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3. Torture

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Ce chapitre est rédigé avec une violence et des scènes gores pouvant heurter la sensibilité de certaines personnes. Si vous êtes sensibles à des scènes violentes, nous vous recommandons de ne pas lire ce chapitre.

Ce chapitre s'inspire de fait réels.

- La rédaction

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[Pov Espoir]

Mon écran de gauche est sur HelloWork, là où des personnes en recherche d'emploi peuvent s'inscrire et déposer leurs CV et témoigner leur expérience. Sur mon autre écran, j'ai un site un peu moins professionnel, Instagram, à naviguer entre les différents profils.

- {Y a pas un seul profil qui correspond à la compagnie.}

Mon défilement de la page sur mon écran de droite se coupe après un commentaire qui me fait monter des pics de colère.

"Je ne vois pas en quoi le père doit prendre des responsabilités. Si la femme est enceinte, toute la responsabilité lui revient, pas à l'homme qui l'a baisé."

- {Alors toi...}

Je récupère mon communicateur et le mets sur une fréquence spéciale.

- Ici Espoir, vous me recevez ?

- On vous reçoit parfaitement. Quel est le souci ?

- Je vous envoie un profil. Retrouvez-le et amenez-le à la responsable de sécurité.

- Compris. Agent Foster, terminé.

La communication prend fin, et je change la fréquence pour avoir une personne en particulier, présent dans la compagnie.

- Youmi, tu me reçois ?

Deux secondes de silence, et mon communicateur reçoit un signal.

- Je vous reçois, cheffe. Un problème ?

- Prépare le sous-sol. Code 17.

Un nouveau silence se pose, puis Youmi se met à répondre.

- Très bien.

Suite à cela, j'appelle chacun des autres membres du CSE à rejoindre le sous-sol en moins d'une heure. Cela fait longtemps que cet endroit n'a pas été utilisé, donc il faudra préparer le ménage pour le prochain arrivant.

[Pov Youmi]

Dans ce sous-sol de 100m² en dessous de la compagnie, où seuls les porteurs de la clé électrique peuvent aller, je suis en train de nettoyer et de préparer l'équipement pour le prochain invité.

Nous n'en sommes pas à notre coup d'essai. Plein de personnes sont passées par cet endroit, et ils ont un point commun : ils ne s'en sont pas ressorti indemne.

Plusieurs tables ont été aménagés, avec divers outils pouvant aider une pratique bien connu de chez nous : la torture. Que ce soit ce qui est déposé sur les tables, accrochées aux murs ou bien les planches en bois avec des menottes incrustées pour maintenir, on manque de rien. J'ai aussi préparé quelques seaux spéciaux, avec des choses assez sympathiques, pour nous du moins.

- {J'ai hâte de voir cela de mes propres yeux.}

Le bruit mécanique d'ouverture me parvient, et la porte s'ouvre brusquement par Louve qui tient un homme avec les poings liés dans son dos et une cagoule sur la tête pour l'empêcher de voir. Elle force du mieux qu'elle peut pour maintenir l'homme et l'amener jusqu'à la planche.

- Viens m'aider !

- Vous allez voir, dès que je vais récupérer l'usage de mes mains, je vais tous vous but... !

Je le laisse même pas finir que je lui mets une droite en plein dans la mâchoire et prendre la relève en le chopant fermement par le cou. Rapidement, je le plaque contre la planche dans un grand bruit, et sa tête percute violemment la surface.

Louve lui bloque les jambes avec les menottes incrustées tandis que je délie ses mains pour les accrocher sur les côtés, étendant ses bras par la même occasion. Je fus rapidement surpris qu'il n'ait pas tenté de se débattre depuis mon coup de poing, peut-être qu'il s'est évanoui.

- Pfiou !

Je donne mon attention à Louve tout en retournant à la table.

- Il était compliqué à amener ?

- Un peu, et je pouvais pas demander de l'aide aux kidnappeurs, c'est contre les règles... Où sont les autres ?

- Ils devraient arriver.

En disant ces mots, Neo, Azalea et Espoir arrivent, la dernière fermant la porte et la verrouillant avec la clé électrique. On se rassemble tous devant le nouveau venu qui bouge enfin la tête et qui tente de déplacer ses bras.

