Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Chapitre 6 : ✔

Chapitre 6 : 

Je sentis mes joues chauffer, alors que j'essayais de ne pas laisser paraître ma surprise. Comment avais-je pus être aussi stupide ? 

-Arrête de faire la tête, Grangie-chérie. 

Elle pencha lentement la tête, en fronçant les sourcils. 

-Je devrais peut-être t'appeler Nottie ? 
-Je... commençais-je.
-Tu as raison, je devrais trouver un autre surnom. Celui-ci est extrêmement copieux, dit-elle avec un sourire. 
-Tu... Arrête de sourire. Ce n'est pas drôle. Tu ne devrais pas connaître la vérité, tu n'imagines même pas les ennuies, que tu vas me procurer et... commençais-je en touchant mon front.

-Relax. Je ne compte pas te balancer, c'est hilarant de voir le comportement de tes amis face à Game. 
-J'imagine que ce silence n'est pas gratuit, murmurais-je. Qu'est-ce que tu veux ? 

Elle me fixa pendant quelques secondes, un léger sourire sur les lèvres. 

-Je veux, que tu défonces cette pétasse. Elle n'a pas le droit de te parler, comme elle le fait. Défends-toi, tu n'es pas n'importe qui... Tu es importante, comparément à elle. 
-Attend... Pardon ? Pourquoi ? Ce n'est pas... commençais-je. 
-Tu es la cousine de mon meilleur ami, me coupa-t-elle. Il n'hésiterait pas à me tuer, s'il avait connaissance d'un simple chantage. De toute manière... Qu'est-ce que tu veux me donner ? J'ai déjà tout !
-Apparemment, j'apporte le pouvoir, dis-je d'un ton neutre. 

Elle m'adressa un nouveau sourire amusé. 

-M'as-tu écouté ? C'est exactement, ce que j'étais en train de te dire... J'ai déjà tout... Écoute Nott... commença-t-elle. 
-Tu devrais m'appeler Hermione, coupais-je en marmonnant. Tu connais beaucoup plus de chose sur ma vie, que mon meilleur ami... 
-Écoute Hermione, recommença-t-elle. Les familles comme la mienne... Les familles avec une importance et une richesse incroyable ne viendront pas te voir pour l'influence que tu as chez les sorciers. Nous l'avons déjà... 
-Parkinson, commençais-je. 
-Pansy, dit-elle en levant les yeux au ciel parfaitement ennuyé. 
-Oui... Pansy... Je te remercie de me prévenir, que certaines personnes ne sont pas des connards assoiffer de pouvoir, dis-je avec un sourire. 
-Pas de quoi, dit-elle en haussant les épaules.
-Tu... Tu pourrais me rendre un service ? demandais-je. 
-Et voilà... Une de plus, marmonna-t-elle. 

Je haussais un sourcil, avant qu'elle se racle la gorge.

-Ouais, finit-elle par dire. 

J'attrapais un parchemin vierge, puis j'écrivais rapidement mon message. Pour refermer correctement la lettre, j'utilisais la méthode familiale. Je sortais donc ma baguette et je récitais une formule en pointant mon doigt. Des gouttes de sang tombèrent directement sur mon parchemin, que j'avais soigneusement plié.  

-C'est complètement crade, commenta Pansy. 

Je récitais une dernière formule, en pointant mes gouttes de sang. Mon sang s'évapora aussitôt.  
-Impossible à ouvrir, sauf si tu appartiens à la famille Nott, dis-je en lui tendant. 
-Tu aimerais, que je l'apporte à Théodore. 
-Exactement, répondis-je. 

Elle attrapa la lettre et la rangea dans son sac. 

-Crade mais classe, chuchota-t-elle. 

Je lui adressais un léger sourire. 

-Je vais te laisser travailler. Je ne sais que trop bien à quoi ressemble un Nott privé de révision, dit-elle en se levant. 

Je ricanais légèrement, c'est vrai que mon cousin était horrible, quand il ne pouvait pas réviser. 

-Bon... Surtout, n'oublie pas... Cette garce doit redescendre sur Terre. 
-Je peux te poser une question ? demandais-je. 

Elle soupira légèrement, un petit sourire sur les lèvres. 

-Je t'écoute. 
-Pourquoi, tu ne l'aimes pas ? C'est vrai... J'ai une raison comme Théodore et Daphnée. Game peut salir notre nom... Alors que toi... C'est quoi ta raison ? demandais-je en fronçant les sourcils.
-Cette fille ne m'inspire pas, dit-elle simplement. Dès qu'elle est arrivée, elle a pris ses airs de Grande Dame. Hors... Elle n'est rien, absolument rien. 
-Cela n'explique rien, répondais-je. 

Un air dédaigneux s'installa sur son visage.  

-En première année, j'ai été une sorte de Reine pour les Serpentard. Théodore, Blaise et Drago étaient les rois. Il est hors de question, que cette pouf' m'éjecte de ma place. Enfin... De notre place. Pour l'instant, nous arrivons à garder le contrôle, les Serpentard doutent encore de sa légitimité, grâce à Théodore. Par ailleurs, j'aimerais te signaler que Théodore ne la déteste pas juste à cause de cette histoire de nom. Ton côté Poufsouffle ta visiblement détruit les neurones... 

