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EPIC INKED BATTLE ROUND 1- version Mathias

Nous participons à l'EPIC INKED BATTLE (livre dans notre collection "concours" de InkedBattle et nous ne pouvons pas vous dévoiler le chapitre que nous avons utilisé pour notre participation fait par Sinsiliniai mais par contre on peut vous montrer ma version :D !

Bonne lecture !

Le Sujet : Harry Potter : se tromper de train peut arriver à tout le monde, le manquer aussi. Mais s'aventurer sur la voie 9 ¾ ou découvrir par tout autre moyen l'existence avérée de la sorcellerie, voilà qui peut surprendre votre protagoniste ! 1500 mots maximum

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Mathias sur le conseil de sa tante avait fini par emmener Maël en voyage quelques jours. Comme il avait loué un chalet au cœur des Pyrénées, il avait proposé à Benjamin de le déposer chez ses parents à Toulouse pour un week-end familial. Ce dernier rentrerait ensuite en train. Il avait poursuivi sa route sans un léger pincement au cœur qu'il ne comprenait pas et en entendant les couinements de Maël disant qu'il ne voulait pas aller ailleurs qu'à Paris. Mais même la psy florale avait dit que ce serait une bonne idée. Parce que oui, il avait appelé cette petite femme azimutée.

Son chalet était dans les hauteurs près de Le Perthus. Il ne s'y était pas rendu depuis au moins une vingtaine d'années. En passant la clé, des souvenirs troublants refirent surface.

— Papa ? Tu fais quoi ? Tu ouvres la porte ?

— Oui, oui, va t'installer Maël.

En se retournant, Mathias put observer les pics pyrénéens de ses souvenirs, inchangés. Un peu plus et il se perdit dans ses souvenirs.

Mathias, 11 ans, mercredi 27 août 1997 – 10 h 42 — au milieu d'une forêt de pins géants.

Le jeune et frêle garçon regardait à droite et à gauche. Il était perdu ! Il avait joué à cache-cache avec ses cousins et Antonin, mais en se cachant, il était tombé et avait dévalé une pente. Il avait eu beau crier à l'aide et le nom des adultes comme des enfants sans réponse. Il avait tremblé, prêt à pleurer surtout après avoir vu ses mains et ses genoux écorchés puis il s'était rappelé que sa mère lui avait dit que cela ne servait à rien de pleurer, de toute façon, seuls les êtres faibles et pathétiques pleuraient et il ne voulait pas être comme ça !

Il s'était donc décidé à marcher en suivant ce qui lui semblait être le meilleur des chemins, car le moins accidenté.

Après ce qui lui parut des heures, il fut pris d'un étrange malaise, comme si soudainement l'air autour de lui était plus dense et froid. Il se figea et crut entendre des voix près de lui. Des fantômes ?

— Voilà ! Corentin ! On est perdus !

— Mais Églantine, je te rappelle que c'est toi qui as voulu essayer de trouver l'école avant la rentrée !

— Et tu as dit qu'avec la boussole magique de ton père on pourrait trouver l'emplacement même incartable !

— Mais je te dis que c'est là ! La boussole pointe droit devant !

— Rappelle-moi ce que fait cette boussole ?

— Ce qu'on désire le plus ?

— Eh bah voilà ! tu désirs le plus UN GARÇON !

— N'im — n'im — n'importe quoi !

Mathias plissa les yeux. Est-ce que les voix parlaient de lui ? Allait-il être dévoré ? Sacrifié ? Il se décida à parler :

— Hum... messieurs dames les fantômes... est-ce que je vous dérange ?

— OH, MON DIEU, IL PARLE

— Églantine...

— IL NOUS PARLE...

— AH !

— Tu... tu nous vois ?

— Je vous entends... est-ce que vous allez me faire du mal ? Je suis malade, pas comestible OK !

Alors qu'il allait continuer son plaidoyer comme sa mère avait commencé à l'entrainer, l'atmosphère changea à nouveau et apparu devant lui deux enfants plus jeunes que lui, vêtus d'un étrange uniforme bleu ciel. Il hurla à leur apparition, ce qui les fiant hurler également.

La fille, une petite blonde aux yeux bleus leva les mains :

— Écoute, écoute, on ne va rien te faire... tu es moldu c'est ça ?

