Joyeux Noël
Tous souriaient. Frank, Hazel, Percy, Annabeth souriaient et ce malgré l'absence de leur autres amis : Léo, Jason, Piper, qui célébraient Noël chez le père de Piper, exceptionnellement de retour chez lui pour les fêtes et de tout les autres qui ne voulaient pas fêter Noël. Les quatre étaient donc réunis dans l'appartement des Jackson attablé autour du repas de Noël. Ils riaient, parlaient de tout et n'importe quoi avec Paul et Sally qui avaient accueillis le couple de romain comme leur propre famille (Annabeth était déjà un membre de la famille depuis plusieurs années). Ils en étaient à l'entrée et tous profitaient du saumon fumé et des rillettes de thon, tous, sauf Percy.
- Vous êtes des monstres, râla Percy en regardant Frank gober en une bouché un toast de rillette de saumon.
- C'est que du poisson, et puis tu manges de la viande, Piper pourrait dire que tu es un monstre, répondit Sally avant de porter du saumon à sa bouche.
- Je n'éprouve aucun remord à manger l'animal sacré d'Héra, mais vous... vous vous êtes des monstres. Vous vous rendez compte, que d'une manière très éloigné vous êtes peut-être en train de manger mon cousin au neuvième degré, argumenta le fils de Poséidon.
- Percy, nous aussi on est cousins, ça nous empêche pas de sortir ensemble depuis plus de six ans, rappela Annabeth.
- Ne me fais pas le coup de l'inceste, dit Percy en posant son index sur le nez de la blonde à sa droite. On en est trop servi dans notre famille, mais alors manger la mienne... vous êtes des monstres.
Comme pour le provoquer ils embouchèrent tous un toast, ce qui provoqua une grimace chez le brun.
- Bande de monstres...
- Alors comme ça Hazel tu es une cavalière ? demanda Paul en ignorant son beau-fils.
**************
La dinde était délicieuse. Frank et Percy se resservait pour la troisième fois, heureusement que Sally et Paul avaient prévu à manger pour un régiment.
- Vous êtes des goinfres, commenta Hazel.
- Tsss, fut la réponse construite que Percy lui donna.
Et la bûche du dessert était encore meilleure. Annabeth n'arrêtait pas de rappelait à Percy de s'essuyait la bouche car il s'en mettait partout. Hazel, elle avait un peu de glaçage bleu sur le nez, tout le monde trouvait ça trop chou alors personne ne la prévenait.
- Non, Le monde de Némo est clairement le meilleur Disney, défendit Percy.
- N'importe quoi Cervelle d'Algues, Mulan est clairement mieux.
- En quoi Mulan est mieux ? demanda-t-il curieux.
- Mulan c'est l'histoire d'une jeune fille qui prouve que les filles peuvent faire autant que les garçons. Alors que Némo c'est juste l'histoire d'un gosse désobéissant qui fait courir d'innombrable danger à son père pour le sauver, argumenta Annabeth.
- Mais depuis quand on regarde un Disney pour la moral de l'histoire. Annabeth très chère je crains fort que tu es perdu toute ton enfance, je propose un marathon Disney pour remédier à ça.
- Peu importe pour quoi on regarde un Disney le meilleur reste Le Roi lion, exposa Frank.
- Mais vous dites que des bêtises, La princesse et la grenouille, ça c'est le meilleur Disney, renchérit Hazel.
- Mais comment vous pouvez dire ça ? Vous n'avez aucun gout en matière de Disney ! rétorqua Percy.
Sally et Paul se lancèrent un regard amusé, persuadés que cette dispute infantile ne se finirait pas de si tôt. Et ils avaient raison, les jeunes adultes consentirent avoir tous raison uniquement une fois que la table fut débarrasser et ce n'était pas trop tôt car entendre Percy qui remplissait le lave-vaisselle crier à Frank qui nettoyait la table dans la pièce d'a côté n'était pas l'activité la plus agréable.
Puis vint le tour des cadeaux.
Paul, Percy et Annabeth tendirent une boite à Sally, elle l'ouvrit.
- Vous n'auriez pas du, dit-elle en plaquant sa main libre sur sa bouche. C'est trop, je ne peux pas accepter.
- Bien sur que tu peux, répondit Percy. Il parait qu'il a le meilleure logiciel d'écriture au monde, après j'y connais rien.
- Mais c'est trop !
- Voyons Sally tu n'arrêtais pas de te plaindre que ton ordi ramait, tu n'auras plus ce genre de problème maintenant, fit remarquer Paul.
- Vous êtes adorable... souri Sally avant de les entrainer dans un câlin de groupe.
Hazel et Frank qui regardait la scène depuis le canapé, sourirent à la vue de cette petite famille heureuse.
- Venez ! invita Percy en ouvrant l'étreinte.
Les deux adolescents se lancèrent un regard hésitant, avant de finalement se lever et de serrer les autres dans leur bras. Ils restèrent ainsi quelque instant jusqu'à se que Percy brise le silence :
- Frank tu peux te changer en panda ? J'ai toujours voulu faire un câlin de famille avec un panda.
- Ah non surtout pas ! ria Sally. Mes murs se souviennent encore du chien des enfers, souri-t-elle en indiquant du doigt une longue trainé où la peinture avait été arraché Zeus ne sait de quel manière par Kitty O'Learly.
Tout le monde ria et l'ouverture des cadeaux repris. Annabeth reçu beaucoup de livres sur l'architecture, quelques livres de fiction, un pull bien chaud de la part d'Hazel et, de la part de Percy, le coffret de Faber Castell qu'elle voulait absolument pour ses dessins.
- Percy, t'es le meilleur ! Tu sais que c'est les crayons que je préfère.
- C'est pas comme si tu le répétais à chaque fois que tu dessinais...
Elle lui tira la langue, en réponse il lui déposa un bisou sur le nez.
Le père Noël déposa dans les chaussons de Percy un nouveau skateboard car il avait accidentellement cassé le sien dans un combat contre un Lestrygon, et un sweat, ainsi que de la part de ses parents, un cadeau qui lui fit extrêmement plaisir : c'était un pendentif, qu'il mit tout de suite sur la chaine de son collier de perles, le pendentif était en argent c'était une épée mais au lieu de se finir en pointe simple, il se séparait en trois pour former le bout d'un trident, Percy l'adorait.
- Je l'adore il est magnifique ! affirma-t-il tout sourire en serrant sa mère dans ses bras.
- J'avais tellement peur qu'il ne te plaise pas...
- Tu rigole, il est superbe, affirma Percy en effleurant le métal de son index.
Hazel et Frank reçurent surtout du petit mobilier tel que des assiettes et des tapis car il emménageait fin janvier dans un appartement de la Nouvelle-Rome.
********************
Hazel et Frank c'étaient endormis dans les bras l'un de l'autre sur le canapé et Sally et Paul était partit se coucher. Il ne restait éveillé plus qu'Annabeth qui dessinait avec ses nouveaux Faber Castell sur la table basse et Percy qui la regardait faire en jouant avec ses boucles blondes. Elle dessinait un sapin de Noël d'un réalisme impressionnant. Une fois qu'elle eut fini elle admira son œuvre et arrangea un détail sur les ombres avant de poser son crayon, satisfaite.
- Il est magnifique, assura Percy en déposant un baiser sur son épaule.
- Merci !
- Annabeth ?
- Hum ?
Il saisit doucement le poignet de la fille d'Athéna et se leva lui intimant tacitement d'en faire de même. Elle se leva sans comprendre, son corps était à seulement quelques centimètres de celui de Percy.
- Hum... je ne sais pas vraiment comment dire ça, j'ai vraiment cherché et cherché, écris et réécris mais rien ne me semblai bien alors bah voila j'y vais sans trop savoir.
Cette remarque rendit Annabeth beaucoup plus perplexe qu'elle ne l'était déjà. Que voulait-il dire ? Percy : écrire ? Mais quoi ? Il semblait extrêmement nerveux et Annabeth ne comprenait pas pourquoi.
En vérité il n'avait jamais était nerveux de toute sa vie, même quand il était allé demander la permission à Athéna pour faire ça il était moins nerveux ce qui n'était pas peu dire. Et s'il s'y prenait mal ? Si ce qu'il allait dire n'avait pas de sens ? S'il la vexait en s'emmêlant les pinceaux dans ce qu'il allait lui dire ? Si elle disait non ? Percy voulu tout abandonner, retarder cette question à une prochaine fois.
- Percy ? Qu'est-ce qu'y se passe ? demanda la fille d'Athéna.
La vision d'Annabeth les yeux plein d'interrogation emmitouflé dans le pull-over bordeaux que lui avait offert Hazel le ramena à la réalité. Il se gratta nerveusement la nuque.
- Oh euh oui. Je voulais te dire... je savais que j'aurais du écrire, murmura-t-il pour lui-même.
- Percy, qu'est-ce qu'y a ? Tu me fais peur.
Il inspira un grand coup visualisant mentalement toute les raisons pour lesquelles il voulait le faire, et il y en avait beaucoup. Vraiment beaucoup, assez pour que Percy arrive à repousser la plus grosse partie de son angoisse. Puis il se lança.
- Annabeth, je t'aime, je pense que tu sais, je le dis souvent. Il m'arrive parfois de dire pourquoi, mais pas assez souvent alors voila... la première fois que je t'ai vue, j'étais un gosse de douze ans qui venait de perdre sa mère, tuer le Minotaure, et qui ne comprenait rien à ce qui lui arrivait, avant de s'évanouir sur la vision d'une fille aux cheveux blonds et aux boucles de princesse, qui disait que « je devais être lui, c'était forcément moi ». Quand j'ai revu cette fille j'étais tout aussi perdu et la première chose qu'elle m'a dit c'est que je bavais dans mon sommeil.
Un sourire se dessina sur les lèvres des deux jeunes adultes en pensant à se souvenir qui remontait à dix ans, maintenant. Il continua.
- Puis cette fille, fut la fille la plus courageuse et téméraire que je n'ai jamais rencontré, elle a accompagné un inconnu dans une quête avec des chances de survie assez minimes. Cette fille et moi on est vite devenus amis, elle me charriait souvent et me battait dans à peu près toutes les disciplines. C'était ma meilleure amie et puis les quêtes se sont enchainé, j'ai été jaloux, elle a disparu, j'ai eu peur qu'elle s'engage dans les Chasseresses, elle a était jalouse.
Annabeth fit une petite moue, qui provoqua le rire de Percy.
- Nie pas. Je disais donc, elle a était jalouse, elle m'a embrassé avant que je disparaisse de la surface de la Terre. Puis j'ai plongé dans le Styx pensant à elle, elle a pris un poignard pour moi, j'ai refusé l'immortalité pour elle, elle m'a finalement embrassé : un vrai baiser, sans danger de mort imminent, puis il y eut le meilleur baiser sous marin de tout les temps. C'en est suivit un couple adolescent heureux pendant quatre mois, puis ma disparition pendant laquelle je ne me souvenais que d'elle, les retrouvailles, la prise de judo, la nuit dans les écuries, son départ dans une quête solo, la chute, la traversé, ce terrible moment où je lui ai fait peur, la victoire au prix de nombreux sacrifices, et puis le retour à la vie normal, dans la limite de la normalité qu'offre une vie de demi-dieux.
Annabeth ne comprenait toujours pas où il voulait en venir. Elle connaissait cette histoire, c'était la sienne aussi. Alors à quoi bon la lui raconter ?
Percy, lui, espérait de tout son cœur qu'il restait cohérent.
- C'est chacun de ces instants qui font que je t'aime, chaque petit moment où tu t'es confié à moi, ou l'inverse, chaque épreuve passé ensemble, chaque moment heureux, chaque parcelle de toi, tout. Ton courage, ton insolence, ta sagesse, ta logique, ton obstination, ton intelligence, ton sourire, ta témérité, tes yeux, ton orgueil, ton âme de guerrière et de chef, et toutes les choses qui font de toi la personne que j'aime le plus au monde.
Le cerveau d'Annabeth qui, malgré un fonctionnement ralenti par la proximité de Percy et la volonté de mémoriser cet instant à tout jamais, commençait à trouver une explication à cette déclaration d'amour subite.
- Et il y a cette part de moi tout au fond, sûrement des restes de ma transformation en cochon d'Inde, qui se demande si je te mérite, la réponse est probablement non (Annabeth n'eut pas le temps de protester, Percy était lancé.) mais je t'aime, plus que tout, et je ferrais tout jusqu'à mon dernier souffle pour que tu sois heureuse. Je t'aime, et je t'aimerais jusqu'à la mort et même après, tout ça pour dire...
Il embrassa Annabeth sur le front, puis recula avant de poser un genou à terre, et de sortir une boite de sa poche. Annabeth avait les larmes aux yeux, sa théorie se confirmait, et elle ne pouvait être plus heureuse. Elle plaqua ses mains sur sa bouche, n'y croyant pas : un homme aussi merveilleux que Percy lui demandait sa main.
- Je sais qu'on a seulement 22 ans et la vie entière devant nous (même si on est des demi-dieux) mais je crois que le moment n'a jamais était aussi bien choisi. Alors, Annabeth, me ferais-tu l'honneur d'être ma femme ?
Il ouvrit la boîte qu'il tenait désormais entre lui et Annabeth, cette dernière vue une bague simple et sophistiquée à la fois : l'anneau était argent et la pierre qui la sertissait n'avait rien d'humain, pour la forme elle était parfaitement normal, pour la couleur elle était magique, le gris de ses yeux et le vert des yeux de Percy se mêlaient dans un précipité d'une parfaite harmonie. Elle avait les larmes aux yeux qui menaçaient sérieusement de débordé, lui avait les yeux mouillés.
- Oui, tout les oui du monde ! affirma-t-elle en dégageant ses mains de devant sa bouche qui formaient un sourire sublime.
- Pour de vrai ? demanda Percy avec un sourire mi-soulagé mi-heureux.
- Oui pour de vrai Cervelle d'Algues !
Elle tendit sa main gauche vers Percy. Ce dernier sorti la bague, les mains légèrement tremblantes. Il saisit la main d'Annabeth avec une tendresse infinie et passa délicatement l'anneau à son doigt. Avant de se relever et de faire face à sa fiancée. Ils s'embrassèrent, tout l'amour du monde passa dans leur baiser qui dura longtemps, jusqu'à ce qu'il n'est plus de souffle. A ce moment là ils restèrent front contre front.
- Je t'aime tellement Cervelle d'Algues.
- Je t'aime aussi Puits de Sagesse.
- Ne redit plus jamais que tu ne me mérites pas...
Et ils s'embrassèrent de nouveau, Percy rompu le contact pour répondre :
- Promis.
Cette fois ils ne s'embrassèrent pas, ils se serrèrent dans les bras pendant plusieurs minutes. Puis ils montèrent se coucher. Ils ne dormirent quasiment pas cette nuit là, ils restèrent dans les bras l'un de l'autre profitant du calme ambiant, tantôt ils parlaient tantôt ils profitaient simplement de la présence de l'autre. Annabeth n'arrêtait pas de passer son doigt sur l'anneau pour s'assurer que c'était bien réel, à force de faire tourner l'anneau sur son doigt elle sentit une rugosité, elle analysa celle-ci de plus près, cela ressemblait à une écriture mais elle ne voyait rien, la chambre était plongée dans le noir.
- Percy ?
- Oui ?
- Est-ce qu'il y a écrit quelque chose sur la bague ?
- Oui : « Plus jamais ».
- C'est... c'est ce que tu m'as dit quand on est tombé... réalisa Annabeth.
