Manuel termina son rapport avant d'aller le mettre au bonne endroit. Une chose de faite, maintenant il devait reprendre son poste au bord de la route. Il soupira avant de ce rentre à son casier. En chemin, il aperçut le chef du laboratoire. Qu'est-ce qu'il faisait là.

"Salut." Dit-il en s'approchant du vieil homme aigri qui le jugea un moment.

"Salut."

"Que fais tu au poste au lieu d'être dans ton labo de biochimiste?"

"Je dois accompagner le chef au tribunal exposer mes résultats. Je l'attend."

À ce moment, une dragqueen entra dans le poste escorter d'un policier. Au cri qu'elle poussait, on l'avait agresser. Le policier tentait de la calmer pour prendre sa déposition.

"Non, mais... il pourrait ce la boucler. Il est ridicule. Pas car il est homo qu'il devrait faire un show comme ça." Maugréa le vieux scientifique.

Manuel observa son collègue des labos et serra les dents. Il avait envie de l'envoyer chier, mais se retient. Il n'avait pas totalement tord. Lui aussi, n'appréciait pas plus qu'il faut les gays un peu trop éffeminer ou qui font leur show, mais au moins il gardait ses commentaires pour lui. Il détourna le regard ennuyer. Lucky ressemblait à un homme et se comportait comme tel. Ce n'était pas ce type d'homo là que l'homme rabaissait au moins. Et lui non plus, n'était pas ce type d'homo là. Il ne devait pas ce sentir attaquer.

"Monsieur Lallier, si personne ne vous demande votre opinion ne la donner pas." Tonna une voix derrière eux.

Les deux hommes se tournèrent vers le chef qui approchait en les dévisageant. Manuel se recula ne voulant subir plus de préjudice de son supérieur. À quel endroit pire que la surveillance de route pouvait-il le mettre. Par chance, même s'il avait le droit a un regard de dégoût, son chef était plutôt porter à s'en prendre au vieux biochimiste.

"Vaut commentaire désobligeant, vous les garders pour vous. Ce n'est pas car il a choisit de s'habiller de cette façon, qu'il mérite de ce faire agresser dans la rue. Ne vous demandez pas pourquoi votre fils ne vous parle plus."

"Mon fils va très bien." Tenta de ce défendre l'homme.

"Je parle de votre aîné. Celui qui est fier de défiler sous les projecteurs en jupe. Moi aussi, être lui j'aurais couper les ponts avec vous."

"J'ai toujours respecter ses choix! Je voulais le protéger de ce bandit a cravate qu'il a épouser." Tenta le vieil homme. "Comment osez vous me manquer de respect."

"Le respect ça ce mérite. Montrez en et je vous en montrerai. À quand votre retraite, car j'ai l'impression que vous oubliez des points important de notre métier. Pour accuser quelqu'un, il faut des preuves. Maintenant écouter moi bien monsieur Lallier. Je ne veux rien entendre sortir de votre bouche, sauf les résultats des analyse que vous avez traiter. Votre opinion vous la gardez."

Puis le chef se tourna vers Manuel.

"Quand à toi, retourne à ton poste, maintenant au lui de glander. Je suis surpris que vous n'ayez pas votre téléphone en main. Ça m'évitera d'avoir à le confisquer comme au ado du secondaire."

Il se retourna de nouveau vers le vieux scientifique pour le juger du regard avant de ce diriger vers la sortie. L'homme lui emboita le pas et Manuel serra encore plus la mâchoire. Bon son chef n'était pas totalement un connard. Il avait défendu une dragqueen que même lui n'avait pas oser défendre. Néanmoins, qui l'avait balancer pour son téléphone? La vieille conne avait vraiment porter plainte contre lui? Il lui semblait qu'il ne le sortait pas quand il avait témoin. Il soupira avant d'aller ce chercher une voiture de patrouille.

Il observa la route et les voitures défiler devant lui. Il avait envie de sortir son téléphone pour texter à Lucky , mais ce retient. C'est bon, il y était peut-être un peu accro. Il aperçut une voiture rouler 35 au dessus de la limite et alluma ses girofar avant de le poursuivre. Bien vite la personne ralentit pour ce garer au bord de la route. Il sortit de son véhicule pour s'approcher de celle en faute.

"Papier du véhicule, s'il vous plait." Demanda-t-il arriver à la fenêtre de l'homme.

Celui ci se pencha pour fouiller dans sa boite a gants.

"Il y a problème monsieur l'agent?"

"Vous rouliez 35 au dessus de la limite." Dit-il en regardant la route devant lui.

