Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

One shot Grindeldore

Salut Salut!!
Bon, j'avais envie de partager un petit écrit sur l'univers de HP ici. Donc c'est cadeaaaux!
J'espere vraiment avoir de vos avis, et svp faites pas attention au fautes! Kiss🤍🤍
Ps: Apparament faut que je préviennes: ⚠️contenu mature⚠️

𝓟𝓪𝓻𝓭𝓸𝓷𝓷𝓮 𝓶𝓸𝓲

Grideldore
Après le troisième film

Voilà quatre mois que la nouvelle ministre de la Magie Allemande avait été élue. Quatre mois qu'Albus Dumbledore n'avait pas vu Gellert Grindelwald. Quatre mois et c'est mots résonnaient encore dans sa tête:
"Qui va t'aimer maintenant, Albus?"

Les vacances venait d'arriver, et, la mine sombre, Albus regardait l'école se vider de ses joyeux élèves. Grindelwald hantait encore une fois les pensées du professeur de Défense contre les forces du mal.

Il mourrait d'envie de le revoir.
Il mourait d'envie d'aller le chercher...
D'embrasser ses lèvres comme si trente ans n'étaient pas passées. De redécouvrir son corps. Ce corps dont il a tant rêvé...

Si il partait maintenant, est ce qu'on le remarquerait? Si il quittait l'école, si il ne revenait pas... Sans y réfléchir a deux fois, le brun attrapa un papier et écrivit quelques mots, avant de prendre son manteaux et de quitter les lieux.

"Le devoir m'apelle. Ou l'amour qu'en sais je?
Minerva me trouvera un remplaçant.
A.D"

Le vent soufflait fort dans les rues, arrachant un frison au professeur. Dumbledore réflechissait a toute vitesse, laissant ses pas le guider dans les rues du Chemin de Traverse.

Oú pouvait se trouver Gellert?
Oú pouvait il se cacher, maintenant qu'il avait éssuyé son plus grand echec.

Soudain, une idée lui traverse l'esprit!
Godric Hallow... Le village de leur jeunesse.
Le village oú ils sont tomber amoureux...
Si, comme il continuer a l'espérer, Gellert continuait a penser à lui, il était forcément là.

~Quelques heures plus tard~
Godric Hallow avait des allures de ville fantome, comme çi tout ses habitants vivaient dans une sorte de sommeil continu...
L'allure de la ville de leur jeunesse, jadis si belle, si vivante, lui donner envie de pleurer.

Ne sachant plus oú aller, fatigué et un peu triste, Dumbledore décida de déscendre sur la plage qui avait vu mourir Ariana, prise entre le duel opposant Aberlforth, Albus et Gellert.

Le brouillard était si épais qu'Albus ne voyait pas plus loin que le bout de son nez. Le sorcier fit le tour de la plage, mais, à bout de force, il se laissa rapidement tomber sur le sable fin.

Le sorcier s'appretait a fermer les yeux quand il entendit des bruits de pas allant dans sa direction. Puis le silence revint, rapidement brisé par le bruit de pleurs éttoufés.

"Vas t'en."

Cette voix...
Albus se leva d'un coup, et se mit à courir, a la recherche de l'homme qu'il avait tant aimé.
À peine quelques minutes après, le brouillard commençant enfin a s'en aller, Albus reconnu au loin la silhouette de Grindelwald.

Le professeur courru aussi vite que ses jambes pouvaient le porter. Puis, arrivé devant celui qu'il aimait, le brun se laissa tomber a genoux devant lui.

"Vas t'en je t'ai dit..."

À genoux face à face, Albus remarqua qu'il pleurait. En 30 ans, jamais il ne l'avait entendu pleurer... Le brun passa alors une main sur la joue de son amour de jeunesse, et redressa son visage. Les traits durcis par la douleur, la peine et la rage, Grindelwald regardait maintenant Albus dans les yeux.

Le professeur de Poudlard se mordit la lèvre.
Qu'est ce qu'il était beau...
Albus était à deux doigts de craquer, de se jetter sur ses lèvres, d'écouter enfin ses desirs.
Mais si il cédait à cette tentation, Albus savait qu'il n'y aurait pas de retour en arrière possible. Il ne pouvait pas faire ça...

