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Chapitre 3 - Panique à Amon Sûl



Le bois de Chet était un bois tranquille, surtout au petit matin. Le soleil était timide en cette nouvelle matinée et la faune de la forêt était encore endormie. Vous auriez pu tendre l'oreille, le vent aurait été le seul à vous répondre. Tendez encore un peu l'oreille et peut-être que vous attraperez au hasard le glissement de la rosée d'une feuille à l'autre jusqu'à ce que la goutte s'écrase sur le sol terreux et retourné par les pattes de quelconques animaux nocturnes. Si j'avais eu un corps, je me serais complu dans ces lieux, marchant calmement, sifflotant joyeusement, profitant de la paisible fo...

« Yahouuuuuu ! s'écria une voix aigüe, réveillant d'un coup les animaux de leur sommeil profond. Vive l'aventure ! »

Une Naine déboula brusquement sur le sentier principal, brandissant fièrement la hache. Sous ses pieds se soulevaient de minces nuages de poussière et les gravillons tremblaient légèrement dès que les bottes aux semelles de fers s'abattaient sur le sol. Quelques mètres plus bas, car c'était à Eithne qu'était revenu l'honneur d'ouvrir la marche, Owen tentait péniblement de suivre son amie. Bien qu'elle fût plus petite et surtout plus encombrée par ses nombreux sacs, la jeune Naine avait un pas de course rapide et Owen n'arrivait déjà plus à tenir le rythme.

« Eithne ! s'écria d'ailleurs le jeune homme. Attends-moi.

- Tu peux toujours courir ! lui répondit la rousse en accélérant même le rythme. »

Puis, tout à coup, Eithne s'arrêta, considéra ce qu'elle venait de dire et se plia en deux. Son petit corps robuste était secoué d'un fou rire contagieux qui eut tôt fait de faire piaffer les oiseaux autour d'elle. Son rire communicatif toucha même le vent qui fit frissonner les feuilles des arbres autour d'eux. La Naine riait tellement qu'elle s'en roula par terre. Quand Owen arriva à sa hauteur, d'ailleurs, Eithne frappait le sol de son poing fermé, les yeux emplis de larmes.

« Tu peux toujours courir ! s'exclama-t-elle. Alors que tu courrais... T'as compris ?

- Mais Eithne... soupira Owen, effaré alors qu'il aidait son amie à se relever. C'est vraiment nul comme blague...

- Tu es nul, Owen. C'est la meilleure blague que j'aie jamais faite ! »

L'homme secoua la tête, dépité. L'humour nain resterait à jamais un territoire vaste et inaccessible à ses yeux. Pourtant, son manque de réaction ne démonta pas la jeune naine et celle-ci se remit à courir, engageant son compagnon à en faire de même.

« Tes amis sont bruyants... nota Ithilion en jetant un regard en coin à Tilda.

- Ils s'amusent, constata simplement la jeune femme hobbit en lançant une pomme quelques mètres plus loin pour occuper Drogo. »

Le cochon poussa quelques cris euphoriques et se lança à la poursuite du fruit. Tilda couva son ami d'un regard amusé et se tourna de nouveau vers l'Elfe. Ce dernier, par soucis de solidarité et surtout parce qu'il ne s'était pas attendu à ce que Tilda et ses amis arrivassent avec leurs poids en équipement, avait décidé de marcher à côté de son cheval. Maggot avait donc eu le loisir d'observer Ithilion et sa démarche soutenue. Bathilda avait rarement vu quelqu'un marcher avec autant de grâce et chaque pied posé au sol l'émerveillait un peu plus. Elle fut soudain distraite par Drogo qui revenait, la pomme coincée entre ses dents. Le cochon rejoignit sa maîtresse, tourna autour d'elle, secouant sa petite queue en tirebouchon tout en poussant de nouveaux grognements. Allez chercher la pomme était indubitablement son jeu préféré et il ne comprenait pas pourquoi le cheval ne faisait pas de même. Tilda céda à son ami et se saisit du fruit abîmé pour le relancer toujours plus loin.

« Tu as l'air de bien t'amuser aussi, constata l'elfe, imperturbable alors qu'il fixait obstinément la route qui filait entre les arbres.

