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Chapitre 20 : pour devenir plus fort


Le lendemain, comme il a prévu, Olérien ne s'est pas rendormi. Il peut ainsi partir pour le centre Pokémon à l'ouverture pour prendre des nouvelles de Nidoran, toujours accompagné par son ami à flamme.
« Je n'ai jamais eu autant de travail depuis que tu es arrivé, lance Joëlle en déverrouillant la porte à Olérien. »

En effet, tous les amis de Nidoran sont resté ici, soigné pour certain, mais surtout nourrit. Quant à Nidoran, il est déjà debout, un bandage blanc sur sa patte meurtrie. Cela ne l'empêche pas de venir se frotter à son sauveur quand il l'aperçoit.
« Tu as bien fait de l'avoir emmené, continue l'infirmière. Même si la blessure n'était pas grave, je ne pense pas que Nidoran serait venu de lui même.
- Bien sûr que non, rétorque Nidoran, je veux pas abandonner mes amis. »

Olérien sourit, Salameche vient pendant ce temps parler un peu avec les autres Pokémons, sans doute pour se faire de nouveaux amis.
« J'y pense, s'adresse soudainement Olérien à Joëlle, il faut que je parle au professeur Chen.
- Tu as des vidéophones à l'entrée si tu le souhaites, répond dans un sourire Joëlle. »

Olérien suit alors la femme, qui va de son côté accueillir les premiers personnes. Olérien s'assoit aux milieu des trois appareils alignés sur la droite de l'entrée, et compose le numéro de téléphone de mémoire :
« Bonjour Olérien, tu es bien matinal, Salameche va bien, asseye le professeur.
- Bonjour Professeur. Pas d'inquiétude, je viens juste prendre des nouvelles d'un Pokémon blessé durant la tempête d'hier.
- Ah j'ai entendu dire, tu as eu ta première tempête de l'île Guimauve. C'est bien, je vois que tu arrives à t'intégrer dans notre monde, plus rapidement que je ne l'aurai cru. Ce n'est pas étonnant après le retour de ta professeure que j'ai eu.
- Oui, vous avez sans doute raison, répond Olérien, gêné, se grattant l'arrière du cou. En faite, je voulais vous dire... Salameche aimerait que je l'entraîne, et je ne sais pas comment vraiment faire.
- Mais c'est formidable, s'enthousiasme le professeur en approchant son visage de la camera. Cela sera un bon moyen d'apprendre l'un et l'autre, et qui sait, tu pourras un jour... »
Une sonnerie retentit émanant du combiné du professeur. Ce dernier se remit en place en effaçant la joie qu'il avait.
« Encore une vidéoconférence, je n'ai plus de temps pour moi à cause de ce séisme. Je te fais confiance, tu y arriveras. Je dois te laisser mon garçon, à bientôt j'espère.
- Au revoir professeur. »

La communication s'interrompe sur ces mots. Il aurait voulu des conseils du professeur, il devra se contenter de son encouragement.
« Je n'ai pas eu le temps de te le dire... »

Olérien se retourne, surprit, et aperçu l'agent Jenny qui a attendu derrière lui. La surprise passée, elle reprit :
« Bravo pour ton exploit d'hier.
- Merci, ce n'était rien, répond gêné Olérien.
- C'était beaucoup pour Nidoran au moins. Je suis venu les récupérer et les lâcher ce matin. Nous aurons pas mal de boulot avec les dégâts de cette tempête, attends-toi à travailler. »

Elle se retourne avec un sourire, puis s'en va dans les chambres. Quelques secondes plus tard, Salameche ressortit du couloir :
« Il faudrait les revoir, ça serait chouette, lance joyeusement Salameche.
- Oui si tu veux. »

Olérien sourit à Salameche. Ils partent pour leurs cours, qui n'est pas vraiment passionnant, utile peut-être, mais pas pertinent pour Olérien, le dresseur de Salameche.
L'après-midi, comme annoncé par l'agent de police le matin, n'est en aucune manière du repos. Dégager les chemins obstrués prend déjà la moitié de la journée de travail, et le reste n'est qu'une ronde de routine bien ennuyeuse, mais nécessaire, pour noter les problèmes dû à la tempête, les conflits de voisinage, mais rien de méchant tout de même. Olérien est autorisé à rentrer qu'en début de soirée. Olérien est exténué par son manque de sommeil et le travail physique qu'il a dû fournir. Au contraire de Salameche qui déborde encore d'énergie.
« Tu voudras m'entraîner quand, demande avec malice Salameche.
- Je ne sais pas, il faut que je me renseigne comment on fait d'abord.
- C'est facile, tu me demandes une attaque, et je l'exécute.
- Je dois au moins savoir quel attaque tu connais
- Je connais l'attaque Griffe. »

Il sort ces griffes de ses pattes et commença à attaquer dans le vide. Malgré un air sérieux, Olérien trouve Salameche mignon.
- Tous les Pokémons doivent trembler devant cette attaque, taquine Olérien. Promis, demain je t'entrainerai, j'essaierai.
« Tu y arriveras . »

Il saute pour qu'Olérien le prenne dans ces bras, ce qu'il fait naturellement. Tel un enfant, Olérien porte Salameche dans ces bras en rentrant à la maison. Le repas est catastrophique, Olérien en regrette les bons petits plats de Pilote. Le soir venu, Olérien lit les différentes attaques que Salameche peut connaître dans son livre sur les Pokémons, et les note sur un carnet. Il soupir en regardant Salameche au pied du lit. Il ne sait pas comment il pourra faire entraîner Salameche, mais il compte beaucoup sur lui. Il s'endort au final, ne voulant pas gâcher une deuxième nuit inutilement.
Le lendemain, Olérien se réveille. Pas de cauchemar cette fois-ci, en tout cas, pas qu'il s'en souvienne. Il se lève sans réveiller Salameche, toujours en bout de lit, et sort un peu dehors. Le soleil vient à peine de se lever qu'il tape déjà, le vent est assez fort, et fait bouger les arbres à son rythme. Quelques Pokémons roses viennent s'alimenter de fruits roses, ou d'herbes, si ce n'est autre chose. Le ciel est cotonneux, l'herbe toujours verte ou jaune à quelques endroits séchés par le soleil, et l'air se charge d'iode de la mer. Olérien sourit. Il pense toujours qu'un jour, en ouvrant la porte, il tomberait sur sa rue dégoulinant de crasses, de remontés d'égout, de survivants, et d'odeurs chargés de morts. Il ne verrait alors dans le ciel que des nuages gris, ou rouge brun, mais sans ton naturel. S'il ne peut croire qu'on ne lui fera jamais mal un jour, il se sent enfin chez lui, un milliard de fois mieux que ce qu'il aurait espérer sur la Lune. Avant de rentrer, il respire un bon coup, gonflant à bloc ces poumons, et relâchant encore quelques tensions qui lui reste. Il doit entraîner Salameche, il y arrivera... En rentrant, Il voit que Salameche l'attend :
« Tu pouvais me réveiller aussi, lance-t'il en grinchant.
- Je ne veux pas te réveiller mon grand guerrier ! »

Il le prend dans ces bras, ce qui ne déplut en aucun cas Salameche.
« Tu es prêt ? Parce que le livre me conseille de faire de l'exercices physiques avec toi.
- Évidement, j'attends que cela, répond déterminé Salameche, faisant grossir sa flamme.
- Du calme champion, économises-toi un peu. »

Il le repose à terre et sourit. Salameche fait de même.
Comme prévu, Olérien fait courir Salameche, à son rythme. Il coure à côté, et surprenament, Olérien a plus de difficulté que Salameche dans cette exercice. Sans doute qu'il a perdu de ces facultés en arrivant ici, car courir devait être le premier verbe à savoir maîtriser après celui de "tuer". C'est l'occasion de faire un peu le tour de l'île, de croiser les Pokémons. qui le regardent passer avec complaisance, curiosité, ou méfiance.  Olérien salut tout le monde en traversant le village, ainsi que Jenny, occupé à nettoyer sa Jeep, toujours étant en alerte du moindre problème. Peu avant midi, Olérien er Salameche retrouve la maison. Olérien est crevé, Salameche aussi, et tout deux se précipite sur leurs eaux respectives.
« Super course, s'exclame Salameche. Tu cours vite.
- Je cours moins vite qu'avant quand même.
- Tu es quelqu'un de très fort ! »
Salameche a le don de gêner Olérien avec ces compliments, et ce dernier préfère cacher son rouge aux joues dans le frigo.
- Cet après-midi, je vais voir quel attaque tu connais.
- Oui ! »

Salameche est tout excité, il fonde beaucoup d'espoir en Olérien, et Olérien le sait, il ne veut pas le décevoir. C'est la première fois qu'il doit aider quelqu'un, qu'une personne espère de lui. Il respire un bon coup, respirant l'odeur de froid que lui offre le frigo.
« Tu voudras t'entraîner où ?
- Dans la forêt, en plus, on pourra retrouver nos amis.
- D'accord. »

Et c'est ainsi qu'Olérien et Salameche prennent la route, un sac sur le dos, sur leur vélo vers la forêt. Le bois assombrisse les environs, donnant quelques zones d'ombres bien sympathiques. Les Pokémons s'arrêtent de faire ce qu'ils font pour nous regarder passer, et continuent leurs taches juste après. Ils s'arrêtent finalement dans une petite prairie, entourée d'arbres, de végétations, et d'ombres. Le vent souffle en rafale à travers les arbres, et des feuilles tournoient dans les airs.
« C'est parfait, indique Salameche. Commençons, je suis chaud ! »

Olérien lui sourit, et sort de son sac remplit de bouteilles et de quoi grignoter, son livre sur les Pokémons, et son carnet à spirale où il y a glissé un stylo à l'intérieur.
« Tu connais l'attaque... Rugissement ? »

Salameche beugle alors un rugissement qui fait peur à Olérien, si puissant, si bruyant... les quelques volatiles des alentours prennent la fuite dans la seconde.
« J'étais comment, demande Salameche d'une voix douce, surtout après ce cri viril.
- Parfait je pense, confirme Olérien. »
Il met une encoche à côté de l'attaque utilisé avec son stylo sur son carnet.
« Donc, si je veux que tu exécutes Rugissement, je dois dire "Rugissement" ?
- Exactement, ce n'est pas compliqué. »

Et s'en suivent Griffe, comme il lui avait montré avant, Grimace, une belle grimace à la fois drôle et effrayante et Morsure, où il peut lui montrer sa belle dentition pointue. Mais quant à Flammèche....
« J'y arrive pas, j'ai pourtant réussi la dernière fois, se lamante Salemeche.
- Tu y arriveras, ne t'inquiètes pas.
- On peut jouer avec vous ? »

Nidoran sort de derrière eux, sans doute attiré par le Rugissement de Salameche.
« Oui bien sûr, répond Salameche. »

Salameche s'amuse alors avec ces nouveaux compagnons, Nidoran, Chenipan, Rattata, et Roucoul, tous avec leurs couleurs roses. La séance d'entraînement se transforme en récréation. Olérien en est content. Il voit son ami heureux, heureux d'être accompagné, heureux d'être entouré, heureux d'avoir des amis, heureux d'avoir un dresseur. Mais quoi qu'il en soit, il prend des notes, car il est déterminé à faire grandir son ami, et cela passe par comprendre les Pokémons. Il s'informe sur ces nouveaux amis, plutôt commun selon le livre, sans toutefois mentionner l'existence de la variante rosée.
Le soir tombe, et c'est le temps pour Salameche de dire au revoir à ses compagnons de jeux. Il se confit sur le trajet :
« J'aurai voulu tout de même m'entraîner.
- Ce n'est que le premier jour, lui répond simplement Olérien. Tu m'as montré de quoi tu étais capable, mais nous avons tout notre temps. »

Salameche se retourne dans son panier. Olérien lui sourit, mais d'un sourire sincère. Salameche lui rendit alors son sourire. Olérien réfléchit pendant ce temps. Il essaiera une autre méthode demain...
Le lendemain, les deux compères se lèvent aux aurores pour courir un peu, puis, dans une plaine bien verte et bien dégagée, battue par les vents du littorale :
« Attaques-moi, lance Olérien en s'éloignant de Salameche.
- Hein, mais pourquoi...
- Je suis sensé être un Pokémon, je me défendrai et t'attaquerait, ne t'inquiètes pas. Je veux que tu me fasses voir de quoi tu es capable.
- Mais ne je veux pas te blesser.
- J'ai connu bien pire que des blessures, alors en garde, mon ami... »

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