Le maudis se sentait lourd... 

Il se sentait abîmer.... 

Blesser..

Sa tête le lançait.... 

Ses mains douloureuse le piquait ... 

Il avait du mal a les bouger.... 

Il ouvrit, difficilement ses yeux.... 

Il était dans sa cabane... sur le sol.... dans de nombreux tissus... certains taché de sang.... 

Il se redressa d'un coup mais fut vite remis a terre par un malaise le prenant. 

Il ne comprenait pas pourquoi il avait si mal. 

Il regardât ses main toute écorcher . 

Et tout lui revint ... 

Les rires plein d'alcool... 

Les tombes fracasser et éparpiller dans la neige...

Le lynchage...  

Et le grondement féroce a faire pâlir les morts, plein de haine et de rage... puis le noir de l'inconscience... 

Le maudis se déplaça a quatre patte jusqu'à sa porte et l'entrouvrir.... 

La neige était épaisse... Blanche... Immaculé... 

Il se releva avec difficulté et avança d'un pas hésitant vers le cimetière.... 

Et resta bouche bée.... 

Les tombe était intact.... il plissa les yeux....

Non... elle semblait intact... en regardant d'un peu plus près, le maudis pouvais voir les failles, les brisures, les impacts... mais les tombes tenais, fier et droite... comme si rien ne pouvais les anéantir....  comme si jamais, le destins ne les laisserais au sol.... 

Lorsque le maudis passa sa main sur les fissures d'une tombe, comme pour être sur qu'il n'halluciné pas, il sentis quelque chose de plus... gras que la pierre dont la tombe était faite. 

Gras et lisse. 

Comme malléable.

Il regarde sa main. 

Rouge. 

Mais pas rouge comme le serait le sang. 

Rouge comme les feuilles des érables du bois en saison chaude. 

Rouge comme le ciel d'été au soleil descendant pour son repos... Rouge ocre comme l'argile de carrière lointaine.... Les tombes était colmater par de l'argile. 

Toutes les tombes était entières. 

Toutes... 

De la plus petite a la plus épaisse. 

Toutes là... 

Encore présente. 

Une goutte tomba sur la neige amassé près de la tombe.

Une goutte qui fit fondre un peu la neige. 

Une goutte chaude. 

Une goutte chaude et un peu salé.

Puis une autre.... puis une troisième.... 

Puis vite suivi d'un déluge de goutte salé.... 

Des larmes... 

Des larmes coulant tel un torrent sortit de son lit. 

Coulant le long des joues du maudis. 

Des larme de joie.... de bonheur.... de soulagement...

Il n'avait pourtant pas rêver.... 

Comment cela pouvait juste être possible. 

Il sentit alors une présence.... 

Juste derrière lui. 

Il se tournât lentement et avec douleur. 

Et écarquilla les yeux. 

Devant le maudis ce trouvais une créature étrange. 

Comme un gros,très gros chien. 

Un chien bien étrange... 

Sa fourrure n'était que pic d'argile durcit et éclat de pierre.

Ses yeux était d'un ocre doux et tendre.

Il était assis sur ses grosse pattes terreuses et il fixer le maudis. 

Sur son front une roche plus belle  que la plus luxueuse des pierres précieuses.... 

Signe d'une présence divine..... 

Alors le maudis comprit..... 

Les tombes avait été sauver par le divin qu'il priait..

Un miracle... 

Pour lui et ses morts... 

Alors ses larmes coulèrent de nouveau sur les joue du petit homme... 

Mais elles furent accompagné du plus beau des sourirs.