"35? Vous êtes sûr. Je croyais pas rouler aussi vite." Tenta l'homme.

Manuel baissa son regard pour observer l'intérieur de la voiture en prenant les papiers. Il figea un moment voyant Lucky assis sur le siège passager qui retient mal un sourire en le voyant. Le policier se redressa et partit vers son véhicule avec les papiers en main. Il s'assit derrière le volant commençant son contrôle.

Comment Lucky connaissait cet homme? Pourquoi était-il ensemble dans la voiture? Ne devrait-il pas être à l'uni? Il avait envie de le texter, mais il tentait de s'en empêcher en remplissant le constat d'infraction. Puis son téléphone vibra dans sa poche. Il hésita avant de le sortir.

Toujours aussi sexy en uniforme 😜

Si tu essai de me soudoyer pour ne pas que je donne de contravention à ton ami, c'est rater

Non, donne lui, c'est mérité.😩

J'y ai dit qu'il roulait trop vite, mais il a refuser de m'écouter💁‍♂️

On joue pas avec ma vie sans en payer le prix😏

Augmente sa facture de 50$ 😈

Manuel sourit amuser. Bon, visiblement il ne devait pas tant tenir à son ami pour vouloir lui soutirer de l'argent. Il imprima le constat et sortit de son véhicule pour s'approcher de l'autre. Il se pencha à la fenêtre pour lui redonner ses papiers et la contravention.

"Rouler moins vite à l'avenir."

"Je lui dit tout le temps!" Se lamenta Lucky à ses côtés. "Monsieur l'agent, s'il vous plait, beau gosse comme vous, sauvez moi de ce conducteur médiocre."

"Hey!" S'exclama le garçon. "Tu drague le flic là? Fallait faire ça avant que j'ai ma contravention, pas après!"

"Je le drague pas pour qu'il te l'enlève, non plus." Souligna Lucky.

"La prochaine fois tu conduira si tu es pas content!" Grogna son ami.

"Avec plaisir. C'est pas car je n'ai pas de voiture que je ne sais pas respecter le code de la route.

"Allez, soyez sage à l'avenir." Conclua Manuel avant de se redresser et se diriger vers sa voiture.

Bon, au moins voir Lucky avait fait sa journée. Il ressortit son téléphone, pour voir les derniers message du garçon.

Tu veux faire quelque chose ce soir?

Je te croyais trop occuper

Je mérite des pauses malgré tout 😉

Ok, je vendrais avec plaisir

Il termina donc ça journée sur une note plus positive avant de rentrer chez lui se préparer à passer la soirée avec son amoureux. Il hésita un instant avant de mettre un uniforme propre. Lucky semblait aimer pourquoi ne pas lui donner. Il ce dirigea donc chez son aîné et ne cogna que deux fois avant d'entrer.

"Police, c'est une perquisition." Dit-il amuser en regardant autour de lui.

Personne? Lucky n'état pas revenu? Pire, il était partit sans même barrer sa porte? Il entendit une faible détonation derrière lui et tourna le regard pour voir son pseudo amoureux le tenir en joute avec le fusil à pétard de la dernière fois. Manuel leva doucement les mains dans les airs.

"Vous avez voler mon arme."

"Silence! Vous aviez juste à pas l'oublier! Satané flic. Vous abusez de votre pouvoir sur les pauvre type comme moi. Vous allez regrettez la fouille que vous m'avez fait la dernière fois. C'est moi au pouvoir ce soir. C'est moi qui est l'arme! Allez on bouge!"

Lucky lui fit signe, toujours en le maintenant en joute, de ce diriger vers la chambre à coucher. Manuel garda les mains en l'air en si dirigeant.

"Nous pouvons trouvez un arrangement."

"Nah." Répondit le garçon nonchalant.

Arriver dans la chambre, il continua de menacer le policier de son arme jouet.

"Voyons voir jusqu'au tu tiens à la vie, sale boeuf. Agenou-toi."

Manuel hésita un moment. Il n'avait rien contre le roleplay, mais il pensait que ce serait lui qui aurait encore tenu l'arme. Il s'agenouilla doucement.

"Bien. Excellent. Maintenant viens m'enlever mon pantalon."

"Tout ça est..."

"Je t'ai pas permis de parler? Tu crois que je joue?" Lucky leva l'arme factice a plafond et tira. Puis il ramena l'arme vers Manuel. "Elle est charger et j'hésiterai pas à m'en servir."

"Et là, tu crois que tes voisins vont réagir comment après avoir entendu le bruit de la détonation?"

"Manu, gâche pas tout, merci." Grogna Lucky.