Je fronçais légèrement les sourcils. 

-Cette fille veut prendre notre place, elle désire contrôler les Serpentard. Peut-être qu'elle ne touchera pas à Théo, pour garder l'illusion qu'elle est toi... Tu devrais savoir, que si elle parvient à nous évincer ce sera dramatique. Les Serpentard rentreront de nouveau en guerre avec les maisons. 
-Vous êtes déjà en guerre avec Gryffondor, coupais-je. 

Elle leva les yeux au ciel, légèrement agacée. 

-Je ne te parle pas d'insultes. Je te parle de sortilège, de clan et de sang. Qu'est-ce que tu crois ? Si personne ne ta cassé la gueule, depuis notre première année c'est uniquement parce qu'on contrôle les Serpentard. Quand nous sommes arrivés, nous avons fait le ménage dès le premier soir. Nous avons instauré une règle, nous avons ordonné l'arrêt total des punitions envers les autres élèves. Tu aurais déjà avoué ton petit secret, si n'avions rien instauré, dit-elle en croisant les bras. 

Je fronçais légèrement les sourcils, je n'avais jamais pensé à ça. 

-Alors... Bien sûr, que je déteste cette fille. Elle représente ce que je déteste le plus. Elle pense pouvoir débarquer comme un hibou, pour détruire ce que nous avons construit pendant des années ? Elle pense, que personne ne va réagir ? Elle se trompe et lourdement. Nous allons la détruire. 
-Tu veux que je participe... murmurais-je. 
-Évidemment, plus nous serons nombreux à la remettre à sa place, plus elle perdra la confiance qu'elle gagne. 
-Je n'ai jamais remis quelqu'un à sa place.

Elle me regarda en souriant, un sourcil haussait. 

-Vraiment ? Pourtant, j'ai le souvenir d'un magnifique coup de poing, dans le nez de mon meilleur ami... Tu sais... C'est ce jour-là, que j'ai commencé à douter... Tu ressembles tellement à Théodore... Quand vous vous énervez, il y a ce petit quelque chose... Tu devrais Hermione Nott prendre le contrôle... Hermione Granger est bien gentille, mais je préfère largement quand elle est sur pause, dit-elle avant de partir. 

Je souriais légèrement, en repensent à ses paroles.

-Elle a raison cette fille est dangereuse pour l'équilibre de Poudlard, entendis-je. 

C'était la voix d'une jeune femme, elle était douce et remplie de sagesse. Je fronçais doucement les sourcils, en regardant le plafond.

-Rowena, murmurais-je. 
-Descendante, répondit-elle amusée.

Je ricanais légèrement, puis je ramassais mes livres. C'était un surnom plutôt charmant. Je saluais Madame Pince, en sortant.

-Hermione ?

Je me retournais, pour voir Ginny. Malgré mes nouvelles rancunes, je lui souriais légèrement. 

-Salut.
-Qu'est-ce que tu fais ici ? demanda-t-elle en fronçant les sourcils. 
-Bah... J'étais à la bibliothèque, dis-je en désignant la porte derrière elle. 
-Ah oui... Mais... Je te pensais, que tu étais à l'infirmerie... 
-Au fait... Je vais mieux, merci de me le demander. 

Elle secoua légèrement la tête et me fit un sourire crispé. 

-Je... Ouais Excuse-moi... J'étais ailleurs... Alors, qu'est-ce que tu avais ? 
-Des étourdissements, répondis-je simplement.
-Oh... Ouais... Ton bandage est juste magnifique, commenta-t-elle en souriant. 
-N'est-ce pas, ricanais-je. Tu viens ? 
-Non... Non... Je vais rester ici... Quelques minutes... 

Je fronçais légèrement les sourcils, elle avait l'air gênée. Je regardais rapidement autour de nous, le couloir était vide. 

-Pourquoi ? demandais-je. 

Elle haussa une épaule. 

-J'aime bien être ici... Et... Je dois allée à la bibliothèque. 
-D'accord.  

-Attention, dit une voix dur. 

Naturellement, je commençais à imaginer que c'était la voix de Salazar Serpentard. Je reprenais mon chemin, en fronçant légèrement les sourcils. Pourquoi  m'avait-il dit "Attention" ? 

Je poussais un hurlement, en sentant quelque chose tomber sur moi. C'était vert, chaud et gluant.  

-Par Godric ! 

J'étais entièrement recouverte de cette chose. J'essayais de dégager cette chose de mes yeux et de mon visage, quand je remarquais Ginny. Elle s'approchait rapidement, la mine coupable. 

-Oh... Hermione... Je... commença-t-elle gênée. 

Quelqu'un ricana, créant une vague de fou rire. 

-Bravo Weaslette ! Tu peux évidemment rejoindre nos rangs ! 

Je connais cette satanée voix. 

-Game, murmurais-je énervée.

Je tournais mon regard vers Ginny. Elle était horriblement rouge et elle essayait de fuir mon regard. 

