Bonjour, bonsoir.
Oui, je sais j'ai extrêmement de retard et je m'en excuse, j'étais trop prise. Mais le nouveau chapitre est enfin là! Déjà j'aimerais vous remercier pour les 1,38K c'est énorme! Donc merci beaucoup à vous de lire mon histoire. Pour ceux qui on connu le tout début de l'histoire avec Selena et Joy, sachez que j'ai changé les prénom donc Séléna= Hélèna et Joy=Era. J'aimerais aussi faire de la micro pub(même si elle me l'a pas demandé) pour ce qui aime les histoire d'horreur, je vous conseil le recueil de My-chemical-ludi qui est terminé mais qui est pas mal! Après voilà c'est tout, je vous laisse avec ce chapitre assez courts mais ne vous inquiétez pas je publierai le prochain bientôt! Bonne lecture!
Elona

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Dehors l'orage gronde, la pluie claque tout est sombre, seule la demi lune éclair donnant des allures aussi lugubres au parc. Des élèves hors de leurs dortoirs, invisibles au yeux du monde, s'immiscent dans les couloirs interminables de Poudlard.

-Attend moi! s'écrit une personne dans le château endormi

-Tais toi, on vas se faire repérer, réprimande une autre personne.

-T'es sûr que c'est ça?

-Oui, allez dépêche, pria cette personne mystérieuse à son compagnon.

Point de vue Remus:

Je me réveil en sursaut, j'observe les lieux et me rappelle que je suis dans le dortoirs et non dans le salon de ma mère.
Je tremble, encore ce cauchemar; il me hante, chaque nuit. Il prend parfois des visions fantomatiques ou sanglantes, mon esprit déjà tourmenté joue avec moi. Je me perds, est ce un souvenir ou juste mon imagination? Je cherche, je réfléchis. Cela ne peut-être que mon imagination, j'étais à Poudlard au moment des faits mais tout me paré réel, ça en devient une obsession. Cette lettre me détruit, je n'en parle pas pour autant, comment expliquer que vous êtes témoin ou même l'assassin de votre propre mère. Un frisson de dégoût me parcourt se corps frêle, éventré, est ce que c'est vraiment ce qui ai arrivé? Le décor en arrière plan n'est pas des plus rassurant entre les morceaux de verre au sol, les éclaboussures de sang sur les murs et le peu de meuble déchiqueté. C'est si réel!

Il faut que je me prépare. Je m'extirpe de mon lit en faisant le moins de bruit possible. Quelques pas et me voilà dans la salle de bain pour me préparer.
Vêtu de mon uniforme, je fixe le miroir. J'aime tellement le porter malgré qu'il soit légèrement usé, je m'en plains pas, je le trouve parfait, je me sens normal.
Un reflet dans le miroir, le miens. Je peux voir mon visage creusé par la fatigue, les cernes noirâtre orner mon regard vitreux. Je fais peur, je ne comprends tout de même pas, la pleine lune est prévu pour dans une semaine, mon stade de fatigue est beaucoup trop avancé mais bon je verrai bien au moment venus.

J'arrive dans la chambre après mettre plus ou moins coiffé, ils dorment encore, à croire qu'ils hibernent. Comme chaque jours depuis notre entrée à Poudlard, c'est à dire il y a six longue années, je suis donc réveillé mais pas les trois autres idiots qui me servent de meilleur ami. Deviné qui vas encore devoir les réveillé? C'EST MOI!

Je réveille premièrement Peter qui me lance un coussin que j'évite au dernier moments; il tombe sur Sirius  qui grogne avant de se lever de son lit pour venir s'écraser sur James encore endormi. Et comme à notre habitude, chaque matin depuis six longue année, une bataille se déclenche. Tout vole à travers la pièce: manuel, coussin, plumes...

Je vais encore devoir rangé, qu'est ce qu'ils me fatigue... parfois! Bon je dis ça mais je participe donc je suis pas totalement innocent non plus.

Ils se préparent alors que je lance quelques sort pour ranger notre chambre, je suis déjà prêt de toute façon.

