Au mains d'un maudit
Des grand yeux vert....
Qui brillait de mille lueur malgré la faible lumière offerte par la nuit.
Moi qui avait l'habitude du regard rubis, souvent emplie de frustration, de mon maitre, je suis comme absorber par leur éclat.
C'est comme observer toute une nature rayonnante de vie.
Un mélange d'herbe fraiche, d'herbe coupé, de jeunes pousses et de larges fougères, le tout parsemer de paillette de lumière comme si le soleil percer a travers la canopée de centaines d'arbre au feuille émeraude.
Et seul perçait la surprise et une joie incommensurable a la vue de.... ma statuette ?
Pourquoi, ce vagabond est il si heureux de voir ma misérable statuette ?
Même s'il essayait de me revendre, il n'obtiendrais pas une seul pièce vu mon état.
Il ramasse ma statuette et la place dans son sac.
Je le suis en flottant derrière lui.
Il est maigrelet ce garçon.
Je lui donne pas plus de 14 ans au vue de sa faible carrure.
Il est maigre, sale, plein de plaies, pied nue et d'après ce que j'ai vu de son sac, c'est un voleur.
Un vagabond ne peut pas se payez du vernis a bois et jamais ne pourrais s'offrir de la poudre d'herbe énergétique aussi luxueuse.
Ais je offenser un dieu supérieur pour me retrouver avec cette crapule.
Les rues de la ville sont infester de bandits et je tombe sur celui qui y ressemble le moins.
Il marche dans la pénombre jusqu'au cimetière. Il discute avec un homme au visage de plume sombre. Il discute un peu avec mon voleur et ce dernier semble fier de lui montré mon idole.
Quel idiot !
Vu ses vêtements, le corbeau semble être un prêtre.
Ce qui veut dire qu'il va réclame la possession de mon idole pour me désunir de cette dernière puis il appellera surement la garde pour signaler ce vagabond.
La garde fouillera le gamin et verront qu'il est en possession d'objets qui ne peuvent être a lui de par son statut.
Je me rend compte que l'homme oiseaux me fixe.
Pas ma statuette.
Non.
Il me fixe.
Moi.
Puis il fait un doux sourire, comme rassurer de ma présence et rend mon idole au garçon couvert de boue.
Il souri en annonçant au vagabond qu'il a les dieux favorable et que je suis encore attacher a ma statuette.
Pourquoi ?
Je fixe le corbeau humain donnée un paquet a ce garçon puis disparaitre dans la nuit ne laissant de lui que sa silhouette a peine apparente tel une âme perdu a la recherche du bonheur prés d'une tombe au fleur sculpter dans la roche.
Pourquoi ?
Pourquoi ne m'a t'il pas délier de mon idole?
Pourquoi m'a t-il laisser en possession d'une personne qui n'est pas mon maitre ?
Pourquoi afficher t-il un air rassurer en m'ayant vue ?
Je suit le gamin crasseux qui se dirige vers la sortit de la ville.
Et je réalise...
Ses pied nue écorcher commence a presser le pas dans le bois.
Il court avec une agilité épatante pour son apparence chétive.
Il file en serpentant entre les arbres et les roche.
Sautant avec légèreté, sur la pointe de ses petits pieds abimer, sur certain tronc coucher formant un pont naturelle au dessus du profonde rivière.
Il parcourt la foret au arbres épais dans la noirceur de la nuit, la lune ne perçant pas au travers des nombreux feuillage du bois de plus en plus dense, comme s'il était éclairer du soleil, évitant les obstacles sans même les voir.
Il court vite, sans que le rythme de ses pas ne ralentisse alors que son sac semble lourd de ma statuette en pierre.
Comment peut il courir avec mon poids ?
Il ne donne pas l'impression de courir, ses pieds ne semblait pas faire de bruit sur le sol pourtant humide.
La ou d'autre se serais retrouver ralentit par la mousse humide et les tas de feuilles collante, lui semblait.... flotter.
Comme porter par le vent qui soufflait au travers des branches.
Puis la lumière de la lune, tel un phare dans une mer ou les vagues seraient branches et buissons, apparut de nouveau.
Sous mes yeux, je vit la beauté brut d'un lieux pourtant ignorer de tous.
Les tombes se mêlaient a l'harmonie de cette vallée comme si la moindre tombe enlever pourrais briser l'envoutement de ce lieux.
Je suis sans voix.
Le vent se lève caressant le visage fatiguer du garçon.
C'est comme si le vent le félicitait de son retour en cette vallée.
Il marchât jusqu'à une petit cabane branlante.
Vivait-il ici ?
Le temps de me poser la question que je le vit entrée et allumer un feu dans l'âtre au milieu de l'unique pièce.
La faible lueur du petit feu n'éclaire que peu l'endroit.
Je ne peut pas détailler la pièce.
Le mendiant sort mon idole du sac et l'observe avec un intérêt démesuré tandis qu'il commence a se nourrir de ce qui est présent dans son sac.
Quelques fruits a peine mur et un demi poisson sécher. Il fixe de ses grand yeux plein de nuance ma statuette.
Pourquoi semble t-il si ..... béat ?
Il ne semble pas croire ce qu'il avait devant ses yeux....
Ses yeux...
Comment pouvait on avoir de si grand yeux avec une telle couleur ?
Ses yeux....
Comme un livre ouvert sur la joie qui prenait possession de son âme....
Le vagabond pris un petit tissus au sol, le trempa dans une jarre remplie d'eau froide et entreprit de nettoyer la boue et autre saleté qui maculait l'idole.
Une fois propre, il déposa la statuette sur un drap abimer.
Je le vit fermer les yeux, cerné de fatigue, et se laissez empoter par le sommeille en s'avachissent progressivement.
Demain sera un autre jour et je disparaitrait.....
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