- Hum... oui. C'est amusant, l'aventure. »

Ithilion hocha la tête. Bien que mon avis vous importât peu, il en allait de mon affaire de commenter les états de mes personnages et comment aurais-je pu laisser filer l'occasion de dépeindre la gêne de notre elfe ? Noble et fier d'être ce qu'il était, Ithilion ne s'était jamais imaginé devoir un jour marcher près d'une jeune hobbit tiret de séparation humaine. Il s'en retrouvait dépourvu de toute conversation. Oh, il aurait bien chanté, ou même parlé de la joie d'écouter un luth dissimulé sous l'ombre d'un arbre. Mais, et cela était peut-être un apriori maladroit, l'elfe brun était formellement convaincu que nos trois larrons étaient aussi ouvert d'esprit que la gueule bavante d'un Ouargue devant un plat de légume. Là était tout le souci de ceux qui, un jour dans leur vie, s'étaient sentis au-dessus d'autres gens. Dès qu'il s'agissait de se sociabiliser, leur fierté mêlée d'une pointe d'angoisse face à l'inconnu se révélait être le rempart qui les empêchait de profiter pleinement de l'instant.

« Pourquoi toute cette excitation autour d'un voyage ? demanda l'elfe pour briser le silence. Qui plus est dangereux...

- Aller chercher un morceau de caillou à l'autre bout du pays n'est pas très dangereux... gloussa Tilda qui avait décidé de fuir la question.

- Ce n'est pas n'importe où ni n'importe quoi ! s'alarma Ithilion. C'est une pierre authentique de la forteresse de Barad-Dûr, la demeure du plus mauvais des êtres après Morgoth.

- Et alors ? soupira Tilda, embêtée que l'elfe lui parlât ainsi. Il suffit de le lui demander justement. Et puis, par ailleurs, pourquoi pas un autre caillou ?

- Parce que mon père a demandé cette pierre et ce n'est pas aussi simple... grogna Ithilion. »

Finalement, il n'avait pas eu tort, cette hobbit n'était vraiment pas éduquée à sa manière.

« Eh bien, on ira la chercher, cette pierre... murmura doucement Tilda. »

L'elfe grogna quelque chose et se remit à fixer obstinément la route. Tilda continua de jouer avec Drogo et ne prit pas la peine de s'attarder sur le pourquoi du comment l'aventure l'intéressait tant. De toute manière, si Ithilion était vraiment curieux, il viendrait de lui-même lui parler.

« Et pour l'aventure ? coassa l'elfe à contre cœur parce qu'il espérait parler encore un peu.

- Quoi, l'aventure ? s'amusa Tilda.

- Eh bien, pourquoi êtes-vous tous trois emballés pour une aventure !

- Parce que cela nous change du quotidien ! répondit Tilda, un immense sourire sur les lèvres. »

L'elfe l'observa. Une étrange lueur brillait dans le regard chaud de la jeune femme, comme si elle retenait en elle une chose essentielle. Elle porta inconsciemment la main à son cou, attrapa le lacet autour de son cou et le serra entre ses petits doigts. Emporté par la curiosité, Ithilion voulut lui en toucher deux mots quand tout à coup, Eithne surgit de nulle part.

« Plus vite ! les pressa-t-elle. Oh et Ithilion ! J'ai des cailloux pour toi ! »

Et Eithne déballa devant le regard effaré de l'elfe une bourse pleine de petites pierres.

~ .... ~

La nuit était tombée sur le septième jour de voyage. Ils avaient tous marché d'un bon pas et la compagnie s'aventurait à présent dans les terres de l'Eriador. Il était d'ailleurs prévu qu'ils s'arrêteraient pour la nuit au sommet d'Amon Sûl. D'abord réticent, Ithilion avait fini par céder aux suppliques d'Owen qui se plaignait d'ampoules et de courbatures répétées. Ainsi, la troupe atteignit le Mont Venteux durant la fin d'après-midi et l'installation du bivouac dura jusqu'à la tombée de la nuit. Au plus grand bonheur d'Ithilion, c'était une agréable soirée, tranquille et sans histoire. Eithne était fatiguée d'avoir couru toute la journée, Tilda et Drogo s'intéressaient au feu plus qu'à la conversation et Owen geignait silencieusement sur son pauvre sort. La seule chose qui aurait pu ennuyer l'elfe était l'odeur nauséabonde qui émanait des pieds découverts du jeune homme.

