"Crevard"
Attention, l'œuvre que vous vous apprêtez à lire contient des scènes sexuelles et de violence dans la majeure partie de son contenu.
Âmes sensibles s'abstenir.
J'avançais dans la forêt dense, non loin de mon village d'agriculteur. Je cherchais ce fameux endroit, cette fameuse place où "Il" me donnait rendez-vous.
Je n'avais pas envie d'y aller. Mais j'y étais obligé.
J'avançais toujours lentement, les poings serrés, la tête vide. Il avait fait de moi sa chose.
Arrivé là où l'herbe était plus haute et plus épaisse, sous un arbre aux multiples feuilles tombantes, Il m'attendait déjà.
Adossé au tronc, ses cheveux blonds toujours bien coiffés, sa taille bien plus impressionnante que la mienne, sa musculature bien développée, ses yeux d'un bleu perçant, son visage ferme. Il était là, dans ses vêtements flamboyants, les bras croisés sur son torse.
- Tu es en retard.
Je grimaçais au moindre son de sa voix. Elle était pire que tout, rauque, ferme et sensuelle. La pire de toute.
Je ne lui répondis pas. Il lâcha un sourire, me scrutant de haut en bas. Si je pouvais le frapper, je l'aurais fait.
- J'aime toujours autant ton visage si dur et si impassible. Déshabille-toi.
Je lui obéis, ne disant rien, enlevant le peu de vêtements que j'avais sur le dos. Une fois complètement nu, il se tourna, face à moi et me regarda encore.
- La saleté ne te va pas. Approche-toi, je vais te laver.
J'avançais lentement dans sa direction, me laissant seulement guider par sa voix. J'aurais pût le tuer en m'élançant sur lui à toute allure. Il venait toujours sans défense car il savait que dans tous les cas, je ne tenterai rien contre lui. Cela me donnait encore plus la rage, sachant que j'étais si impuissant et qu'il était si confiant.
Une fois devant lui, il passa sa main dans mes cheveux.
- Il faudrait te les couper mieux que ça mon petit. Ils sont si sombres mais si beau. C'est du gâchis.
Il pouvait bien dire cela lui qui était un bourgeois. La misère et la détresse, il ne connaissait pas. Le luxe et le flamboyant étaient ses maîtres mots. Qu'il aille en enfer.
- Suce-moi.
Crevard. Qu'il crève la gueule ouverte, les tripes à l'air à la vue de tous comme l'espèce de chien qu'il était.
Je posais mes mains sur son large torse, commençant à me coller contre lui. J'ai déboutonné sa chemise blanche, lentement. Une fois son buste découvert, j'y ai déposé de doux baisers. Il me regardait de haut mais je savais que ça l'excitait. Je descendais au fur et à mesure, me pliants sur mes faibles jambes. Arrivé devant sa source d'excitation, je lui déboutonnais juste le pantalon et sortis son calumet à plaisir. Je le pris dans mes petites mains.
Un sentiment de dégoût me parcourra à la simple vue de son barreau. Il était à la fois lourd et imposant. Je voulais le tirer le plus possible jusqu'à le lui arracher. Cela aurait été mon plus beau trophée.
Il me prit la tête dans son immense main et me la poussa violemment pour que ma bouche touche son truc. C'est bon, j'avais compris le message ! J'ouvris la bouche et y mis le bout mais il avait toujours sa main sur ma tête et me la poussa une nouvelle fois.
Je sentis tout son membre qui allait jusque dans le fond de ma gorge. Une envie de vomir s'empara de moi et je sortis un bruit immonde venant de mon estomac.
- Arrête d'être aussi dégoûtant. Applique-toi.
Je l'aurais mordu et l'aurais coupé en deux pour la lui faire bouffer à son tour.
Mais une nouvelle fois, je me montrais obéissant. Je me détestais tellement. Je faisais des vas et viens avec ma tête, à chaque mouvement, j'avais l'impression que ma mâchoire allait se disloquer, je sentais ma bave descendre lentement du coin de ma bouche pour continuer sur mon cou. Je la prenais goulûment, aspirant ce que je pouvais.
Sa main n'avait pas quitté l'arrière de ma tête. Je l'entendais respirer plus fort. J'ai alors accéléré pour finir au plus vite. Il commença à lâcher des petits soupirs. Je voulais lui coudre la bouche pour qu'il arrête de gémir, la lui coudre avec des fils de fer, lui étendre les paupières inférieures en les rattachant à sa bouche cousue, en lui déchirant la peau de son visage dont il prend tant soin.
