Chapitre 14
Le lendemain, un froid c'était lancé sur le château. Effectivement au petit déjeuner, les hiboux était arrivé en masse en se dimanche. Un attentat avez encore eu lieu, faisant trembler chaque élèves de peur. Hélèna et Era comprenaient alors désormais le besoin de renfort au sein du Ministère de la Magie Anglaise.
Ce soir là, fût aussi une nuit bien agiter pour nos maraudeurs, en plus de la mauvaise nouvelle délivré ce matin, c'était aussi le soir de pleine lune. Ils pensaient que tout c'étaient bien passé, mais ils furent obligés de constater que dans la nuit une élève avait mystérieusement disparu.
Alors le jeune lycanthrope commença à perdre totalement confiance en lui. Ses amis essayaient de le rassurer qu'il n'avait rien avoir dans cette histoire. Hélèna l'avait même rassurer que Era sortait souvent la nuit, que c'était pour cela qu'elle n'était pas là et par conséquent qu'il restait un bon préfet malgré tout malgré qu'il n'est pas réussi à la retenir de sortir ce soir là mais cela ne fit qu'accroître la culpabilité du pauvre Lunard.
Trois jours après la disparition de Era et aucune nouvelle, la nouvelle Serdaigle commençait à s'inquiéter. Elle revenait pourtant au bout de deux jours.
Ce même jour, au petit déjeuner le courrier était présent, Rémus avait lui aussi reçu une lettre comme bon nombres de ses camarades mais cette lettre finis par l'anéantir complètement.
Ça allait faire maintenant une semaine que la jeune Volana avait disparu, depuis que le délai avait été dépassé son amie ne tenait plus en place hurler sur chaque personne qui osez lui parler.
Point de vue Hélèna
Espèce d'oncle directeur incompétents ! Comment ça, elle a disparu mais c'est pas grave!
Je vais devenir folle dans ce château de fou. Et j'espère que l'autre a une vraie raison de disparaître comme ça.
Vu qu'elle ne réapparaissait au bout de deux jours, j'ai commencé à la chercher. J'ai commencé par les endroits logique comme les salles de classe, la bibliothèque mais ça m'aurait étonné de la voir là bas, son dortoir et les cuisines que l'on avait découvert pendant nos escapades nocturne. Puis après je pense avoir totalement déraillé, je me suis mise à chercher dans les dortoirs des garçons, sous les tapisseries et les tapis et je suis légèrement rentrée par effraction chez les professeurs. INTROUVABLE.
Puis je me suis renseigné et j'ai envoyé je ne sais combien de lettres: une à Amaya, une détaillé à nos aînés, une à nos amis de Beaubâton avec elle on sait jamais et j'en ai envoyé une à mon.... GÉNITEUR.
J'ai mal à ma fierté.
Era j'espère vraiment que t'avais une bonne raison de disparaître sinon que l'on te retrouve morte ou vive, JE TE TUE!
Et si il lui était arrivé quelques choses de grave, ci ça se prouve c'est pour cela que mon talisman c'était illuminé. J'espère quand même au fond de moi que cette sale gosse n'a rien.
-Hélèna, tu viens manger,me coupa une petite voix.
Qui a osé s'interposer entre moi et mes songes ?! Quand je relève la tête je réprime ma colère en voyant le vissage de Dorcas. Je n'arrive pas à lui crier dessus, c'est d'ailleurs pour cela que tout le monde me parle à travers elle, mais elle me semble si fragile avec son visage caché sous ses long cheveux de jais, je me demande si quelqu'un a déjà réussi à voir l'entièreté de son vissage plus de dix minutes.
Je me résigne donc à la suivre à travers le château pour arriver jusqu'à la grande salle.
Je suis assise, remuant le contenue de mon assiette avec ma fourchette, écoutant le brouhaha infernal des couverts et des conversations des autres élèves. Mais ils peuvent pas se taire! Taisez-vous !
Je ne comprends plus ce qu'il se passe, le silence fut immédiat, un bruit sourd de couvert qui tombe au sol brise le silence. En relevant ma tête je crus rêvé.
Elle se tenait là, devant moi, sans rien dire. Le vacarme recommençant, en même temps peu de personnes ne nous connaissent ou nous considère.
Je pense être restée là sans bouger un moment, je n'avais même pas remarqué Era faire le tour de la table et m'enlacer.
Je me suis remis à fonctionner, quand elle a commencé a resserré son étreinte.
Merlin aide moi, je veux choisir de comment finira ma vie, je veux pas mourir, étouffés a cause d'un câlin! C'est ridicule comme mort! Pitié, Merlin!
Elle me relâche, enfin. Je me retourne, je la vois debout en face de moi un sourire diabolique dessiné sur ses lèvres. Elle la fait exprès! La fourbe!
Mais elle m'a trop manqué cette petite brute, je me lève alors et me jette dans ses bras. Je pari qu'elle doit être perdu, je ne fais que rarement se genre de choses, surtout avec elle. Je la relâche, parce que j'aime vraiment pas les accolades.
-Où tu étais? Je me suis fais un sang d'encre!
-Viens ici tout le monde nous écoute.
