Mes larmes coulaient,
Tout ceci à cause de tes mots.
Mon rire éclatait,
Ne trouves-tu pas qu'à présent il sonne faux ?

Du désespoir à l'euphorie,
De l'angoisse à la fureur,
C'est par cela que je passe chaque heure.
Mes émotions sont si vives !
Comment vais-je y survivre ?

Mais je ne pouvais m'empêcher,
De te comprendre.
Tes malheurs ne me sont point étranger,
Ils sont tout autant ta et ma propriété.
Mais pourquoi ne puis-je cesser de les entendre ?