« Qu'est-ce qu'on mange ? demanda Eithne en jetant un coup d'œil à Ithilion dont les paupières battait nerveusement.

- Je voulais faire des saucisses, mais ce serait insulté Drogo... avoua Tilda, ennuyé. Du coup, je nous fais cuire un peu de poulet avec des œufs, de la tomate et quelques herbes ramassées dans le bois de Chet.

- Voilà un menu qui ravit d'avance mes papilles ! s'exclama joyeusement Owen après avoir massé ses chaussures. »

Tilda remercia son ami et les deux jeunes gens se mirent à parler de la prochaine journée. Pendant ce temps-là, Eithne fixa l'elfe d'un drôle d'air. Son père lui avait répété mainte fois auparavant : les elfes ne sont pas parfaits. Pourtant, la jeune Naine ne voyait pas l'imperfection sur le visage d'Ithilion. L'être de sagesse restait impassible, ne cillait pas et fixait l'obscurité ambiante d'un œil morne. Il semblait garder son sang-froid comme on garde un coffre de piécette dans un coin de son coffre-fort qui est lui-même rangé dans une armoire de plomb, elle-même dissimulée dans une pièce fermée par une lourde porte de bois. Cette attitude attira finalement l'attention d'Eithne sur le lieu qu'ils avaient choisi pour passer la nuit. Amon Sûl, de son autre nom le Mont Venteux, était une colline de l'Eriador. Elle se situait à quelques kilomètres de la sortie du bois de Chet. Le monticule de terre et de verdure se hissait dans la plaine, s'élançant encore sous l'impulsion de cette tour en ruine, jadis fierté du pays d'Arnor, gardienne d'un Palentir. Pourtant, aujourd'hui, Eithne ressentait le besoin pressent de s'approcher de la chaleur et de la sureté du feu. Une atmosphère lourde s'était levée autour d'eux, l'air se fit plus frais, le vent, plus fort.

Eithne, d'un regard inquiet, inspecta les sinistres statues de rois qui se dressaient tout autour d'eux. De leurs yeux vides, les sculptures sombres posaient leurs regards sur les étrangers qui étaient venus fouler leur demeure.

« Mais oui ! s'exclama soudain la Naine. Le Mont Venteux !

- Quoi, le Mont Venteux ? s'enquit Tilda qui avait cessé de remuer son poulet sur sa casserole.

- Eh bien, je me souviens enfin pourquoi ce lieu me disait quelque chose !

- Et alors ?

- Alors vous feriez mieux de garder ces détails pour vous, Maîtresse Nain ! prévint Ithilion. Vous n'en dormiriez pas... »

Tilda jeta un regard accusateur à l'elfe. Etait-il forcé de gâcher l'ambiance à chaque fois ?

« Une petite histoire ne nous ferait pas de mal ! assura-t-elle, ignorant royalement l'air ennuyé de l'elfe.

- Oui, oui ! Vas-y Eithne ! encouragea Owen.

- C'est mon père qui m'a raconté cette histoire. Elle lui vient de son oncle Balin et remonte au temps où Erebor n'était déjà plus notre cité, avant que la Compagnie de Thorin Ecu-de-Chêne ne la reconquît.

- Pressons ! insista Owen qui voulait savoir la suite. Pressons !

- Là où nous sommes assis et là où nous allons dormir, s'était un jour aventuré la lourde silhouette de l'Orque Pâle.

- Tu veux dire... Azog le Profanateur ? s'enquit Owen dont l'histoire lui avait été conté brièvement par le père d'Eithne.

- Lui-même... répondit sombrement la jeune Naine. C'était ici qu'il naquît avant de migrer avec ses frères et sœurs dans les Mines de la Moria, volant à mon peuple la plus belle des cités Naines. »

Eithne marqua une pause et le vent fila entre les colonnes de pierre pour chatouiller les aventuriers.