- C'est quoi, ces conneries ?! Vous m'avez attaché comme de la merde ?!

- Oui. en répondant immédiatement avant de donner mon attention à la cheffe. C'est qui, cette fois ? Un délinquant des rues ? Un tueur quand il était gosse ?

Sans même me répondre, Espoir va vers l'homme et lui retire sa cagoule. Un gosse de même pas 20 ans, avec une belle tête de con, un sacré cliché. Son premier regard est adressé à la cheffe, mais en voyant les autres personnes et les instruments présents, son visage passe par plusieurs émotions.

- Qu'est-ce que vous faites, au juste ?! Qu'est-ce que vous me voulez ?!

- DylanKilleur64 sur Instagram. Je sais que c'est toi.

- Et alors, espèce de conne ?!

Elle soupire suite à cette réaction enfantine, puis sort son portable de sa poche où Instagram était déjà ouvert et elle lit un message.

- "C'est au devoir de la femme enceinte de prendre la responsabilité du gosse, pas de l'homme qui lui a fait l'amour."

- Vous êtes sérieux ?! C'est pour un simple commentaire comme celui-là que vous vous êtes mis à me retrouver ?! Bande de décérébrés ?!

Alors que les deux sont en pleine discussion, je récupère des bouchons d'oreilles moulés pour les mettre dans mes oreilles afin d'étouffer les cris de gamins de la prochaine victime de ce sous-sol.

- {Enfin...}

- Tu pensais qu'en te cachant derrière un pseudo, tu pourrais t'en sortir ? Sais-tu combien de femmes peuvent être blessées par ce genre de commentaires ? Louve, commence.

Je tourne la tête vers Louve qui s'approche de moi, l'air sérieux.

- Prend le scotch, je m'occupe de la javel.

- Dacodac.

En vérité, j'avais déjà le scotch à côté de moi, en plus d'être celui utilisé pour emballer les cartons. Les autres le détachent et le maintiennent au sol, Neo s'occupant des jambes, Espoir et Cassy lui tenant les bras.

- Bande de connasses ! Allez vous faire violer par le premier per...

Pendant qu'il parlait, j'ai déroulé un morceau de scotch pour lui claquer directement sur la bouche, et c'est un morceau si épais qu'on voyait même plus ses lèvres.

- Même avec les bouchons d'oreilles, tu m'exploses les tympans.

Je pose mon genou contre son torse pour avoir un appui, Louve lui maintient les yeux ouverts pour que j'y mette du scotch, permettant de garder une ouverture le temps de l'opération.

- C'est à cause de gens comme toi que la société fait pitié à voir.

Je me retire de lui pour m'éloigner, afin d'observer Louve lui mettre de la javel dans les yeux, ce qui le fait agiter violemment en plus de provoquer des cris étouffés par le scotch. Malgré le scotch et mes bouchons d'oreilles, j'arrive encore à l'entendre clairement.

- {Il doit tellement s'exploser les poumons, il doit avoir un sacré cardio.}

- On le remet sur la planche.

Alors qu'elles le relève, je lui dégage violemment les morceaux de scotch qui maintiennent ses yeux afin qu'il puisse les fermer. Une fois rattaché à la planche, je lui libère la bouche et son tout premier cri manque de sortir de la pièce fermée tellement il est fort.

- Bandes de putes ! Vous tous comme l'homme qui vous sert de serviteur !

Il me lance un regard énervé, avec ses yeux rouges qui brûlent à cause de la javel.

- Tu dois être le seul homme de ce groupe, hein ?! Tu dois prendre ton pied avec ces femmes que tu peux te faire quand t...

Je lui mets une nouvelle droite en plein dans la mâchoire, si forte qu'une de ses dents part à l'extérieur, retombant sur le sol et laissant du sang s'échapper.

- Vous êtes tous... Des déchets...

- Je vais lui faire passer ces insultes au fer. enchaîne Espoir.

On pouvait penser que c'était pour de faux, mais c'était à prendre au premier degré. Je vais vers une autre table pour aller chercher un fer à lisser déjà allumé et chauffé au préalable. Espoir le récupère et fait face à la victime.

- Tu vas nous souffler un petit air.

