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Chapitre 5

  Nous courions vers le Labyrinthe. Minho, à son habitude, se tenait derrière moi et ne me lâchait pas des yeux. J'en avait marre avant même d'être rentrée dans ce tas de merde ! (Oui, je dis ça sachant qu'il y a tout juste huit heurs j'étais au bord de l'apoplexie, en apprenant que j'allais devoir aller dedans.) Les portes n'étaient pas encore ouvertes que les coureurs étaient tous présent devant les ouvertures. Nous arrivâmes vers eux et je partis voir Thomas. À peine arrivée je sentais les regards des autres coureurs sur moi. Je sentais déjà que cette journée allait mal partir.

— Je vous présente votre nouvelle camarade, elle s'appelle Lily.

  Je détestais mon prénom, et encore plus quand il était prononcé pour me présenter à un tas de gars qui me regardent avec intérêt, comme si j'étais une des merveilles du monde. Comment a fait Teresa pour survivre ? Je lui demanderai, peu importe : voilà ma super journée qui commence ! Une fille débile ou superficielle aurait été flatté d'avoir tous ces regards posés, sur elle mais pas moi. J'avais juste envie d'envoyer balader toute personne me regardant ou m'approchant à moins de deux mètres de distance. Tiens, c'est une bonne idée ça ! Établir un périmètre d'espace vital. J'allais tous leur dire d'aller voir ailleurs de manière très amicales (ironie, bien sûr : leurs sales têtes me donnaient la gerbe) quand je vis deux personne arriver. Alby et Gally. Hier, je n'avais pas fais attention en m'engageant dans le Labyrinthe, mais apparemment il y a du muscle derrière son tee-shirt. Tiens, il n'a pas le même que la dernière fois. C'est la première fois que je voyais quelqu'un du Bloc avec un autre tee-shirt, peut-être que lui était propre, à contrario des autres. Je détachais mon regard de ses muscles bien dessinés pour regarder son visage. Il avait quelque chose, un truc qui le rendait beau mais je ne voyais pas trop quoi. Sûrement une sorte de charme caché. Ils étaient arrivés à notre auteur et Gally m'envoya un sourire charmeur que j'accueillais avec un regard noir. Il avait beau avoir quelque chose, il ne m'inspirait pas confiance. Après tout c'est bien lui qui prônait la punition pour ma fuite das le Labyrinthe, non ? Ne jamais me prendre pour une imbécile.

— Vous êtes arrivés tôt par rapport à d'habitude, constata Gally en se tournant vers Minho.

  Ce dernier s'était renfrogné et fermait ses poings, prêt à frapper. Thomas et Gally se placèrent près des deux garçons.

— Je voulais présenter l'équipe à la bleue, répondit-il, agacé.

  D'où est-ce qu'il m'appelait la bleue ! Je suis pas une fille qui va chialer dans les jupes d'Alby moi au moins ! La prochaine fois qu'il m'appelle comme ça, je me jure de donner une nouvelle couleur au mur du Labyrinthe, le rouge serait plutôt glamour, non ? Sale con!

— Eh bien fait-le maintenant qu'on est là. Je meurs d'envie de me présenter à la jolie demoiselle.
— Mais qui te dis que j'ai envie de t'entendre, lançais-je énervée.

  Minho le frappa sans que personne ne sans rende compte. Et Gally se redressa. Il allait lui sauter dessus quand les portes s'ouvrirent. Tant mieux, je n'avais pas envie de regarder une bande de gamin se battre. Alby chuchota deux mots au maton des coureurs. Puis Thomas et le chef partirent. Alors je suivis Minho en scrutant une dernière fois Gally. En fait, je retire ce que j'ai dit, croix de bois croix de fer : il était moche.

~*~

Cela faisait plusieurs heures que l'on courait, et je ne me sentais pas bien. Les griffeurs. Je ne pensais qu'à eux et à Minho qui me tapait sur les nerfs encore et encore. Son regard zigzaguait sur moi et sur les murs. Il gribouillait quelques trucs sur son calepin puis se reconcentrait sur moi. J'en avais marre. Je me stoppai net, me retournai et plantai mes yeux dans les siens en y mettant toute la haine du monde.
— J'en ai ras-le-cul que tu me scrute comme ça ! m'énervais-je. Tu crois sérieusement que je suis un bout de jambon qu'on regarde pour savoir si on va oui ou non l'acheter ?!
— Non, dit-il comme si je délirais. J'ai le droit de te regarder, c'est pas comme s'il y avait une pancarte avec mis : Propriété de Gally défense de regarder.
— Tu racontes n'importe quoi ! Je n'appartiens pas à Gally !
— J'ai bien vu comment tu le regardais ce matin ! Oses me dire rien que trente seconde qu'il ne te plait pas !
— Eh bien je te le dis ! Il est moche ! Et tu crois sérieusement que c'est le problème de savoir s'il me plait ou pas ?!
— Désolé mais c'est pas ma faute si je n'ai pas envie qu'il te saute !
— T'as sérieusement cru que je le laisserais me toucher, ne serais-ce que mes cheveux ?! Pauvre type va ! En plus, c'est même pas tes affaires ! Le problème c'est pas que tu sois jaloux de Gally ! Le problème c'est que tu sois incapable de reconnaître que tu me regarde tout le temps!
— Je suis pas jaloux de Gally ! cria-t-il, ignorant ma dernière phrase.
— Si !
— Non ! Je suis pas jaloux ! Sinon je l'aurais déjà frapper!
— Ah, parce que c'est pas ce que tu as fais ce matin ?! Alors maintenant tu vas fermer ta grande gueule et tu vas me foutre la paix !
— Très bien, Miss Téméraire, démerdes-toi pour rentrer au Bloc !

  Et sur ces mots il partit. Au début, je me sentis soulagée : plus de Minho dans les pattes. Puis la peur me gagna, étais-je sûre de savoir par où rentrer ? Et si je croisais un griffeur ? Je m'adossais contre un murs et je me mis a pleurer. Qu'est-ce que j'allais bien pouvoir faire... Ma témérité à nouveau partie je restai dans mon jusqu'à ce que j'entendis des bruits de pas.

— Lily !

 Je relevai la tête et vis Thomas qui essayait de porter Alby. Je me levai d'un bond et courus pour l'aider. Nous le portâmes sans bruit pendant plusieurs minutes, puis la question qui me trottait dans la tête sortit.

— Qu'est-ce qu'il s'est passé ?
— J'en sais rien. J'étais avec lui vers le secteur 6 et il m'a assommé. Quand je l'ai retrouvé, il était par terre. Je pense qu'il a essayé de se suicider, fit-il en soufflant : Alby était de plus en plus lourd !
— Pourquoi il a fait ça ?! m'exclamais-je choquée, un chef était sensé avoir la tête sur les épaules !
— Tu sais, Alby a suivit la transformation et il n'est plus tout net.

 Je me tus, il fit de même et nous marchâmes en silence. Parfois nous courions, mais on ne s'arrêtait jamais. Plus les minutes passaient plus Thomas se tendait. Soudain en bifurquant, nous vîmes les portes en train de se fermer. Des blocards nous attendaient. Ils hurlaient tous d'avancer. Arrivés devant eux, je fis une poussée d'adrénaline et j'enfonçai Thomas et Alby de l'autre côté du mur, les poussant de toutes mes forces. Ils s'engouffrèrent juste à temps et les portes se refermèrent, me laissant prise au piège. Pour la deuxième fois de la journée, je me mis à pleurer. Je sentis un contact se voulant réconfortant sur ma main et je levai les yeux, toujours apeurée. Don du ciel ou pas, Minho se trouvait devant moi.

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Alors, des avis ? Je suis ouverte à tout ! Ce chapitre a été plutôt long à faire (et est long) et après ma relecture, même si j'ai adoré l'écrire je me suis rendue compte qu'il n'est pas très intéressant. Je m'excuse si je vous ai choqué. 😂


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