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Chapitre I

Au milieu de l'océan, se trouvait une île. Sur cette île, se trouvait un énorme volcan, pour l'instant endormit. Entourant cette épaisse montagne, vit une grande jungle, regorgissant de vie et de verdure. La nature prouve que d'un simple phénomène que les Hommes peuvent qualifier du terme " mort ", peut naître une quantité d'espèces différentes et du bonheur.

D'une catastrophe nait un milieu de vie. Et autours de ce milieu de vie, il y avait une couche épaisse de sable blanc, chatouillée par une mer turquoise passementée de morceaux d'écume. Et au centre d'une partie de ce sable paradisiaque, est allongée, inerte, une jeune fille brune, d'à peine 14 ans ou moins. Habillée d'un short en jean court déchiré sur le devant et d'un chandail bleu avec des écritures vertes, elle saigne légèrement du bras d'un sang bordeaux, qui s'étale lentement, teintant les grains couleur neige, et s'effaçant légèrement dans l'eau de sel, qui berçait son sommeil inconsidéré, et une plus grosse vague la réveilla, la faisant tousser toute l'eau qu'elle avait avaler jusqu'à présent.

Elle murmura, d'une voix rauque, en se frottant de sa main idem ses yeux pleins de sable :

« Kyo ? Hélène ? Encore un de vos délires bizarre hein... »

Après quelques minutes de silence, à se battre contre le sable collé sur tout son corps et dans ses cheveux couleur bois, elle finis par s'aider de sa deuxième main, ce qui la fit couiner de douleur. Elle regarda son bras, sale, infecté, et surtout ensanglanté.

Elle équarquilla ses yeux verts émeraudes, et demanda une deuxième fois d'une voix cette fois ci engouée :

« ... Kyo ? »

Et elle daigna enfin regarder autour d'elle l'immensité océanique qui s'entendait devant ses yeux. De l'eau, de l'eau et toujours de l'eau à perte d'horizon. Elle se retourna devant une autre immensité, verte cette fois ci, avec la pointe abrupte d'une montagne, dont le bout semblait être coupé. Et elle devina la présence de lave dans ce cratère.

Elle se leva, les jambes tremblantes et faibles, et regarda avec horreur le paysage devant elle, et surtout le fait qu'elle était seule. Très seule. Elle avait beau crier, hurler tout les noms qu'elle connaissait, personne ne lui répondait. Et le fait qu'elle s'agiter et stresser trop faisait que sa blessure empirait.

Elle tomba finalement à genoux dans le sable, et commença à pleurer silencieusement.

« Non... C'est finit maintenant... Je vais mourir... »

Elle leva les yeux vers le ciel gris noir, prouvant un climat tropical, et prévoyant une grosse pluie, voir même de l'orage. Et en rabaissant le yeux, elle vit une énorme bête, de la taille d'un éléphant, mais ressemblant un loup, d'un blanc immaculé, sûrement attiré par l'odeur du sang. La gueule à moitié ouverte, ses yeux d'un marron orangé semblaient fous, et il grognait, comme si la seule présence de l'adolescente l'énervait au plus au point. Son poil neige se hérissait d'une façon troublante, et ses griffes jaunes s'enfonçaient dans le sable.

La jeune fille fut impressionnée. Un tel animal existait il ? Pourtant, il n'attaquait pas, lui laissant une chance de partir à jamais. Cette chance, la brune la compris, mais se souvint rapidement alors de sa situation. Seule, sans aucune aide sur une île visiblement déserte, sans espoirs de contacter quelqu'un ou de pouvoir s'enfuir. Si le loup la laissait en vie, elle se ferait de toutes façon manger par une autre bête ou alors mourerait de faim ou de maladies inconnues.

Elle ferma alors les yeux doucement, accepta la mort en repensant à comment elle en était arrivait là. Elle n'entendit juste le bruit du sable au mouvement de l'animal, puis rien.

***

La jeune brune regarda une dernière fois la jolie plage bombée de monde de ce pays magnifique, le Brésil. Elle étira ses lèvres roses d'un sourire magnifique adressé à sa meilleure amie, une jeune fille moins grande qu'elle, les cheveux lisses châtains lui arrivant au dessus des épaules. Ses lèvres brunes étaient restées entrouvertes, et sa peau brune elle aussi brillait sous le soleil couchant. Elle abordait des yeux noisettes, et une grande beauté :

« J'ai adoré ce voyage ! Et toi ? »

Mais son amie ne lui répondit pas. Elle resta un instant à fixer le couché de soleil aux couleurs rose, orange, bleu, et jaune, les yeux perdus dans le vague.

« Hélène ? »

Elle réagis enfin, de tournant doucement vers la brune et lui souria.

« Pardon, tu disais ? »

Mais sa meilleure amie souffla.

« J'ai la flemme de répéter là... »

Hélène éclata d'un rire franc, de sa voix grave pour une fille. Les deux jeunes filles rentrèrent dans leur chambre pour tomber nez à nez avec un homme de deux ans de plus qu'elles à peu près, une légère cicatrice en bas de la joue droite, des cheveux noirs charbons tombant sur son front, des yeux de la même couleur, et un air dur, froid et sévère. La jolie brune râla simplement :

« Kyo ! Qu'est que tu fais là encore ? »

Le noiraud lui répondit alors d'une voix grave, suave, et bien à lui :

« À dix kilomètres d'ici, s'est passé un vol par un homme armé d'environ 35 ans. Si il vient jusqu'ici, tu pourrais être blessée. »

Kyo, du haut de ses 16 ans, était musclé, armé jusqu'au dents, se tenait droit et fort. Les parents de la jeune adolescente brune l'avais embauché il y avais presque 3 ans, pour qu'il protège leur fille adorée de toutes menaces existantes sur terre.

Kyo avait un père américain qui lui avait appris l'anglais et à se servir des armes, et une mère japonaise lui avait instruit elle le japonais, un peu de chinois, et d'autres arts martiaux. Il appris le français pour aller vivre en France, cela pour protéger la jeune fille. Cela énervait celle-ci, qui devait le supporter jour et nuit, devant les toilettes ou elle fesait ses besoins et devant la salle de bain ou elle se lavait tout les jours.

Il y avais un mois, le collège ou elle étudiait avait organiser un voyage scolaire au Brésil, et la brune n'avais pas voulu rater cette rare occasion. Alors avec sa classe, elle était partie en avion de France pour se retrouver dans ce pays paradisiaque dont elle était déjà tombée amoureuse.

Évidement, Kyo ne l'avais pas quittée. Elle ferma sa valise et soupira.

« De toutes façons nous partons... »

Hélène pris ses valises elle aussi. Et le trio sortis de l'hôtel, avec toute la classe. En sortant, elle et sa meilleure amie discutèrent avec leurs amis, et un garçon magnifique brun avec une coiffure singulière qui se résumé à une mèche traversant son front, et ses autres cheveux coupés court, s'apprêtait à donner une tape amicale sur l'épaule de la grande brune, pour la saluée, mais un éclair noir lui attrapa la main pour lui faire une clé de bras et lui crier dans les oreilles :

« Que t'apprêtait à faire pouilleux ?? »

Et le jeune brun plutôt musclé lui aussi se dégagea rapidement :

« Mais lâche moi, merde ! Léa ! »

La brune de retourna d'un coup avec un grand coup dans les côtes pour son garde du corps. Elle grogna, visiblement en colère.

« Ça, c'est Tom ! Il ne va pas me tuer ni me faire du mal, c'est mon pote ! »

Kyo grogna et se retourna pour surveiller les environ. Léa souria au brun :

« Désolé. »

Et le jeune homme lui souria en retours, dévoilant ses dents blanches parfaites.

« C'est pas grave ! Mais bon... Il m'a fais mal l'enculé...
Aha... »

Léa était éperdument amoureuse de Tom depuis qu'elle l'avait rencontré, une année plus tôt. Ce garçon, beau, sportif, vulgaire qui détestait les règles la faisait complètement fondre, et seule Hélène savait les sentiments qu'elle avait pour lui. Lui s'en doutait sûrement, vus le nombre de filles déjà tombées à ses pieds, mais préférait rester amie avec la jeune brune, sous le mauvais œil de son garde du corps, qui refusait toutes approches de quelconques personnes " louches " et la seule personne qu'il laissait librement approcher Léa, c'était Hélène, sa meilleure amie de toujours.

Dans l'aéroport spacieux, et bombé de monde de toutes les couleurs, de tout les pays, Kyo surveillait d'un œil Léa, et de l'autre œil, le monde autours d'elle. Si jamais quelqu'un de trop louche l'apporcherait, il agirait rapidement, la main déjà sur son arme, cachée dans sa veste de cuir. Quand ils passèrent dans les détecteurs de métaux, le noiraud fut obligé de montrer sa carte de militaire, et tout fut réglé. Les gens qui s'occupait de sa lui laissèrent un pistolet et un poignard, mais tout son autre artillerie fut placé dans une valise blindée, qu'ils rangeraient dans la soute. Ils entrèrent dans l'avion, et, une grande femme très belle les compta, ils étaient 13 élèves sans compter Kyo.

