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Chapitre 13 : Mlle Lomberdois

Après mon rendez-vous avec l'inspecteur, il avait directement contacter le centre de soin et avait obtenu un rendez-vous.

Immédiatement informé, j'avais pris la première voiture disponible et étais parti pour l'interrogatoire.

J'étais assis sur une grande banquette en velours rouge. La fenêtre du carrose était en verre mais un long rideau rouge, en gâchait la vue. Le véhicule était tiré par quatre grands chevaux bruns crème.

Je m'adossai à la parois du véhicule et soufflai. Et si Mlle Lomberdois n'avait rien avoir avec ça ? Je ne serai plus qui serait le meurtrier, je ne serai plus où chercher.

Pour l'instant, tous mes soupçons portaient vers deux personnes ; Aquadic et Mlle Lomberdois.

Pour ce qui était du cas d'Aquadic, je comprenais pourquoi il aurait pu commettre un tel crime tandis que ce qui était dû cas de Mlle Lomberdois, je n'en voyais toujours pas ce qui en pourrait être la cause. Peut être une fureur quelquonques.

Il fallait que je penses à autre chose, un truc positif, un truc que je ferrai immédiatement après l'enquête.

J'eux beau réfléchir, je ne trouvai point ! Pas moyen de sortir de mon crâne l'affaire en cours. Je ne pensais qu'à trouver ce foutu coupable.

Je soupirai une deuxième fois, j'en avais marre, j'avais été mêlé sans mon consentement et je devais me débrouiller seul. J'avais aussi l'impression que l'inspecteur général n'y mettait pas du sien que j'étais le seul à travailler à me creuser les méninges pour trouver deux foutu coupables.

Je soufflai une nouvelle fois, je devais me calmer. Tous cela serait bientôt fini et je pourrai enfin prendre du repos et arrêter cette enquête. Je pourrai penser à autre chose, à une vie, à ma retraite.

Je souris, la retraite. Je ne voulais plus travailler, je voulais faire comme ces jeunes sur les plages, à jouer et à gambader sur les plages tous l'été, un sourire de con au visage. Je voulais prendre plus de temps pour moi.

Mais je savais que tous cela serait vite de courte durée et que tous ça me manquerair tellement que je finirai pas craquer et par revenir.

Je poussai un nouveau soupir. Peut être que je n'aurai pas fini cette enquête que je serai mort. Peut être qu'une embuscade pour me faire taire m'attender là où je me rendais.

Je pris ma tête entre mes mains, j'avais envie de la frapper si violemment sur la paroi de la voiture pour me retirer de ma tête toute ces pensées.

Je m'allongeai sur la banquette et pris le temps de fermer les yeux. Je m'endormis.

*

Je me revaillai en sursaut. Le conducteur de la voiture me reveilla en sursaut.

- Euh...oui, oui ! dis-je surpris.

Il ouvrit la portière et dit :

- Nous sommes arrivés, le directeur M Lecroix vous attend.

Je m'étirai.

- Est-il déjà là ?

- Vous avez de la chance...

- Oui, je suis là ! s'exclama une voix qui était sans doute celle du directeur.

Un silence suivit.

- Je me présente, je suis M Lecroix, le directeur de centre de soin. Le roi m'a informé de votre visite.

- Je m'appelle M Renard, ou inspecteur Renard.

Je tandis la main.

Il ne prit pas la peine de la serrer et répondit :

- Sachez qu'ici, aucun contact corporelle avec qui qu'on que, patient et personnelle compris, n'est toléré.

Nouveau silence.

- Qu'attendez-vous ? Je vous attend dans le jardin. Je vous fais confiance pour que vous ne prenez pas la peine d'explorer mon domaine sans autorisation.

Il fit demi-tour et sortit de mon champs de vision.

Je me tournai vers le conducteur et lui dit :

- Désolé ! Je crois que vous allez devoir attendre ici.

Il sourit et dit :

- Très bien, la note sera plus grande pour vous.

- Le roi ne sera pas du même avis, c'est lui aussi qui paye, débrouillez-vous avec lui.

Il perdit son sourire.

- Je vous attends quatre heures pas une minutes de plus.

Et il repartir dans sa cabine.

Je me levai et m'étirai une nouvelle fois.

Je sortis du véhicule et traversai toute la cour. Je devais rejoindre M Lecroix pour pourvoir m'entretenir avec lui.

Je finis pas rentrer dans le bâtiment qui se dressait devant moi. Il était immense, il ressemblait à un de ses anciennes demeures en marbre de l'antiquité. Le lierre recouvrait la plupart des colonnes en marbre qui faisaient le tour du bâtiment.

Je traversai tous le bâtiment et arrivai finalement à une sorte d'accueil du centre de soin.

Une femme se tenait d'ailleurs le contomptoir, elle était d'une grande taille, ses cheveux blonds descendaient jusqu'à ses épaules, ses yeux bleu se reflétaient comme l'eau pure de la mer et sa bouche formait une courbe si parfaite.

- Bonjour monsieur, que cherchez-vous ? me demanda-t-elle.

- Euh...savez-vous où puis-je trouver le directeur de l'établissement ?

- Il est en ce moment en entretien, vous pouvez patienter ici.

- Mais c'est lui qui m'attend !

Silence.

- Il m'a demandé de l'attendre dans le jardin, repris-je.

- Je vais aller lui demander, restait là !

Elle contiurna son comptoir et partit par une porte.

Je patientai assis sur une chaise. Mon bras tenant ma tête, je soufflai. J'en avais marre de toute cette attente. Le directeur m'avait dit de le rejoindre mais il m'avait pas dit où le jardin se situait.

La femme ne revint qu'une dizaine de minutes plus tard, elle abordait un large sourire. Quand elle retourna derrière son comptoir et qu'elle m'appela, elle perdit son sourire et retrouva un visage froid et sans expression.

- Il vous attend, première porte, du couloir, puis vous irez toutes au bout du couloir et vous arriverez dans le jardin. Une fois à l'extérieur, vous devriez vous rendre sur une petite terrasse où le directeur vous y attend.

- Je vous remercie !

Je la saluai et pris la direction qu'elle m'avait indiqué. Je pris donc le long couloir et arrivai finalement dans un immense jardin. Il était magnifique, une allée zigzaguait entre les arbres et les fleurs. Ainsi au bord de ses chemins, des fleurs de toutes les espèces et de toutes les couleurs illuminaient mon chemin.

Je parvins enfin sur une petite terrasse qui était entouré de milliers de fleurs, à l'entrée de celle-ci, il y avait même une arche de buisson. Au milieu du lieu, avait été installé, une table ronde et quatre chaise en bois. Le directeur était d'ailleurs assis sur l'une d'entre elle.

- Eh bas dis donc, vous en avez mis du temps ! s'exclama-t-il.

- Désolé, je ne trouvai pas le lieu, dis-je en forçant mon essoufflement.

- Ce n'est pas grave, assiez-vous ! dit-il en dirigeant sa main vers une des chaises.

Je tirai celle-ci et m'assis dessus.

- Alors ? Pourquoi vouliez-vous me voir ? reprit-il.

- J'aimerai vous posez quelques questions au sujet de l'une de vos patientes.

- Et ?

- J'aimerai savoir vous êtes d'accord !

- Et si je vous adresse une réponse négative ?

Un silence suivit. Je prenais le temps de réfléchir.

- Je ne pense pas que vous refuserez !

- Pouquoi ?

- Car l'une de vos patientes, viens de passer suspect numéro 2 dans l'affaire du meurtre sur le dernier roi de Florida, Karl.

- Ah, je vois !

Nouveau silence.

- Vous parlez de Mme Lomberdois, reprit-il, est-ce cela ?

- Euh...oui, j'aimerai m'entretenir avec elle pour éclaircir quelques points douteux.

- Quels points ?

- Je ne vois pas en quoi cela vous regarde.

- Très bien, faites, faites. Auriez-vous besoin de parler également à Mme Zuturie, l'infirmière qui s'occupe de Mme Lomberdois ?

- Je veux bien !

- Très bien, je vous laisse ici, je vais les chercher.

Il se leva, remit sa chaise sous la table et commença à partir. Soudain, il se retourna et dit :

- Je vous fais confiance pour ce qui est du faite que ma patiente soit en accord avec cet entretien. Écoutez là, si elle vous demande d'arrêter faite le.

- Très bien.

Il se retourna à nouveau et parti enfin pour de bon.

*

Il revint une heure plus tard, en compagnie de Mme Lomberdois, en chair et en os, et de son infirmière au nom indictable.

Ils s'assurent chacun sur une chaise.

- Je...je..., commençai-je.

- Nous resterons.

- Pas de problème !

Je me raclai la gorge et continuai :

- Mme Lomberdois pouvez-vous me raconter ce qu'il s'est passé après le mariage ?

- Non !

- Comment ça "Non !" ?

- Je vous ai dit quoi ?! s'exclama M Lecroix.

- Mais je dois bien...

- Non...

- Bon reprenons Madame. Pouvez-vous me raconter votre vie avant de connaître Karl ?

- Oui !

- Comment était-elle ?

- Normal, je vivais avec mes parents dans la forêt Myribillia.

- Faux !

- Pourquoi vous mentirai-je ?

- Nous en avons désormais la preuve.

Je vis Mlle Lomberdois, changer tout à coup d'attitude.

- Allez-y, appuyez vos propos !

- Saviez-vous que la forêt dont vous parlez à brûlé il y a 10 ans. Où avez-vous vécu durant ces dix longues années ?

Elle colla ses mains et commença à réciter une prière qui disait :

- Je suis désolé, Ajeob Y la Feibd dksb ribevd, votre secret, ehfjj à jefkfk rbdjdjbd, pejfjfv y pejfjfv.

Elle se rassit finalement et commença à pleurer.

- C'est douloureux, dites donc pourquoi ?

- Je leur ai promis de rien dire mais si je peux éviter d'être impliqué dans l'affaire alors que je suis innoncente, je vais ainsi être obligé.

- Allez-y ! Ne craignez pas ! Je ne dirai rien à mes collègues ! L'opinion publique ne connaîtra pas la vérité.

- Je n'ai pas perdu ma famille lors de l'incendie de la forêt Myribillia.

- Comment ?

- Tous commence, il y a près de 30 ans, mes parents, deux riches commerçants de la contré de Guiskopue ont un enfant non voulu. Étant très riche, ils décident de prendre des vacances en Florida...

Sa voix se brisa, et elle lâcha deux, trois larmes au passage.

- Ils décident de prendre des vacances en Florida et de rencontrer le roi qui est à cette époque le père de Karl.

Dans ma tête, je savais très bien que le frère d'Igor était au pouvoir à ce moment-là.

- Malheureusement, la femme accouche dans une clairière dans Myribillia. Ils décident d'abandonner cette enfant et de continuer leur route.

Elle se remet à pleurer. J'ose jetai un regard au directeur, qui me transperce du regard.

- Cette enfant est ensuite récupéré par un homme dont personne ne connaître l'existence. Il s'en occupera pendant huit mois, puis le ramènera en Guiskopue. Il retrouvera la trace des deux marchants et voudra leur rendre l'enfant qu'ils refuseront.

Elle marqua une nouvelle pause, puis ravala sa salive.

- Le pauvre homme est ainsi obligé de demander de l'aide au roi qui est Luïso. Il accepte et fait du bébé son enfant. Il ne pourrait pas être l'héritier de ce trône. Son mari, à Luïso, a tout de suite adoré cette enfant et la surnommait Romane. A l'âge de ses 25 ans, ils ont reçu une proposition de demande en mariage pour leur fille et l'ont accepté.

Silence.

- C'est fini.

- Et l'enfant que lui est-il arrivé après le mariage ?

- Il a été immédiatement hospitalisées dans ce centre de soin et à été vite rétablie. Jusqu'à ce que vous veniez m'annoncer la nouvelle, je n'étais pas ai courant pour la mort de Karl.

Elle mit sa tête dans ses mains et sanglota lourdement.

- Mme Zurturie, j'ai également quelques questions à vous posez.

La concerné de reveilla de ses pensées et dit :

- Je vous écoute !

- Je vais devoir demandera à Mme Lomberdois et M Lecroix de partir, ces questions sont d'un ordre privé.

- Très bien.

Les deux concernés se levèrent et partirent comme je l'avais demandé.

- Parfait, maintenant que nous sommes bien seul, j'aimerais savoir pourquoi n'avez-vous pas informé Karl, qu'elle était toujours en vie ?

- Je ne sais pas...je...

Silence.

- Je...je ne l'ai pas fait car ma patiente m'a demandé de ne rien lui dire.

- Pourquoi ?

- Elle ne voulait plus le voir, il l'avait abandonné.

- Comment ça ?

- Je ne peux pas vous en dire plus !

Elle se leva et s'enfuit dans le jardin

*

De retour dans la voiture, je réfléchissais à ce que j'avais appris aujourd'hui ; rien !

Je savais que Mlle Lomberdois n'aimait pas son mari mais pourquoi ?

J'étais désormais perdu, je devais parler à l'inspecteur général qui serait en mesure de me donner quelques idées.

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