Il mit d'un coup sa deuxième main derrière ma tête et me plaqua contre son bas ventre, son sceptre de Cythère toujours dans ma bouche. Il me maintenait fermement, m'empêchant de faire le moindre mouvement. Il commença à s'exciter de plus en plus, bougeant lui-même, violemment, m'éclatant la face à chaque coup de rein. M'enfonçant son bourdon toujours plus au fond de ma pauvre gorge, me faisant baver toujours plus, lâcher des rots plus ignobles les uns que les autres. Ils remontaient de mon estomac et me brûlaient la gorge.
Il commença à gémir plus fort. Il allait venir.
Je me préparais au pire. Je n'avais aucune envie. Je lui aurais brisé les deux jambes et déchiré la peau avec les dents. J'en mourais d'envie. J'en aurais vendu mon âme au diable.
Il commença à lancer des plaintes jouissives, je pouvais même sentir sa tringle gonfler et dégonfler.
Il se tordit sous le plaisir qu'il ressentait, il plaqua mon visage de toute sa force, s'agrippant à mes cheveux. Il les serrait tellement fort que cela commençait à me donner un mal de tête. Il rejeta sa tête en arrière en gueulant comme un veau. Le liquide sortait de ma bouche et de mes narines. Cela me faisait un mal de chien, j'avais les yeux fermés pour empêcher les larmes de couler.
Il resta immobile pendant quelques secondes avant de retirer son membre mou de ma gueule meurtrie.
Il se rhabilla tranquillement, tandis que je ne bougeais pas. La honte m'envahissait à chaque fois.
Comment avais-je fait pour me retrouver dans un tel merdier ? Sérieusement.
Je me le demandais encore.
Il s'approcha de moi, se pencha et m'attrapa le menton, toujours ruisselant de sa semence. Il me regardait d'un visage neutre.
- C'était du bon travail mon petit Livaï. Reviens dans 3 jours, à la même heure. Il faudra que je te lave une nouvelle fois.
Il déposa un baiser sur mon front puis repartit, me laissant seul sous cet arbre aux feuilles tombantes.
Une fois hors de ma vue, j'ai attrapé mes vêtements, essuyé rapidement ma bouche avec mon bras et je suis parti en courant.
Mettant un peu plus éloigné après avoir couru comme un fou, j'avais trouvé un autre arbre que je fréquentais après chacune de mes séances de "lavage".
C'était un petit arbre malade et en train de mourir. Il faisait tâche parmi cette forêt verte et pleine de vie.
Collant ma tête contre ce petit tronc, j'enfonçais mes doigts aux plus profonds de ma gorge me faisant remonter les acides contenu dans mon estomac. Je pouvais presque y rentrer la main à force de faire ce processus.
Il fallait que je vomisse. Que je dégueule toute cette pourriture qu'il m'avait refilé.
Ma main rentra plus profond encore dans ma gorge, je pouvais sentir mes doigts toucher le début de ma langue. Je reproduisais une nouvelle fois ces bruits immondes.
J'avais toujours du mal à vomir après. Il fallait que j'endure cette souffrance pendant une bonne dizaine de minutes avant d'être libéré.
Je nourrissais cet arbre avec ce que je rejetais.
J'avais maintenant un mauvais goût dans la bouche, mais cela me semblait être une douceur après ce qu'il m'avait fait subir. Je me sentais libre et bien.
Je me suis alors rhabillé et suis retourné vers mon village. Le ciel commençait à prendre une couleur de bleu foncé remplie de petits points scintillants.
Arrivé dans mon village, je suis rentré directement chez moi et me suis couché sans même manger. Et après tout, je n'avais pas grand-chose à me mettre sous la dent.
Je m'appelle Livaï, je suis né et je mourrais dans ce village d'agriculteur, en Angleterre. Je n'avais plus de parents et ce sont les villageois qui m'ont élevé. Je travaillais comme un forcené dans les champs toute la journée pour une misère et à peine une moitié de pain. La dure vie du paysan.
Non loin de notre village, il y avait un bourgeois. Son nom : Erwin Smith. C'était lui qui nous permettait de vivre et nous donnait des rations supplémentaires quand les récoltes étaient bonnes. Mais même quand elles n'étaient pas abondantes, il nous gâtait toujours avec un échange dont seul lui était maître.
Moi.
Il m'avait obligé à vendre mon corps pour ses plaisirs personnels car, soit disant, sa femme ne lui convenait plus. Mais je savais la vérité.
