Espace vitale, tu connais
rappel :
Pov Amanai
Amanai : mais kaeya !!!
Diluc : je vous déranges peut être
Et merde qu'est ce qu'il fout là lui, je l'est même pas entendu arrivé
On se retourne à l'unisson vers le gêneur.
Kaeya : Diluc moi j'ai jamais le droit de me mêler de tes affaires mais toi par contre .Il semblerait que tu ais une autorisations spéciale.
Diluc : Toi alors .Tss
Kaeya : He bien quoi que me vaut l'honneur de ta présence
Attends ils sont vraiment entrains de se disputer comme des gosses (dans le fond on entends les voix de Diluc et Kaeya ).Je vais en profitez pour m'éclipser.
Amanai : Hum, hum
Il se retoune avec l'air de vouloir dire :
Keaya/Diluc : quoi encore !!!!!!!!!!!!!!!!!!
Amanai : Aie ,mes pauvres oreilles je souffre . Bon c'est pas tout ,mais j'ai des choses à faire donc << au revoir >>
Et hop ,je pars plus qu'un rominet * en direction de l'appart que j'ai loué, au passage je bouscule un mec un peut bizarre ;
Amanai : sauvez- moi ,j'ai deux tarée à mes trousses
??? : mais avec plaisir mademoiselle, suivez-moi.
En le regardant de plus près il est assez beau mais bon il a de drôle de petites tresses et vu la lire qu'il tient c'est un barde . Il se retourne, me regarde et
Amanai : attention devant -vous
??? : hein
trop tard le barde se prends le mur de brique en pleine tronche
Amanai : vous allez bien ...
??? : venti
Amanai : hein
??? : je m'appelle venti
Amanai : ha et donc . . .
Mais pourquoi tout les habitants de cette ville se présentent sans qu'on leur est demandé quoi que ce soit ? Je sais c'est parce qu'ils n'ont peut être pas eu d'amis lorsqu'il étaient petit , les pauvres ,je les plains.
Pov Venti :
Aie ,ça fait mal ,attends pourquoi elle pleure
Venti : vous vous êtes fait mal ,je suis desoléééééé, hé!!!!!
Elle me fait un câlin en pleurant comme une madeleine
Amanai : Pauvre Venti vous avez du vivre des choses horribles sans amis ,je vous plains.
Venti : hé ,on est en plein milieu de la rue . J'ai une réputation moi !!!!!!!!
Les gens nous regardent bizarrement. N'empêche qu'elle à raison je n'ai pas beaucoup d'amis. Donc je me met à la serrer aussi contre moi et à pleurer .
Venti : Ouin, c'est vraie que je n'ai pas beaucoup d'amis vous êtes la première à me comprendre .
Et voila ,on est comme deux idiot entrain de pleurer au milieu de la rue devant tout les habitants de Mondstat .
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* c'est une référence à tara duncan ou il y avait une expression courir plus vite qu'un rominet
Ci dessous un image extrêmement drôle de venti
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