Avant que je ne puisse prononcer un seul mot, elle me prit le bras m'entreinant dans les couloirs. Quand notre courses fût terminée, je l'a trouvé là , accouder au créneau de la tour d'astronomie.
Point de vue Era
Elle est belle, cette nuit. Cette forêt dansante au gré du vent. Le lac endormi qui remue légèrement. Le parc vide d'élèves, laissant place à un calme plat, aucune trace de rire, de chamailleries comme effacé par les rayons de la lune.
Je sentis Hélèna s'approcher, ces questions pesant dans son crâne que j'aurais pu la repérer à dix kilomètres à la ronde. Je sentis son regard interrogateurs, c'est questions dont je ne suis même pas sûr de trouver les réponses. Mon angoisse apparu, encore.
Comment j'allais faire? Lui raconter cette nuit d'horreur sans qu'elle se sente coupable.
-Tu étais où? J'ai eus peur que tu ne reviennes pas. J'ai envoyé des lettres à tout le monde...
-Saint Mangouste, la stoppé je.
-Quoi?
-J'étais à Saint Mangouste.
Le calme reviens, je ressens sa culpabilité. Je ne veux pas lui raconter ma nuit. Pour lui dire quoi, me plaindre. Lui raconter cette douleur fascinante et destructrice quand j'enlève mon talisman, c'est ridicule! Je sais qu'elle, elle souffre encore plus. Je me plains pas, j'ai l'habitude. J'ai dû inquiétez tout le monde, ici c'est pas comme avant, tout le monde savaient mais maintenant je ne peux plus.
Cette guerre n'avait l'air de rien de France mais quand on se trouve sur place, j'arrive à ressentir la peur de chaque personne aussi caché soit elle. La peur règne, leur dire ma condition est impensable, plus personne ne m'approcheraient, ils penseraient que je suis lier avec ce sorcier fou. C'est vrai nous somme les plus instables comparait aux autres. Mais je refuse que l'on me prenne pour un monstre. Je n'en suis pas un! Je suis née comme ça et j'en suis fière!
-On dort ici, ce soir, m'informe ma sœur.
Je me tourne vers elle, surprise. Elle aussi a changé en si peu de temps.
-Qui êtes vous et qu'avait vous fait à ma sœur? demandai-je avec un sourire.
Elle rigole, je me joins a son rire. Cela fessait longtemps que je n'avais pas entendus son rire. Nous discutâmes encore un peu de temps, nous nous étions allonger au sol admirant cette belle nuit écossaise. Nous nous endormions bien vite sous les explications méticuleuses de sa semaine, qui m'avait bien fait rire.
point de vue omniscient
Alors que nos deux anciennes élèves de Beaubâton étaient en train d'admiré la nuit d'Écosse en parlant, trois garçons c'étaient levé sous le choc de la venu de la "disparue" et était aller prévenir leur ami sous l'œil lynx de la jeune préfète ainsi que le sourire bienveillant de leurs directeur.
Ils avaient gravis les escaliers avec une vitesse incroyable! La grosse dame avait été surprise de les voir déboulé alors que tout le monde manger. Elle les avait laissé passer malgré son incompréhension.
Les jeunes garçons étaient entré rapidement, avaient traversés la salle commune assez rapidement et avaient gravis les escaliers qui menaient a leur dortoir quatre à quatre.
Le pauvre lycanthrope n'avait alors pas compris quand la porte c'était ouverts violemment. Quand il avait vu trois personnes se diriger vers lui, il avait compris que c'est trois amis allez détruire le dortoir à force de défoncer la porte de leur chambre.
Il avait encore moins compris quand James avait commencé a le secouer comme un pommier ,que Sirius parlait en fessant les cent pas alors que Peter terminai son gâteau calmement installé sur son lit.
Il parvins à comprendre quelque mots dans ce bazar: Era, revenus, déprimes et raison. Il avait beau essayé a les mettre dans un ordre pour comprendre ses deux amis ses effort été vain. Il était perdu face à la situation. Il pleuré et ils ont débarquer lui enlevant sa mélancolie mais lui administrant la peur.
-CALMEZ VOUS JE COMPREND RIEN! Hurla Rémus.
James arrêta instantanément de secouer son ami. Sirius se stoppa dans sa marche folle. Peter termina quant à lui son gâteau dans le plus grand des calme, tellement habitué par ce genre de situation.
Le jeune capitaine regarde maintenant son ami droit dans les yeux. Il a un air rassuré et une certaine joie ce lit dans ses yeux chocolat.
-Era est de retour, tu n'as plus aucune raison de déprimer, lui annonça t'il avant qu'un grand sourire ne fende son visage.
Lycanthrope le croyais mais il s'en voulait tout de même mais il se rappelait de cette lettre. Alors tremblant il sortis un morceau de parchemins froissé de son pyjama. À la vue de ce parchemins James ne compris pas tout de suite mais quand il remarque une larme involontaire rouler le long de la joue de son ami qui fixe désormais la lettre, il s'empresse de lui prendre et de la lire. Au fil de la lecture son sourire se fane, quand il la finit il pris immédiatement son ami dans ses bras, laissant tomber la lettre au sol.
La lettre fût lu a haute voix par Sirius qui l'avait ramasser. A ce moment même Peter avait lâché ces friandises et avait réconforter le jeune lycanthrope.
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