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La montre

Après avoir desserrer mon étreinte, je m'aperçois qu'un garçon au cheveux noir de geais en bataille sur la tête et au yeux noisette l'accompagne. Je lui souris poliment. Camille sautille alors de joie.

- Je te présence Jeff ! S 'exclame-t-elle.

- Ton copain ? Lui demande-je discrètement.

- Non, non, non ! Se précipitèrent de dire tout le deux.

Je ne l'ai apparemment pas dis assez discrètement... je souris à nouveau au garçon puis amène Camille à part.

- Excuse moi ! Lance-je à Jeff tout en m'éloignent.

Il me fait juste un signe de la main en guise de «  C'est pas grave ». J'attrape alors Camille par les deux épaules et pointes mon regard dans le sien comme un revolvers.

- Camille... j'ai un très gros problème ! M'exclame-je tout en la secouant un peu.

- Qu'est-ce qu'il se passe ? Me demande-t-elle alors tout en fronçant les sourcils, inquiète.

- Je...

Je reste tout à coup bloqué sur ce début de phrase. Est-ce que je devrais vraiment lui dire ? Est-ce que je devrai lui parler de ce garçon si intriguant portant le nom de Mike ? Je ne suis pas sûre que ce soit la meilleure chose à faire. Je cherche alors désespérément quelque chose pour finir ma phrase. Un « Non enfaîte rien. » l'aurait inquiéter encore plus. Je jette alors un regard à Jeff adossé contre lui mur, le regard vers le ciel.

- Ce garçon me plaît vraiment ! Lui dis-je tout bas.

Non ! J'aurais du me taire ! Mais pourquoi est-ce que j'ai dis ça ?! Les yeux de mon ami se mettent soudainement à briller.

- J'en était sûre qu'il te plairait ! S'écrit-elle. Il est célibataire le compte est bon !

- Chut ! M'exclame-je en lui posant la main sur la bouche pour la faire taire.

Elle me regarde ensuite la tête légèrement penché sur la droite, ses long cheveux brun pendant le long de son bras.

- Quoi ? Demande-je alors.

- Vous allez être trop beau tout les deux !

J'aurais vraiment du me taire. Je vais me coller ce pot de glu tout au long de la journée. Et l'autre abrutit aussi ! Je regarde du coin de l'œil ce « Jeff » à l'aire dragueur. Je soupire alors. Camille pose une de ses petite main longue et fine sur mon épaule droite. Elle me sourit gentillement puis m'attrape tout à coup la main et me mène jusque lui. Jeff me fixe de ses yeux chocolatés. Au grand jamais mes lèvres ne toucheront les siennes, je me le promet ! Nous restons un moment tous les trois en silence. Le vent souffle dans les arbres dénudés de toutes feuilles, le ciel se grise au long des minutes qui s'écoule toujours dans un extrême calme.

- Si... commence Camille brisant l'ambiance pensante qui c'était installer. Si on partait p...

- Oui, je dois y aller ! La coupe-je tout en m'éloignant sans un geste ni un regard.

- Non attends ! S'exclame-t-elle alors. Attends...

Elle me fait alors un signe plus ou moins discret vers Jeff se tenant les bras coirser, toujours adossé de la même manière sur le mur. Je lui prends alors le bras et l'éloigne à nouveau du garçon ;

- Je ne peux pas rester... lui dis-je. Je dois vraiment y aller.

Je n'ai absolument aucun motif pour pouvoir m'éclipser, mais ce qui est certain, c'est que je ne resterais pas une seconde de plus avec ces deux là réunit. Je souris alors avec gentillesse, puis m'éloigne en traînant le pas. Je lève les regards vers le fond de la rue ; un homme s'y tient, droit, planter comme un bâton, les bras croiser. Je n'arrive pas tout de suite à distinguer son visage. Je continue alors ma route, mais au fur et à mesure, son visage se dévoile, plus il se dévoile, plus se doute se perd en moi, mais plus j'avance... plus son visage s'éclaircit. Mes craintes deviennent alors réalités : C'est l'homme. C'est Mike. Arriver à quelques mètres de lui, je fais volte face faisant semblant de ne pas l'avoir vu. Mis très vite, je sens sa main se posée sur mon épaule. Je suis contrainte à lui faire face.

- Je t'avais demander de ne plus me suivre ! M'exclame-je en dégageant sa main toujours ganté de ce cuire noir.

- Oui... je te l'avais promis, commence-t-il. En échange de ton écoute !

- Je t'ai écoutais, j'ai pris le temps d'entendre ta maudite histoire sans sens et je t'avais...

Je me stop soudainement dans mon élan. Je plante alors mon regard dans le sien. Puis avec hésitation, je commence à formuler ma question :

- Tu... commence-je la voix légèrement tremblante. Comment as-tu... enfin je veux dire, tout à l'heure... je ne suis pas arriver en retard... enfin...

- Attends... Me coupe-t-il. Est-ce que tu vas m'écoutais si j'essaie de t'expliquer ?

- Oui mais je voudrais juste...

- Jusqu'au bout ?

J'ouvre la bouche une première fois mais aucun son ne sort. Je réfléchit un instant, perdue dans mes pensées qui s'entremêle. Puis dans une inspiration, simplement je lui réponds :

- Oui.

Tout en s'éloignant, il me fait signe de le suivre. Je remarque une nouvelle fois ce livre, les pages en sont jaunis... probablement un très vieux livre. Sa mallette dans sa main droite, noire, abîmée... elle n'a pas l'aire bien lourde vu comme l'homme la transporte avec facilitée. A nouveau, les rues que nous traversons se vide peu à peu. Plus un bruit ne vient perturber le silence qui s'est installé dans toutes les rues de la ville. Ce n'est qu'une impression... ou du moins je crois ! A nouveau, nous nous retrouvons face au café... « De temps en temps »... j'ai toujours apprécié cette endroit. Je ne sais pas pourquoi. Quelque chose s'y dégage. Quelque chose d'apaisant. Je regarde alors à l'intérieur de celui-ci. Personne... étrange, il devrait être ouvert à cette heure-ci. Peu importe ! Nous nous essayons à nouveau à cette même table en terrasse. Mike dépose alors sa mallette sur la table, sans un bruit, mais garde fermement son livre dans sa main gauche. Je me demande ce qu'il y a de si bien la dedans pour qu'il veuille le garder 24 heure sur 24.

- Alicia... commence-t-il.

Oh non... il ne va tout de même pas recommencer !

- Oui... soupire-je agacée.

- Est-ce que tu sais où on est ? Demande-t-il alors.

- Oui, sur une terrasse d'un café de la ville, je ne vois pas ce que...

- Alicia... tu as tort de me prendre pour un abrutit.

- Pardon ? M'étonne-je.

Pourquoi le prendre-je pour un abrutit ? Oui, sûrement parce qu'il me suit dans les moindres petit recoin de ma vie, qu'il ne m'explique rien, que son histoire est insensé ! Je lui jette alors un regard noir. Il faut qu'il apprenne que je ne suis pas très patiente. En particulier avec des gens dans son genre.

- Es-ce que tu es de mon côté ? Me questionne-t-il.

- Que... Quoi ? Quel côté ?

Il rigole alors ironiquement. Il prendre une grand inspiration puis replonge son regard dans le mien. Cette fois je n'aurais pas peur. Cette fois je lui ferais face.

- Alicia... répète-t-il comme s'il ne voulait pas que je perdre la moindre de ses paroles. Est-ce que tu veux m'aider ?

- Non. Dis-je sèchement. Non, je ne veux pas t'aider.

Il sourit étrangement face à ma réaction. Je devrais peut-être prendre peur finalement. Il se lève tout à coup, prend sa valise, et pour la première fois, dépose son livre son la table. Il ouvre doucement et délicatement les fermetures. Il me jette un regard, avant d'ouvrir son trésor. Je me penche alors avec angoisse au dessus du contenu.

- C'est quoi ça ? Demande-je soudainement déçue.

- Le temps. Répond-il fièrement. Le temps...

Dans la mallette, se trouve un grand sablier, dont les grains sont de sable, les contours sont en bois. Il est vrai qu'il est très beau mais je ne vois absolument pas ce qu'il a de si exceptionnel. Et autour, se trouve plein de petit cadrants dans les aiguillent tournent à l'unissons, des plus élégant au moins raffiner, des plus beau au plus sobre, en collier, en montre ou même simple. Je trouve ça vraiment beau. Est-ce qu'il les vend ? Est-ce pour ça qu'il me suis depuis plusieurs jours ? Pour me les vendre ?

- C'est beau n'est-ce pas ? Me demande-t-il.

- Oui... c'est vraiment très beau... Murmure-je comme hypnotisé par toute ses petites aiguilles cliquetants en cœur. Tu les vends ?

- Non, je les offre. Me répond-il tout en prenant un jolie cadrant doré à fermoir relier à une chaîne en or.

Je le regarde alors intrigué. Il me le passe alors autour du coup. Un sourire s'illumine sur son visage.

- Maintenant, le temps t'appartient Alicia...

Tout en me disant cette phrase, tout devint gris autour nous, froid, le silence devient encore plus lourd. Le vent qui continuer de souffler dans mes cheveux jusqu'alors s'arrête nette. Je me lève alors. Apeurée, fascinée... je tiens entre mes doigts, la montre qu'il vient de m'offrir.

- Tu... Essaye-je de dire sous l'étonnement de ce monde que je découvre. Tu ... tu arrête...

- Le temps... Finit-il.


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Voilà encore un chapitre... personne ne lit encore mon histoire mais j'y crois. Peut-être qu'un jour deux ou trois personne liront ce petit récit. Je sais que le livre est peut-être long à commencer. Mais je vous le promet. Dès le prochain chapitre, les choses commence sérieusement.

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