- Précisément.
- Percy ?
- Hum ?
- Je t'aime.
- Moi aussi Puits de Sagesse, moi aussi...
Le lendemain matin quand ils descendirent à la cuisine pour le petit-déjeuner tout le monde était déjà attablé autour de pancakes bleus. Les jeunes fiancés s'assirent à côté sur les deux chaises restantes et se servirent. Percy engloutit rapidement deux pancakes pendant qu'Annabeth continuait discrètement de tripoter sa bague avec un petit sourire innocent. Il y avait aussi du chocolat chaud, quand Annabeth porta son bol à sa bouche Sally, qui était assise en face d'elle, remarqua un drôle d'éclat au niveau de la main gauche d'Annabeth qu'elle analysa rapidement.
- Annabeth, est-ce que c'est ce que je crois autour de ton doigt ?
Annabeth jeta un coup d'œil à la bague puis à Percy, ce dernier lui donna un baiser sur la joue pour l'encourager. Les autres conversations autour de la table c'étaient tues. Ils avaient beaucoup parlé pendant la nuit, mais bizarrement pas des fiançailles et de tout ce qui allait avec : mariage, annonce aux familles et amis... Ils avaient juste parlé comme si rien n'avait changé. Annabeth avait sûrement passé une des meilleures nuit de sa vie mais maintenant qu'elle se retrouvait à devoir l'annoncer sans préparation elle aurait aimé qu'ils en parlent un peu.
- Humm... si tu crois que c'est une bague de fiançailles alors il y a de fortes chances pour que tu ais raison.
- Par les dieux je suis trop contente pour vous ! s'exclama Hazel toute guillerette.
- Félicitation ! se contenta de répondre Frank car il ne savait pas quoi ajouter tandis qu'Hazel se levait pour aller les serrer dans ses bras.
- Je suis vraiment content pour vous deux ! Je vous souhaite tout le bonheur du monde ! claironna Paul alors qu'Hazel les étreignait.
Tout le monde se tourna vers Sally qui n'avait toujours rien dit. Elle pleurait. Oh, c'était des larmes de joie. Mais cela n'empêcha Percy de se lever pour aller la serrer immédiatement dans ses bras.
- Par les dieux Percy, je suis tellement contente pour toi, affirma-t-elle enfoui dans l'épaule de son fils. Vous méritez tellement...
- Hé Maman, pleure pas, dit-il doucement en extirpant la tête de sa mère de son épaule pour pouvoir la voir en face.
L'écrivaine essuya rapidement ses larmes avant de plonger son regard dans les yeux océan de son fils.
- Percy je suis tellement heureuse, je veux dire que tu es Annabeth, elle est parfaite tu sais ? demanda Sally en oubliant totalement que la concerné était à moins de trois mètres d'elle.
- Oui, parfaite, acquiesça le fils de Poséidon.
- Tu vas prendre soin d'elle ?
- Plus que de la prunelle de mes yeux.
- Je t'aime tellement.
- Moi aussi je t'aime Maman.
- Je suis tellement heureuse pour vous. Je vous souhaite beaucoup, beaucoup de bonheur.
Et, malgré toutes les épreuves qu'ils avaient traversés, l'Orage et l'Océan trouvèrent le bonheur infini.
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Et voilà un petit OS spécial Noël !! J'espère qu'il vous aura plus 😁 ! Pour ceux qui ont demandé la suite du OS de la partie précédente ça va arriver ne vous inquietez pas 😅, bref bref bref.... veuillez m'excuser pour les fautes...
Avant de vous quitter je tiens à remercier LaEleRousse et AnnabethBerroud poir les idées de cadeaux vous m'avez sauvé la vie !!! Et je re-remercie AnnabethBerroud pour la new couv qu'elle m'a offert pour Noël avouez elle est canon 😍
Sinon j'espère que vous passez de bonnes Fêtes !!! Et je vous souhaite de passer un joyeux Noël !! Ou joyeux tout ce que vous fêtez !
Bisous 😘
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