Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Chapitre 51:

Cette hypothèse était plus que plausible. Déjà, parce que la Remplaçante semblait surprise que la clé soit Alek, et ensuite parce que lui et Ethan étaient jumeaux.

Tout être surnaturel savait que le lien de jumelage était l'un des plus puissants et mystérieux de ce monde. Les humains s'en rendait également compte, même si leur lien de jumelage était beaucoup moins puissant que ceux des êtres surnaturels.

Ethan était obligé d'être spécial. Sa grande sœur était voyante : à ma connaissance, on ne pouvait ni apprendre à être voyante, ni le devenir par un quelconque rituel. On était voyant à la naissance et le don se développait, plus ou moins, au fil des années. De plus son propre frère jumeau était devenu une créature surnaturelle. Leur lien de jumelage s'est alors renforcé, et a dû faire légèrement changer l'humain qu'était, et qui est toujours, Ethan.

Cela voulait dire qu'Alek n'utilisait pas un don qui lui appartenait, mais celui de son frère.

- Comment t'es supposé te servir d'un pouvoir qui n'est pas à toi? interrogeai-je.

Je n'avais pas la moindre idée de comment procéder, et Alek m'avait l'air tout aussi perdu que moi, voir plus. Alessandro, lui, était complètement inutile. Il n'avait plus envie de réfléchir et de parler depuis qu'il avait découvert qu'Alek avait un frère. Trop d'informations en même temps, pour lui qui venait juste de s'évader de prison et de mourir par la suite.

- Tu peux me mettre devant la porte, Rika? Juste au milieu, dit Alek.

Je redressai la tête vers le vampire souverain, et sans broncher, je fis ce qu'il me demandait de faire en le tirant par l'épaule. Une fois qu'il fut placer, il posa ses mains sur la porte qui lui était invisible et ferma les yeux.

- Tu vas faire quoi? le questionnai-je en reculant d'un pas.

Il ne me répondit pas, et s'immobilisa complètement, comme seuls savaient le faire les vampires. Ceci me rappela qu'il avait vécu énormément de choses depuis notre enfance, et que sa vision des choses avait sûrement changer autant que la mienne.
Comme il ne me répondait toujours pas, je lui reposais la question, et reçut de nouveau le silence comme réaction.

- Alek?

- J'essaye de me concentrer, déclara-t-il enfin.

- Ah pardon! m'excusai-je. T'essayes de faire quoi alors, en te concentrant?

- Tu m'énerves! s'exclama-t-il.

Il retira une main de la porte pour se tourner vers moi, et je me retins de rire en voyant sa mine faussement agacé.

- Bon, d'accord je suis pas énervé, j'exagère un peu. Mais j'essaye vraiment de me concentrer.

Il passa une main gênée dans ses boucles brunes, comme s'il regrettait déjà d'avoir essayer de paraître excéder.

- D'accord, d'accord. Je te conseille d'imaginer Ethan essayer d'ouvrir la porte. Je pense que si tu le fais comme si c'était lui qui le faisait, ça aurait plus d'impact.

Le jeune roi se retourna vers le mur, les sourcils plissés. Je pouvais presque l'entendre penser "Comment le ferait un humain?". Ce qui était impossible puisque le surnaturel était annulé dans le Monde Oublié ce qui m'empêchait de lire dans les pensées ici.

- Ne pense pas à comment le ferait un humain, lui recommandai-je. Pense plutôt à comment le ferait Ethan. C'est pas pareil.

- Comment t'as su que..?

Il pense aussi simplement qu'Owen, me dis-je amusée.

Je haussai les épaules au lieu de lui répondre, et il se remit face à la porte. Je pensai que cela allait mettre plus de temps avant qu'il ne trouve une hypothèse pour ouvrir la porte, lorsqu'il déploya ses ailes couleur ébène et s'envola.

- Alek? Qu'est-ce que tu.. Attention à la poignée! m'écriai-je juste avant qu'il ne se cogne la tête en plein dedans.

Je sifflai en imaginant la douleur que j'aurais ressenti si j'avais été à sa place, avant de me souvenir que ce monde était indolore. Le Monde Oublié était comme une grosse dose de morphine. Tu t'endors pour ne jamais te réveiller, tu oublies tout, tu ne ressens plus rien.
Ce n'était vraiment pas amusant.