Cela pouvait paraître comme une petite classe, mais beaucoup d'élèves avaient refuser de venir, ou ne pouvait pas, déjà occupés. La femme qui les comptait était brune, des cheveux frisés attachés dans un chignon mal fait, mâchant un chewing-gum, ses lèvres roses s'ouvrant et se fermant rapidement, dans son humeur comme d'habitude destructrice.

Elle n'était pas sévère, loin de là. Mais beaucoup trop en forme pour ses élèves, et elle fatiguait tout le monde. Son physique athlétique montrait beaucoup de sport, et son jean déchiré montrait un style décontracté. Elle souria et dit, d'une voix forte et d'un léger accent " chti " :

« C'est bon il y a tout le monde ! »

Tout les élèves s'installèrent, et commencèrent à discuter entre eux. Léa se trouvait sur les sièges dû milieux, entre Kyo à sa gauche, et Hélène à sa droite, assise à côté de Tom, très liée d'amitié avec lui. Kyo avait toujours la main sur son poignard, a l'affût, Léa était assise en tailleur, tripotant son portable, et Hélène était elle en pleine discutions se basant sur le basket avec Tom, qui lui racontait le dernier match qu'il avait vu, et sa déception pour son équipe préférée.

L'avion décolla, et, une fois dans les airs, Léa enleva ses baskets dernier cris et se leva sur son siège pour sauter, soudainement en pleine forme. Kyo lui dit, de sa voix grave :

« Assieds toi. Tu pourrais te blesser. »

Mais ce à quoi la brune lui répondit, en attachant ses long cheveux dans une couette rapide :

« Décoince toi Kyky ! »

Tandis que le noiraud lui lançait un regard noir, Tom étouffa un rire. Le garde du corps grogna :

« Ne m'appelle pas comme sa. Et assieds toi. »

La brune, contente de faire rire celui qu'elle aimait, s'approcha du visage du garçon qui ne bougea pas d'un poil, pour lui sourire de façon insolente :

« Et tu vas faire quoiii ? »

Kyo s'apprêta à répondre, quand l'avion sembla donner un grand coup de frein. Les gens tombèrent, se cognant dans tout les sens, lâchant leurs objets, criant des choses incompréhensible. Léa tomba elle aussi se cogna contre le siège d'avant et allait dégringoler au dessus, mais fut rattrapée par le poignet, et rassise de force sur son siège, Kyo, l'ayant protégée d'une chute grave, était en train de rattacher sa ceinture de force, et grinçant des dents.

Léa elle, ne pouvait pas réagir, sa tête ayant cogner trop fort sur le siège, la faisant voir trouble et vaguement. Elle entendit juste :

« Mesdames, messieurs, nous vous prions de vous rassoir, et d'attacher vos ceintures, car des petites turbulences nous posent problèmes.  Merci de ne pas paniquer, et d'enfiler vos gilets de sauvetages comme vous le diront nos hôtesses, merci. »

Léa tourna le regard vers Hélène, qui, elle aussi attachée qui la secouée dans tout les sens :

« Léa ! Léa ! Léa ! »

Mais la brune ne pouvais pas lui répondre, trop sonnée pour faire quoi que se sois. Elle cligna des yeux plusieurs fois, et grogna en se frottant douloureusement la tête. Elle entendis une petite voix fluette parler dans la foule, essayant de calmer la panique et expliquant comment enfiler les gilets de sauvetages.

Elle vit aussi Tom le visage dur et la mâchoire contractée, et Kyo le couteau à la main, s'attendant peut être à une quelconque attaque terroriste. Les chocs constants de l'avion lui valdinguer la tête dans tout le sens, et enfin, l'avion s'arrêta de bouger, pour tomber net à plat dans le vide. Léa sentis son estomacs de retourner et ses cheveux se détacher pour se coller à son visage et se soulevaient dans l'air, et là, sa ceinture se détacha.

Pas seulement la sienne, mais toutes les autres aussi, soulevant les corps de la cinquantaine de personnes dans l'avion. Kyo la prit dans ses bras, la tenant fermement à la taille, pour planter son poignard dans le siège d'en face, pour rester au sol. Il grinça des dents sous l'effort mais tient bon, jusqu'à ce que l'avion se coupe en deux, littéralement au milieu du duo.

Léa hurla, Kyo détacha son couteau pour se jeter sur elle, la coupant accidentellement au bras, mais fut aspiré par une force incroyable de vent à l'intérieur de l'avion. Léa se re cogna à la tête, pour tomber dans l'inconscience et tomber dans le vide, au milieu de la mer.

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