Il aimait les hommes.
Mais pour un bourgeois, fréquenter sexuellement une personne du même sexe, c'était la pire faute qu'il pouvait commettre. Si cela se savait, on lui aurait coupé la tête sur la place publique. En achetant mon silence et mon obéissance, il pouvait s'assurer d'être peinard et en même temps de se faire plaisir quand il le souhaitait.
Cela faisait déjà un an que cette histoire tournait. Un an qu'il me prenait pour son toutou bien obéissant.
Pour sa pute personnelle.
Cette fois, il avait raccourci l'échéance de notre prochain rendez-vous. Habituellement c'était tous les 7 jours, mais là il était passé à 3 jours d'un coup. À croire que sa femme ne lui convenait plus du tout, je me demandais même s'il couchait encore avec elle.
Mais la victime dans cette histoire ce n'était pas elle, mais moi. Contre ma volonté il faisait ces "choses" avec mon pauvre corps fragile qu'il trouvait pourtant si beau et si attirant. Le seul problème c'est que je n'aimais pas les hommes. Mais ça, bien sûr, il s'en fichait.
Il fallait que tout cela cesse.
Les 3 jours étant écoulés, après mon travail épuisant dans les champs, je repartais en direction de ce fameux arbre, de cette place où l'herbe était moelleuse et confortable.
Cette fois, j'arrivais en avance.
Cela me laissait un temps, pour me préparer psychologiquement à ce que j'allais devoir vivre.
J'entendis un bruit de pas. D'abord léger puis plus proche.
C'était lui.
Il arrivait calmement, toujours dans ses beaux vêtements, le visage sérieux et fermé. Arrivé devant moi, il passa délicatement sa main sur ma joue, puis sur l'autre.
- Tu es encore sale. Laisse-moi te laver.
Je lui aurais saisie la main et arraché les ongles un par un avec mes dents.
- C'est lui ?
Hein ? J'avais entendu une voix inconnue qui venait de derrière Erwin. Une autre tête blonde apparut. Il était encore plus grand que lui et semblait avoir une musculature beaucoup plus développée. Ses yeux d'un vert clair étaient presque dissimulés derrière deux mèches qui tombaient sur son visage. Il avait une petite barbe bien taillée et des vêtements flamboyants comme Erwin. Un autre bourgeois.
Mais qu'est-ce qu'il faisait là ?
- Oui. N'est-il pas beau ?
- Ouais, il est pas mal. Mais il n'est pas vraiment mon style de gars.
Un autre qui aimait les hommes. Erwin continuait de caresser mes joues.
- Tu es difficile Mike, vraiment.
Le dénommé Mike ricana, posant une main sur ses hanches et secouant la tête de droite à gauche.
- J'ai des goûts de luxe mon cher. Cette petite chose puante et sale ne me convient pas.
Ils se regardèrent et rigolèrent. Ils se foutaient carrément de moi, tout ça parce que j'étais un pauvre paysan labourant toute la journée pour trois fois rien. Ils se moquaient de ma pauvreté, de ma situation difficile.
Mike finit par partir, n'arrêtant pas de dire que j'étais sale et puant, me laissant seul avec Erwin qui me regardait.
Une fois que son ami disparut complètement, il me plaqua violemment contre l'arbre verdoyant. Il avait le regard intense, sans même me laisser le temps de réagir, il plaqua sa bouche contre la mienne et pris mon poignet qu'il déposa d'un coup sur son braquemart et commença à la faire bouger avec intensité.
Je devais suivre le mouvement de moi-même après qu'il m'ait montré comment faire.
Rapidement, il m'enleva mes vêtements, me retourna et m'écrasa contre le tronc légèrement humide et frais. Il se saisit de mes hanches, les serrant avec une extrême force, me plaquant toujours plus.
Je commençais à sentir quelque chose de chaud, mouillé et dur voulant me pénétrer. Je serais les dents, sentant déjà la douleur insoutenable que j'allais devoir endurer.
- Cela fait pourtant plus d'un an que je te pénètre comme ça. Mais tu as toujours le cul si ferme. Comment fais-tu Livaï ?
Raclure. Je récupérais des ronces et te les enfonceraient dans les yeux, faisant couler des larmes de sang à flot.
Il finit par rentrer avec une telle force que je cru que j'allais m'ouvrir en deux. Il commençait déjà à beugler, l'animal. Il fallait que je m'accroche le plus possible au tronc, serrant les dents et suant déjà. Mes faibles doigts étaient en train de devenir rouge, sous la pression que je leur faisais exercer en m'agrippant. De légères larmes commençaient déjà à perler tandis que l'autre s'exciter comme un fou.
