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Épisode 3

Point de vue de Clay

— Comment elles ont pu se barrer ? dis-je énerver.

— C'est toi qui disais que la lueur de la lune était forte, me rappelle-t-il.

— Putain, regarde, elles ont brisé les chaînes comme si c'était des brins de paille !

— Nous devons absolument les retrouvaient, elles vont faire un carnage sinon, me dit Trent paniquer.

— Tu as raison, surtout si elles sont restaient ensemble, on pourrait bien retrouver un bain de sang.

Nous retournons dans la cuisine, j'appelle Cédric et il descend aussitôt. Nous l'informons de la situation.

— Merde, il faut mettre plus d'aconit tue-loup dans les seringues.

— Nous devrions peut-être prévenir la meute voisine, me dit Trent.

— Nick ? Non, c'est un problème que nous devons géraient seuls. Nous devons nous dépêcher, elles savent où se trouve la fête et leur instinct primitif va les conduire là-bas.

June arrive essoufflé en poussant la porte d'entrée, qu'elle vient se fracasser contre le mur.

— C'est normal que j'aie aperçu les filles prendre la fuite ?

— Non, on le sait, elles ont réussies à se libéraient. Tu es certaine que toi tu te contrôles ? demandé-je inquiet.

— Oui, je n'ai pas besoin d'aide, je résiste.

— Bien alors on y va ! En route.

À chaque fois que je prendre une décision ou que je donne un ordre, je me demande toujours si c'est la bonne solution. Là, je me demande si Trent n'avait pas raison, est-ce que je ne devrais pas prévenir Nick, pour qu'il vienne nous aider ?

En attendant, conscient que les filles peuvent tuées juste pour le plaisir, je donne l'ordre au reste de la meute de se transformer complètement.

Quand nous sommes transformés, nous ne sommes pas les principaux ennemis, bien au contraire, c'est nous qui en avons à nos trousses. Il ne faut pas se le cacher, même les habitants du coin savent qu'ici, il se passe quelque chose.

Plus nous nous rapprochons de notre zone finale et plus je me dis que nous faisons fausse route. Je n'arrive pas à les sentir et je ne sens pas non plus l'ombre d'une seule goutte de sang, dans les environs.

Je stoppe net. Ils se demandent tous pourquoi, nous nous servons de notre lien télépathique.

Ça ne sert à rien de continuer vers la fête, elles n'y sont pas ! m'exclamé-je. Dire que la soirée avait bien commencée..., soufflé-je.

Je trouve étonnant qu'elles ne soient pas ici, elles savaient que c'étaient des proies faciles, intervient Cédric.

Oui, c'est ce que je me dis aussi, dit Trent.

June, quand tu les as vus, elles prenaient quelle direction ?

Celle de la fête, je suis certaine.

Cette soirée me donne une idée, à partir de ce soir, plus aucune fille n'aura le droit de sortir les soirs de pleines lunes.

Et si, dit June. Non, je ne sais pas, c'est un peu fou, mais si elles voulaient que nous venions dans cette direction.

Sa serais possible, dis Trent.

Et là, nous nous regardons tous dans la direction du chalet. Nous avons tous compris au même moment ce que voulait dire June.

Mais quel con ! J'aurais dû m'en doutais, nous devons nous dépêchez. Je me demande pourquoi, je n'ai pas penser à sa plus tôt.

Elles ont tout manigancé, la direction de la fête, puis elles ont dû faire demi-tour, pour avoir le champ libre au chalet.

Nous nous sommes bientôt arrivaient, j'ai vraiment peur, de ce que nous allons retrouvez.

Lorsque nous arrivons enfin, je vois les deux corps des filles, allongeaient devant la porte et derrière elles, une Holly avec un arc.

— Vous les renfermez, je ne veux pu les voir, June, va voir la fille. Merci, Holly, sans toi, la fille serait morte.

— Heureusement que j'avais un arc et des flèches dans ma voiture, je me suis dit que ce n'était pas normal que les filles tournées autour de la maison.

— Tu es sûr que tu vas bien Holly ? lui demandé-je. Tu saignes un peu, ici.

— Ce n'est rien, juste quelques égratignures.

Les filles à la cave, bouclée, elles ne pourront pas se faire une deuxième fuite pour ce soir.

— Holly ! crie June. Vite, elle convulse ! nous informe-t-elle.

Holly se précipite en première, June tient la fille par ses épaules, moi je maintiens ses jambes sur le lit. Holly, me prévient qu'elle a de la fièvre, je demande à Trent d'aller nous chercher des couvertures imbibées d'eau fraîche. Cédric, ouvre la fenêtre pour laisser entrer de l'ai frais.

— Holly, lui demandé-je inquiet, en voyant qu'elle s'est stoppée.

— Vite sur le sol !

Nous ne perdons pas une minute, c'est vital. Son cœur vient d'arrêter de battre et Holly se penche pour lui faire un massage.

Trent revient avec les serviettes.

— Oh, il s'est passé quoi ? demande-t-il.

— Trent, prends le massage, je dois lui donner une dose d'adrénaline, dis Holly qui se précipite, sur les médicaments qu'elle avait emmenés avec elle.

— Holly, on peut faire autre chose ? dit June.

Mais Holly ne lui répond pas.

Holly, s'approche de son cœur et la pique pour lui donner de l'adrénaline, alors que Trent la masse toujours.

— C'est bon, j'ai un pouls, remet la moi dans le lit Clay s'il te plaît.

Je ramasse la fille délicatement, comme une princesse et j'essaie de la déposer doucement sur mon lit. Holly ne perd pas une miette de cette scène.

— Elle ne veut pas te lâcher à ce je vois, rigole-t-elle.

— La fièvre, la convulsion, sont cœur qui s'arrête, elle va tenir la nuit tu penses ?

— Je ne sais pas, je vais devoir la surveiller, mais au moins elle est au chaud dans tes bras.

Je la pose délicatement en faisant quelle enlever ses mains de mon t-shirt.

— Bon, je te laisse faire ce que tu dois faire avec elle, je te renvoie June, pour t'aider.

— Parfais, me répond-t-elle.

Cela fait maintenant plus de trois heures, que Holly est à son chevet à la surveiller, June la lâchement abandonner en s'endormant sur mon fauteuil. Moi, j'ai apporté des tasses de café à Holly, je n'ai pas dormi non plus pour le moment.

Je vais réveiller Trent, pour qu'il prenne un peu le relais, pour que j'aille souffler un peu dehors sur la terrasse.

La lune éclaire encore très bien à cette heure-ci. Les filles ne devraient pas tarder à émerger dans la cave, mais je vais les laissaient encore un peu, ça leur servira de punition.

Je m'installe sur le canapé et j'ai dû m'assoupir. Je me réveil en sursaut par des hurlements d'une fille. Juste le temps de m'apercevoir que dehors il commence à faire jour.

Trent se plante devant moi.

— Tu as déjà vu Daisy en colère ?

— Oui, comme tout le monde ici.

— Elle, elle est pire.

— Pourquoi vous ne m'avez pas réveillé ?

— Tu avais besoin de repos, intervient Holly. Tout comme moi, je vais te laisser Clay, je pense que tu devrais monter avant que tu n'aies plus de chambre digne de ce nom.

— Quoi ?

Je me demande a quoi elle fait allusion et en effet. J'entends toute ma décoration taper dans les murs elle hurle.

June, sort essouffler. Le peu que j'ai vu quand elle a ouvert la porte, c'est qu'elle démolit absolument tout !

— Non, tu dois y aller, elle va tout démolir, là.

— Moi ? Pardon, l'alpha c'est toi ! Moi, j'en ai assez avec elle, elle ne veut rien savoir, Daisy aurait peut-être dû la bouffer ! vocifère-t-elle en descendant les marches.

— Oui mais ce n'est pas moi qui ai pris la décision de la mettre dans ma chambre ! Cédric, je t'en prie.

— Tu rêves, c'est toi le maître de ce chalet, dit-il en rouvrant la chambre et me poussant dedans.

Ordure !

La rencontre est vraiment des plus chaotiques, elle continue de lancer tout ce qu'elle peut en ma direction. Son visage est froid et fermer. Des larmes coulent de ces yeux et elle n'ose plus rien dire.

Elle attrape la chaise de mon bureau et me la lance. Je l'évite. Là il faut vraiment que je la calme. J'essaie une approche plus douce, mais cela ne marche pas.

Tant pis pour elle. Je l'attrape par le cou et je là colle au sol.

Trent rentre et je la relâche.

— Calme-toi, on ne te fera pas de mal, lui dis-je.

Elle recule pour se recroqueviller sur ses genoux au fond de la pièce.

— Tu dois confondre entre douceur et force, dit-il.

— C'est bon, démerde-toi avec, mais faut qu'elle se calme et arrête de crié, lui ordonné-je.

— Tu ne veux pas que je la bâillonne, quand même.

— Et toi, tu ne veux par la fermer deux minutes ! En attendant, qu'elle a arrête de défoncer ma chambre ! Merde, regarde dans l'état quelle me l'a mis.

June apparaît à son tour dans le coin de la porte.

— Oh la vache... Cédric sauve toi, t'es mort ! crie June.

Je dois absolument me défouler, entre les réflexions à la con et ce qu'elle vient de faire à ma piaule, une bonne séance de sport est nécessaire au bien de tout le monde.

Point de vue de Jamie

Je me réveille, les yeux encore brouillons. Lorsque je réalise au bout d'une dizaine de secondes qu'hier soir c'était mon anniversaire. Comment j'ai atterri dans cette chambre ?

Oh mon dieu !

Je nage en plein cauchemar, je suis dans cette chambre, que je ne connais pas, ce n'est pas celle de Cody, ni de Tessy. Mais qui est ce garçon sur ce fauteuil ?

Mais où suis-je ?

Je dois absolument sortir de ce pétrin dans lequel je me suis mise, je me lève du lit, en légèreté. Une douleur me prend la jambe, je manque de tomber.

— Tu compté aller où ? dit le type sur la chaise.

Pour me défendre en voyant qu'il se lève, j'attrape l'oreiller et lui, l'attrape en plein vol.

— Non, ne recommence pas à tout jeté ! dit-il énerver.

Je me mets à hurler en appelant à l'aide.

— Oh, non, je t'en prie, arrête un peut, je t'ai dit que l'on ne te ferait pas de mal. Tu es en sécurité ici.

— Vous êtes qui ? Pourquoi je suis ici ? dis-je paniquer.

— Tu ne te souviens absolument de rien ?

Je hoche la tête.

— J'ai été obligé de t'emmener avec moi hier, ta fête s'est mal finie.

Là, une forte douleur m'atteint le cœur, le seul mot que j'arrive à articuler c'est Tessy. Oh, non. Tout me revient comme un effet de coup de canon. La mort de Tessy, ces choses qui n'étaient sûrement pas humains.

Mes larmes commencent à couler, je ne contrôle absolument rien. Cet homme, je me souviens maintenant. C'est lui qui m'a emmené ici, après qu'il s'est battu avec celui qui a tué Tess.

Je me souviens, de l'interaction que nous avons eue. J'ai refait la décoration de cette pièce, et lui pour me calmer ma collée au sol et m'a laissé avec un autre garçon.

Combien sont-ils ici ?

C'est à ce moment qu'apparaît une fille aux cheveux roux dans le coin de la porte.

— Alors, comment va-t-elle ? demande-t-elle à ce garçon.

— Je crois qu'elle vient de tout se rappeler.

La fille bouge ses mains devant moi.

— Tu es certain qu'elle va bien ?

— Oui, elle est en état de choc, ça va passer.

Pourquoi elle fait comme si je n'étais pas là ? Je suis tombé sur des plus cinglés que moi, des tueurs en série, une secte ? Je dois partir et vite.

— Je dois partir, dis-je en bégayant.

— Désoler, mais c'est non, répond-t-il sur un ton sec.

— Je peux savoir qui vous êtes ?

— Tu n'as pas besoin pour le moment de savoir ça, ce n'est pas important.

Je me mets à me marrer mais ce sont mes nerfs qui lâchent.

— Ce n'est pas important, moi je crois que si ! Putain mais c'était qui l'autre type d'hier ! Je n'ai pas rêvé, ces yeux étaient verts, presque fluo et les tiens. Je me stop dans mon récit en faisant des pas dans la pièce. Les tiens, ils étaient bleu perçant et là, ils sont marron ! Pourquoi avoir tué Tessy ? On ne lui a rien fait de mal !

— Je suis profondément désolé pour ta copine, dit la fille en avançant vers moi.

Je prends un recul.

— Vraiment, June ne va rien te faire, je t'ai sauvé la vie, tu pourrais me remercier, non ?

— Le mot merci ne me viens pas à l'esprit, là tout de suite. Désoler.

— Ne la brusque pas, intervient la jeune fille, June. Tu n'as pas mal ? demande-t-elle.

Si, répondis-je.

— Si tu aller tu rallonger dans le lit, tu as besoin de repos, dit-elle en s'avançant encore plus en me tendant l'une de ses mains.

— Non, je ne t'ai rien demandé ! dis-je en hurlant.

— June sort, intervient le garçon.

Elle me jette un coup d'œil, je n'arrive pas à savoir si c'est un coup d'œil affectif ou si c'est de la pitié

— Tu n'as pas besoin de crier, regarde-moi, je ne suis pas une menace. Je ne te ferais pas de mal. OK, j'ai les nerfs, car tu as défoncé ma chambre et tu as voulu me jeter une chaise à travers la figure.

— Je m'en fous royalement de l'état de la chambre ou de ton état à toi, je veux la voir ! Tu comprends, j'ai besoin de la voir.

— Ce n'est pas possible, désoler.

— C'est ma sœur ! Je veux la voir ! Laisse-moi la voir ! m'énervé-je les larmes encore aux yeux.

— Écoute, si tu veux te nettoyer, tu as une douche derrière la porte. Tu as faim ? Besoin d'un truc en particulier ?

— Je veux la voir ! Je ne ferais rien, à part la voir !

— Comme tu voudras, tu risques de trouver le temps long.

Il quitte la pièce sans se retourner. Je me retrouve seule, dans ce qui est sa chambre. Je ne sais plus quoi penser. C'est réel ou alors je suis vraiment en plein cauchemar ?

Je me mets même à songer que l'on m'a droguée et emmenée dans le coin d'un bois et que je suis en train de faire une mauvaise réaction à cette drogue.

Je n'arriver plus à me contrôler, mes membres tremblent et pour la plupart, ils me font souffrir. J'appuie ma tête contre le mur et je me laisser aller. Je ferme les yeux en espérant me réveiller dans ma tente.

Je suis réveillée, par une June et surprise de me retrouver dans le lit, recouverte par les couvertures. Je suis pourtant persuadée de m'être endormie sur le sol.

Je reviens aussi vite à la réalité, ce n'était donc pas un mauvais trip. Je ne sais pas vraiment ce que cette fameuse June me dit, je suis livide, je n'arrive pas à la regarder.

Je comprends que j'ai perdu mon unique famille, tuée par une bête affreuse. Les flashs me reviennent, je ferme les yeux pour les fuir, je bouge la tête de droite à gauche, comme si j'allais les balayer, mais rien n'y fait.

— Faut que ça cesse ! Je ne supporte pas de les voir ! lui hurlais-je.

— Tu ne supportes pas quoi ? me demande-t-elle, perplexe.

— Les flashs, les images ! Je veux qu'elles partent, la suppliais-je du regard.

Je suis désolé mais elles sont encrées à toi, à ton âme.

Je ne pourrais pas vivre avec, au temps que je saute de cette fenêtre !

— Non, vouloir mourir et mettre fin à ton combat, ce n'est pas une vraie fin, tant que tu ne t'es pas battue.

Je me lève, il me faut de l'air et vite ! J'ai l'impression de suffoquer, je souffle comme une vache qui agonise.

Je m'écroule sur le sol, elle me rejoint et se met à me frotter le dos.

— Respire doucement, pense à quelque chose de joyeux.

Ma tête me brûle, mes yeux deviennent brouillons et c'est encore un trou noir.


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