La porte bougea soudainement, ce qui fit l'effet d'un électrochoc à Alessandro qui bondit pour me tirer en arrière. J'avais été trop surprise pour réagir.
Je levai la tête vers Alek, et éclatai de rire en voyant ce qu'il faisait. Il avait pris au pied de la lettre son rôle de "clé". Le vampire souverain avait enfoncer son bras gauche dans l'immense serrure de la porte, et de l'autre, il baissait tant bien que mal la poignée. La porte s'ouvrit d'elle-même une fois la poignée d'abaissée.
La simplicité du geste rendait la scène hilarante. Qui aurait cru qu'il suffisait simplement d'ouvrir la gigantesque porte dorée comme une simple porte, juste après avoir vu des êtres volants passer au travers?

- J'imagine qu'on peut rentrer maintenant, dis-je toujours en riant.

Alek atterrit à côté de nous, puis d'un signe de tête je donnai le feu vert et nous entrâmes tous trois dans la pièce qui se cachait derrière la grande porte dorée.
J'étais passée en premier, impatiente de découvrir ce qui se trouvait derrière. Le vampire souverain était sur mes pas, et Alessandro qui nous suivait, semblait moins enjoué à entrer ici. Je pouvais comprendre pourquoi. On ne savait pas à quoi s'attendre même si je doutais qu'il y ait un quelconque danger dans ce monde, à part la disparition de nos souvenirs, nos sentiments et nos émotions.

Nous avançâmes de quelques pas, dans l'obscurité éclaircie seulement par un trait de lumière provenant des escaliers du Monde Oublié. D'ailleurs, qu'est-ce qui éclairait ces escaliers? La lumière semblait provenir de partout à la fois, afin de ne laisser aucune trace d'ombre nulle part, puisque les morts étaient eux-mêmes les ombres du Monde des Vivants.
La porte se referma lourdement, et les deux hommes à mes côtés sursautèrent brusquement lorsque nous fûmes englouti dans le noir. Au contraire, à peine surprise, je ne bougeai pas. C'était bien connu : à chaque fois que l'on entre dans une pièce sombre, la porte se referme derrière nous. Il ne manquait plus que la musique de film d'horreur. Toutefois, à la place d'une musique inquiétante, de grands "clic" résonnèrent et des lumières éblouissantes illuminèrent la pièce. Elle était de taille moyenne et complètement vide. Les murs étaient grisâtres : on voyait le béton, dénudé de tout papier peint. Je haussai les épaules. Nous étions dans le Monde Oublié, il ne fallait pas trop espérer du chemin menant vers le Monde des Morts. Même si je m'attendais à mieux pour ce qui se trouvait derrière l'immense porte dorée.

Alessandro, coller à la porte désormais fermée, manifestait un stress débordant. Il avait enfoncé ses mains dans ses poches et tapait nerveusement du pied sur le sol. Il regardait tout autour de nous, non pas comme s'il s'attendait à ce qu'un monstre plein de grandes dents et de griffes apparaisse et nous attaque, mais plutôt comme un claustrophobe enfermé dans une pièce étroite.

Oh. C'est vrai qu'il a été enfermé à tort en prison.

- Aaah.. soupirai-je volontairement fort. Je m'attendais à un truc spectaculaire moi!

L'italien tressaillit quand je pris la parole et me fixa avec incompréhension. Je fis celle qui n'avait rien remarqué, pendant qu'Alek essayait de me faire comprendre le malaise du vampire par de petits signes. Signes, que j'ignorai en m'approchant du mur du fond.

- Je suis persuadée qu'il y a autre chose que cette pièce toute fade.

Je donnai trois-quatre coup dans les murs, en avançant sur toute la longueur.

- Eh, la Remplaçante, je sais que tu nous vois! criai-je. On a ouvert la première porte, ouvre nous la deuxième!

À l'absence de réponse, je souris légèrement. Soit elle ne nous entendait et voyait vraiment pas, soit.. mes doutes étaient confirmés :

- À moins que tu veuilles m'empêcher de prendre mes fonctions de Gardienne?

