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Chapitre 6: Demain {✔}

Les rayons du soleil pénètrent dans ma chambre et me caressent le visage. J'ouvre peu à peu les yeux, encore épuisée. J'entends de lautre côté de la vitre les oiseaux gazouillés.

Mérie et moi hier, nous nous sommes couchés plutôt tard, car je ne trouvais pas la robe que je cherchais. Nous avons beaucoup parlé toutes les deux, j'ai passé un bon moment avec elle. Elle m'a confié que, étant orpheline, elle n'a jamais connu ses parents. Elle a été recueillie par une servante du château. A 12 ans, elle commence à travailler pour ma famille. Son histoire m'a touchée, alors je lui ai demandé de me parler plus d'elle. Et elle s'est complètement livrée à moi. Je me sentais bien moins seule en ca compagnie.

En retour, je ne lui parlerai jamais de Konō, mon premier ami, de peur quelle me prenne pour une folle.

Je m'étire avant de sortir de mon lit, dans ma vaste chambre. Depuis  le depart du dragon, je ne dors plus qu'ici. car ma tour me rappelle trop de souvenirs nostalgiques.

Alors que je m'apprêtais à me déshabiller pour enfiler ma robe, on frappe à ma porte.

Encore en chemise de nuit, je me lève a contre coeur ouvrir et je me fais  accueillir par le sourire radieux de ma nouvelle amie. J'ai demandé qu'elle ne travaille pas aujourd'hui et qu'elle reste à mes côtés durant toute la journée.

Pour me faire plaisir, elle a mise sa plus belle robe:  rouge simple avec quelques détails argenté. Elle c'est même maquiller pour faire ressortir ses beaux yeux gris, un maquillage que je lui ai donner . Et porte au pied des ballerines blanches légèrement usées. Elle entre et se dirige directement dans la salle d'eau, pour me faire couler un bain. Une fois la bassine remplien elle verse un peu de savon, parfumant la pièce d'une odeur que je reconnais aussitôt ; de l'abricot. Un fruit que j'apprécie particulièrement, par son gout, son odeur et sa douceur.

- J'adore ce parfum ! m'exclamai-je

- Comme votre mère me dit-elle en me regardant. C'est votre père qui m'a dit de glisser ce parfum dans l'eau, il savait que cela vous plairait.

- Je pense pouvoir me débrouiller seule pour la suite. Je vous appellerai quand j'en aurai fini. Merci de me l'avoir préparé.

Sur ses paroles j'ai sentis mes joues chauffées. Je suis certe une princesse mais on ne ma jamais considéré comme tel. Toute ma vie je me suis debrouillée par moi même, comme me preparer un bain.

La jeune femme me sourie et quitte la pièce. Je me déshabille et me laisse glisser dans l'eau chaude du bain. Je m'allonge de toute ma longueur tout en inspirant lentement pour tenter de me calmer.

Mon cœur cogne fort contre ma poitrine. Je ferme les yeux pour me détendre. Aujourd'hui n'est pas un jour comme les autres, je fête certes mes 15 ans mais comparé aux autres années, je vais le passer en compagnie de mon père et sans mon ami Konō.

Sans prier garde, je narrive pas a retenir mes larmes qui coulent sur mes joues. C'est la première fois qu'il me manque autant depuis qu'il est parti. Un grand nombre de fois, j'ai pensé à descendre de ma tour et vérifier qu'il ne soit pas dans sa grotte. Mais je ne fais que de penser au danger dans l'au-delà, une mauvaise rencontre comme l'autre fois.  Surtout qu' il n'est plus là pour me sauver. Plus là pour éponger mes pleurs, me soutenir quand je ne vais pas bien. Me bercer quand un vilain cauchemar m'assallis.

Je plonge ma tête sous l'eau et reste un moment en apnée, pour effacer ce souvenir de mes pensées. Je me décide à remonter à la surface prendre un bol d'air, l'image du dragon disparu de ma vision. Je n'ai pas le droit d'être triste aujourd'hui, cet événement va avoir un impact sur ma vie de demain. J'en suis certaine. Je dois vivre chaque instant, chaque minute de cette journée, comme si c'était la dernière. Mais dans la main avec mon père et mon futur.

Je sors finalement du bainn puis  me séche le corps, ainsi que ma longue chevelure rousse mi- rose. Affrontant le froid de la pièce.

J'enfile ma robe de soie, son contact léger me donne des frissons. Elle est beaucoup plus légère que n'importe quelle robe que je possède. Moulant la moindre de mes formes, qui ressemble de loin à des formes de jeune fille. Elle m'arrive au niveau des chevilles, elle est verte émeraude avec quelques paillettes noires, les épaules à nu et de longues manches ample qui m'arrive au poignet. J'ai choisi cette robe car elle a les couleurs de mon vieil ami, c'est une forme de reconnaissance et de remerciement d'avoir été à mes côtés durant toutes ces années. Et d'avoir fait la jeune fille que je suis aujourd'hui. J'aimerai tant qu'il me voit dans cette robe, je l'ai consu pour lui et personne d'autre.

Je prends une longue respiration pour calmer ses souvenirs nostalgiques et je  sors de la salle d'eau où mon amie m'attend près de la fenêtre. Elle semble ne pas avoir remarqué mon arrivée, elle se retourne d'un seul coup vers moi et me regarde les yeux ébahis.

- Cette robe vous va à merveille vitre altesse ! s'exclame-t-elle.

Faute de moi je sens mes joues chauffer de nouveau, je n'ai pas l'habitude qu'on me complimente, même Konō ne le faisait pas. Sans plus attendre, elle me prend le bras et l'entraîna jusqu'à ma coiffeuse. Je m'installe sur le tabouret face au miroir, elle prend ma brosse et se met à démêler mes cheveux. Impuissante je la regarde faire, sa délicatesse me rappelle celle d'une mère. Elle est plus qu'une amie a mes yeux, elle a aussi également la place d'une mère que je n'ai jamais eu.

Reste forte, ces mots résonnent en moi, comme un écho, deux mots que mon ami m'a dit avant de partir. Mais qui semble si réel dans mes pensées, comme sil était a mes côtés pour me le dire.

Sortant de mes pensées, Merie pose la brosse sur la coiffeuse ayant fini de s'occuper de mes cheveux. Elle tourne la chaise vers elle, pour que je me retrouve face a elle et s'empare de la boite a maquillage. Et se met à me maquiller. En temps normal, je fais toutes ces petites choses seul, mais je la laisse faire. La voir si près me met mal à l'aise mais jai pu constater que ses yeux ne sont pas totalement gris, ils sont aussi bleus.

Je sursaute lorsqu'elle pose le pinceau sur la table, pour me faire signe qu'elle a fini. Elle tourne a nouveau le siège, pour que je soit face au mirroir. Je me   longuement dans le miroir. Elle n'a pas fait grand-chose mais le si peu ma métamorphosé complètement. J'ai l'impression d'être une jeune femme de 18 ans alors que je ne vais seulement avoir mes 15 ans.

Je me lève et enlace Mérie pour la remercier, car aucun mot ne veut sortir de ma bouche.

L'heure qui suit, elle m'apprend à marcher avec des talons, ce qui n'est pas aussi simple que ça en a l'air. J'ai bien failli tomber un grand nombre de fois. Mais après plusieurs essais, j'arrive enfin à marcher correctement malgré que j'ai terriblement mal aux pieds.

Quelqu'un frappe à ma porte, alors que j'allais me lever, mon amie me fait signe de ne pas bouger et pars ouvrir. Le serviteur qui m'avait ouvert la porte lors de notre rencontre avec mon père, se trouve de l'autre côté de la porte. Les deux serviteurs se regardent longuement puis il finit par dire mal à l'aise;

- Le roi attend la princesse dans la salle de cérémonie, peux-tu lui passer le message ?

Puis il repart presque en courant, Mérie ferma la porte et revient vers moi, les pommettes rouges. Je sais aussitôt ce qu'il se passe entre ces deux-là, faute de moi, je souris à pleines dents. La pauvre Mérie se sent aussitôt mal à l'aise et essaye d'éviter mon regard.

- Tu devras absolument me raconter ce que tu penses de ce garçon, m'exclamai-je !

- Ce ... Ce ne serait qu'une perte de temps..

- parler avec toi ne sera jamais une perte de temps. Mais pas aujourd'hui, demain si tu le souhaites. Mon père m'attends, je dois filer !

Je sors donc principalement précipitamment. De la pièce pour me diriger là où mon père se trouve. Sans le vouloir. J'ai tutoyer Mérie, alors que jusqu'ici je lai toujours vouvoyer. Mais  qu'importe.

Dans les couloirs, je croise à nouveau le garçon, nos regard se sont croisés. Il detourne vite le regard, accélère le pas dans une autre direction, les joues rouges écarlates.

Une fois qu'il a disparu de ma vision, je ne peux m'empêcher de laisser échapper un petit sourire et je me remet en chemin. Je ne peux que les envier, ils n'ont pas à subir le mariage forcé. Ils devraient passer du temps ensemble, apprendre a se connaître. Je crois que je peu faire quelque chose pour eux. Je vais y reflechir.

J'arrive enfin dans la salle de cérémonie, ou la salle de bal comme vous le souhaitez. Elle se trouve a l'extrémité de mes appartements, du côté visiteur. C'est un batiment appart du chateau. Il y a également l'église et les dortoirs pour accueillir les riches visiteurs.

La salle est complètement vide. Mis à part mon père sur l'estrade en face d'un vitrail, mes talons résonnent dans la pièce. Je m'approche de lui. Mon cœur bat aussi fort que le bruit que produit mes talons. Je ne sais pas pourquoi je me trouve stressé à chaque fois que je me retrouve seule avec mon père. Je me trouve  desormais a quelques pas  de lui. Il se tourne vers moi le sourire au coin des lèvres.

Aujourd'hui il porte un ensemble bleu clair, une tenue de voyage plus exactement. A croire qu'il va s'échapper du royaume encore une fois.

-  Tu es tellement belle me dit-il, je crois bien que tu es encore plus belle que ta mère.

J'ai cru que mon cœur allait arrêter de fonctionner, On m'a toujours dit que je ressemblais à mère. Jamais personne ne m'a dit que je suis plus belle qu'elle

-  Mais je ne t'ai pas fait venir ici pour te complimenter. me dit-il .Mais ce soir, j'avais prévu d'organiser une grande soirée pour toi. En invitant d'autres royaume à nous rejoindre, mais personne n'a répondu à l'appel... Je veux savoir ce que tu veux, toi. Apres tout cest ton anniversaire.

- Je veux simplement passer du temps avec toi, dis- je la gorge nouée. Rattraper le temps perdu comme tu l'avais dit. Je veux que tu me considères enfin comme ta fille et non pas l' ombre d'une jeune fille.

Mes larmes coulent le long de ma joue pour me réconforter, il me prend dans ses bras. Je tente de contrôler mes larmes dans ses bras, et apprecie cet acte de tendresse.

- Alors passons un maximum de temps ensemble.

Il s'écarte puis me prend les main.

- 'aimerai juste te parler dune chose, poursuivit-il. La seule réponse que j'ai eu de ses du royaume de Merville. en temps normal, tu ne rencontres que ton mari le jour de ton couronnement. Mais j'ai pris l'initiative que tu le rencontres avant, pour que tu puisse apprendre à le connaître et qui sait à l'aimer.

- Quand viendra-t-il ?

- Dans 15 jours, cela va dépendre de la rapidité à venir ici. Le royaume de Merville se trouve très loin, j'ai même eu du mal à le trouver.

- Tu as quelques informations sur lui ? Histoire que je me prepare a sa rencontre.

- Il est un peu plus vieux que toi, il fêtera ses 19 ans la semaine prochaine et il a l'air d'être quelqu'un de bien pour toi. Je crois que tu n'as pas le choix d'épouser cet homme, il est mon dernier recours. C'est le seul à ne pas avoir fuit lorsque j'ai parlé de la malédiction.

- Mais pourquoi tu leur en a parlé ? Je l'aurais caché, personne ne l'aurait su.

Il détourne le regard et me dit tout bas :

- La plupart des royaumes le savent déjà Sakura. Tout le monde sait ce qui s'est passé, ici, à Begin's dan il y a 15 ans.

- Justement en parlant de malédiction, que s'est-il passé ? Pour que je puisse mériter  tout cela ? Ca na jamais ete facile pour moi, de me sentir exclus sans savoir pourquoi. Raconte moi.

- Tu te souviens lorsqu'on t'a appris que nous vivons ici depuis des générations ? me demande-t-il droit dans les yeux. Et bien c'est faux. Le grand-père de ta mère a détruit le village qui se trouve ici. Un village de créatures magiques qui ont fui. Je me souviens qu'un jour, lorsque j'étais encore un guerrier, nous avons trouver une femme morte et avec son sang était écrit sur un arbre : « Maudit soit humain. ».

Puis dans un silence, il descend de l'estrade et part vers la sortie. Je le regarde partir sans un mot. Me laissant seule dans cette vaste pièce. Je suis totalement perdue, j'aurai tant aimer savoir la suite. Mais peut etre que l'image de cette femme, lui a fait perdre tout ses moyens...

Me voilà de nouveau dans ma chambre, je suis encore perturbé parce que m'a dit mon père. Peut etre que c'est la sorcière qui m'a jeté un sort et qui a tenté de nombreuses fois me tuer. Elle qui veut  se venger de nos ancêtres qui ont détruit son village. Ce n'est qu'une supposition a vrai dire, mais je ne vois pas autre chose que cela.

Durant toute la journée, on ne faisait que de me demander mon avis sur le choix de la nourriture, la musique et tout un tas de choses que je ne decide jamais ! Mais je le fait le coeur lourd, je voulais tellement etre avec mon père. Je ne l'ai pas recroisé depuis ce matin.

La nuit commence à tomber, je sens l'angoisse monter en moi. Mérie vient me chercher et nous marchons en silence vers le balcon, là où mon père vient de faire son discours et qui m'attend désormais. Je reste bloqué à l'entrée, aucun de mes muscles ne veulent fonctionner. Je ne peux plus bouger jusqu'à ce que mon père vienne me prendre la main pour m'amener jusqu'au balcon. Mon cœur bat fort contre ma poitrine et j'ai beaucoup trop chaud. Tous les yeux sont rivés sur moi, un silence de marbre s'installe puis comme une seule personne, les habitants du peuple lâche leurs lampiaux dans le ciel.

Je vois une petite flamme s'allumer à côté de moi, je dirige mon regard vers celle-ci et je découvre mon père tenant d'une main le lampion et de l'autre me la tend dans ma direction. Je la prend hesitante, il m'attire près du lampiaux que nous prenons chacun des deux main et nous le lâchons ensemble dans le ciel, rejoignant les autres. Nos regards se croisent et toute mon angoisse disparaît, tout devient silencieux autour de nous et le temps me paraît durer une éternité.

Puis il me sourit ce qui me ramène à la réalité, je sens Mérie m'entraîner sur la piste du bal, suivi de père. Toutes les personnes les plus aisés du royaume sont présente ainsi que les serviteurs du palais. Pour le plaisir de mon amie, je lui ai preparer une surprise.

- Rends-toi derrière les grands escaliers dans la grande pièce, lui chuchotai je

Celle-ci me regarde avec un regard interrogateur et part dans la salle, curieuse de savoir ce que je lui ai préparé. Comme je n'avais pas de cavalier. Mon père me tend la main que j'accepte volontiers et nous dansons. Je me sens légère, je n'ai jamais été aussi heureuse en sa présence tous les regards sont tournés vers nous. mon rêve étant petite se réalisa : "J'aimerais être enfin aimée ".

Puis il dut me laisser pour aller parler avec des personnes que je ne connais pas. Je me suis donc mise à l'écart et pars m'assoir à une table pour boire un peu d'eau. Je remarque mon amie au bras du garçon que nous avons vu ce matin. J'ai demandé à ce que lui aussi ai son jour de repos, pour qu'il puisse passer un moment ensemble. Les voir toute les deux me réchauffe le cœur, mais m'attriste à la fois. Serai-je aussi proche de mon mari? L'aimerai-je un jour comme Merie aime ce serviteur ?

Le temps s'écoule à une vitesse fulgurante, cela fait déjà une semaine que j'ai eu mes 15 ans. je suis en haut de ma tour seule. Cela faisait si longtemps que je ne m'étais pas retrouvé comme avant, dans cette tour éloignée de tous. Mon amie ne fait que de me parler de ce garçon qu'elle aime tant et ne fait que de me remercier, pour ce que j'ai fait pour eux. Et je suis vraiment heureuse malgré ma pointe de jalousie. Me voilà une vraie princesse avec de vraies responsabilités et un avenir contrôlé par le royaume...

Mais bon je ne peu y échapper. Depuis peu, je prends des cours pour apprendre l'anglais. Car même si mon peuple a des origines anglophones, nous parlons tous chinois. J'apprends depuis peu que mon futur mari est anglais mais parle très bien le chinois et de nombreuses langues. J'ai peur de me sentir ridicule à côté de lui, il a l'air de savoir tellement de choses, j'ai peur de me sentir idiote. Alors jai demander a avoir ces coursn même si jai tellement de mal a me concentrer. Les seuls cours que jai eu etait par la gouvernante, elle m'a appris a lire, a ecrire et aussi appris a parler correctement. Ainsi que toute les manières de princesse que je n'ai jamais eu a utiliser jusqu'ici.

Je suis en ce moment meme dans ma chambre. Je m'installe a ma coiffeuse et je me tourne vers le miroir, quelque chose d'étrange se passa. Au lieu que celui-ci reflète mon image, je vois un homme. Au cheveux noir d'encre, des yeux bleus glacial, imposant et menaçant. Je cligna des yeux et l'illusion disparut, j'ai déjà vu cet homme dans un de mes rêves. J'ignore complètement qui il est mais j'espère que ce ne sera pas mon futur mari, il me fait si peur...

Les apparences sont trompeuses, Sakura.

Je sursaute sur le coup, me prends la tête entre mes mains pour faire fuir cette voix. Je l'entends souvent, la voix de Konō. En général, ses paroles sont suivies d'une vision, un souvenir, sauf cette fois-ci, sa voix me hante, jour comme de nuit. Je me mets en boule sur le canapé, toute tremblante, les larmes coulent sur mes jours, l'angoisse qui monte en moi. Pourquoi me manque t-il encore autant ? J'ai pouryant fait son deuil, ma vie ne peut qu'aller mieu.

Je n'arrive plus à respirer. Je lève les yeux vers le miroir, l'homme réapparaît, sans aucune expression sur le visage, il me fixe du regard. Comme s'il me jugait. Je ne sais pas ce qu'il m'a pris, je hurla pour le faire partir, ce qu'il fonctionna. Mais je panique toujours autant à croire que j'en suis devenue folle. J'ai la terrible impression d'être traquée, qu'on m'espionne.

Mérie entre en panique dans la pièce, me prend dans ses bras, tout en me chuchotant. Comme si je n'étais quune enfant ayant fait un cauchemar.

- Ce n'est rien Sakura. Tout va bien, c'est fini.

J'avais envie de lui dire oui c'est fini, mais pendant encore combien de temps ?

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