"Vas t'en je te dit!! Enragea Gellert.
_Je ne partirai pas. Murmura Albus. Je ne partirai pas sans toi bordel! Je suis partie de l'école sans demander aucune autorisation pour venir te chercher. Parceque ça fait quatres putain de mois que tu hantes la moindre de mes pensées, que tu es dans le moindre de mes gestes, dans le moindre endroit que je visite! Tu as fais des erreurs mais on peut les réparer, tu peux les..."

Le monologue enflammé du professeur fut intérrompu par les lèvres de Grindelwald, s'écrasant avec puissance sur les siennes.
La surprise fit basculer le brun sur le sable, ce qui ne manqua pas de faire rire son amour de jeunesse.

"Tu te moques là?" Sourit Albus, couché dans le sable chaud. Au dessus de lui, Gellert se mordit la lèvre en souriant.
"Peut etre..."S'amusa t'il.

Laissant enfin parler ses envies, refoulées depuis trop longtemps, Albus attira Gellert contre lui et l'embrassa avec fougue, comme lorsqu'ils avaient vingt ans.

À sa grande surprise, Grindelwald ne le repoussa pas, ou n'écourta pas leur baiser. Au contraire, le sorcier répondit avec la meme hardeur, la meme envie.

Les minutes passèrent et les deux hommes faisaient peu a peu tomber leurs barrières. Leurs baisers se firent plus profonds, plus fiévreux... Et lorsque les mains de Gellert s'aventurèrent sur plus bas sur le corps d'Albus , ce dernier murmura:
"Ça m'avait manqué...
Tu m'avais manqué."

C'est mots firent monter les larmes aux yeux de Gellert. Il avait envie de lui dire de c'est grandes déclarations qu'il lui avait jadis dit. Il avait envie de lui avouer qu'il n'avait pas la force de continuer sans lui... Il voulait lui dire combien il lui avait manqué lui aussi.

Mais les années de lutte, d'idée toujours plus révolutionnaire, toujours plus violentes l'avait trop fait souffrir. Il avait perdu les mots pour dire je t'aime, à force de ne plus voir celui pour qui il aurait voulu dire c'est mots...

Alors Gellert se contenta de sourire à celui qu'il aimait tant, profitant de cet instant hors contexte, peut etre le dernier qu'il partageront tout les deux. Il laissa ses mains et ses baisers redécouvrirent le corps d'Albus, ce corps dont il avait t'en rêvé. Son sourire s'agrandissant lorsque leurs vêtements tombèrent au sol.

Les minutes passèrent, au rythme de leurs gestes fiévreuses et passionées. Au bout d'un
long moment, les deux hommes retombèrent nus dans le sable. Leurs mains toujours entrelacées.

L'air inquiet, Albus se tourna vers Gellert.
Le brun s'en voulait d'interrompre ce silence si parfait, tellement appaisant qui s'était installé entre les deux hommes. Mais il se devait de poser la question:

"Gellert, je t'en prie. Rentre avec moi.
Je... Je ne veux plus vivre sans toi, s'il te plait, rentre, on peut tout arranger..."

À c'est mots, Grindelwald se leva, d'un coup de baguette, il se rehabilla et jetta un dernier regard à celui qu'il aimait.

"Il y a des erreurs qu'on ne peux pas réparrer.
Tu as toujours était trop optimiste, Albus."

Il tendit la main, et releva le professeur.
Le regret dans les yeux de ce dernier le faisait douter de cette décision. Mais il ne pouvait pas infliger ça à Albus, il ne pouvait pas faire de lui un paria, uniquement parcequ'ils avaient décidé d'enfin vivre leur amour librement. Il ne pouvait pas lui infliger la peur, la haine....

"Pardonne moi."

Et sur c'est mots, il l'embrassa, joignant leurs mains une dernière fois. Puis, devant le professeur éffaré, il transplana, les larmes dévalant ses joues comme un torrent.

À genoux dans le sable, Albus, lui, ne pleurait pas. Ce moment avec l'homme qu'il aimait lui avait prouvé qu'ils étaient fait pour vivre ensemble, et non pas l'un contre l'autre.

Il n'avait que faire des conséquences.
Il aimait Gellert, il aimait tout de lui.
Il aimait Gellert, et il irait le chercher.

~𝕱𝖎𝖓~

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro