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L'apparition du gardien


Les premières neiges se dépose au sol tel des nuage de coton glacial.

Le sol durcit par le froid et l'air s'acérant par le vent.

La nuit restait bien plus longtemps que le jour.

 Le ciel d'un gris sombre ne laisse que peu le soleil percer. 

Les animaux sauvages étaient partit vers des terres plus chaude ou c'étaient endormie en attente de jours meilleurs. 

Dans cette neige immaculé, la seul trace visible était les empreintes de pas qui menait d'une petite cabane a un autel au milieu de tas de neige qui camouflais les tombes. 

Et dans la pénombre de ce soir polaire, une lueur, faible, apparaissait dans la vallée.

Le feu de bois dans l'âtre réchauffais le corps du jeune Izuku par sa chaleur et son cœur par la douce lumière crépitante qui s'en dégageais. Même si l'air chaud ne le restait pas longtemps a cause des nombreuse brèches dans sa cabane, il profitait de se moment de calme avec plaisir. Il ne se rendait au cimetière que pour ses offrandes et ses prières a l'idole de chien. Il ne discutait pas avec les morts en hivers.

Dans son esprit, les morts étaient comme de petits animaux sans défense...

Arriver a la période des neiges, leurs corps subissent le froid et Izuku a dans l'idée que les esprit hibernent en attendant que la vie revienne reprendre ses droits avec l'arrivé du printemps. 

C'est pourquoi pendant la saison blanche, il faisait le moins de bruit possible... 

Laissez les morts dormirent....  

Ses petites mains tendu devant les flammes, il se demandait si il ne devait pas faire rentré l'idole jusqu'au première chaleur de la nouvelle saison.... 

Il voulait la mettre au chaud de peur que le givre et l'humidité ne détériore la pierre fendiller par endroit. 

Mais les morts n'étaient ils pas des plus vulnérable pendant cette période de repos forcé.....  

Il ne souhaitait que le bien des morts..... 

Et puis, il n'avait pas besoin de protections comparer au tombes.... 

Il était maudit.... 

Certes cela lui offrait solitude et regard de mépris mêlée de peur, mais en un sens, cela lui offrait une protection. Personne ne touche a un maudit....  

Pourtant avant que ses yeux ne ce ferme, le ventre d'Izuku se tordit d'appréhension, comme un mauvais présage. Il s'endormit avec cette étrange sensation de malaise. 

Il se réveilla en sursaut lorsque des bruits se firent entendre. Le feu éteint depuis maintenant une bonne heure avait laisser le froid envahir la demeure. 

Le maudit se releva tant bien que mal et tendit l'oreille. 

Quelque chose l'avait réveillé. 

De nouveaux un bruit, étrangement étouffé, lui parvint. 

Un coup qui brisait quelque chose. 

Inconsciemment,  il sortit de sa cabane et fonçât dans le cimetière. 

Il ne put s'empêcher de pousser un cri. 

Devant lui se trouvait un bon nombre des stèles.... 

En miettes....

Briser.... 

Il entendit des ricanement et se tourna vers la source de ce bruit.

Des jeune gens....

Surement de la ville...

Ils étaient trois, regrouper au niveau d'une stèle encore intacte.

L'un d'eux avais une masse imposante, comme celle que pourrait se servir une personne des forges, et semblait peiné a la lever. 

Les deux autres se moquait allègrement de leur camarade avec des rires gras et sonnant l'alcool haut....

Ivre...

Ils étaient complétement ivre... 

Ils ne virent même pas le jeune homme qui les fixait, un air désemparer sur son visage.

Alors que la masse s'éleva enfin au dessus de la stèle, le maudit ne put retenir un crie.

Le fracas de l'acier contre la pierre résonna dans la vallée comme une explosion dans le cœur du maudit. Il vit comme au ralentie la masse fissurer, fracturer, éclater, brisée, et cela d'un seul coup puissant, la pierre qui se rependit au sol un peu comme se rependrais des éclat d'os d'un crane que l'on détruit.

Les rires des intrus ne s'entendait que dans la vallée...

Dans la tête du maudit, seul résonnait encore et encore la pierre  brisé tombant de manière  étouffée dans la neige épaisse.

Puis, tout ce passa rapidement...

Des rires....

Des cries...

Des coups....

La douleur....

La peur....

Et un grondement....

Puis le néant...











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