J'avais ajouté cette phrase en chuchotant, et lorsque la créature de la taille d'un enfant et sans ailes apparut, mon sourire se fit encore plus large. Je le savais.

- Re-bonjour! dis-je joyeusement, alors qu'elle me lançait un regard empli de haine.

En voyant une autre personne dans la pièce, je ne sus dire si Alessandro se crispa encore plus ou se détendit. Je ne voulais pas le gêner en lui faisant remarquer que son malaise était flagrant. C'était une chose que je n'aimais particulièrement pas, alors je ne me sentais pas de le faire comprendre à quelqu'un d'autre.

- Vous avez mis plus de temps que je le croyais pour venir ici, dis la créature.

- Vous m'arrachez les mots de la bouche, rétorquai-je sur le même ton.

Son regard se durcit et je perdis mon sourire. La remplaçante était bien plus malveillante que je le pensais. C'était sûrement elle le danger le plus grand dans le Monde Oublié.

- Vous pouvez enlever cette illusion, s'il-vous-plaît.

J'avais parlé calmement et poliment. Je n'avais pas le temps de me prendre la tête avec cet être étrange. Je voulais vite retrouver mes frères, et je commençais à m'éterniser dans ce monde, ce qui ne me plaisait pas. Déjà que la Remplaçante semblait m'avoir dans le viseur, je n'allais pas aggraver mon cas. Elle pourrait m'empêcher de rejoindre ma famille.

- I-illusion? bégaya Alessandro.

- Oui! Quand j'ai frapper sur le mur, j'ai entendu un "aïe". Ce qui veut dire que.... ce n'est pas un mur!

Je m'approchai du mur en question, et au lieu de frapper à nouveau dessus, je tendis les mais comme pour attraper quelque chose.

- C'est... les gargouilles elles-mêmes.

Je fis entrer dans l'illusion l'une des cinqs boules volantes, et bien évidemment, je tombai sur l'insecte cracheur. Je le lachai en prenant un air dégouté.

- Pourquoi a-t-il fallut que je tombe sur ce truc? dis-je en le balançant loin de moi.

- Vous pouvez lire dans les pensées? me demanda la Remplaçante.

Immobile un instant, je fixai sans comprendre la créature à la taille enfantine. Puis je secouai la tête.

- Non, j'y arrive pas ici.

Les sourcils -du moins je suppose- de la gargouille se plissèrent. Ma réponse ne donnait pas l'impression de lui plaire.

- J'ai toujours eu un bon instinct de survie.

- Ça n'a aucun rapport. Vous n'étiez pas en danger de mort. Et puis vous êtes déjà morte.

- Je ne suis pas morte. Je dors. Et être enfermé dans une pièce sans sortie, c'est pas vraiment normal. C'est comme un danger pour moi, du coup, j'ai réfléchi à des hypothèses. Et c'est vraiment pas malin de se plaindre quand on joue au mur.

L'insecte cracheur me tira la langue et me tourna le dos. À ce moment-là, la Remplaçante décida de retirer l'illusion qu'elle avait mise en place. Elle leva les bras vers le haut, et comme si elle avait retirer un voile, les murs gris disparurent, et une immense pièce aux tons blancs et dorés apparut.
Je restai bouche-bée devant ce spectacle, et j'entendis un "Wow" admiratif venant d'Alek.

C'est trop beau. C'est suspect.

- Vous n'avez pas l'air enthousiaste, reprocha la Remplaçante.

- J'ai l'impression qu'il y a un prix pour tout ça.

Je plongeai mes yeux dans les siens. Elle ne cilla pas d'un pouce. Elle soutint mon regard jusqu'au bout, et esquissa un sourire qui n'annonçait rien de bon.

- Ne vous en faites pas, vous l'avez déjà payer.

Je serrai les dents, une mauvaise impression me tordant les tripes. Le souvenir de ce qui s'était passé juste avant que les gagouilles apparaissent remonta.

" - Je crois... qu'il est en train de me prendre ma mémoire. Le Monde Oublié m'a volé un truc. Il.. m'a prit quelque chose? Ce n'est pas un souvenir.. il m'a prit quelque chose? Pourquoi!?

