Chapitre 2 : la balle
Cela allait bientôt être l'heure du bal. Romane et moi avions passé un agréable moment l'un contre l'autre, sentent le souffle de l'autre sur notre cou.
Enfin bref cela faisait bientôt une heure que l'on était comme ça, il était temps de faire connaissance différemment.
On s'assit sur le lit l'un en face de l'autre.
- Quel était ton enfance ? lui demandai-je.
- Mon enfance...mon enfance... Ah oui !
De base, je ne connais pas la ville, je l'ai découverte, il y a sept ou huit mois.
Avant, je vivais dans une ferme perdue au milieu de la forêt Myribillia. On passait de bons moments.
Ma famille et moi on s'amusait à jouer à travers les arbres. La ferme était installée dans une petite clairière et on cultivait ce que la nature nous offrait.
Tout se déroulait pour le mieux jusqu'au jour où la forêt fut détruite. Cet événement se déroula, il y a presque un an. J'ai tant perdu ! Je ne sais pas qui a fait ça, je suis juste sûr que il ne reste plus rien de cette magnifique forêt.
- Je... je suis désolé...dis-je ému.
- Et toi quel a été ton enfance ?
- Mon enfance a été très peu mouvementé. J'ai surtout peu d'amis, voir aucun. Tu es sans doute la première personne à qui je parle avec affection.
J'ai également appris à détester mes frères. Mon père m'a enseigné les rudiments du combat. Il m'a également formé pour devenir son héritier.
Ma mère, elle m'a enseignait la politesse et un peu la courtoisie. C'était, avant de te rencontrer, la seule personne à qui je me confiait. Je ne vais pas te mentir mais je déteste ma vie. J'aurais préféré vivre à la campagne, reculer de toutes ces histoires.
Avant, je ne voulais pas devenir comme mon père cette brute sans cœur mais désormais je ne souhaite plus qu'abdiquer quand mes parents seront morts. C'est ce que je ferai !
- Pourquoi ne pas le faire de leur vivant ?
- Cela les blesseraient...j'ai honte de mon choix.
- Je te rappelle que je dois être royalisé demain matin et si tu abdiques je perdrai aussi mon pouvoir, on serait pauvre et...
- On serait heureux !
- D'accord tu n'as pas tort. Tu peux juste faire une chose pour moi ?
- Oui que veux-tu ?
- Peux-tu vérifier qui a ordonné la destruction de Myribillia
- Je le ferai, tout doit être stocké dans un dossier dans une des étagères de la bibliothèque. Je regarderai à la fin du mariage.
- Promis ?
- Promis !
- Merci et je te jure que je ferai en sorte de tuer cette personne de mes propres mains.
- Fais-le discrètement s'il te plaît, je n'ai pas envie d'être impliqué.
- Je te promets ça !
Et romane s'approcha de moi, me poussa en arrière et mit ses douce lèvre sur les miennes.
Désormais, ce n'était pas la plus belle ni la plus moche du royaume mais c'était la plus merveilleuse !
Les grandes portes de la salle impériale s'ouvrirent. Tous les coupes de nobles s'avancèrent et pénètrèrent.
Moi et Romane suivâmes le mouvement. A la vue de la splendeur de la salle, j'écarquillai les yeux ; le balcon provisoire avait été décoré ainsi que le parquet et les tables. Celle-ci étaient garnie d'un tas de petites choses à manger. L'orchestre qui jouait la musique, était installée sur une petite estrade au fond de la pièce.
Le chef d'orchestre leva sa baguette et fit un mouvement avec. Le violoniste posa son archet sur l'instrument. Il commença à faire jouer l'objet sur les mouvements de la baguette. Les autres instruments, qui m'étais inconnus, se mirent à leur tour à jouer. Les couples se mirent ensemble et commencèrent à danser, certains même commençaient à se servir en nourriture ou à se balader sur le balcon.
Romane m'attrapa la main et nous commençâmes à danser. On dansait au rythme des notes, nos corps se balançait. Je ne sentais plus rien autour de nous. La musique nous faisait danser de plus en plus rapidement, je sentais les notes me pénétraient en moi et se répandent dans tout mon corps. Romane souriait, moi je riai. J'étais enfin heureux de vivre un moment différent qu'habituellement.
Après cette danse, je partis danser avec d'autres femmes. J'étais prince il fallait que j'accomplisse mes devoirs. Je perdu de vue Romane, mais tant pis. Je dansais au rythme de la mélodie, changeant de partenaire à chaque nouveau morceau.
Après plus d'une demi-heure à me balancer d'un côté et de l'autre, je finis par me fatiguer. La sueur dégoulinait le long de mes cheveux. Je pris un verre et commençai à le boire. Je montai ensuite les escaliers pour arriver sur le balcon. De là, je pus voir toute la salle du haut de mon perchoir ; je voyais les couples dansaient, mangeaient, rigolaient, passaient un bon moment...être heureux !
Je fus surpris de ne pas ressentir ce bonheur, sans doute à cause du devoir que je devais avoir après la mort de mon père. Je soufflai, je n'avais jamais voulu d'une vie comme ça qu'avais-je mérité pour cela ?
Mes yeux s'emplir de larmes, une d'entre elles glissa le long de ma joue.
- Pourquoi pleurs-tu Karl ? me demanda mon père qui venait d'arriver.
Je ravalai mes larmes et me retournai.
Il continua :
- Réponds-moi ! N'es-tu pas content de la fête ?
- Non...ce n'est pas ça !
- Je vois que tu ne veux pas m'en parler...
- Non ! Je ne suis pas heureux de...d'être l'héritier du trône ?
- Comment ça ?
- Je m'imagine la vie que j'aurais si j'étais né ailleurs.
- Penses-tu que tu aurais rencontré Mme Lomberdois ?
- Non, tu as raison c'est stupide !
- Mais non...mais non !
- Si ! Je suis sans doute plus heureux que...
- N'y pense plus !
Et mon père me pris dans ses bras, c'était l'une des seules fois de ma vie qu'il me fit un câlin.
Une fois qu'il relâcha celui-ci, je lui demandai :
- Dis-moi papa, est-ce toi qui a détruit la forêt Myribillia ?
Il me regarda, fronça les sourcils et partit énervé. J'étais maintenant sûr que c'était lui qui avait commis ce crime affreux. Je m'adossais à la barrière et me perdu dans mes pensées.
Quelques minutes plus tard, Romane vint me rejoindre sur le balcon. Dans sa main, il y avait un verre et ses cheveux étaient tous décoiffé.
- Ça ne va pas ? me demanda-t-elle.
- Non, non tout va très bien ? lui répondis-je en forçant mon sourire.
- Ça se voit à ta tête qu'il y a quelque chose. Que s'est-il passé ?
- Pff...je viens de voir mon père.
- Ah ! Et qu'est-ce qu'il t'a dit ?
- Rien ! Je lui ai juste dit que je ne me sentais pas être roi...
- Et qu'est-ce qu'il a répondu ?
- Rien...je le voyais dans son regard, il avait l'air déçu...
- Mais non...Et pourquoi il était en colère quand je l'ai vu ?
J'hesitai à lui parler de mes doutes sur l'impplication de mon père dans l'histoire de la forêt.
- Ah ça ! Je lui dis que j'avais prévu de...euh...abdiquer.
- Réellement ? Je croyais que tu ne voulais pas leur faire de la peine ?
- Si...mais...enfin...bref...je lui ai dit et il s'est mis en colère, point barre !
- Calme-toi ! Je ne veux pas te mettre en colère !
- Pardon...
- Ce n'est rien, bon tu viens ! C'est l'heure de la danse finale...
Je soupirai, puis prenant ma main dans la sienne, elle m'emmena vers la piste de danse. Elle bu d'une traite son verre puis le posa sur une table. L'heure du slow habituel avait commencé.
Je posai mes mains sur ses hanches, la douce musique commença à s'élever. Tous les couples autour de nous se mirent ensemble et se balancèrent d'un côté et de l'autre. Romane et moi faisâmes de même.
On était tellement près l'un de l'autre, que je pouvais sentir son souffle sur mon cou. Je souris, elle posa ensuite ses lèvres sur les miennes et m'embrassa.
Les autres couples autour de nous disparaissèrent. J'avais l'impression de n'être plus qu'avec Romane, rien que tous les deux.
À la fin de la danse nous nous séparâmes. Elle me regarda puis dit :
- Tu viens on va se coucher ?
- Oui !
Et je la suivis en direction de ma chambre.
Je me réveillai en sursaut, je n'arrivai pas à me rendormir.
Depuis que Romane m'avait parlé de cette forêt, j'avais envie de savoir qui avait fait ça.
Dans la totale obscurité, je tournai ma tête en direction de Romane, elle dormait paisiblement. Le feu dans la cheminée s'était éteint depuis plusieurs heures sans doute, il ne restait plus qu'un tas de cendres.
Je me décidai à le lever et à aller vérifié les ouvrages témoignent de cet incident. J'espérai trouver ce que je voulais.
Quand mes pieds touchèrent le parquet froid, un frisson me parcourut, j'avais envie de revenir sur ma décision et de me reblotir dans mon lit, dans le chaud. Be ne le fis pas.
Je marchai prudemment faisant attention à faire le moins de bruit possible. A ma grande surprise, je ne croisai personne dans les couloirs.
Une fois arrivé devant les portes de la bibliothèque royale, je les poussai et penetrai dans celle-ci. La salle était gigantesque, il y avait trois étages.
Chaque étages s'organisait ainsi ; de grandes fenêtres avec des rideaux descendent jusqu'au sol, des étagères bourrées de livres, une grande cheminé, des grands fauteils et un tapid pour éviter de se perdre.
Le première étage stockait tous les livres traitent de contes, légendes et autres histoires inventé par le peuple. L'étage supérieur lui contenait tous les textes anciens, sacrés et religieux. Quand au dernier, les ouvrages qui étaient conservé été les archives et tous les récits qui s'en rapprocher.
Je pris l'escalier et monta au troisième paliers. Les rayons n'étaient pas du tout organisé. Impossible de s'y retrouver la dedans. La particularité de cet étage, c'est qu'il contenait une grandes cheminée ainsi que des tables que je n'avais jamais vu découverte et propre.
Je commençais par parcourir les ouvrages les moins abîmé. J'y vus des livres parlant des révoltes paysans, de la guerre de la Florida, du ravage de la végétation et de l'arrestation d'un grand groupe.
Après avoir cherché des heures, je ne trouvai rien. Pas un seul ouvrage qui parlait de cet forêt. Je finis par chercher dans toute la paperasse. Je piochai dans la première pile, je parcourus les différents documents un à un. Malgré toutes ces recherches, aucune ne traitaient de la destruction de Myribillia.
Je me retournai d'un coup, j'avais entendu un bruit ou plutôt uen voix. Deux, un homme et une femme, qui se parlaient. Je reconnu la voix de mes parents.
Ils se rapprochèrent de plus en plus de moi. Je cherchai une cachette au plus vite et finis par me tapir derrière un rideau, collé contre la vitre glacé.
- Tu aurais du lui dire, dit ma mère.
- Je n'en avais pas le courage.
- Tu as caché les papiers ?
- Non !
- Mais il va finir par le découvrir si tu ne lui dit pas !
- Je les ai brûlée.
- Ouf !... Et tu en gardais aucun ? Je veux dire des copies ?
- Si dans un coffre verrouillé dans mon bureau.
- Et pas ailleurs ?
- Je ne crois pas...ah !
- Qu'es ce qu'il y a ?
- Je viens de me souvenir...
- Te souvenir de quoi ?
- Il y avait un auteur qui en parlait.
- Et tu penses qu'on aurait un ouvrage stocké dans la bibliothèque ?
- Très sincèrement, je pense que oui !
Mou qui avait tout écouté, je me demandai quel pouvait être l'ouvrage dont ils parlaient.
Il ne fallait surtout pas que mes parents me trouvent là, dans une pièce qui m'était encore interdite.
- Dépêchons nous de le trouver !
- Personne ne doit savoir pour cette...
- Chut !
- Quoi ?
Ma mère ne fit plus un bruit, puis chuchota queleque chose que je ne pus entendre. L'un de mes deux parents monta sur une échelle et récupéra quelque chose avant de le jeter dans la cheminé.
- Voilà ! C'est fait ! dit mon père.
- Plus personne ne le saura.
- Allez viens on va se coucher.
Et ils partirent.
J'attendis encore quelques minutes que le bruit de leur pas est disparu. Je sortis ensuite de ma cachette. Je courus ensuite en direction de la cheminée. La chose qu'il avait jeté, était un ouvrage, il n'en restait qu'une couverture carbonisé et des pages ravagés par les flammes.
Il fallait que j'aille dans le bureau de mon père pour découvrir ce qu'ils avaient tant voulu me cacher.
Je redescendus tous pour sortir de la bibliothèque. Les couloirs étaient désert, aucune torche ne les éclairait. Je marchai prudemment jusqu'au bureau du roi. Sur le chemin, je ne croisai pas âme qui vive.
Enfin arrivé devant, je baissai la poignée. La porte n'était pas verrouillé, elle s'ouvrit. Je pénétrai dans la pièce.
Celle-ci n'avait pas de changement de jour comme de nuit. Je marchai rapidement et contournai le bureau. Je trouvai derrière celui-ci, un grand coffre.
Verrouillé, bien sûr !
Je cherchai du regard mes clefs. J'allais abandonner quand soudain, j'aperçu un trousseau. Il était posé sous une feuille.
Je me précipitai dessus et la jetai en l'air. Je récupérerai les clefs et me pressai à trouver la bonne clef.
Je les essayais toutes, une par une.
J'introduisai la dernière, avec désespoir. Peut être n'avais je pas trouver les bonnes clefs ? Est ce que mon père l'a gardait sur lui ? Je tournai celle-ci, quand un déclic se fit entendre.
*
Je me reveillai en sursaut, mon pyjama colait sur mon corps. Je venais de rêver de la forêt. Je revoyais mon frère brûlait par les flammes, j'entendais encore mes parents hurler et hé ressentais encore les larmes coulaient le long de mes joues.
Je le levai, j'avais besoin de réponse ! Même si Karl m'avait promis de fouiller, je devais également mener mes propres recherches. Je commençais par remettre un peu d'ordre dans mes cheveux. J'allumai une bougie et la posai sur le petit bureau. Karl était une personne bien organisé, son bureau était propre et bien rangé.
Je partis ensuite en direction de la bibliothèque personnelle du prince. Celle-ci ne faisait que que trois étagères. Je parcourus les ouvrages, ils parlaient tous de la royauté. Il n'y avait pas de récit d'aventure, de contes ou d'autres ouvrages.
J'abandonnais donc cette piste. Je revins sur mes pas et décidai de me recoucher. Je m'approchai du bureau, et au moment d'éteindre la bougie, j'aperçus une lettre qui était posé en dessous. Je le soulevai et remarquai qu'il n'y avait rien d'inscrit sur l'enveloppe. Je l'ouvris et retirai la feuille de son emballage et lus :
Je dus relire l'avertissement plusieurs pour comprendre. La dame, c'était moi ? Je m'y perdai. Pourquoi cette personne voulait-elle m'empêcher de decouvrire la vérité ? Que devrais-je faire ?
Tellement de questions dans ma tête qui se remuait, je décidai de cacher la lettre eg de l'oublier. Je trouvai la cachette, la mis dedans et répartis me coucher. Tous cela ne serait plus qu'un mauvais cauchemard demain matin...
*
J'attendais avec Romane devant les grandes portes de la salle de royalisation, l'heure de la dernière étape de mariage avait sonné. J'avais hâte de partager avec Romane, mes découvertes de la nuit passé.
Hier, quand j'avais ouvert le coffre, j'avais découvert des tas d'archives. La plupart était des lettres, mais tout au fond de la boîte, il y avait un énorme dossier parlant de la destruction de la forêt Myribillia. Je l'avais ouvert et avais découvert tout un tas d'articles et de lettres. J'en avais lu la plupart mais aucune ne mettait une hypothèse sur quk était le coupable.
Un article avait attiré mon attention, elle parlait d'un potentiel coupable : le roi. Je lus celui-ci dans son intégralité :
"Dans la nuit du 29 juillet, un énorme incendie a été déclenché dans la fabuleuse forêt Myribillia. Pour l'instant, nous ne déplorons aucune victime mais cela ne serait tardé.
Les scientifique affirment que 99% des animaux en voie de disparition sont désormais dites éteints !
Certains témoins sur place, affirment que le roi est à l'origine de ce massacre. Il aurait ordonné à une personne de brûlait cette forêt mais nous n'en savons pas plus.
Cher lecteur, nous vous prévenons dès que possible d'une potentiel avancé de l'enquête"
Je cherchai encore un peu plus dans le dossier et y trouvai un autre article qui m'intriguai. Je le lus également :
"Suite aux propos désobligeants envers la couronne, la rédaction du journal a dû être dissoute. Le roi s'est chargé de punir le rédacteur en chef mais il n'a pu mettre la main sur le journaliste ayant rédigé l'article...
Pourtant deux semaines plus tard, son corps a été retrouvé déchiqueté. Le roi affirme..."
L'article s'arrêtait là ! Je repartis me coucher et étant fatigué, je ne pus le raconter à Romane.
Romane me prit la main. Nous nous tenâmes devant le bassin de sacration, on était en compagnie de mon père, ma mère et du prêtre. Personne d'autre n'avait le droit d'assister à la cérémonie. La plupart des nobles étaient repartis chez eux, seule ceux qui voulait féliciter Romane attendaient patiemment derrière la porte.
Le prêtre commença la cérémonie. Il demanda à Romane de me lâcher la main et de pénètrer dans l'eau glacé.
Je me souviens de cette sensation comme si c'était hier. Elle claqua des dents.
- Que l'eau royalisé te transmettent son pouvoir !
Il verra une cruche d'eau sur la tête de Romane. Ses cheveux étaient maintenant ruisselant, sa robe lui collait à la peau.
- Que les royalisés se prosternent devant la nouvelle...
Mon père, ma mère et moi, nous penchâmes.
-Très bien ! Vous pouvez vous relever. Passons maintenant au sort interdit.
Il prit Romane, une main sur le cou, une autre tenant les jambes. Il la poussa entièrement dans l'eau, impossible de respirer pour elle, il posa son pied sur sa tête.
- BOYA MIRITIA ! Equa vona milouta aplutue luquotuseau cutumie ! Mario epita sutora enatunaito virenateau jusquean crudeau ptilie ! VERANO DICIMO ABDOLUTO !!!!!!!!
Et il relacha enfin la pression de son pied.
Romane retira immédiatement sa tête de l'eau et reprit une grande inspiration. Elle avait réussi et était en vue. Elle sortit ensuite de l'eau et partit se changer derrière un rideau.
Après s'être sécher et passer des vêtements sec. Nous sortâmes de la pièce. Je tenais dans ma main droite celle de Romane. Elle souriait, enfin ce mariage était terminé. J'allais pouvoir lui dire ce que j'avais découvert hier. Je pourrais lui présentais mes meilleurs coins où j'aimais passer du temps.
Elle saluait de sa main la foule. Les gens étaient heureux. Heureux d'avoir une futur reine. De la rencontrer. J'étais sur d'une chose, elle changerai beaucoup de chose durant son règne.
Puis tous d'un coup, une petite détonation se fit entendre. Tout la foule poussa un cri d'horreur. Je mis quelques secondes avant de me rendre compte que Romane n'allait pas bien. Du sang coulait le long se son dos, elle tomba sur le sol.
- Romane ? Romane. Romane ! hurlai-je.
- Kar...Karl...kof...kof...écoute moi...kof, kof...kof...bien ! dit-elle avec grande peine.
- Oui !
- Fais...att...kof...attention...fais...le...ne...l'ai...
Elle lacha toute résistance et poussa un dernier râle. Tous ce déroula très vite, pendant que des larmes coulaient le long de mes joues, une équipe embarqua le corps avec laquelle j'avais passé d'agréables moment.
Ce soir-là, je me souviens avoir eut envie de me jeter du haut de ma fenêtre. Les derniers mots qu'elle m'avait dit résonner encore dans ma tête.
"Fais-le"
Faire quoi ? Je n'avais pas compris ce qu'elle avait voulu me dire mais je n'allais pas mes recherches sur la forêt Myribillia, je sentais que j'y étais presque. Et je turai cette personne même si cela était mon père.
Les jours suivants au château furent des plus sombre. Je ne sortis pas de ma chambre. Je passai mes journée à pleurer. Mon père quand à lui, essaya d'enterrer l'affaire mais avec la plus grande peine.
Dix jours plus tard, je me redressai et me levai enfin de mon lit. J'avais pris une décision ! J'allais retrouver la personne qui avait fait ça et me venger. Il me fallait commencer par reprendre toutes la liste des invités. Toutes l'après midi, je me mis à la tâche. J'avais déjà ma petite idée sur la vengeance que je preparai, il ne restait plus qu'à la préparer des que j'aurais trouvé le nom du coupable.
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