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Chapitre 42 - Partie 4

Chapitre 42: Et la lune rêve du soleil - Partie 4 : Ne me laisse pas tomber — Samedi 23 Novembre 2019 – 4h20 — Benjamin

Le silence était tombé dans la chambre, aucun des deux hommes n'étant prêt à continuer à plaisanter. Les bruits de la nuit parvenaient vaguement à leurs oreilles, alimentant la conversation à leur place. Une accélération trop zelée au passage au vert d'un feu, le crissement des pneus d'un deux roues sur l'asphalte, puis un long silence. Tout était calme autour d'eux.

Benjamin gardait les yeux fermés, à demi avachi sur le matelas. Maladroitement appuyé contre son coussin, il n'osait pas bouger de peur d'envoyer valser Mathias par-dessus la barrière qui bloquait également son côté. Il n'avait que trop conscience du corps de l'avocat, si proche : de sa main posée à quelques centimètres de lui et de son épaule qui frôllait la sienne. Autant Benjamin n'avait eu aucun mal à s'endormir la première fois, autant maintenant qu'il était parfaitement réveillé, il n'avait pas la moindre idée de ce qu'il était sensé faire.

Un mouvement attira l'attention du pompier et il risqua un regard à sa droite.

Mathias prenait appui sur le plat de ses mains pour se décaler, s'extirpant de leur accolade timide et de la chaleur des draps pour s'installer en tailleur en biais de Benjamin et reposer le bas de son dos contre la barrière dont il avait hérité au courant de la nuit.

La position avait l'air plutôt inconfortable, mais Mathias ne laissa rien transparaître sur son visage. Inconsciemment, Benjamin se décala à son tour pour faire plus justement face à l'autre homme.

Mathias les cheveux dans tous les sens, son épi solitaire s'il y a une petite heure rejoint par de nombreux compatriotes à mesure que l'avocat avait passé une main nerveuse dans ses cheveux. Son énorme chemise n'était plus domptée par la ceinture qu'il avait mis de côté et elle tombait à présent maladroitement sur le haut de son corps, dévoilant l'une de ses épaules noueuses et une partie de ses pectoraux.

Benjamin avait envie de tendre la main vers Mathias sans savoir s'il désirait ébouriffer ses cheveux pour vérifier s'ils étaient aussi doux qu'il le supposait, ou attraper le col de sa chemise pour la remettre en place -ou pour la faire glisser plus encore le long de son bras et dévoiler la peau tatouée qui s'y trouvait.

Dans la pénombre, il était difficile pour le pompier de distinguer clairement les motifs d'encre qui ornaient le corps de l'avocat. Benjamin n'avait pas prévu de cartographier leurs designs et leurs emplacements, et il se surpris à s'interroger sur le cœur morcelé qu'il voyait pour la première fois, tatoué avec soin au-dessus de son propre cœur. Benjamin se renfrogna en hasardant une idée de sa signification.

- Tu veux en parler ? Demanda Mathias.

Le jeune homme eut du mal à comprendre la question et posa des yeux interrogateurs sur son vis-à-vis. L'espace d'un instant il s'imagina que Mathias lui demandait dans le plus grand des calmes s'il avait envie de discuter avec lui de son attirance flagrante pour l'avocat.

Son bon sens se réveilla avant s'il ne puisse marmonner quoi que ce soit d'incriminant. Évidemment que Mathias ne parlait pas de ça. Il lui demandait s'il voulait échanger sur ce qui avait entraîné sa crise d'angoisse... Ce qui était aussi étonnant que s'il avait sérieusement essayé de l'interroger sur son amour naissant.

Le ton moqueur et joueur de l'avocat avait complètement disparu. À sa place, une voix empreinte de compassion avait pris place.

Merde. Est-ce que Mathias était vraiment obligé de se comporter comme ça ? Il n'en finissait pas de l'étonner, défiant ses aprioris sur lui à mesure qu'il apprenait à le connaître. S'il s'était contenté de n'être qu'un nouveau riche prétentieux, Benjamin n'aurait pas tout ces problèmes. Mais évidement, Mathias était obligé d'avoir de l'empathie; une qualité qu'il cachait sous des tonnes de sarcasme, mais qui sonnait trop juste pour n'être que du vent.

Benjamin avait un assez bon contrôle de soi pour s'empêcher de faire ce dont il rêvait depuis des jours maintenant : prendre le visage en face de lui entre ses mains et lui voler un baiser. Il était sûr que tous ses soucis disparaitraient en capturant les lèvres fines et légèrement blessées par les nombreux mordillements de l'avocat. Au lieu de ça il détourna la tête et regarda la baie vitrée.

Ils n'avaient pas baissé les volets avant de se glisser sous les draps. La lumière des lampadaires et les phares de voitures qui illuminaient d'avantage la pièce par instant donnaient à Benjamin quelque-chose de neutre sur lequel il pouvait se concentrer.

- Pas vraiment. Lâcha-t-il entre ses dents, une réponse tardive à la question de l'avocat, C'est débile.

Mathias fronça les sourcils, mais le jeune homme ne le vit pas, trop occupé à observer les rayons de lumière qui filaient dans la pièce. Sans cette indication cruciale indiquant que Mathias n'était absolument pas satisfait par sa réponse, Benjamin supposa que le débat était clos.

C'était bien mal connaître Mathias qui, en un geste rapide, s'avança jusqu'à être assis devant lui, à moitié appuyé sur ses jambes qui n'avaient heureusement subit aucune blessure.

- Écoute Rudolf... J'ai connu les hôpitaux. Les crises de panique, les cauchemars... Je sais ce que c'est.

Une main glacée se posa sur l'épaule du pompier. Benjamin frissonna, subjugué par la chaire de poule qui se dressait sur le bras de l'avocat. Il ne faisait pas particulièrement chaud dans la chambre, et cela ne devait pas être agréable d'être assis sur les couvertures.

- Humpf... J'ai même vécu mon pire cauchemar quelques semaines auparavant. Alors vraiment, tu peux tout me dire. Je suis là, d'accord ?

Benjamin s'interdit de laisser trop longtemps cette phrase résonner en lui. Il pouvait sentir la pression s'accumuler derrière ses paupières et il était absolument hors de question qu'il se mette à pleurer. Mathias l'avait déjà vu en pleine crise de panique, il n'avait pas la moindre envie de continuer à collectionner les moments gênant devant cet homme qu'il avait toujours cherché à impressionner.

Le jeune homme n'avait pas envie de lâcher prise, mais toute la tension dans son corps lui suggérait de se laisser aller. La posture ouverte de Mathias était une invitation, pourtant il se força à se retenir une fois de plus.

- Tu avais perdu ton fils. Moi je suis juste... stressé. C'est rien.
- Benjamin Desrives ? Tu es un imbécile.

L'affirmation était sans appel. Benjamin releva la tête d'un coup, quittant du regard le bras qu'il fixait du regard pour s'intéresser aux yeux sérieux de l'avocat.

- Quoi ?
- On ne va pas faire le concours de celui qui est le plus triste, le plus heurté par la vie, le plus pathétique..., Enuméra Mathias tranquillement, Pour le moment tu dois te concentrer sur le fait d'aller mieux. Soi un peu égoïste pour une fois.

Eh merde. S'il avait réussi à retenir ses larmes auparavant, c'était peine perdue face à la sincérité des paroles de l'autre. Benjamin se frotta le visage, espérant faire passer le geste pour autre chose qu'il n'était. Il essayait de se revigorer, et certainement pas de chasser en vitesse l'eau salé qui s'amoncelait sous ses paupières.

En bon prince, Mathias ne releva pas l'émotion qui secouait le plus jeune.

- Si ta fiancée était là, tu crois qu'elle serait heureuse de savoir que tu laisses tout ça te ronger de l'intérieur ?

Benjamin haussa les épaules. Il ne remarqua pas le voile d'irritation qui passa dans les yeux du plus âgé et ne fit pas attention au visage fermé de Mathias, qui exprimait clairement ce que sa voix ne trahissait pas. L'avocat s'était renfrogné, mais Benjamin était trop occupé par ses pensées pour s'en rendre compte.

Évidement qu'Alice ne serait pas heureuse d'être le voir ainsi. Pourtant, ce n'était pas ce qui tourmentait le plus le rouquin. À dire vrai, il n'en avait plus rien à faire de ce que pensait, ou ne pensait pas Alice.

Un noeud se forma dans son estomac. Il allait vraiment devoir s'occuper de ce détail rapidement. Il ne pouvait pas continuer à phagocyter la vie de la femme qu'il avait aimé.

Il était incertain à propos d'énormément de choses, pourtant un point lui semblait évidant. Il aimait Alice. Ou plutôt, il l'avait aimé. Il ne s'en était pas rendu compte plus tôt, enfermé dans une routine rassurante, mais le feu de la passion qui l'avait pris s'était tari depuis quelques temps déjà, remplacé par un contentement timide qui n'était pas différent de celui qu'il ressentait en passant du temps avec ses amis proches. Il ne se voyait pas finir sa vie avec la jeune femme. Pire, il n'imaginait pas comment leur couple survivrait aux prochaines semaines, Benjamin s'imaginant déjà étouffer sous les attentions d'Alice qu'il avait pris l'habitude d'entrevoir une fois de temps en temps dans sa vie.

S'il ne pouvait plus lui offrir son amour, il se devait au moins d'être sincère avec elle. Elle méritait bien ça, au Diable les conséquences.

Plus inquiétant encore, Benjamin était bien trop certain que Mathias était ce dont il avait besoin. Une personne maladroite, pragmatique quand ça l'arrangeait et excessive lorsqu'il s'y attendait le moins. Un homme indéniablement plus âgé qui se comportait pourtant comme un adolescent instable en pleine crise émotionnelle. Un citadin pure souche et particulièrement snob, qui trouvait son bonheur au milieu des paddocks. Une antithèse faite humaine qu'il ne se lassait pas de découvrir.

Un hétéro -quoiqu'il s'est posait de très sérieuses questions sur ce point- et un père de famille de surcroît.

Cette pensée le rappela à l'ordre et Benjamin baissa les épaules. Il ne prêta pas attention aux mouvements de Mathias qui avait dû se lasser de son silence.

Prudemment, dans un geste fluide qui aurait bien pu surprendre la terre entière en raison de la maladresse innée de Mathias, l'avocat déplia les jambes pour se mettre à genoux. Il s'avança au-dessus des jambes étendues de Benjamin, sous le regard médusé de ce dernier qui avait l'air d'un lapin pris dans les phares.

Si Mathias s'approchait encore, Benjamin n'était pas sûr de réussir une nouvelle fois à garder ses pulsions sous contrôle. Il n'avait jamais été aussi reconnaît qu'à ce moment de n'être pas relié à un électrocardiogramme, ou tout le corps infirmier de l'étage se serait précipité dans la chambre pour vérifier pourquoi son cœur s'emballait ainsi.

L'émotion qui se lisait dans le regard concentré et déterminé de Mathias n'avaient rien à voir avec une forme d'envie. Elle était pour dire à des milliers d'années de ses pensées proches de l'érotisme. Non. Quoi que Mathias eut en tête, Benjamin était sûr que l'embrasser ne figurait pas sur la liste.

- Je vais appliquer des points de Shiatsu. Ça va t'aider à te détendre.

Benjamin cligna des yeux. En son fort intérieur une petite voix stressée s'égosillait à dire qu'un contact prolongé sous les mains de l'avocat était la dernière des choses dont il avait besoin pour se détendre. Qu'au contraire, il risquait de ressortir de cette expérience plus tendu qu'à l'heure actuelle, et que Mathias était définitivement trop prêt de son entrejambe pour ne pas se rendre compte d'un changement de pression à ce niveau.