- Il m'enlève quelque chose puis il efface la tristesse de cette perte. Juste pour que je ne trouve pas l'envie de récupérer ce qu'il m'a volé. Bien joué. "

-.. Mais ça se payera, continuai-je à voix haute.

La Remplaçante m'adressa un rictus satisfait en croisant les bras. Elle releva un peu le menton. Comme ça, elle donnait l'impression de me regarder de haut. Son regard était aussi méprisant que méprisable.

- Patrouilleurs. Expliquez ce que vous lui avez retirer.

La créature agira la main comme si cela ne la concernait pas, alors que je savais pertinemment qu'elle était celle qui l'avait ordonné.

Les gargouilles rondes virevoltèrent jusqu'à moi, et c'est l'insecte cracheur qui s'avança. Il affichait une expression honteuse. Apparemment, ce n'était pas quelque chose dont il était fier.

- Vous vous faites appeler "patrouilleurs"? C'était pas "insecte"?

Je voulais détendre l'atmosphère, mais ma remarque fit mouche.

- On t'a pris un sentiment, dit-il. C'est la seule chose qu'on ne peut pas rendre. Les souvenirs et émotions peuvent revenir si on l'autorise, mais une fois qu'un sentiment est pris, c'est irrécupérable. Désolé.

Il baissa la tête, tout le corps, le plus bas possible, suivi de ses camarades. De toute façon, je ne pouvais pas lui en vouloir. Ils m'avaient aussi retirer l'envie de récupérer ce qui m'avait été pris, alors ça ne me dérangeait pas tant que ça de savoir que je ne pourrais jamais retrouver ce sentiment volé.

- Bon, accouches la bestiole.

- Ok... alors, euh... tu vois, si on te l'a pris c'est que c'est.. inutile? Pour toi..? Du moins, pour le Gardien des Souvenirs c'est quelque chose qui ne sert à rien parce que, euh.. tu vois, tu resteras tout le temps ici, avec nous alors, donc.. euh..

- Attend, comment ça tout le temps? le coupai-je.

- Ce n'est pas le sujet, m'interrompit la Remplaçante. Tu comprendras en temps voulu.

Gnin gnin gnin, "tu comprendras en temps voulu" phrase de chieuse. Poufiasse.

Je me résignai toutefois. Ce n'est pas comme si elle allait m'obliger à passer tout mon temps ici. Elle devra m'attacher entièrement si c'est ce qu'elle croit.

- Je, je continue? demanda la boule volante.

Après un geste pressant de la part de sa future ex-patronne, la bestiole cracheuse reprit :

- Euh, en fait, ça commençait juste à se développer, donc je pense que c'est pas trop gênant, mais de ce que j'ai entendu...

Il jeta un coup d'œil discret vers la créature à taille d'enfant, et je compris qu'il n'avait eu le choix que d'y croire. Je détestais de plus en plus cette créature tyrannique.

-.. de ce que j'ai entendu, si on avait laissé ça se développer, ça aurait été problématique dans l'exercice de tes fonctions, et c'est ce que nous voulons à tout prix empêcher.

Cette partie de son discours était la moins hésitante. L'insecte avait pensé bien faire pour le monde dans lequel il vit. Il se sent mal d'avoir retiré ce sentiment et essaye de se discréditer en me racontant tout ça, mais il ne regrette pas son choix. Ça m'allait plutôt bien. Il avait agit en suivant son idéologie, je n'allais pas l'engueuler pour ça. À moins que ce soit parce qu'on m'a enlevé toute volonté à vouloir récupérer ce qu'on m'avait volé..?

- Et qu'est-ce que vous m'avez retiré, les patrouilleurs?

- Moi je sais pas! se désista immédiatement la bestiole cracheuse.

- Menteur! s'écria une autre gargouille.

C'est donc bien une gargouille du genre masculin, l'insecte.

- Tais-toi! T'as qu'à lui dire toi!

- Hein? Mais c'est, c'est..

La gargouille qui l'avait traité de menteur était plus petite que les autres. Elle semblait totalement affolé de devoir me le dire.

- Je peux pas le dire devant tout le monde! déclara-t-elle d'une voix qui menaçait de se briser sous le coup de sanglots.

- Bah viens me le dire dans l'oreille, lui proposai-je.

Elle tourna son corps rond vers moi, et je crus qu'elle allait refuser. Pourtant, elle me regarda comme si j'étais l'être le plus intelligent qu'elle n'avait jamais croisé. Ses jolies petites ailes frétillèrent et ses grands yeux brillaient de bonheur. Elle voleta toute heureuse jusqu'à moi. Lorsqu'elle arriva près de mon visage, la mine joyeuse qu'elle montrait s'effaça. J'espérai qu'ils ne m'aient pas enlever un sentiment important, comme la joie par exemple. Enfin, je ne vois pas comment être joyeuse pouvait entraver "l'exercice de mes fonctions".

- C'est.. la Remplaçante nous a dit de retirer le sentiment amoureux qui grandissait dans ton cœur, chuchota-t-elle. Il était trop indécis.

Je me reculai pour regarder la gargouille, surprise. Je commençais à tomber amoureuse? De qui?

- Indécis, comment ça?

- Ton cœur les aime tout deux autant.

Deux? Comment ça deux? Elle se fichait de moi la gargouille là?

- Mes frères? m'exclamai-je abasourdie.

C'était les seuls "candidats" à qui je pensais.

- Non. Les bouclés.

- Les bou.. commencai-je.

Je me stoppai en comprenant, et me tournai lentement vers Alek. Mes frères n'étaient donc pas les bons "candidats". En même temps cela aurait été trop bizarre de penser que je voyais mes frères ainsi.
Alek m'observa avec incompréhension, pendant que je le fixais, hébétée. Je ne m'en étais même pas rendu compte. Et le pire c'est que je ne ressentais rien d'apprendre que c'était ce qui m'avait été enlevé. J'avais même l'impression que ça ne m'était pas arrivée à moi mais à quelqu'un d'autre.
Comme si c'était un inconnu qui assistait au vol du sac d'une autre personne. Un inconnu feignant. L'inconnu se sent désolé pour la victime, mais rien de plus. Ça ne lui est pas arrivé à lui, et c'est tout. C'est ce que je ressens.

J'aimais Ethan. J'aimais Alek. Pas comme des amis ou des frères. Comme des hommes. Je n'en savais rien et je doutais. Lequel devais-je choisir? Je les aimais, même si je ne m'en rendais pas compte, même si je ne le savais pas, je les aimais. Je commençais à les aimer, plutôt.

Le Monde Oublié m'a enlevé ça.

Et le pire c'est que ça ne me faisait ni chaud, ni froid.

___________________________________

》 Bonjour... bonsoir mes chers lecteurs adorés à qui je ne fais jamais rien de méchant du tout du tout du tout... ahaha 😅😅

Ne me frappez pas ! 🙇🙏🙇🙏

De toute façon je suis bien cachée!

Et puis... (Vous allez sûrement me trucider, m'étrangler, me démembrer, me brûler vive, m'ouvrir les veines pour me laisser me vider de mon sang et j'en passe, mais.... je ne peux plus continuer à vous le cacher....) C'était prévu depuis le début ^^' et oui, et oui... Rika n'aime que MOI! VOILÀ TOUT! BON JE SUIS PAS JALOUSE DES BOUCLÉS! J'AI JAMAIS VOULU DES CHEVEUX BOUCLÉS MÊME! VOUS AVEZ PAS DE PREUVES! RIEN! NADA! ZÉRO PREUVES!

*raclement de gorge*

C'est mon bébé, vous comprenez, une maman ne peut pas la laisser à un jeune homme qui devient immatériel ou à un vampire qui a failli la saigner à blanc ... (Vous voyez le justificatif merdique? 😂😂😂)

Donc c'était pour dire... pardonnez moi! 🙇🙇🙇 Même si je ne m'en veux pas tant que ça.. (faites comme ci vous ne venez pas de lire que je ne me sens pas coupable s'il-vous-plaît... 😂😂)

Bonne soirée, bonne journée quand même, chers lecteurs! Et bonne continuation dans la lecture de mon histoire! 😁😉

(Ne me tuez pas avant que j'ai fini de l'écrire par pitié 😂 c'est pour vous que je dis ça hein...(ce n'est pas du chantage affectif 😂😂)) 《

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro