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16. Réflexions

Je suis de retour, pour vous jouer un mauvais tour !

(L'abus de Pokémon est dangereux pour la santé)

Bref, je recommence la publication et cette fois, pas de pose ! L'histoire est écrite jusqu'au chapitre 23, qui signifie la fin de cette fan fiction ! Enfin, il reste un peu de temps avant de nous dire au revoir, sachant qu'il me reste d'autres histoires en réserve !

Enfin bonne lecture et on se retrouve pour les commentaires !

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Tsuna entra dans une nouvelle chambre. Depuis le début de la matinée, il soignait les blessés à l'aide de ses flammes. Comme il ne pouvait pas enlever les éclats, il guérissait simplement les plaies. Grâce à ça, l'hôpital avait déjà perdu presque un quart de ses membres. Tsuna se sentait responsable et ne prenait presque aucune poses, sauf quand ses gardiens le menaçaient de l'assommer. Mais pour une fois, il se figea.

            A peine avait-il franchit le seuil qu'il était devenu une statue. Le médecin qui l'accompagnait ne comprit pas. L'homme à l'intérieur n'était pas spécialement blessé, il avait seulement une blessure à la cuisse. Même si cette blessure le ferait sans doute boiter toute sa vie.

            Tsuna regarda l'homme allongé et des larmes lui montèrent aux yeux. Il avait immédiatement reconnu le fedora et le caméléon vert. Pour le moment, aucun de ses proches n'avaient été blessés. Certains de ses hommes oui, certaines connaissances oui, mais aucun membre de son cercle. Et voir son sadique de tuteur ainsi lui brisait le cœur. Cet homme avait toujours été fier, confiant en ses capacités. Or, avant d'entrer, Tsuna avait lu le dossier affiché sur la porte, comme à chaque fois. La blessure n'était pas mortelle, mais handicapante. Et il savait que pour Reborn, ce type de blessure était les pires. Il savait que son tuteur pourrait avoir des idées de suicide. Le decimo savait que Reborn prendrait sa décision seul. Seul de vivre ou de mourir. Et s'il soignait sa blessure, il prendrait cela comme de la pitié. Alors le decimo se tourna vers le médecin et lui ordonna :

-Ramenez le hitman Reborn dans sa chambre dans le manoir. Que personne n'y entre

-Mais, il a besoin de soin et pour ce genre de blessures, beaucoup de mafieux préfère s'ôter la vie. Il faut les en empêcher, commença le docteur

-Ce n'est pas la peine. Reborn sait ce qu'il fait. Et il ne se suicidera pas, il me la promit, répondit avec conviction le Vongola

            Le médecin regarda son boss. Ses grands yeux marron étaient emplis de confiance. Il acquiesça alors et donna des ordres. Il suivit son parrain dans diverses chambres. Il ne le comprenait pas vraiment. Pourquoi faisait-il tout ça ? Il avait simplement été submergé par sa puissance. Cela arrivait à tout le monde. Et puis, il avait causé la mort d'une cinquantaine de personnes, ce n'était pas si grave. Cela faisait quatre ans qu'il faisait partit de la mafia et il était responsable de la mort de moins de 100 personnes. Dont plus de la moitié aujourd'hui par inadvertance. Et le médecin ne comprenait pas. La mafia était un monde dur. Alors pourquoi vouloir préserver la vie ? Il était un docteur, mais il soignait pour l'argent et pour gagner en sécurité. Donc il ne comprenait pas son boss. Ce dernier avait une confiance aveugle dans ses hommes, dans leurs promesses. Pourtant, la mafia regroupait les menteurs et les tricheurs. Même si le parrain des Vongola était puissant, avec un tel caractère, il n'aurait pas dû survivre. Alors pourquoi tous les grands noms de la mafia le suivaient ? Il avait même réussi à rallier le fils du dirigeant de Vendicare à sa cause.

            Il le suivit pendant trois jours. Trois jours où son boss s'occupait des patients, leur remontait leur morale, faisait tout ce qui était en son pouvoir pour les aider. Et le médecin comprit quelque chose. Son boss était un irrémédiable optimiste. Il ne voyait que le bon côté des choses et s'activait toujours dans ce sens. Il voyait toujours le verre à moitié plein, mais n'hésitait pas à vider le sien pour remplir celui des autres. Il avait tellement confiance en l'amélioration des choses qu'il réussissait à convaincre les plus sceptiques. Et c'est pour cette raison qu'il brillait dans le monde de la mafia. Car il était un phare, il guidait les navires semi coulé vers la terre promise, vers une paix intérieur. Il avait cette innocence que les mafieux avaient perdue.

            Fort de cette constatation, le médecin entrevit alors le joyau qu'était son boss. Il n'était peut-être pas aussi fort physiquement que les autres, car sa force était mentale. Il était trop lisible pour son bien, car il montrait sa confiance. Il était un véritable boss. Celui qui s'occupait de ses hommes. Il représentait les vraies valeurs de la mafia, celles qui ont été oubliées avec le temps. Le médecin prit alors une décision. Peu importe les décisions du conseil, il le suivrait.

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            Giotto regarda par la fenêtre. Le jardin était dévasté. Il soupira une nouvelle fois. Il se sentait responsable du massacre lui aussi. C'est à cause de la fusion de ses flammes et de celle du decimo que la catastrophe c'était produite. Il aurait aimé aller à l'hôpital, mais son intuition l'en dissuada. En allumant leurs flammes en même temps, ils avaient créé un monstre, il fallait donc mieux rester le plus possible éloigné.

            L'homme partit s'asseoir dans un des fauteuils et essaya de continuer sa lecture. Mais ses pensées partaient vers ses gardiens. Il savait que Knuckle avait accompagné son descendant et ils soignaient tous les deux les blessés. Lampo, quant à lui, s'occupait des enfants des mafieux jusqu'à ce qu'il soit guérit. Son homologue le lui avait proposé et il avait accepté. Les deux gardiens de la pluie participaient à la rééducation des mafieux blessés. La brume et les deux brouillards avaient disparu, mais Giotto se doutait de ce qu'il faisait. L'affaire Marcosa n'était pas terminée et les coupes de fruits cherchaient des indices. Alaude et Hibari protégeaient le manoir des attaques éventuelles. Quant à son bras droit, il était souvent avec lui, même s'il disparaissait de temps en temps.

            Giotto soupira une nouvelle fois. Bien que son livre soit passionnant, il n'arrivait pas à se concentrer. Il aurait aimé aider, mais il ne savait pas quoi faire. Le ménage, on ne le laisserait jamais s'approcher d'un balai. La cuisine, il était d'une maladresse légendaire. L'hôpital, impossible. La paperasse ? Non, ce n'était pas son époque... enfin, quand il s'ennuierait trop...

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Voilà voilà !

Je tiens simplement à dire que mes histoires n'ont aucun rapport avec quelconque événements, tout est imaginée, certaines idées étaient déjà écrites bien avant.

Bonne fin de journée ou de soirée !

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