Elle ouvre le fer et le referme brutalement sur le nez de l'homme, lui extirpant un cri de douleur encore plus fort que les précédents, et même mes bouchons d'oreilles ne peuvent pas atténuer autant.

Après 20 secondes de cri, Espoir libère le nez désormais écarlate de la victime, avec un début de cloque qui apparaissent. Elle me rend son gadget que je dépose. C'est au tour de Neo d'entrer en scène, et il saisit deux pinces électriques reliées à une batterie

- Enlevez-lui son t-shirt. ordonne-t-il.

Aza et Louve s'occupent de cette tâche en le déchirant en deux, révélant le maigre torse, limite anorexique de la victime qui se débat de toutes ses forces, en vain. Neo se rapproche avec les deux pinces filaires, les faisant se croiser entre elles pour libérer le courant. La victime à son visage qui se décompose et secoue la tête de plus en plus vite.

- Non, non, no-aarrrh !

Neo lui a déjà agrippé les pinces sur les tétons, libérant le courant directement dans son corps qui se met à fortement trembler, couplé à son nouveau cri de douleur. Je file des bouchons d'oreilles aux observateurs pour que leurs tympans souffrent moins.

- {Je devrais aller chercher la serpillère maintenant.}

Deux minutes de souffrances pures, jusqu'à ce que les pinces s'éteignent, le signe qu'elles doivent être rechargées en se croisant. Neo s'arrête là et nous laisse observer les dégâts. D'abord les yeux, puis le nez, et maintenant cet endroit...

Je vais vers Louve pour lui chuchoter quelque chose à l'oreille, elle acquiesce et récupère ce que je sors d'une de mes poches avant de s'en aller en silence. Aza récupère un fer à repasser déjà branché et qui possède une autonomie pour ne pas l'avoir constamment branché.

Le fer part immédiatement dans son torse, posé en diagonale et où on peut entendre le bruit de la chaleur qui fait fondre sa peau, mélangé à un nouveau cri de la victime mais dont son souffle se fait bizarre, comme s'il s'apprêtait à s'évanouir. En voyant son visage, il perdait de sa couleur pour prendre une teinte violette. Je me dépêche de marcher rapidement vers une table pour récupérer une seringue et aller vers la victime.

- Aza, arrête !

Elle réussit à m'entendre et à enlever le fer à repasser avant qu'il ne soit trop tard. Je plante la seringue dans le torse, injectant le liquide qui permet à la personne de rester consciente encore longtemps en accélérant sa circulation sanguine.

- On a failli le perdre.

En parlant de lui, il a sa tête abaissée et ses yeux commencent à se fermer, comme s'il était épuisé, ou qu'il voyait son monde s'effondrer. Azalea reprend la torture, mais l'homme ne criait plus, comme s'il s'était évanoui, voir même la phase au-dessus.

De son propre chef, Azalea décolle le fer qui laisse une grosse marque noire de peau fondue sur le milieu du buste de la victime. Je m'approche de ce dernier et lui met de petites baffes sur la tête pour voir s'il réagit. Après quelques instants, il finit par rouvrir les yeux, essayant de parler mais en vain.

- Il est à bout. Faut qu'on arrête.

- Youmi, je te laisse décider s'il reste en vie avec les souvenirs de la séance ou si tu veux abréger ses souffrances. T'as carte blanche.

- Je sais déjà quoi faire. Partez devant, je vais nettoyer tout ce bazar.

Elles s'en vont toutes, me laissant avec la victime que je muse une nouvelle fois avec du scotch en plus de lui mettre un bandeau sur les yeux. Je finis par le libérer de ces prises en métal, il tombe immédiatement au sol, n'essayant pas de se rattraper.

- {Il doit être proche de la mort... J'espère qu'il va tenir.}

Après lui avoir ligoté les mains ainsi que les bras avec de la corde, Louve me rejoint et on l'embarque à l'extérieur, dans un chemin à l'abri des regards. J'avais passé mes clés à Louve pour qu'elle aille chercher ma Clio 4 blanche. Elle m'ouvre la place passager et on dépose la victime avant de la ligoter au siège, l'empêchant de s'échapper. De toute façon, il n'essaye même pas de se débattre.

Je ferme violemment la porte, Louve allant chercher sa voiture garée à côté.

