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135_ Un verdict inquiétant

Mais son sourire tomba rapidement lorsqu'il surprit plusieurs regards masculins détailler sa partenaire.

Cette fois il se tendit.

L'envie de leur enfoncer à tous son poing en pleine tronche ne le quittait plus. Et pourquoi pas les trancher en rondelles en premier lieu avant d'enfoncer leurs sales tronches en plein postérieure !? Au sens propre.

Une idée franchement attrayante.

Toutefois il se contenta d'un regard noir et assassin.

Eleysia n'était pas la seule à avoir du succès, lui aussi en avait, cela dit il n'y prêtait aucune attention, bien trop préoccupé par l'intérêt que suscitait sa partenaire auprès des hommes.

Elle par contre, bien qu'elle ne dise rien, n'appréciait pas beaucoup les femmes qui lorgnaient sur son capitaine.

Par tous les moyens elle prenait sur elle pour garder son calme. Généralement elle n'était pas du genre jalouse mais là ça faisait beaucoup, d'autant qu'elle était déjà à cran.

- Oh Monsieur Law, vous êtes venu ! interpella une voix fatiguée derrière eux, les stoppant dans leur marche.

Ils détournèrent leur attention vers la même personne.

Soit le vieux major d'homme qui les avait repéré.

- Je n'ai faillit pas vous reconnaître sans votre bonnet. rit-il en les rejoignant après s'être frayé un passage parmi la foule.

Ah... Ben il venait de mettre les deux pieds dans le plat. Bien joué le vieux.

Trafalgar affichait un air excédé et glaciale qui fit tressaillir le pauvre homme.

Pensant trouver de l'aide auprès de celle qui se tenait à ses côtés, le vieillard lui lança un rapide coup d'œil :

- V-vous êtes resplendissante mademoiselle...

Il déglutit lorsqu'il devina dans ses yeux d'or tout aussi froid, de la colère.

Law brisa le silence entre eux :

- Ça, ce n'était pas convenu dans notre accord. cracha-t-il en désignant d'un regard la porte qui avait changé leurs habits.

- Oh... C-ce- Il devait s'agir d'une surprise mais ne vous en faites pas, vos vêtements vous seront automatiquement rendus lors de votre second passage, vous avez ma parole.

Il ne laissa pas le temps au pirate de le déstabiliser davantage et lui indiqua une porte en fond de pièce.

- Venez. Notre maître vous attend, il est resté au chevet de la petite toute la nuit alors qu'elle se débattait contre le virus.

- Puis-je vous poser une question. l'arrêta la jeune femme sans vraiment attendre qu'il l'y autorise. Pourquoi organiser un bal dans un moment pareil !? C'est extrêmement déplacé.

- Oh ça... prononça-t-il en baissant tristement sa tête. La jeune maîtresse a supplié son père de continuer les festivités comme avant afin de conserver son image auprès de ses citoyens.

Il releva la tête pour leur faire face :

- Pensez bien qu'il a d'abord refusé pour les mêmes raisons que vous venez de soulever. Sa préoccupation première était l'état de sa fille et le regard qu'on avait sur lui lui importait peu.

Il souffla du nez :

- Mais la jeune maîtresse sait se montrer très convaincante, alors il a cédé. Une fois par semaine il organisait un bal pour permettre à son peuple de s'amuser, car tout le monde y est invité. Enfin c'est une organisation un peu plus complexe vous vous doutez bien. Toujours est-il que cette fois, bien qu'il ait organisé ce bal pour sa fille, seul un nombre restreint de sujet ont été invités, dont vous. Et ce bal ne dure que quelques heures.

Trafalgar esquissa un bref signe de la main, stoppant le vieil homme dans ses explications et démontrant que la suite ne les intéressait pas.

- Amène nous à la gamine. ordonna-t-il simplement.

Le major d'homme eut un léger sursaut comme s'il s'était rendu compte qu'il s'étalait un peu trop sur le sujet de base.

- Oui Monsieur.

Docilement, il quitta la salle de bal suivi de près par les deux pirates. Et ce, jusqu'à un grand couloir. Éclairé par la lumière naturelle passant par les fenêtres sur leur droite, en face desquelles se trouvaient des portes entre coupées par des meubles anciens ou vieilles armures.

Après une petite trotte, le vieil homme s'arrêta devant une porte gardée et leur demanda de bien vouloir patienter tandis qu'il fut le premier à entrer.

Trafalgar dévisagea l'un des jeunes gardes qui le fixait sans vergogne depuis qu'il était arrivé dans son champs de vision.

- Un problème ? finit par demander le capitaine froidement, visiblement agacé.

Le jeune, qui devait avoir environ le même âge sursauta avant de détourner le regard :

- Non c'est juste... Que je vous trouve plus impressionnant en vrai. déglutit-il en serrant son fusil sur son épaule mal à l'aise.

Ce à quoi Law ne répondit rien, affichant un air indifférent. Bien que dans le fond une once de fierté étreignait son cœur.

Eleysia eut envie de pouffer à côté. Mais elle se contrôla, n'esquissant qu'un bref rictus au coin de ses lèvres.

Soudain la porte s'ouvrit d'un coup sur un homme à moitié essoufflé qui se tenait au bord de cette dernière.

Plutôt grand, mal rasé, des cheveux noirs en vracs, yeux bleus et teint basané camouflant légèrement des cernes profondes.

- Monsieur Trafalgar Law. Vous êtes venu. souffla-t-il l'air éreinté et désespéré.

Il s'agissait de nul autre que Williams André en personne.

Un homme à l'allure mal entretenue.

Tout le contraire de ce que s'étaient imaginés les deux pirates à vrai dire.

De ses yeux bleus, il dirigea son attention vers la jeune femme, voulant probablement la saluer puisqu'il esquissa un léger signe de tête avant de rediriger toute son attention vers le chirurgien de la mort, désespérément.

- Aidez mon enfant s'il vous plaît. demanda-t-il fermement décidé.

Cet homme semblait prêt à tout, la lueur d'inquiétude dans ses yeux transparaissait malgré la fatigue.

Law sembla prit de cours l'espace de quelques secondes à peine suite à l'irruption soudaine de cet homme, puis répondit en fronçant ses sourcils :

- Je suis là pour ça.

Une étincelle de soulagement passa dans les pupilles azures du père qui s'écarta aussitôt pour les intimer à entrer dans ce qui semblait être une chambre d'enfant.

Eleysia lâcha son capitaine, l'incitant à rentrer le premier, ce qu'il fit machinalement.

Une légère odeur de transpiration flottait dans l'air.

- Vous devriez penser à renouveler l'air. suggéra le tatoué sérieux en jetant une rapide œillade au major d'homme qui se faisait tout petit derrière son maître.

- Oh, oui vous avez raison. s'enquit-il de dire en se dirigeant vers l'une des grandes fenêtres pour l'ouvrir.

Il faisait bon dehors, l'air était doux, c'était le temps idéal pour aérer la chambre et également une chose basique à faire pour éviter aux microbes de venir trouver un coin où loger.
Un corps humain à besoin d'oxygène pour vivre, ainsi plus celui-ci est pur, mieux l'on se porte.

Le pirate se dirigea automatiquement vers le lit en fond de pièce, dans l'ombre des rideaux occultant clos.

- Nous n'ouvrons pas les rideaux car Mély souffre dès lors que la lumière du soleil touche sa peau. Elle m'a dit... Qu'elle sentait bouger l'insecte. s'expliqua le père la voix un peu rauque en lui emboîtant péniblement le pas.

Sans répondre, Law enregistra l'information.

De toute évidence, l'insecte n'aimait pas la lumière.

Arrivant devant la petite endormie, il remarqua d'un seul regard sur son front humide qu'elle devait avoir de la fièvre. De plus la bassine d'eau et le tissu humide sur la table à ses côtés en témoignait.

La respiration de l'enfant était rapide et saccadée. Elle semblait beaucoup souffrir.

Eleysia resta un peu en retrait, ne désirant pas gêner. Assez près cependant pour remarquer que le lit double était également occupé par un jeune garçon aux cheveux rouges endormi auprès de l'alitée.