Totalement inconscient de l'effet qu'il pouvait bien avoir sur son cadet, Mathias se réchauffait les mains en frottant ses paumes l'une contre l'autre.

- Dommage que je n'ai pas d'huile. Marmonna Mathias pour lui-même. Il va falloir faire sans.

Si Mathias n'était pas si honnête, Benjamin aurait cru qu'il le faisait exprès. À ce rythme, il allait mourir d'embarras bien avant de mourir de vieillesse.

Mathias approcha ses mains du visage de Benjamin et opéra une pause pour vérifier que le jeune homme était à l'aise avec l'exercice.

À priori sa panique intérieure ne se lisait pas sur son visage, car les mains de Mathias se posèrent sur sa peau. Formant deux points de contact à l'aide de ses index et majeurs, Mathias entrepris d'imprimer à la base de ses sourcils, de petits cercles lents mais bien présents. La pression était suffisante pour qu'il la ressente se diffuser le long de son front, l'invitant à fermer les yeux et à se laisser aller contre son coussin.

Une fois Benjamin correctement allongé, Mathias posa délicatement ses paumes sur les paupières du rouquin. Evitant soigneusement les bandages et les zones présentant des hématomes, il éloigna ses doigts du centre du visage de Benjamin pour poursuivre la manipulation le long de ses sourcils pour de ses tempes.

Mathias respirait profondément, incitant Benjamin à faire de même. Le pompier était loin d'être serein, mais les pressions exercées par Mathias et son monologue intérieur lui interdisant de bouger l'avait conduit à une sorte de tétanie proche de la transe. Il sentait les points de tension fondre sous l'instantanée de Mathias et inspira profondément lorsque sa mâchoire se décontracta après un acharnement de quelques minutes à la base de son oreille.

Le visage fit place aux épaules, puis aux bras. Benjamin avait l'impression de penser plus d'une tonne, les pressions exercées par Mathias le clouant contre le lit alors que l'avocat n'utilisait que la force de ses bras.

Tout était calme autour d'eux à l'exception de l'occasionnel froissement de tissus lorsque Mathias glissait ses doigts le long du bras du rouquin, terminant sa course au-dessus du poignet blessé en un touché plus proche de la caresse qu'autre chose.

Une fois satisfait de son travail, Mathias se réinstalla doucement sous la couette et Benjamin inspira profondément, prudemment. Il avait survécu sans commette d'impaire et pouvait à présent se concentrer sur son cœur qui battait la chamade, et pas sur l'homme qui s'était recouché à ses côtés comme si de rien était. Parfois Benjamin se demandait si la nonchalance de Mathias n'était pas juste de la bêtise déguisée.

Perturbé, Benjamin se tourna sur le côté pour laisser plus de place à Mathias et certainement aussi pour mettre une distance entre eux. Il pouvait sentir Mathias s'allonger à son tour et lorsqu'une main se posa sur son épaule, Benjamin s'alarma en réalisant que le contact lui avait manqué.

- Tu réfléchies trop. Murmura Mathias.

L'homme posa son front contre le dos du rouquin et passa un bras sous celui du plus jeune, logeant sa main sur le torse du pompier, au-dessus de son cœur. D'une vague pression, il l'invita à prendre appuie contre lui.

- Ferme les yeux. Est-ce que tu sens le poids de mon corps contre le tien ?

Benjamin déglutit. Il ne le sentait que trop bien.

- Imagine ce poids comme si c'était le poids de tes soucis. Il s'accroche à toi, te serre, te pèse...

L'avocat se décala dans son dos, ramenant sa main libre dans le dos de Benjamin, entre ses omoplates, unique barrière de chair entre son torse et le dos musclé du pompier.

- Mais tu peux choisir de l'imaginer de manière réconfortante. Continua Mathias,  Est-ce que tu sens la chaleur qu'il diffuse  ? Cette chaleur pourrait détendre ton dos. Partir de ta nuque, entourer tes épaules, descendre le long de tes vertèbres.