- On l'emmène où ? me demande ma partenaire.

- Au nord de Lonely Labs.

Partant le premier, on quitte Slappy Shores direction les contrées enneigées de l'île. J'ai préalablement retiré le scotch sur sa bouche, mais il est resté silencieux depuis le départ. Le silence était si grand que j'ai allumé la radio sur Skyrock.

- Pourquoi... ?

Je lance un regard à mon passager aveugle et torse nu, ligoté sur son siège.

- Quoi donc ?

- Un simple commentaire... Et je suis tombé sur vous...

- Ne t'en fais pas. On t'emmène dans un endroit sûr pour te libérer. On te laisse en vie pour que tu te souviennes de ce que tu as vécu. Unique avertissement.

- Pourquoi... Prendre ces commentaires au sérieux ?

Cette question résonne dans ma tête en même temps que ma voiture roule en ligne droite.

- Il y a des personnes qui veulent s'isoler du monde réel et de ses problèmes, et dans ce genre de moments, les réseaux sociaux et le monde virtuel sont les meilleurs endroits. Ce genre de commentaires comme les tiens peuvent vexer ces personnes.

- S'il faut... Prendre en compte toutes les personnes qui peuvent lire ces messages... Personne ne s'en sortirait... Tu ne crois pas ?

- Je t'accorde le point. Maintenant j'aimerais que tu me laisses me concentrer sur la route, s'il te plaît.

Etonnamment, il est resté silencieux. On arrive à l'endroit prévu, loin de toute trace humaine et avec une vue incroyable. Je mets le point mort et défait ma ceinture. Au préalable, je récupère un dossier contenant divers papiers et sort de ma voiture. Derrière mon véhicule, Louve s'arrête et quitte sa place pour me rejoindre.

Je prête mon dossier à Louve, puis je vais rejoindre la victime en ouvrant la porte de son côté.

- T'es encore réveillé ?

- Oui... Je crois.

- Prends une respiration, ton cauchemar est fini. Je règle un dernier truc et tu pourras enfin retrouver ta vie d'avant.

- Vraiment ?

Je ferme délicatement la porte et fait signe à Louve de se mettre vers le coffre. Alors que je plaque mes mains contre les bords de la voiture pour la pousser, mon amie m'interrompt.

- Attend, Youmi.

Je lui donne mon attention et retire mes mains.

- Un problème ?

Elle hoche d'abord la tête sans rien dire, puis elle regarde la voiture.

- Même si c'est ta décision d'en finir avec lui, je me vois mal être l'assistante de la mort de quelqu'un. Je refuse de connaître la sensation de vivre avec la mort d'une personne sur la conscience.

- {J'aurai du m'y attendre...}

Je hoche la tête et retourne à la place conducteur afin de mettre le frein à main que je n'avais volontairement pas enclenché. Je retourne au coffre afin de l'ouvrir, et il y a des restes d'habits et des provisions qui restent.

- On va le détacher.

Aidé de Louve, on détache le prisonnier en plus de lui donner de nouveaux habits, surtout un t-shirt, comme celui qu'il avait avant a été déchiré. J'en profite pour lui virer son bandeau sur les yeux, le balançant sur le côté.

- On te libère. Lonely labs est vers le sud, suis le chemin principal. Si tu ne veux pas qu'on te retrouve, souviens-toi de ce que je t'ai dit dans la voiture.

Sans un mot, il hoche la tête. Avec Louve, on retourne à sa voiture en laissant la mienne sur place. Je m'installe à la place passager, mon amie au volant et elle me rend le dossier que je lui ai prêté.

- C'est quoi, ce dossier ?

- Les documents de la voiture. Qui plus est, les plaques d'immatriculation de nos deux voitures sont fausses, on risque rien.

L'otage se rhabille et s'en va, la tête basse. Louve démarre la voiture et prend le chemin du retour.

- Au fait, Louve.

- Mh ?

- Désolé de ne pas avoir pensé un seul instant à toi. J'essaye encore de travailler sur ma façon de penser et de ne pas juste penser aux conséquences sur moi-même.

- Ne t'en fais pas. Tu finiras par y arriver.

C'est sur cette dernière discussion que nous retournons à Slappy Shores.

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