Je m'appelle Alicia, j'ai 17 ans, ma vie va changer lorsque je vais rencontrer un homme au nom de Mike.

Vite ! Vite ; je vais finir par arriver en retard à la réunion ! J'attache en vitesse mes cheveux blond et ondulé au dessus de ma tête. Je passe en vitesse devant mon miroir afin de vérifié ma tête aujourd'hui : comme d'habitude... pas si belle que ça. J'enfile mes bottes noires, attrape la clé de chez moi posée sur le vieux meuble en chêne que m'a offert mon grand-père puis sors, referme la porte de l'appartement que mes parents loue pour moi le temps de mes études de psychologie. noir en quatrième vitesse tout en dévalant les 3 étages. Arriver dans le hall, je jette très vite un coup d'œil à mon courrier : rien. Cela m'arrange plutôt pas mal ; je n'aurais pas eu le temps de le prendre et de le lire. Je continue mon chemin en marchant tout d'abord à pas lent, puis en voyant l'heure passer, j'accélère mon pas, jusqu'à courir dans la rue, bousculant deux ou trois personnes sur ma route. Jusqu'au moment où je percute de plein fouet quelque chose, enfin... quelqu'un ; un homme un peut plus âgée que moi, probablement de 2 ou 3 années, les cheveux bruns, les yeux vert pomme, il me fixe les sourcils froncés. Après avoir cligné deux ou trois fois des yeux, je reviens à moi.

-Excusez moi... monsieur ! M'exclame-je en ramassant la mallette à ses pieds.

Sans rien me dire, il me l'arrache des mains puis continue son chemin toujours aussi silencieux. La politesse n'existe apparemment pas chez tous le monde...

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Après ma réunion qui récapitulait tout notre mi-année, je décide d'aller prendre un verre avec une de mes meilleures amies au café situer juste en face de l'école. Nous nous installons a une des tables en attente du serveur.

-Alors, tu te plais dans cette école ? Me demande Camille en jetant ses longs cheveux bruns en arrière.

-J'adore, jamais je n'aurai pensé aimer autant ! M'exclame-je.

Elle me répond d'une sourire. Je m'aprette à lui poser une question lorsque j'aperçois soudainement, l'homme que j'ai bousculer ce matin à la table juste en face. Il me jette un regard de ses yeux perçant puis dépose sa valise sur une chaise adjacente. Je me perds alors dans mes pensées. Cet homme m'intrigue vraiment... qui est-il ? J'ai presque le sentiment qu'il me suis... pourquoi ? Je n'en ai aucune idée.

-Alicia ? M'appelle Camille pour me faire revenir à moi.

-Oui... pardon... soupire-je en jetant un dernier coup d'œil à l'homme qui lit un étrange livre dont la couverture n'est que du noir.

Camille se retourne alors pour suivre mon regard, lorsqu'elle l'aperçois , elle me jette un sourire moqueur.

-C'est vrai qu'il est pas mal ! Me murmure-t-elle.

Je lui réponds d'un soupire agacé lorsque une jeune serveuse s'approche de nous. Elle sourie avec politesse avant de nous demander notre choix de boisson. Cette fois-ci, je ne commande rien. Je n'ai rien envie de boire. Cet homme m'intrigue vraiment trop. Camille me fixe alors d'un aire inquiet.

- Que se passe-t-il ? M'interroge-t-elle. Tu ne te sens pas bien ?

- Je crois que je vais aller me reposer... je ne me sens pas très très en forme aujourd'hui.

- Très bien... tu veux que je te raccompagne ?

- Non, merci Camille.

Je me lève la laissant seule. Je jette un dernier regard vers l'homme mais... il n'est plus à sa table. J'avale alors ma salive un peu angoissé. Pourquoi est-ce que je m'inquiète ? C'est juste une personne comme les autres, c'est un hasard si je l'ai bousculé se matin et que je le recroise ici. Je continue alors ma route tout en pensant. Arriver près de mon immeuble, je l'aperçois de nouveau. Ce n'est pas possible.. il me suis ? Adossé près de la porte verte qui mène jusque mon appartement, il lit toujours son livre noir. Sa mallette à ses pieds. Que me veut-il ? J'hésite un instant avant de me convaincre d'affronter ce défit : passer devant lui. Je marche alors, droite, arrive à ses côtes, commence à taper le code de sécurité : 1108... mais soudainement ;

- Tu en as mis du temps à venir... me lance l'homme.

- Pardon ? Demande-je sans comprendre.

- Comment vas-tu depuis si longtemps ? M'interroge-t-il en referment son livre.

- Je... je ne te... vous connais pas...

Je me presse de taper la fin du code : 20. J'ouvre ensuite la porte alors que mon cœur cogne de plus en plus fort dans ma poitrine. J'entre, et alors que j'allais refermé la lourde porte, il la coince avec son pied. Je ne veux pas chercher d'ennuis. Je monte alors les marches quatre à quatre. Ma respiration s'accélère alors que j'entends des pas derrière moi. Arriver devant ma porte, je cherche de mes mains tremblante ma clé au milieu de tout le bazar qui se trouve dans mon sac à main. Et voilà ce qui arrive lorsqu'on ne tient pas ses résolutions «  Cette année mon sac sera plus rangé que n'importe lequel des vôtres ! » . Je tiens enfin ma clé!Les mains toujours aussi tremblante j'essaie à plusieurs reprise de l'inserrer dans la serrure. J'y parviens finalement. Alors que je tourne la poignet de la porte ;

- Tu as l'aire un peu sur les nerfs ! Je me trompe ?

Je me tourne et sursaute lorsque je l'aperçois juste à côté de moi. Je remue les lèvres comme pour essayer de dire quelque chose, mais rien ne sors de ma bouche. Je décide alors de rentrer dans mon appartement sans rien lui dire. Je colle ensuite mon dos contre la porte essayant de me calmer de cette aventure. J'écoute alors si ses pas s'éloigne. Mais étrangement ; rien, pas un bruit. Mon cœur se remet à battre de plus belle. J'inspire et expire lentement.. il faut que je me calme... mais qui est-il ? Je m'avance dans mon salon, ce n'est qu'une petite salle où prend place un canapé lit de couleur noir, en face de celui-ci se trouve un table basse en verre, et sur le mur de droite une petite télé accrocher à mi hauteur. Les murs sont de couleur blanc sale, je ne les ai jamais vraiment aimer. Le sol est un parquet de couleur claire sur lequel j'ai placé un grand tapis rond et gris. Sur le mur de droite, vous pouvez voir une porte. Elle mène à la cuisine dans laquelle il n'y a que quelque meuble et une toute petite table pour manger. Sur le mur de gauche, à gauche du canapé lit, une autre porte ; elle mène à la salle de bain. Ce n'est qu'une toute petite pièce où se serre la douche, un lavabo et un toilette. J'aimerai parfois retourner vivre chez mes parents. Je me frotte le visage, les yeux un peu fatigué et mon espritencombré par ce qu'il vient de m'arriver. Lorsque je relève mes pupilles sur le salon ;

-AAHH ! Crie-je. Sors de chez moi !

L'homme est en face de moi, au bout de la pièce, près de la porte fenêtre qui mène à un minuscule balcon. Il a un sourire en coin digne d'un film d'horreur, ses yeux perçant planté dans les miens, et toujours ce livre noir dans sa main gauche et cette mallette en cuire à ses pieds. Je recule de quelques pas cherchant du coin de l'œil quelque chose pour me défendre s'il lui venait à l'idée de s'approcher un peu trop de moi. Il fait soudainement un pas en avant, mon cœur bondit alors dans ma poitrine, mes battements s'accélérant en même temps que ma respiration. Calme toi Alicia... Calme toi ! Ce n'est qu'un homme, qui t'as suivit toute la journée, qui t'en veut probablement de l'avoir bousculer, et qui en rentrer chez toi sans que tu ne sache comment... et pourquoi ! Il avance encore d'un pas. Il s'assoit sur mon canapé, s'accoude sur ses genoux, puis me regarde avec insistance.

-Je... commence-je la voix tremblante. Je ne sais pas qui vous êtes... mais vous n'avez rien à faire là !

-Vraiment ? Demande-t-il de sa voix grave.

- Je... continue-je d'une voix de plus en plus éteinte par la peur. Je suis désolé de vous avoir bousculer ce matin... je... qu'est-ce que vous voulez ?

Il ne me répond que d'un sourire forcé. Il passe une main dans ses cheveux bruns, se relève, prend sa mallette puis se dirige vers moi. A chaque pas qu'il fait en avant, je recule de la même distance en arrière.Jusqu'à ce que la porte ne m'en empêche. Je prends alors une grande inspiration, prête à hurler à l'aide alors que l'homme ne se trouve plus qu'à quelque enjamber de moi. Mais je sens étrangement mon souffle se couper. En un instant, il se trouve devant moi, posant une de ses mains gantée du même cuire que sa mallette sur ma bouche. Il me chuchote alors ;

- Tu devrais faire du yoga. C'est bon pour le stresse.

Puis il prit mes clés dans la poche de ma veste, les tourna dans la serrure que j'avais pris soin de fermé pour éviter que quiconque ne rentre. En particulier cet homme. Il pousse la porte, me fait un signe de la main accompagner d'un sincère sourire puis disparait dans les escalier droit en carrelage blanc salis par le temps.

Mais qui est-il?

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Voilà, vous venez de lire le tout début de mon histoire... j'espère que vous laisserez un petit commentaire ou autre! Merci! :-*

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