« Azog était grand, pâle et laid... souffla Eithne. Il était monstrueux, son corps couvert de cicatrices pustuleuses et ses petits yeux porcins brillaient d'une sombre lueur de haine. On racontait qu'il avait soif de sang et qu'il aimait, avant de dormir, entendre les cris de ceux qu'on torturait.

- Et... T-tu dis qu'il a vécu... ici ? bredouilla Owen.

- Pire ! Il est né ici... souffla Eithne en tirant nerveusement sur sa barbe dont la voix n'était plus qu'un souffle. Sa présence est partout dans ces pierres. Elle hante le sol et l'air. Et... »

Un gémissement plaintif coupa la Naine dans sa lancée, faisant sursauter le pauvre elfe qui s'était à moitié endormi. Il tendit l'oreille, renifla l'air mais rien de suspect ne lui vint à l'esprit. Machinalement, il se rapprocha du feu, et pour ainsi dire, de Tilda. Owen, tremblotant, décida de se servir, pensant qu'avec l'estomac plein, les dires d'Eithne seraient moins effrayants.

« Un jour, ce qui fit la sinistre réputation d'Azog parmis nos rangs arriva, poursuivit Eithne, sans se décomposer. C'était Thròr, le dernier Roi sous la Montagne, qui en paya les frais. Lorsqu'il entra dans la demeure des Nains, la Moria, il fut attrapé, sa tête séparée de son corps. On ne sut jamais vraiment s'il lutta dans la Moria et si sa mort fut douloureuse et longue. Mais l'affront avait été commis et la guerre déclarée. »

Il y eut un silence pesant, accompagné du crépitement du feu. Tilda frissonna et son regard capta celui de l'elfe.

« C'est pour cela que tu es sur tes gardes, Ithilion ? demanda la hobbit en lui servant une assiette.

- Il y a presque un an, j'ai entendu une sombre histoire sur ce lieu, confia l'elfe. C'était à l'époque où le porteur de l'anneau vint à Fondcombe. Il avait été blessé ici-même par une lame maléfique et ce fut presque de sa vie qu'il en paya le tribut.

- Que s'était-il passé ? voulut savoir Eithne.

- De ce que me contât l'un de ses compagnons, ils avaient allumés sur le Mont Venteux un feu. Les flammes rouges attirèrent là les Neufs Nazgûl qui cherchaient l'Anneau Unique, un dangereux objet. Ils étaient grands et donnaient l'impression de flotter au-dessus du sol. Leurs longues capes noires semblaient flotter autour d'eux comme le voile déchiré d'une mariée et l'on pouvait entendre leur respiration profonde, semblable à un râle de douleur. L'un d'eux se détacha des autres, accula le jeune Frodon Sacquet et de sa lame, le transperça.

- Cet endroit n'est pas fait pour les aventuriers, maugréa Owen. Il faut qu'on reparte !

- Trop tard, Eithne dort déjà... soupira Tilda, amusée. Allons, Owen, ce ne sont plus que des histoires. Azog le Profanateur est mort et je ne vois pas pourquoi les Cavaliers Noirs nous chercheraient des ennuis.

- Laissons au moins un feu allumé ! insista Owen qui avait posé son repas sur le côté. »

Ithilion hocha la tête, sentant qu'il ne servait à rien de discuter et décida qu'il était temps de mettre tout le monde au lit. Il se désigna gardien de leur sommeil, se releva, attrapa au passage une couverture dont il se vêtit et s'approcha du point le plus éloigné du petit groupe. Tilda le regarda faire sans rien dire, éteignit le feu, perdue dans ses pensées et alla se coucher à son tour. Mais le sommeil ne lui vint pas car son esprit était bien trop embrumé par toutes ces histoires horrifiantes. Et si les Spectres revenaient ? Et si Azog n'était pas mort ? Ou pire, que son esprit hantait les lieux ? Et si...

C'est qu'elle s'endort, la Tilda ! Et sans vraiment me prévenir. Ah, voilà le souci d'être narrateur. D'un instant à l'autre, votre personnage pourrait vous abandonner, vous laissant là, sans rien à dire, sans rien à décrire, puisque l'atmosphère vous est déjà familière. Faites des histoires, qu'ils disaient. Des histoires, nom de dieux ! Sans personnages, elles ne rimeraient à ri...

Une ombre s'avança soudain. Et dans le plus grand des silences, sa cape noir glissait sur le sol, comme si l'être dissimulait en dessous ne pouvait toucher le sol. Sous la lumière lunaire, la mince ligne de peau que l'on pouvait entrevoir était d'une pâleur morbide et sa respiration, lente et profonde, se faisait entendre de la même manière que le vent souffle dans les branches, un soir de pleine lune. Sans un bruit, elle s'approcha du feu, encore allumé, le dépassa, arriva à la hauteur de Bathilda qui se trouva éveillée par cette présence dérangeante. Ses yeux s'ouvrirent brusquement, virent la silhouette et tout à coup, la jeune hobbit se mit à crier d'effroi. Cette clabauderie réveilla Owen qui se mit à son tour à crier, se précipitant hors de son sac de couchage pour secouer Eithne tout en maudissant la naine de tous les noms d'avoir attiré à eux de mauvais esprits avec ses histoires.

Eithne se réveilla donc, maugréa quelque chose que je préfère garder pour moi, vit la longue silhouette qui s'approchait dangereusement d'une Tilda effrayée tout en gesticulant et se jeta sur son arme.

« Drogo ! Attaque ! s'écria la naine. Attaque le vilain truc ! »

Drogo, en fier soldat, chargea l'horrible spectre qui essayait d'attaquer sa maîtresse et se laissa tomber de tout son poids sur l'ennemi. Tout en poussant ses grognements victorieux, il s'abattit de tout son poids sur le corps, chercha une zone rebondie et mordit à pleine dent. Ses quenottes déchirèrent le tissu de la cape et s'enfoncèrent avec force dans la chaire juteuse d'un arrière train.

« Par tous les habitants du Valinor ! s'écria soudain Ithilion en se relevant brusquement. »

Drogo roula sur le côté et se remit sur ses quatre pattes, amusé. Maintenant, il se disait bien qu'il reconnaissait l'odeur de l'elfe.

« Ithilion, c'était toi ? demanda Eithne, soudain gênée.

- Evidemment ! s'énerva l'elfe qui avait eu mal. Qui d'autre ?

- Dans ta cape, je t'ai pris pour un Spectre !

- Maintenant tu es un Spectre troué ! plaisanta Tilda en s'approchant pour inspecter l'arrière train du brun.

- Ne regarde pas ! Ce sont mes fesses ! »

Notons que comme chaque elfe, Ithilion est d'une pudeur exagérée.

« Je peux les soigner ! protesta Tilda qui tenait de ne pas se laisser attraper par le fou-rire d'Owen.

- Je vais me soigner seul ! grogna Ithilion. Vous êtes tous barges ! »

Et si vous aviez été à ma place, observant la scène de cet œil omniscient, vous auriez comme moi vu l'elfe rougir, la naine féliciter Drogo, Tilda insister et Owen se plier de rire. Malheureusement, la suite, un certain Ithilion m'interdit de vous la conter, il sera donc d'usage de conserver le secret de ses dix points de sutures et quelques larmes de douleurs pour moi. Enfin, peut-être que j'en ai déjà trop dit !

Holà !

Le chapitre 3 étant enfin terminé, j'en profite pour le poster avant mon bac blanc (parce que sinon, vous étiez parti pour l'attendre encore looooongtemps). Du coup, promis, je l'éditerai à la fin de la semaine prochaine. J'aime beaucoup ce chapitre et j'espère qu'il vous plaira autant. Mais ce dont j'ai hâte, c'est d'écrire le chapitre 4 ! Enfin, ça, si l'histoire vous plaît toujours bien sûr ! N'hésitez donc pas à me dire en commentaire ce que vous en avez pensé ! Et pour vous tenir à la page (si vous êtes nouveau et que vous n'avez pas l'habitude de me lire), ajoutez cette histoire à vos favoris et followez ! Parce que je suis diablement longue à écrire.

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