- Depuis quand a-t-elle de la fièvre ? questionna Law visiblement préoccupé.

- Depuis trois jours, peut-être quatre... soupira le père en venant s'assoir au pied du lit en posant son regard sur son enfant.

- Vous n'êtes pas parvenu à la faire tomber ?

- Non. Son état n'a fait qu'empirer de jour en jour.

- Depuis quand a-t-elle attrapée cet insecte ?

- Depuis environ deux semaines.

Cette fois Law se crispa tandis qu'une idée désagréable lui traversa l'esprit. Il espérait se tromper mais...

- J'aurais besoin d'une bassine, ou de quoi jeter cette bestiole.

Le noiraud avait déjà repéré le matériel médical à disposition à côté. Parfait, il n'aurait pas à faire une liste du nécessaire.

- Bien sûr.

Williams se tourna vers son majordome qui acquiesça immédiatement avant de s'éclipser.

C'est sans Kikoku cette fois mais bien d'un geste de la main munie d'un scalpel à proximité qu'il utilisa "Scan" avant que son expression ne se renfrogne davantage.

- Je m'en doutais.

- Qu'y a-t-il ?? s'angoissa aussitôt le père, tendu.

Law sembla s'assurer silencieusement de ce qu'il venait de remarquer tout en détaillant le corps de l'enfant de son regard perçant.

- L'insecte à p-

- Capitaine. l'interrompit la blonde en haussant la voix.

Le noiraud dévia son attention vers elle en silence, croisant ses sourcils froncés et son regard insistant vers le petit Léo qui se réveillait.

- ...

Elle savait certainement ce que Law s'apprêtait à dire et ne voulait probablement pas traumatiser l'enfant.

- Monsieur le pirate ? marmonna-t-il à moitié réveillé en l'apercevant en même temps qu'il se redressait en frottant ses yeux. Vous allez sauver ma sœur hein ?

- ...

Trafalgar fixait le gamin, impassible. Il semblait plutôt entrain de resonger à une période bien sombre de sa propre existence.

Williams paraissait tout aussi impatient et stressé d'entendre sa réponse, pendu à ses lèvres muées en un sourire inversé.

Une main ferme se posa sur son épaule, le ramenant à lui.

Il croisa les prunelles inquiètes de la jeune femme qui semblait avoir deviné son malaise.

Lui aussi avait eu une sœur autrefois. Une sœur qu'il n'avait jamais été capable de sauver. Évidemment qu'il s'en voulait toujours pour ça.

Mais ce n'était pas le moment de rêvasser, il y avait clairement plus urgent.

- Je vais faire mon possible. assura-t-il en détournant son regard vers Léo, puis Mély.

- En attendant Léo, veux-tu bien m'accompagner faire un tour ? proposa doucement la jeune femme en resserrant discrètement son emprise sur l'épaule de son capitaine.

C'était une preuve de soutien et il le savait. Elle devait probablement s'inquiéter pour lui. Comment faisait-elle pour deviner lorsqu'un truc n'allait pas...

Étonnamment il se sentait mieux et fin prêt à opérer.

Le gamin semblait hésitant, il n'avait pas vraiment envie de laisser sa sœur.

- Léo, écoute cette jeune femme s'il te plaît, cet homme sait ce qu'il fait, il la sauvera je le sais. du moins il l'espérait de tout son être.

L'enfant finit par opiner d'un signe de tête léger avant de descendre du lit pour rejoindre la jeune femme avec un timide sourire.

Elle le lui rendit avec douceur avant de lui tendre une main qu'il saisit.

Puis, après avoir lancé un dernier regard à son capitaine, elle fit volte face et quitta la pièce en même temps que le majordome revenait avec un sac poubelle et une bassine.

La porte close, Law pu terminer sa phase :

- L'insecte n'est plus la seule préoccupation à avoir, il a pondu des œufs depuis quelques jours déjà, c'est ce qui à dû détériorer l'état de la gamine.

- Q-que dites vous !? s'horrifia le père en tremblant.

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