L'homme illustra ses propos en faisant glisser sa main le long du dos du rouquin. Benjamin n'avait jamais autant eut envie de mourir qu'à cet instant.

Imperturbable, Mathias poursuivait toujours.

- Ressent ça comme une vague douce t'enveloppant. Accueille-la. Ne la rejette pas.

Petit à petit, le corps de Benjamin se relâcha contre celui de son ami. Il se battait dans un combat perdu d'avance et il était assez intelligent pour réaliser sa défaite. Il se concentra sur le souffle qui caressait son épaule et sur la voix chaude et légèrement cassée par le sommeil qui le guidait.

- Respire avec moi.

Mathias inspira, gonflant son torse contre son dos. Il expira ensuite longuement, envoyant des frissons le long de la colonne du rouquin, touchant sans s'en rendre compte chacune de ses terminaisons nerveuses.

Le manège continua de longues minutes, Mathias respirant plus en surface seulement lorsqu'il eut l'assurance que Benjamin était véritablement plus détendu. Le calme du pompier n'était qu'apparent, mais il se sentait mieux à cet instant qu'il n'avait pu l'être depuis quelques mois. Dans son dos, Mathias bailla.

- Si tu cauchemardes encore, réveille-moi. D'accord ? Ne reste pas seul à t'angoisser alors que je suis là.

Benjamin hocha la tête. De sa position, Mathias sentirait sa réponse sans qu'il n'ai besoin de l'accompagner par la parole.

L'homme marmonna quelque-chose que Benjamin ne saisit pas. Il pressa ses lèvres à la base de la nuque du rouquin qui n'en menait pas large. Avait-il imagine le geste tendre ? Avait-il imaginé ces derniers jours entièrement et était-il dans le coma, Harry à son chevet ? Cela était tout autant possible.

Sa nuque le chatouillait, la pression légère presque imperceptible marquant sa peau au fer rouge. Mathias, loin d'être conscient des interrogations qui dansaient dans la tête de Benjamin, se recroquevilla dans son dos, happé par la fatigue.

L'avocat trouva le sommeil bien avant Benjamin. Il s'enroula inconsciemment autour du corps qu'il protégeait du sien, le sommeil gommant ses dernières inhibitions et l'invitant à partager la chaleur du corps à ses côtés.

Benjamin passe plusieurs heures à réfléchir silencieusement, l'obscurité environnante faisant petit à petit place à l'aurore. Aux premières lueurs du jour, il avait pris sa décision et accepté que le sommeil l'emporte.

À aucun moment il n'eut l'idée de se défaire de la prise de Mathias. Au contraire, il avait ramené sa main valide sur celle de l'avocat, et posé sa paume contre cette dernière, s'endormant en s'assurant qu'elle reste près de lui.

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Chapitre écrit par Sinsiliniai et Miruru

Bonjour, bonsoir les amis !

Eh bien, eh bien, cette longue nuit touche à sa fin. :)

On espère qu'elle vous a plu et que vous n'en sortez pas frustrés.
On s'excuse sincèrement, mais Matt et Ben se partagent un neurone unique, et aujourd'hui c'est Arnaud qui en a la garde.

Patience, patience, le dénouement de ce premier tome approche à grands pas, et avec lui... eh bien, on vous laissera le découvrir :D

En tout cas, sachez que ce n'est que le début de leur histoire à deux !

D'ailleurs on oublierait pas un petit détail...? Commençant par « A » et terminant par « Lice » ? Pas d'inquiétude, on retrouve votre personnage préféré ( ne me tapez pas, et ne tapez pas Alice non plus ;n; ) la semaine prochaine.

Un petit face à face Alice VS Matt, ça vous dit ? Promis, Arnaud rapporte les pop-corn !

On vous souhaite une belle semaine en attendant~

Cœur et amour,
Sins (et Miru)

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