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Bonus : Rencontre improbable (partie 2)

Je me sens mise à nue et flattée à la fois. Nos regards se croisent en silence pendant quelques secondes. Il me regarde amicalement et je finis par lui rendre lentement son sourire. Aussitôt, il détourne ses yeux pour s'intéresser à ce qui se trouve sur la table basse : une bouteille de jus de fruit, des fruits secs et des biscuits.

- Alors Maude ? Qui es-tu ? Me demande-t-il en prenant une poignée dans un bol.

- Oh... Euh je ne suis pas très intéressante... dis-je en m'installant à l'autre bout du canapé, près du bord.

- Vraiment ? Tant pis, maintenant qu'on est là... Tout à l'heure tu as dit que tu étais « déguisée », raconte ? Continue-t-il en picorant ses fruits secs.

- Oh ! C'est n'est pas très...

D'un geste de la main il me fait comprendre qu'il veut quand même savoir.

- D'habitude, je porte des grosses lunettes rondes, des baskets, des jeans et des t-shirts amples... Et je ne me maquille jamais...

- J'aimerais bien rencontrer cette fille, affirme-t-il sans détour.

Je lâche un petit ricanement :

- Non, je ne crois pas. Je suis assez ennuyeuse, dis-je en ramenant le drap sur moi.

- Je n'en crois pas un mot. Dis-moi plutôt... Pourquoi, tu t'es « déguisée » ce soir ?

Je rougis jusqu'aux oreilles en tripotant nerveusement le tissu qui me recouvre. Mon hôte apparaît savourer ma réaction, finalement je lui raconte comment j'en suis arrivée là en omettant volontairement de parler de mon attirance pour Adrien.

Il rit et j'imagine que d'un point de vue extérieur, mon histoire peut paraître drôle mais un sentiment de honte m'envahit.

- Tu te moques de moi... dis-je d'un air penaud.

- Non pas du tout, mais je crois que je comprends pourquoi Julian t'aime bien, me répond-il calmement.

Je lève les yeux vers lui, choquée.

- Tu crois que Julian m'aime bien ? Questionné-je d'une voix blanche.

- Mmm pas exactement, il me l'a dit, s'amuse-t-il.

- QUOI !?

Il rit de plus belle :

- Sers-toi, me dit-il en me désignant la table entre deux fous rires.

Il reprend plus posément :

- Calme-toi, il me l'a dit à la Julian. Tu sais un truc genre bien viril : « Maude c'est la moins chiante de l'équipe ».

- Ça lui ressemble bien en effet, marmonné-je avec un petit rire nerveux.

Cette remarque me rappelle avec qui je suis : le frère de Julian. Je dois faire attention, je dois bien me tenir.

Si seulement, il pouvait être moins gentil et attirant.

Je me sers un verre de jus. Les yeux fixés sur mon verre je demande :

- Ça va ? Tu ne passes pas une soirée trop naze ? A cause de moi ?

- Non, je te le dirai sinon.

Bim ! Une réponse franche et directe à la Julian...

- Et sinon ? Tu aimes faire quoi ? S'intéresse-t-il.

- Comment ça ?

- Ben, de ton temps libre ? J'ai cru comprendre que tu ne faisais pas de musique...

- Oh euh... Je fais de l'escalade, je lis, principalement de la fantaisie et j'aime bien aller au cinéma et les jeux vidéo...

- Cool. Moi, j'aime lire, comme tu as pu le voir. Ça fait longtemps que tu fais de l'escalade ?

On commence à faire connaissance et je me détends progressivement. Lilian est vraiment quelqu'un d'agréable. Ça fait un moment que je me sens mieux mais je ne dis rien. J'ai envie de rester avec lui sur ce canapé encore un peu.

J'apprends qu'il a un travail chronophage. Il consacre le peu de son temps libre à la musique, au sport et à la cuisine. Il espère que les choses vont changer avec l'arrivée de sa nouvelle coéquipière. Il me confie qu'il n'a pas pu ouvrir un livre ou encore regarder un film depuis plusieurs mois.