Le policier ricana avant de venir descendre la braguette du pantalon devant lui.

"Enlève tout."

Manuel obeit en faisant glisser le pantalon et le boxer en même temps.

"Maintenant vas-y. Seulement avec ta bouche, prouve moi que... je sais pas, mais prouve moi le."

"Tsss." Fit Manuel avant de venir prendre le sexe devant lui.

"J'ai dit juste avec ta bouche! M'oblige pas à tirer."

Manuel relâcha sa prise et laissa retomber ses mains. Ça l'excitait vraiment son petit jeu? Peut importe, il s'approcha avant de venir lécher le gland. Puis il le suça légèrement avant de venir embrasser le pénis sur toute sa longueur.

"Mmh~." Gémit Lucky qui prenait une teinte rouge.

Peut habituer à être dans le rôle du soumis, le policier oublia déjà les anciennes consignes et de ses mains, vient agripper le fessier de Lucky qu'il serra dans ses mains. Lucky poussa un léger cris déstabliser et s'empêcha de tomber en déposant sa main sur la tête de l'homme qui continuait sa fellation.

"Un peu sauvage, pour un type qui agit sous l'effet de la menace, mais... Ah~"

Manuel venait de glisser son doigt dans l'anus du garçon qui laissa échapper l'arme au sol en gémissant et s'aggrippant à sa tête et ses épaules pour ne pas tomber. Manuel retira le sexe de sa bouche pour prendre l'arme à ses côtés et se relever pour le pointer sur le docteur.

"Maintenant c'est moi qui ai l'arme. Tu vas regrettez d'avoir voulut te jouer d'un flic."

Lucky rougit en retenant mal son sourire.

"Va chier."

"On reste poli."

"S'il vous plaît, monsieur l'agent, c'était juste pour rire. Vous êtes pas vraiment fâché?"

"Ça va dépendre de ta performance au lit. Mets toi à quatre pattes, allez."

Lucky obéit et grimpa sur le lit dans la bonne position. Manuel observa la vue avant de remarquer quelque chose.

"Fais disparaitre Tito de ma vu, s'il te plait."

Mécontent, l'aîné lui balança un oreiller pour le faire tomber avant de coucher le devant de son corps.

"Bon, tu me prend ou tu fais semblant?"

"D'abord, le condom."

Manuel laissa tomber le jouet plus loin et sortit de sa poche le préservatif.

"On s'en fou. On la fait sans la dernière fois." Se lamenta Lucky qui se masturbait en l'attendant.

"Oui, et ce n'était pas brillant. On ira ce faire tester si tu veux, mais j'en ai là, alors on les utilise."

Il l'enfila rapidement comprenant que son partenaire n'avait pas envie d'attendre plus longtemps et viens lui faire l'amour. Plus il donnait de coups, plus le corps du garçon s'affaissait sur le lit. D'une main, il vient chercher le menton de Lucky et tourna sa tête pour l'embrassser. S'échangeant salive et se partageant leur langue, Lucky tomba sur le côté et vient entourer le bassin de Manuel avec ses jambes et ses épaules avec ses bras sans quitter ses lèvres. Dans sa nouvelle position, Manuel le repénétra pour continuer de lui prodiguer autant de plaisir qu'à lui.

Une fois que les deux hommes eut fini de ce décharger. Ils entreprit un léger nettoyage avant que Lucky se relève.

"Bon j'y retourne."

"Pardon?" Demanda Manuel déboussolé.

"À mon ordi. Je prenait une pause. C'est fait maintenant."

Puis il quitta la chambre en remontant son pantalon. Manuel observa l'embrasure de porte un moment déboussolé. C'était sérieux? Pas de câlin après le sexe? Il était un objet? Il s'étendit dans le lit en observant le plafond. À quand son diplôme? Peu fatiguer, il se releva pour enfiler son pantalon et quitter la chambre. Lucky était bien derrière son ordinateur à tapper frénétiquement dessus. Manuel s'approcha sans susciter le moindre intérêt du scientifique. Tel un chevalier face à sa princesse, il prit le garçon et le souleva.

"Hey! Qu'est-ce que tu fais, je travail!"

Mais le policier ne répondit pas et s'assit sur sa chaise de bureau, avant d'asseoir son aîné sur lui en le positionnant face à son ordinateur. Lucky sembla déstabiliser un moment, mais voyant que Manuel glissait ses mains sur son torse en partageant sa chaleur et déposa son front sur son épaule, le scientifique compris qu'il n'était rien de plus que Tito en ce moment et il recommença à travailler ignorant l'homme qui le serrait dans ses bras.