J'attend, m'approchant de la fenêtre, je m'assois, légèrement, pensif sur le rebord. Je regarde le temps à travers la fenêtre. Tout est gris, le vent hurle, la pluie claque sur les carreaux de la vitre, la forêt au loin se déchaîne, tout est maussade, sans couleurs. Un temps horrible en soit mais tellement reposant!

-Lunard tu viens, me sortit Peter de ma rêverie.

Je me lève, je constate que James et Sirius parle de notre prochaine blague, qui se déroulera demain au aurore. On en avait fait une la semaine dernière mais elle était pas fameuse, on avait simplement échanger les noms des fioles en potion. Simple mais pourtant efficace, on avait tous été dispensés de potions de toute la semaine, au plus grand désespoir de ma meilleure amie, Lily.

Nous quittons le dortoirs, en riant pour à la blague stupide mais tellement drôle de Peter, un jour tu nous perdra avec tes blague!

Dans la salle commune le feu brûle dans l'antre de la cheminée, réchauffant la pièce et les occupants en ce temps pluvieux.
Dans un des canapés une personne est allongé, sûrement entrain de dormir, cela m'impressionne personnes ne dors dans la salle commune.
Quand nous approchons de cette silhouette, je constate que c'est Era. Elle dort, de la bave au coin de la bouche, elle a les cheveux en bataille et ces lunettes sont tombés au sol. Malgré le boucan des allés et venus de chaque élève, elle dort, imperturbable. 

J'ai appris pour Era, tout n'étais qu'un mal entendu, elle était monté jusqu'à notre chambre de bonheur le matin ayant appris par Lily que j'avais eu peur pour elle parce qu'elle n'avait pas laissé de traces, sur le coup j'était heureux de déjà avoir un alibi fondé mais c'était un peu gênant. Elle m'a expliquée qu'elle était tombé malade, c'était contagieux  donc le directeur l'avait mis dans une pièce coupé du monde. J'avais du mal à la croire, elle aurait été à l'infirmerie si elle avait été malade mais je préfèrerai me voiler la face que de m'imaginer des horreurs.
Son absence m'avait détruit. Je pensais que je l'avais tué, pour moi j'étais un assassin, avec la lettre, c'était trop d'émotion et puis nous devons bien l'avouer, je m'étais attaché à elle comme les autres maraudeurs même si on le dit pas à voix haute, on le pense tout bas.

Je la regarde ou plutôt la détails: son uniforme froissé, ses chaussures à moitié attaché, ses chaussettes inégal, une remontée et l'autre totalement abaissé, un parchemin reposant au creux de sa main, ses toute petites mains, son visage rond, ses pommettes rosé comme chaque jour, sa peau blanchâtre contrastant avec ses cheveux de jais, ses lèvres rouges entrouverte laissant apercevoir ses dents blanches ainsi que la bave qui coule le long de son menton; on dirait un bébé mais quand on c'est que cette enfants à seize ans, on en rigole. Je pouffe de rire, elle est tellement ridicule et les imitations grotesques de mes acolytes me font bien rire. Je me rappelle d'une conversation que nous entamions le soir.
Ce soir là, nous avons discuté de notre enfance, elle avait dis faire partie de l'aristocratie française sorcière rien de plus à part cette phrase. La seul chose aristocratique à cette instant je pense que c'est qu'elle dégouline de bave que sa chemise commence à se tremper!

Je ris avant de reprendre très rapidement contenance alors que les garçons sont déjà mort de rire ce qui ne l'empêche pas de dormir, une vrai marmotte. Elle devrait hiberner avec les trois autres, ils sont pareils! Je lui secoue gentiment l'épaule pour la réveiller. Elle entrouvre ses yeux gris métallique et les referme aussitôt en mettant son bras au-dessus de sa tête.

-Lily laisse moi dormir, grogne t'elle.

Je ris légèrement, James à l'énonciation du prénom Lily se met à rêvasser. Peter et Sirius en profite pour se moquer ouvertement de James, cela me fait sourire. Je la secoue de nouveaux.