— Moldus ?

— C'est la première fois que j'en rencontre un, faite le garçon en se rapprochant.

— Vous êtes partis de l'hôpital c'est ça ?

— Toi aussi tu cherches beau bâton ?

— Beau... bâton ? Mathias angoissé décida d'aller dans le sens des enfants qui étaient surement en plein jeu !

— Oui c'est ça ! BEAUBATON ! J'ai oublié où c'était, et je me suis perdu !

— Et tu as surtout perdu ta baguette hein ! Comment tu as fait ?

— Ma baguette... est chez ma mère ! elle me l'a confisquée !

— Pas de chance ! Bon, on a cas chercher ensemble ! La mère d'Églantine est prof de divination, mais elle ? Elle n'arrive pas à ouvrir son troisième œil ! Ballot !

— ... très... très dommageable en effet !

Mathias se dit finalement que c'étaient des lutins de la montagne sur qui il venait de tomber et c'es pourquoi il ne comprenait rien à ce qu'ils disaient. Les deux enfants avaient des bâtons en bois dans la main, pointé devant et parfois ils faisaient de petits mouvements circulaires ou abstraits avec en parlant latin. Ils disaient être des sans-purs, et parlaient réellement comme sortie d'une de ces sectes dont il avait vu des informations à la télévision.

Finalement il se retrouva au sol sans rien comprendre. Comme cogné contre un mur invisible.

— BRAVO MATHIAS ! Enfin ! C'est SUBLIME ! Regarde au travers de la barrière ! Regarde c'est la fontaine de FLAMMEL !!!! Trop impressionnant.

— Mathias ? Ça va ? Tu ne veux pas te relever ? Regarde comme c'est beau !

Mathias regarda face à lui, et il ne vit strictement rien que des pins, des pins et encore des pins. Il n'en pouvait plus de ces foutus arbres et voulait rentrer chez lui loin de ces lutins fous.

— Oh... oh...

Mathias leva la tête vers Églantine : comment ça « oh oh ? »

Le parisien sursauta alors qu'une femme géante habillée d'un étrange vêtement sombre, et bâton à la main le fixait lui, et les deux autres enfants.

— Voilà, deux garnements qui ne respectent pas les règles... savez-vous ce qu'on fait aux sorciers révélant notre identité aux moldues ?

— Mais madame ! ce n'est pas un moldus ! il est aussi de beau bâton !

— Vraiment Mademoiselle Demiraille ? Vous pensez que je ne connais pas les élèves ? Moi, la directrice ? Madame Maxime !

— Ce n'est pas ce que j'ai dit madame !

Mathias se releva et se secoua, se serrant dans ses propres bras effrayés par la voix froide et la taille de la géante.

— Je... je... je ne voulais pas mentir... ne me mangez pas !

La femme adulte pouffa.

— Où habites-tu mon garçon ?

— Le... le Perthus !

— Je vois ! Fermes les yeux, promis je ne te mangerais pas ! j'ai bien assez avec ces deux jumeaux infernaux ici présents.

Mathias déglutisse et ferma les yeux, tremblant. Tout ce qu'il entendit après ça fut... « Obliviate »

Mathias, 33 ans, samedi 14 décembre 2019 – 17 h 18 — quelque part dans les Pyrénées

— Papa !!!! Tu viens ? Tu avais promis de me faire le gouter !

— J'arrive ma grenouille.

Mathias claqua la porte derrière lui, effaçant de sa mémoire ce drôle de souvenir. Il se demandait pourquoi cela lui revenait maintenant. Il avait complètement effacé ça de sa mémoire. Il envoya un message à Antonin. « Tu crois qu'il y a des lutins dans les montagnes ? » et comme toujours son meilleur ami lui répondit immédiatement « Encore avec ces bêtises ? Mec, tu m'avais bassiné avec les lutins et les géants pendant DES SEMAINES quand on était jeune ! ».

Mathias fronça les sourcils... Au moins, il savait quoi raconter ce soir à Maël avant de s'endormir ! Il commencerait par il était une fois et appellerait son héros... Harry ?

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Chapitre écrit par Miruru

J'espère que ce petit OS vous a plus ! On se retrouve bientôt dans l'histoire originale !

Amour sur vous!

Sins et Miru !


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