- Tu vois, je ne pense pas que tu es la vie la plus ennuyeuse de nous deux. Mon plus gros passe-temps au final : c'est dormir. Ricane-t-il amer.

- Du coup, tu n'as personne dans ta vie ? Questionné-je le plus détachée que possible.

Il tourne la tête vers moi, le visage neutre en secouant la tête.

- Et toi ?

- Moi ? Dis-je d'une voix blanche.

Je déglutis avant de répondre fermement en me concentrant sur le drap :

- Non.

- Cool, commente-il.

Je lève les yeux vers lui, il me lance un regard jovial, posément. Je me rends compte pour la première fois que nous sommes proches, beaucoup plus près, l'un de l'autre. Je réalise avec horreur que c'est moi qui me suis rapprochée. Il ne semble pas avoir bougé d'un poil alors que j'ai parcouru le petit mètre qui nous séparait sans m'en rendre compte !

La dernière fois que j'ai fait quelque chose sans en être consciente, ça a très mal tourné : j'étais au lycée. J'ai fini collée pour avoir arraché une grosse poignée de cheveux, avec la peau, à l'une de mes camarades de classe. Elle s'était moquée de moi en cours de sport parce que je ne portais pas de string mais une culotte.


J'hésite à m'éloigner discrètement mais la vérité c'est que j'aimerai me rapprocher encore...

Plus tôt j'avais mis mon envie de me blottir dans ses bras sur le compte de l'alcool. Maintenant, je dois m'avouer à moi même que c'était une fausse excuse. Lilian m'attire.

En plus de son côté doux et agréable, je lui trouve quelque chose d'extrêmement attrayant, voir même.... De sexy. Il réveille en moi un violant désir que je ne soupçonnai pas.

De temps en temps, je crois voir des regards et des sourires plus qu'amicales et chaleureux. Mais il est possible que je ne vois que ce que j'ai envie de voir. Aussi je ne fais rien, je reste figée et commence à parler un peu de moi.

Je lui parle de mes trois sœurs, une plus grande que moi et deux autres plus petites. Si petites, j'ai toujours était à part maintenant on s'entend plutôt bien.

Je lui raconte quelques rares bêtises qu'on a pu faire ensemble. Comme la fois où on a voulu nettoyer la moquette du premier étage avec des brosses à dents et du dentifrice. Il rit de bon cœur avant de m'en raconter une à son tour : quand ils étaient petits, avec Julian, fier de savoir dessiner de leurs progrès en solfège. Ils ont piqué les rouges à lèvre Chamel (à 45 euros le tube) de leur mère pour dessiner des clefs musicales sur le mur du salon.

- Non ! M'exclamé-je en éclatant de rire !

- Et si ! Glousse Lilian.

- Je ne savais pas que Julian faisait de la musique !?

- Ah... Il faisait du saxophone et de la contrebasse quand on était petit. Il a arrêté quand on été ados suite à une remarque désobligeante de notre père sur sa virilité. Ça a été une grande dispute entre nos parents...

L'évocation du souvenir de son père n'est en rien joyeuse, elle semble douloureuse et amère dans sa voix, aussi je change de sujet. On parle de nos livres préférés, nos mains se frôlent de temps à autre dans le bol de fruits secs. Il ne semble pas en faire grand cas et s'excuse simplement. J'essaye de ne rien laisse transparaître mais ces « presque » contacts me font quelque chose. Je suis incapable de décrire cette sensation mais c'est plaisant.

Alors que la nuit avance, on continue à parler et j'ai l'impression que ses sourires et ses manières se veulent de plus en plus séductrices. Je bouillonne à l'intérieur mais je reste calme à l'extérieur.

- Il n'y a plus rien à manger, constate-t-il, tu veux autre chose ?

- Non, non, c'est bon... dis-je en me rendant compte à quel point je suis fatiguée.

J'étais tellement happée par l'intensité du moment que je ne m'en suis pas aperçu. En le voyant bayer, je réalise que je suis sans doute restée trop longtemps.