Il était violent et donnait des coups de bassin tellement fort qu'il m'aplatissait comme un vulgaire insecte contre l'arbre. Je n'en pouvais plus, je me mis à gémir aussi.
Je voulais aussi me tuer.
- Livaï ... Aah, aah ~ Tu ... Aimes quand je, aaah ~ te lave comme ça ?
Il commença à s'enrouler autour de moi, remontant ses bras et les faisant glisser le long de mon corps pour qu'ils finissent sur les commissures de mes lèvres. Il força pour faire rentrer deux doigts de chaque côté de ma bouche, me les enfonçant et tirant.
Il me tira tellement fort en arrière que je me suis retrouvé, complètement tordu, ma colonne manquant de craquer et de se briser. Cela avait pour but d'accentuer son plaisir. Ses coups devenaient plus forts et plus rapides, j'avais l'impression que son engin pouvait continuer d'aller plus profond encore et finir par ressortir par ma bouche.
- Livaï ! Aaah, aaah ~
Il avait du mal à respirer et était en train de se crisper tout entier.
Il se retira d'un coup sec, me pris par les épaules m'obligeant à me retourner. Il tenait son chibre dans la main. Il était tellement énorme, rouge et coulant. Les veines étaient encore plus apparentes quand il allait jouir.
Je n'ouvris pas la bouche. Je savais que c'était ce qu'il attendait, mais je ne voulais pas lui offrir une telle opportunité. Il me saisit alors l'arrière de la tête et me plaça sur son bout qui semblait sur le point de craquer. Je serais mes lèvres autant que possible pour lui résister.
- Ouvre la bouche sale chien !!
Il recula ses hanches et donna un violent coup. Ne voulant pas céder, je fermais toujours ma bouche, sa pine vint déraper sur cette dernière et alla droit dans mon œil gauche. Je voulais reculer par surprise mais il me maintenait toujours avec autant de force. Il m'éjacula en pleine figure, sa semence rentrant dans mon œil et se déposant partout sur mon visage.
Rapidement, je m'essuyais. Cela me brûlait, m'empêchant de l'ouvrir. Je ne pouvais pas m'empêcher de passer ma main dessus, appuyant toujours plus.
Soudain, je sentis une forte douleur sur mes côtes, me faisant voler et m'écraser violemment sur l'herbe. Je me retournais vivement vers Erwin. Il venait de me donner un coup de pied. Je pouvais lire un regard mauvais et rempli de haine. Il s'avança rapidement vers moi, ne me laissant pas le temps de faire le moindre mouvement et recommença, cette fois de l'autre côté. Il revint rapidement sur moi une nouvelle fois et m'écrasa la tête sur le sol, donnant des petits à-coups.
- Pourquoi tu ne m'as pas obéi ?! Hein ?! Réponds !!
Je ne pouvais pas m'empêcher de sourire, mais ne lui répondit pas pour autant.
Il continua et me roua de coups. Des coups de pieds pour commencer, il n'oublia aucune partie de mon corps de lâche. Je devais serrer les dents sous la douleur. Il frappait, frappait, frappait sans interruption. Il me saisit par la gorge, me soulevant comme un rien et me donna des coups de poings dans le ventre. Sans s'arrêter. Je sentais mon estomac remonter, je pouvais presque le cracher, là, sur le sol, à ses pieds.
Ses yeux étaient remplis de rage et ses beaux cheveux étaient complètement décoiffés. Il avait le visage tordu sous la colère.
Ma torture a duré une bonne grosse dizaine de minutes. Il finit par s'arrêter, probablement fatigué, en me laissant tomber comme une masse sur le sol.
Je souriais. Je ne pouvais pas m'en empêcher. C'était ... Nerveux, je dirais. Cela semblait l'agacer plus que tout. Il se saisit de mes cheveux, me relevant et m'éclata sauvagement la tête contre le tronc. Un son raisonna dans tout mon crâne et mes yeux ce sont légèrement révulsés. Il recommença son processus en me frappant presque une dizaine de fois. Mes pensées étaient troubles et mon cerveau avait du mal à donner des ordres à mon corps. Je sentais une ligne chaude descendre le long de mon visage.
J'étais bien.
J'étais bien, la face contre le tronc d'arbre. Il me retira de cet instant de bonheur pour vérifier si j'étais, peut-être, toujours en vie. Son visage devint noir, et pour cause.
Mon sourire ne m'avait pas quitté.
Il me balança au loin en poussant un cri. J'atterrissais lourdement. Je sentais mon corps bouger tout seul, se crispant et me faisant avoir des petits spasmes.
Je me mis alors à rire.
Un rire de fou s'empara de tout mon être. Je ne contrôlais plus mon corps. Cet homme en face de moi dans ses vêtements flamboyants s'arrêta, et j'eu comme l'impression qu'il prit peur en me voyant ainsi.
Je m'étais levé lentement, toujours hilare.
La folie était en train de me gagner.
Lui, ne bougeait plus. Cette raclure était pétrifiée ! Ha ! Il avait donc peur de moi ? Je m'avançais doucement vers lui, un sourire large jusqu'aux oreilles.
Je courus alors à toute vitesse dans sa direction.
Me jetant sur lui et le plaquant au sol. Je pouvais lire dans ses yeux cette peur. Cela m'aurait fait jouir ... Tellement c'était beau à voir ! Laissant parler mes poings, je lui ai envoyé une rafale de coups dans le visage, il n'eut même pas le temps de se défendre. J'ouvrais la bouche laissant mes poumons ce remplir d'air et commença à rire à gorge déployée.
Meurt. Meurt. Meurt ... Meurt ! Meurt ! Crève. Crève ! Crève ! CRÈVE, ENFOIRÉ !
Dans ma folie, je déchirais ses vêtements et planta mes dents dans sa peau, le mordant jusqu'au sang. RACLURE ! CRÈVE ! HAHAHAHA !! Je continuais en commençant à tirer sur cette matière commune à tout être humain avant de recracher ce que j'avais réussi à lui enlever.
Encore ! ENCORE ! ENCORE ! J'EN VOULAIS PLUS ! TOUJOURS PLUS ! SOUFFRE ENFLURE ! HAHAHAHAHAHAHA !!
J'étais en train de lui dégarnir le buste et de donner des coups sur cette chaire chaude et vive. Le sang jaillissait à chacun de mes coups. C'ÉTAIT UN BEAU SPECTACLE ! Mais j'en voulais ... Plus, toujours et encore plus !
Je décidais de m'attaquer à son ventre. Je recommençais le même schéma que le précédent. Mais cette fois ci, je m'étais aidé de mes mains, prenant une partie de peau pendante, déchirant et arrachant le reste ! Le sang formait déjà un immense cercle autour de nous. Je riais. Cela me faisait littéralement marrer de le voir comme ça, inerte et à ma merci !
Mais je n'étais pas rassasié. Il m'en fallait encore ! J'EN VOULAIS ! ERWIN !
Ses tripes étaient parfaitement rangées dans son organisme, tout comme sa vie, parfaitement parfaite. Je souriais.
J'ai plongé mes mains dans ce mélange de substances visqueuses et sanglantes.
HAHAHHAHAHAHAHA !! JE PRENAIS LE TOUT ET TIRA DESSUS ! IL FALLAIT QUE CELA SORTE ! ESTOMAC ! FOIE ! INSTESTIN ! HAHAHAHAHAHAHA !! UN VRAI SPECTACLE !
Je respirais tellement fort que je pensais que mes poumons allaient éclater. Depuis longtemps, je recommençais à vivre. Un véritable bonheur !
Je finis par me calmer. Reprenant une respiration normale, mon rire et mon sourire s'effaçant. Je baissais le regard.
En dessous de moi, Erwin Smith était là. Les yeux à moitié clos, la bouche entrouverte et le regard sans aucune lueur.
Mort. Il était mort.
Son corps était en lambeau avec ses organes éparpillés un peu partout. Il était couvert de sang. Je me suis relevé, l'examinant toujours.
Crevard.
•••
Ici Raichu⚡ !
J'espère que ce OneShot vous a plu ! Il est très différent du premier, je dois bien l'avouer. Je voulais traiter d'un thème différent et explorer un nouveau genre.
Je suis disponible pour toutes critiques ou commentaires qui me permettront de m'améliorer !
Les prochains OneShot mettront plus de temps à venir je pense, j'en ai déjà commencé deux autres mais je suis en manque d'idées.
En attendant, je vous invite à lire ma fanfiction sur le Jarco "He's my world". Je prévois aussi une deuxième fanfiction sur du ReiBert dans quelques temps.
Voilà, c'est tout pour moi, à bientôt !
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