-Hey Era, réveille toi, t'es dans la salle commune, chuchotai je pour ne pas la brusquer.

Elle grogne de mécontentement, elle finit tout de même par se redresser et ouvrir enfin ses yeux qui me font tellement peur. Elle essuie sa bave avec la manche de robe de sorcier, je tire une mine de dégoût, elle tâtonne le sol à la recherche de ses lunette et une fois trouvé, elle râle, pour changer, en les posant sur son nez.

-Qu'est ce que je fous là? Demanda t'elle. J'étais en train de réviser les cours de l'autre idiot et puis pouf!

James sort de sa rêverie et rigole de la naïveté Era.

-Tu t'es endormie ou alors tu es somnambule au point de t'être habillé et être descendue dans la salle commune?! Arrive t'il à articuler entre ses rires.

-Je vote pour la seconde option! Gueule Sirius alors que Peter fond de rire.

Elle lève les yeux au ciel, sûrement amusé ou excédé. Personne ne sais à part elle. Mais moi tous ce que je retiens c'est que Era réviser les cours d'un idiot, qui cela peut-être? Parce que avec elle tout le monde est idiot, à part si tu es par un parfait hasard quelqu'un de sa famille, elle te voue un culte!

-Rémus arrête de penser et de réfléchir tu me donne mal au crâne, m'ordonne t'elle d'une voix autoritaire.

J'aime pas sa façon de s'introduire dans mon esprit, elle n'a pas le droit de faire ça.

-Et merci James, il est vrai que je n'avais pas remarqué que je m'étais endormi, espèce de triple buse!

Sa voix trahie son amusement, c'est dingue à qu'elle point son humeur change en une fraction de seconde! Peut-être est elle bipolaire? Possible. Je secoue la tête de gauche à droite amusé, je sors de la salle commune, sur mes pas, Peter.
À l'intersection d'un couloirs, quand nous approchons de la Grande Salle, j'entends des personnes se rapprocher en courant, leurs rires si reconnaissable. Je m'arrête alors que Peter trop affamé continue sa route, je me retourne en souriant légèrement amusé.

James et Sirius essaye de rattraper Joy qui les regarde en riant. Son rire contraste avec ceux de mes deux amis. Son rire est plutôt léger et cristallin, assez enfantin alors que Cornedrue et Patmol ont un rire, je dirais unique en leurs genre.

Trop observateur, quelqu'un me fonce dessus, je tombe violemment au sol, un poids au dessus de moi. Les rires se sont fondu contre les murs du couloirs, les pas se sont interrompus. Une odeur familière, cette odeur de pétrichor émane de cette personne . Ma vue est noircis par une longue chevelure me couvrant l'intégralité du vissage. Des pas précipité se  rapprochent, la personne au dessus de moi se redresse avec un peu de mal, peut-être sonné? Je croise un regard, métalliques, d'une arrogance naturelle, celui de Era. Confuse, le rouge aux joues, elle se relève avant de me tendre sa main pour que je fasse de même. Je pris sa main et elle me tira avec une telle poigne que j'aurais pu finir dans le mur d'en face! Cette fille malgré son apparence de princesse, aristocrate parfaite et son attitude hautaine, elle reste tout de même brutal. Une fois que je sois levé, leur course poursuite recommence,  leur rire ayant repris s'estompent en décrescendo; me laissant seul au milieu de ce couloir froid avec les échos de la tempête qui fait rage au delà des parois du château.

Point de vue omniscient

Le rose, couleur de séduction, de romantisme et de féminité. Cette couleur si belle, dynamique ponctuée de délicatesse on ne peut plus féminine.

Cette couleur était désormais ce qui recouvrait chaque parcelle de la Grande Salle des murs de pierre jusqu'à la petite cuillère; les élèves étaient  choqués mais amusés par cette drôle de couleur qui ornaient la salle de repas; quelques réticence ce faisaient tout de même ressentir chez certains, le rose n'étant pas leur couleur favorite.

On entendit soudain les rires et les pas précipité d'élèves, nos chers maraudeurs et notre petites Era arrivé en fin de course.