-C'est toi... N'est-ce pas ? demandais-je les dents serrées.
-Elle n'avait pas vraiment le choix... Sauf, si elle veut finir comme toi, dit Helena. 

Je grimaçais légèrement, en essayant de ne pas trembler. C'était chaud, brûlant même. J'utilisais mes mains pour enlever cette chose verte. Pourtant, j'avais l'impression qu'elle se multipliait pour atteindre les endroits les moins recouverts.

-C'est inutile, chuchota Ginny. Ce sera de pire en pire...  
-C'est chaud, dis-je les larmes aux yeux. Je brûle... Je brûle... 

J'utilisais mon self-control pour ne pas hurler. J'avais l'impression de brûler sur place. J'essayais d'attraper ma baguette, mais elle était comme bloquée dans mon sac. 

-Mesdames et Messieurs... Voici la célèbre Hermione Granger, s'exclama Helena. Avons-nous besoin d'exprimer notre profonde déception ? 

Les rires redoublèrent, alors que je laissais tomber une larme. Je m'installais rapidement contre le mur. J'avais chaud, énormément chaud. Ma respiration était de plus en plus courte. J'avais l'impression, que mon cerveau allait exploser. Je n'arrivais même plus à réfléchir. 

-Qu'est-ce que vous faîtes ? entendis-je. 

C'était une voix froide. C'était encore une voix, que je connaissais. Les rires de mes camarades se calmèrent. Malgré ma vue floue, je pouvais voir qu'ils s'écartaient. Une petite blonde et un grand blond entrèrent dans mon champ de vision.

-Elle va bien ? demanda la petite d'une voix fluette. 

C'était sûrement une première année. Je distinguais à peine sa cravate, Poufsouffle.

-J'enlève vingt points à Serpentard, Serdaigle et Gryffondor. Dégagez. 
-Ce n'est que Granger, Drago. Elle ne mérite rien d'autre... Qu'est-ce qui te prend ? J'ai entendu dire, que tu la haïssais, dit Helena en attrapant son bras. 

Je me laissais glisser contre le mur, des larmes silencieuses coulaient encore sur mon visage. 
La petite Poufsouffle s'approcha rapidement de moi. 

-Drago... Elle ne va pas bien, dit-elle en attrapant sa baguette. 

Malfoy se dégagea de l'emprise d'Helena. 

-Qu'est-ce que c'est que cette chose ? chuchota la petite en touchant le liquide vert. 

-Justement Game... Granger c'est ma victime personnelle. Personne ne peut la faire pleurer. C'est mon privilège. Est-ce que c'est clair ? demanda-t-il froidement. 

Elle hocha doucement la tête.  

-Maintenant... Dégagez. 

Les élèves partirent rapidement, en murmurant. Helena attrapa fermement le bras de Ginny, puis elles partirent. Malfoy s'approcha, en jurant. C'est avec une étrange douceur qu'il attrapa la jeune fille par l'épaule, pour la décaler. 

-Bordel... Grangie... Tu es presque belle à regarder ! s'exclama-t-il en souriant. 
-Drago ! rouspéta la petite. 

Malfoy leva les yeux au ciel, en attrapant sa baguette. 

-Un simple sortilège de nettoyage devrait faire l'affaire, dit-il. 

J'avais envie de lui dire, que je n'étais pas une espèce de casserole sale, mais je n'arrivais pas. Je commençais à étouffer sérieusement, de plus la chose verte commençait à me gratter. Il leva sa baguette, pour lancer le sortilège. Aussitôt, la douleur disparut. Je n'avais plus aussi chaud, je n'avais même plus envie de me rouler par terre pour arrêter les démangeaisons. La chose avait entièrement disparu. 

-Merci...
-C'est un plaisir, Granger. Même si tu étais largement plus... commença-t-il. 

La petite lui donna un coup de coude. Je souriais légèrement, en tournant mon visage vers elle. 

-Qui es-tu ? demandais-je. 
-Stella. Sa demi-soeur, dit-elle en souriant également. 

Je haussais un sourcil, alors que Malfoy s'étranglait.

-Arrête Dray. Elle peut savoir, dit-elle en levant les yeux au ciel. J'ai entièrement confiance en elle. 

Il haussa un sourcil, tournant un visage choqué vers elle. 

- Pardon ? Tu lui fais confiance ? Est-ce que je peux savoir pourquoi ? 

Discutez... Discutez... Ne vous gênez pas pour moi... 

-Elle discutait avec Pansy, dit la gamine en me regardant en souriant. 
-Tu... Tu... 
-Oui, j'ai entendu toute votre discussion, dit-elle en haussant une épaule. 
-Elles discutaient ? demanda Malfoy en fronçant les sourcils.
-Je lui ai juste donné un livre, intervenais-je. P
-Un livre ? À Pansy ? répéta-t-il. Stella... 

Cette dernière m'adressa un sourire éblouissant, avant d'acquiescer légèrement. 

-C'est vrai... Elle lui a juste donné un livre... 
___

Qu'est-ce que vous pensez de ce chapitre ? 

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro