lui permettaient, ce visage bouffi de cloques, n'ayant plus rien d'humain l'avait profondément choqué, un morceau de sa robe s'accrocha à la rambarde de l'escalier décrépi, mais elle poursuivi sa course.

 Une fois éloignée à l'orée du bois elle s'écroula hors d'haleine puis se mit à régurgiter son dîner de la veille. L'image de cette peau boursouflée, dévorée par la maladie, surtout cette odeur dont elle ignorait l'origine jusqu'à maintenant : la putréfaction, lui avait tordu les boyaux.



Quant au si jeune vieillard il sut à cet instant que ces souffrances allaient être abrégées désormais, les villageois ne tarderaient pas à l'apprendre. 

Dans un petit village les mauvaises nouvelles sont toujours bien vite répandues.


****

*Extraits provenant des Souffrances du Jeune Werther de Goethe.

Suite à de bêtes soucis informatiques ce segment est visible seulement depuis ce dimanche alors qu'il était publié depuis déjà 5 jours en privé (à ma grande surprise). Qu'on m'excuse pour ceci, j'espère que la lecture vous plaira. 

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro