19/08/2016
J'ai réussi à dormir malgré les questions qui m'étaient sans réponses. Et lorsque je me suis réveillée ce matin, j'ai constaté que dans mon plateau de nourriture, les quantités avaient été réduites.
Je pense que cela veut dire que la robe ne me va pas encore et qu'il veut que je perde du poids, encore. Mais sa robe merdique, c'est pour une taille de barbie, je n'aurai jamais la taille qu'il attend, il doit se rendre à l'évidence. Il faudrait que je me fasse enlever des côtes pour que ma taille soit la même que les poupées et là, dans la ville et en ce moment même, c'est impossible de subir une opération !
C'était l'heure de manger normalement, et mon ventre gargouillait. Je n'en pouvais plus, alors je décida de lui crier à traver la porte :
- Alex ! Je n'aurai jamais le corps que tu veux ! Tu as pris la mauvaise fille pour ça !
Il ne répondait toujours pas. Mes nerfs avaient lâchés et je sais que c'était mal :
- Putain Alex, rends toi à l'évidence, la robe ne sera pas parfaite sur moi merde ! Ouvre les yeux ! Qu'est ce que tu attends de moi connard !
Toujours aucune réponse, alors je repris :
- Tu veux que je devienne ta pute hein ? C'est ça ? Tu as des pulsions sexuelles que tu n'arrives pas à calmer ? Toutes les filles te repousser quand tu les approchais car tu faisais peur ? Ces pour ça que maintenant, tu me tiens prisonnière ?!
Sans m'y attendre, je vis la porte s'ouvrir et me la reçus en pleine face. Cela me projeta sur le sol tellement l'impact était violant.
Je vis Alex et son regard noir, s'il pouvait me tuer du regard, il l'aurait fait.
Il pointa son ou plutôt mon revoler sur moi et cria :
- Enfile ta robe maintenant !
Il me terrifiait.
Il s'approcha de la robe près de mon lit et me la jeta en pleine figure.
- Dépêche toi !
Sans perdre une minute, je retira mes chaussures et mes vêtements devant lui et enfila sa robe. Je pris de nouveau mes chaussures et les enfila.
- Voilà, t'es content ? J'ai mis ta robe, maintenant laisse moi partir d'ici.
Il me fit signe de sortir, mais lorsque je franchis la porte, je sentis ses mains se posaient sur mes hanches et son souffle dans ma nuque.
À cet instant, mon coeur battait rapidement et ma respiration était forte, j'avais peur de lui.
- Si tu me repousses, je te jure que je te tue, tu as compris ? Et si tu ne bouge pas, tu pourras sortir d'ici en vie. me murmura-t-il
Il déposa ses lèvres dans mon cou et embrassa se dernier. Il me fit tourner et je me retrouva face à lui.
J'étais en pleure. Ses mains se baladaient sur ton mon corps, je ne pouvais rien faire, sinon il me tuait.
- Il ne faut pas pleurer voyons, c'est soit ça, ou soit tu meurs ...
Il m'embrassa sur la joue et ensuite ses lèvres se dirigèrent vers les miennes.
C'était affreux !
Ses mains maintenant étaient posées sur mes fesses et il s'approchait de moi. Nous étions collés, sexe contre sexe.
Cette horreur dura une bonne demi heure, mais à ma grande surprise, il me dit :
- Tu peux partir, c'est bon, j'ai terminé. Tu ne m'excites pas, à quoi bon que je continue, ma queue n'a même pas bandé ... Vas chercher tes sacs et casses toi d'ici !
J'étais toute tremblante, je voyais flou à cause de mes larmes.
Je me dirigea vers la chambre pour récupérer mes vêtements, quand il passa devant moi et empoigna mes vêtements.
- Nan nan, tu ne partiras pas d'ici avec tes vêtements, il déchira mon t-shirt, au moins, si tu te fais bouffer par un zombie dehors, tu deviendras un zombie sexy, y'en a pas beaucoup dans les rues tu sais ...
Il me pointa l'arme dessus et me fit signe d'avancer.
- Vas dans la cuisine, tes affaires y sont.
Je m'exécuta et je vis en effet, mes deux sacs posaient sur le sol. Je pris les sacs et vis le connard prendre une paire de ciseaux et couper mon jean.
Il s'approcha ensuite de moi et me tendit le revolver.
- Casses toi, il sortit un autre flingue du tiroir, si tu essaies de me tirer dessus, je te tuerai et ensuite je te baiserai !
Je partis en courant vers la porte d'entrée la boule au ventre. Mais en ouvrant la porte, je laissa tomber les sacs sur le sol, me retourna et lui tira dessus. Mon esprit m'avait ordonné de me venger.
Il n'avait même pas eu le temps de réagir, que mon chargeur était déjà vide.
Je m'avança vers lui, il titubait sur le sol, qui ce dernier, soit disant passant, était désormais recouvert de son sang.
- Tu ne feras plus jamais de mal aux filles comme moi. Et je te signale qu'une fille au corps de rêve aura toujours des défauts, que tu le veuilles ou non. Et la femme barbie n'existe pas, à si, pardon, elle existe, mais elle a fait beaucoup, beaucoup de chirurgie pour lui ressembler...
Je le laissa sur son sol et lui pris son pistolet.
J'étais cette fois sortie, avec les deux sacs sur le dos, un pistolet à la main et l'autre dans un sac et dans ma deuxième main, se trouvait ma machette, c'était parti pour de longues heures de marches, et je savais que j'allais dormir dehors et pas de chance, il pleut ....
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