- Euh... Je devrais y aller, je vais appeler un taxi.

Je sors mon téléphone, il m'attrape la main en me disant :

- N'importe quoi, je vais te ramener.

- Oh non vraiment, je t'ai déjà assez dérangé.

Il lève des yeux au ciel puis les pose sur les miens. Je ne rends compte qu'on s'est encore rapproché : nos jambes se touchent. Qui s'est rapproché de qui ? Je n'en sais rien et je m'en fiche. Je détaille ses yeux gris : ils ne sont pas d'un gris uniforme. Ils sont striés des différents tons de gris, sa pupille est d'un noir très sombre, ses cils fournis sont courts et soulignent parfaitement son regard. J'ai l'impression qu'il peut voir à travers moi. Il se penche légèrement vers moi et je commence à rougir.

Pendant ce qui semble être une éternité. Mille et une choses me passent par la tête : qu'est-ce qu'il fait ? Il ne va quand même pas m'embrasser ? Impossible ! Comme si je pouvais plaire à un mec comme ça ! C'est fou, ce qu'il sent bon ! Il me fait une blague, non il est trop gentil pour ça. Il a peut-être fait tomber un truc vers moi... Ou alors j'ai un truc dans les cheveux ?! Non il n'irai pas le chercher avec les dents ! Ne ferme pas les yeux ! S'il ne veut pas t'embrasser tu auras l'air d'une cruche !

Finalement, il pose ses lèvres sur les miennes avec beaucoup de douceur dans un mouvement souple en fermant lentement les yeux. De mon côté, je reste paralysée, rigide, les yeux grands ouverts.

Il s'écarte, gêné et se passe la main sur le dessus de la tête comme pour se lisser ses cheveux. Il commence à s'excuser :

- Je suis désolé, je n'aurais pas dû faire ça. J'ai...

Je l'empoigne par le t-shirt, l'attire contre moi et le fait taire d'un baiser. Il est d'abord surpris, puis il me le rend.

On ferme les yeux et je me plonge dans ce moment. Le moment le plus improbable de ma petite vie.

Je sens ses mains remonter le long de mon dos avec beaucoup de douceur. Mon cœur bat si vite dans ma poitrine. Je sens son souffle sur mon visage. J'ai du mal à respirer. Je savoure la sensation de son corps contre le mien, grand, fort et chaud. Un désir sauvage profondément enfoui en moi se réveille : je me sens désirée. Ses lèvres sont douces et se lancent dans une danse intense avec les miennes. Une douce chaleur s'empare de mon corps.

Notre baiser s'amplifie, nos respirations sont saccadées. Je perds tout contrôle : j'ai l'impression d'être si légère que je me prends pour une héroïne de ces romans érotiques, je passe une jambe par-dessus les siennes.

Je le chevauche. Je dois me cambrer et me redresser de toute ma hauteur pour atteindre ses lèvres. Je devine que quelque chose ne va pas de son coté, j'entrouvre les yeux et je le vois qui fronce les sourcils. Rapidement, il s'écarte. Il me sourit nerveusement :

- Hé doucement, me dit-il gentiment.

Je laisse retomber mon corps mollement sur le sien : mais qu'est-ce que je fabrique !? Je me sens honteuse :

- Désolée, je ne fais jamais ça. C'est gênant. J'ai cru que... Je te plaisais, dis-je d'une petite voix.

Je me sens totalement ridicule. Il me sourit et passe un pouce le long de ma mâchoire.

- Tu peux le croire. Tu me plais beaucoup.

Il inspire longuement, se penche vers moi et me dépose un fugace baiser à la base du cou. Je fonds et j'essaye de combler, encore un peu plus, le minuscule espace qui nous sépare ne serait-ce qu'un bref instant.

- Et tu peux me croire : j'en ai envie, dit-il en expirant lourdement contre mon cou.

Il hume ma peau avant de reprendre :

- Mais, petit un : on vient de se rencontrer et je sais très bien comment ça finit quand on fait ça avec quelqu'un qu'on connaît à peine. Je n'ai pas envie de ça. Petit deux : je n'ai pas encore rencontré la vraie toi et petit trois : j'aimerais prendre mon temps avec toi.

Il se redresse et gigote doucement entre mes cuisses pour rétablir l'espace que j'ai supprimé. Il a l'air gêné et je crois comprendre pourquoi en sentant une bosse sous mes jambes.

- Et si ces trois points n'existaient pas, il ne faudrait pas réveiller Julian, continue-t-il avec tout le calme dont il est capable.

- Julian ? Répété-je d'une voix blanche.

- Oui, me dit-il calmement alors que je me relève précipitamment, il est rentré il y a plusieurs heures tu ne l'as pas entendu ? Si on fait trop de bruit sur la mezzanine, il risque de nous entendre.

Je me lève d'un bond et je recule de quelques pas. Le nom de Julian m'a ramené brusquement sur terre. Je me rappelle où je suis, avec qui je suis et ce que je m'apprêtais à faire. Je me passe une main sur les lèvres horrifiée.

- Ça ne va pas ? Me demande-Lilian d'un ton précautionneux qu'on emploiera pour un animal sauvage.

Je me calme et reprends contenance :

- Si, il faut que je rentre, affirmé-je.

- Maintenant ? Le jour est sur le point de se lever. Reste pour le petit déjeuner ? Me demande-t-il en se prenant les pieds dans le drap au sol.

Je regarde par la fenêtre et je constate qu'il a raison. On a passé toute la nuit ensemble à parler, je ne sais pas trop pourquoi mais je souris. Je me retourne vers Lilian et je sens une boule de culpabilité me nouer la gorge.

- Je ne peux pas rester. Ça serait trop bizarre de croiser ton frère au petit déjeuner...

- Je ne vois pas pourquoi, je suis sûr qu'il trouvera l'histoire très drôle.

- Tu ne vas pas lui raconter ? Demandé-je affolée.

- Pourquoi pas ? Me demande-t-il naïvement.

J'imagine un panneau d'affichage avec un bon million de raisons qu'il ne pourrait pas comprendre et en gros plan : une photo de moi, à califourchon sur lui qui date d'une dizaine de secondes.

- Ok, si tu veux, me dit-il en haussant les épaules.

- Merci.

Je tourne les talons et je dévale les escaliers. Je m'arrête dans l'entrée pour prendre mes chaussures. Il m'attrape par le bras et me serre contre lui. C'est fou ce qu'il est grand, j'ai l'impression d'être une naine contre lui et étrangement ça ne me dérange pas plus que ça. Je me laisse aller dans cette étreinte et je passe les mains dans son dos. Ma tête est contre son torse et je l'entends me dire d'un ton suppliant dans mes cheveux :

- S'il te plaît, reste un peu...

- Je suis déjà restée bien trop longtemps. Et puis Julian... Commencé-je en chuchotant.

Il s'écarte pour me faire face :

- Et alors ? Tu ne vas pas partir comme ça ? S'indigne-t-il.

- Chut... Tu fais trop de bruit. Tu vas réveiller Julian. Lui imploré-je.

Je secoue la tête pour m'éclaircir les idées. Plus calmement, je continue :

- Je ne veux pas qu'il me voit ici parce que comme je te l'ai dit, je ne suis pas comme ça d'habitude. Je ne fais jamais.... Tout ce que j'ai fait cette nuit. Je ne tiens pas à ce que les gens avec qui je travaille change de regard sur moi. Je suis désolée mais je veux juste rentrer chez moi.

Mon ton en devient presque suppliant, je ravale une larme. Lilian a l'air déçu mais il semble comprendre. Il ramasse une de ses cartes de visite posée sur une console. Il y écrit son numéro personnel avant de me la donner :

- Envois moi un message dès que tu es rentrée s'il te plaît.

Je prends le carton sans me faire prier et Lilian ajoute un peu hésitant :

- Et tu peux m'appeler quand tu veux...

- Je pense que ça sera rapide... dis-je d'un ton espiègle.

Il parait satisfait et il s'écarte de la porte pour me laisser passer.

Une fois dehors, je constate que l'aube est bien là. Lilian se dirige vers sa voiture incertain :

- Tu veux toujours appeler un taxi ou je te ramène ? Me demande-t-il.

Je suis bizarre : je veux rentrer chez moi le plus vite possible mais en même temps je veux passer chaque seconde que je peux avec Lilian.

Je rougis à cette pensée et il me jette un regard interrogateur. Sans répondre, je me dirige vers sa voiture. Heureux que je cède, il passe au volant. Alors qu'il met le contact, je sens que je devrais dire quelque chose mais je ne sais pas quoi. Je pose ma main sur la sienne alors qu'il s'apprête à desserrer le frein à main. Je regarde le sol en souriant timidement, je sens son regard sur moi et je presse sa main comme si ce simple contact pouvait exprimer tout ce que je ressens maintenant.

Il me rend mon geste et défait le frein à main. Je lui jette un coup d'œil, il est déjà concentré sur sa conduite. J'espère qu'il n'est pas fâché et que j'ai fait ce qu'il fallait. C'est curieux la vie, il y a quelques heures, on ne se connaissait pas, par conséquence je me fichais bien de ce qu'il pouvait penser. Alors que maintenant, après s'être rencontré de façon improbable, ce qu'il pense à de l'importance pour moi, beaucoup même.

On passe le portail, il met la radio et me demande :

- Tu veux petit déjeuner ?

- A cette heure-ci ? Dis-je étonnée.

- Si tu n'as pas faim ce n'est pas grave....

- Si, si mais il n'y a rien d'ouvert, c'est trop tôt.

Il s'arrête à un stop et en profite pour me faire face.

- Tu n'as jamais travaillé de nuit ? Ou fait une nuit complètement blanche ?

- Euh ben...

- Suis-moi je t'emmène !

On redémarre : direction la ville.

Il se gare dans une petite rue que je ne connais pas, le fond de l'air est frais. J'ai la chair de poule avec ma petite robe, Lilian sort de la voiture avec une chemise bleu pâle.

- J'ai ça ou un pantalon de costume. Me dit-il en ricanant.

- Oh, euh ne te dérange pas ça va aller.

Il me met la chemise sur la tête avec un sourire malicieux et il commence à marcher. Rapidement, je passe le vêtement, il est beaucoup trop grand pour moi. Il est même plus long que ma robe. Je tire sur le col pour le ramener vers mon visage et je le sens à plein poumon. Elle a cette odeur de frais caractéristique du linge propre mais aussi un quelque chose de plus musqué, de plus masculin.

Au coin de la rue, Lilian se stoppe et se tourne vers moi. Je relâche le tissu et je m'élance à sa suite alors qu'il tourne à l'angle d'une rue.

*****************

Voilà c'est la fin de l'inconnue serviette, quelle aventure !

C'est une histoire que j'ai commencé à imaginer il y a 3 ans et à écrire il y a 2 ans. C'est encouragé par ma débroussailleuse et ma sniper, qui ont essuyé les premières plâtrés de fautes, que j'ai décidé de publier sur wattpad. C'est 25 chapitres, 106530 mots. C'est 2151 vue à ce jour, ce qui est tellement incroyable !!!! C'est de belles rencontres.

Et surtout c'est le partage d'un rêve, celui d'avoir terminé une histoire qui m'a apporté beaucoup de joie.

Alors merci ! Merci à tous d'être arrivé jusque-là, d'avoir suivi Julian, de l'avoir fait vivre, de m'avoir corrigé et conseillé.

J'ai adoré échanger avec vous, lire vous commentaires, vous surprendre et rire avec vous.

Au plaisir de vous recroiser dans une autre de mes histoires, dans les vôtres, dans d'autres ou tout simple avec un petit coucou !

Big xoxoxoxoxo

Cam

P.S : Vous vous souvenez dela pin-up du bistrot du chapitre 17 ? Venez découvrir son histoire !

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