8 : Draco
Pour cette nouvelle matinée, Draco Malfoy est déjà débout, tout comme la Gryffondor, mais bien évidement ce n'est pas pour les même raisons. Il sait très bien que Granger va aller se promener dans le château afin de faire régner le règlement, alors pourquoi se fatiguerait-il à faire de même ? Ils ne sont au château que depuis deux jours seulement, mais le Serpentard regrette déjà sa solitude.
Avoir Granger aussi souvent dans les pattes ce n'est vraiment pas de tout repos. Déjà que le blond avait beaucoup de mal à la supporter pendant leurs cours communs ou lorsqu'il l'a croisait dans les couloirs, devoir la voir tout les jours et vivre dans le même appartement qu'elle c'est juste insupportable pour le garçon. Il décide donc de son moment de tranquillité pour aller se promener dans la cours de Poudlard. Il se promène pas très loin du lac noir et décide de se poser au pied d'un arbre.
Le regard de Draco se perd sur l'horizon, il repense à tout ses événements passés. Il y a encore quatre mois, il se battait pour vous savez qui, alors qu'aujourd'hui il est tranquillement installé à l'ombre d'un arbre. Il déboutonne le fermoir de sa manche prêt à la relever pour regarder son tatouage avec dégoût mais une petite voix féminine intervient. « Ah je te trouve enfin Draco »
Il se rebaisse très rapidement la mini parcelle de manche qu'il a pu relever. « Pansy qu'est ce que tu fais là ? » lui demande t-il brusquement. La jeune femme n'a pas l'aire d'avoir remarquer ce que le garçon était entrain de faire, alors elle plisse les yeux face à une telle agressivité. Néanmoins, elle ne lui pas part de son incompréhension. « Je te cherchais » ajoute t-elle simplement.
« Tu n'es pas en cours ? » questionne le jeune homme.
« On commence à onze heure le mardi » répond t-elle.
Draco remarque donc que sa meilleure amie à déjà apprit son emplois du temps par cœur. « Je voulais simplement savoir si tu pouvais me prêter ton manuel d'étude des runes pour aujourd'hui » Elle s'assoit dans l'herbe en tailleur tout en faisant bien attention de mettre ses mains entre ses cuisses pour que sa jupe tombe au sol et que sa culotte reste invisible. « J'ai complètement oublié de m'en acheter un alors ma mère va me l'envoyer par hibou cette semaine, et comme toi tu n'as pas cours, je me disais que tu pouvais me prêter le tiens en attendant »
Le blond acquiesce d'un mouvement de tête vertical. « Tu en as besoin pour quand? » complète t-il.
« Dans a peine deux heures » ajoute t-elle en souriant en coin sachant très bien que Draco va râler.
« ça veut dire qu'on doit aller le chercher maintenant ? » insinue t-il.
La brune hoche la tête. « Effectivement»
« Putain Parkinson tu fais chier »
« Je sais » Elle sourit de toutes ses dents.
Les deux amis se relèvent afin d'aller chercher le manuel du jeune homme dans ses appartements. C'est dans ce genre de moment qu'il regrette la salle commune des Serpentard car Pansy aurait très bien pu aller le chercher elle-même. Ils arpentent les couloirs plutôt calme du château jusqu'au septième étage. Lorsque la brune entre à l'intérieur des appartements de Draco, elle à la même réaction que toutes personnes qui sont entrées avant elle. Elle est éblouis par tant de beauté et se pleins de ne pas avoir les même privilèges.
« On échange de place si tu veux » dit-il sarcastiquement comme-ci c'était possible. « Je te laisse le plaisir de vivre avec Granger sans aucun problèmes » continue t-il.
Le visage de Pansy est tout de suite prit d'un rictus. « Notre dortoir me suffit » acquiesce t-elle. Même si clairement elle préférerait se taper la charge de vivre avec Granger, pour que son prince n'est pas à le faire. Elle n'aime pas le savoir vivre avec une autre fille. Mais ça, elle ne lui avouerait jamais.
Draco monte donc dans sa chambre chercher son manuel tandis que la Serpentard explore chaque recoins de l'appartement qu'il y a à sa disposition. Lorsqu'il descend, il tend le livre tout neuf qui n'a jamais servit à son amie. Elle l'attrape, le glisse dans son sac à bandoulière, embrasse Draco sur la joue et s'en va. Il grimace. Pas que le baisée d'une fille le dégoûte, au contraire, mais celui de son amie oui.
Et le revoilà au même point qu'il y a une petite demi heure, avec un simple élément qui change : son ventre qui gargouille. Il décide donc de se rendre dans la grande salle prendre un petit déjeuné tardif en espérant qu'il reste de bonne choses sur les tables.
Lorsqu'il arrive la bas, il est heureux de voir qu'effectivement l'heure du petit déjeuné n'est pas terminé puisqu'il reste encore quelques élèves attablés dont Théodore, Blaise et Gregory. N'ayant que zyeuté son emplois du temps jusqu'à maintenant, il était loin de se souvenir qu'en effet le mardi ses cours commencent à onze heures. Si Pansy lui avait pas apprit, il ne les aurait jamais rejoint.
« C'est à cette heure là qu'on arrive? » rigole Blaise. Draco sourit.
« Si vous saviez » dit-il tout en secouant sa tête de gauche à droite. Si il avait su que ses amis n'étaient pas encore en cours, il aurait été prendre son petit déjeuné en même temps qu'eux.
Afin de ne pas s'étendre sur le sujet, il ricoche sur autre chose.
« Alors la soirée d'hier soir ? » Il regarde le basané.
« Génial ! » répond t-il directement. « Dommage que tu ne sois pas resté »
Goyle et Nott acquiescent en même temps pour confirmer les dire de Blaise. Goyle reprend la parole.
« D'ailleurs pourquoi tu n'es pas resté ? »
« Pour rien » ment-il « J'étais fatigué » reprend t-il d'un aire calme pour que personne d'autre ne lui pose de question. Ce qui fonctionne puisque les garçons se lance sur un autre sujet pendant que Draco réfléchit à ce qu'il va bien pouvoir faire de sa journée au château. Il pourrait peut-être s'entraîner à réaliser de nouvelles potions, ou bien aller voler un peut sur son nouveau trésors, le nimbus deux mille six, dernier balais en date. Il réfléchit également à trouver miss je sais tout pour l'emmerder, ou alors peut-être réfléchir à son boulot de préfet en chef comme il ne tiens pas particulièrement à perdre son poste.
Voler lui semble le mieux car même si emmerder Granger c'est tentant, il n'a pas vraiment envie de voir sa salle gueule.
« Comment se débile de Gryffondor à pu croire qu'on serait capable de l'aider ? » rigole Théodore, sortant Draco de ses pensées.
« Qu'est ce que vous avez encore fait ? » demande t-il. Blaise allait répondre mais Draco le coupe directement. « Non finalement je ne préfère pas savoir » il secoue la tête de droite à gauche, apportant une cuillère de céréales à ses lèvres.
Il se doute très bien que ses amis ont encore fait des conneries, et il ne souhaiterait pas retirer des points à sa propre maison, même si bien-sur il ne le ferait jamais. C'est donc uniquement pour ne pas se sentir coupable de ne pas retirer de point aux siens même si il y a besoin.
L'heure venue, le petit groupe de Serpentard se dirige à leur cours d'études des runes tandis que Draco se dirige dans son dortoir prendre son ballais avant de filer vers le terrain de quidditch. Il s'envole dans les aires. De base si Draco est entré dans l'équipe de quidditch de Serpentard, c'est par jalousie envers Potter, il voulait prouver qu'il était meilleur que le Gryffondor. Mais au file des années le blond a développé une réelle passion pour ce sport. Même les cœurs les plus noir, durcient par la pierre, peuvent avoir un passe temps.
Ces dernières semaines, Draco passait une grosse partit de son temps sur son balais lorsqu'il n'était pas entrain de s'alcooliser. Il aime vraiment voler, mais parcourir le ciel au dessus de Poudlard ça n'a pas de prix à ses yeux. C'est sa manière à lui de s'échapper et personne ne peux l'en priver. Personne, sauf la personne qui d'en bas, lui fait signe. Il jure contre la personne, et descend voir ce qu'elle veut. Arrivé au niveau des poteaux en forme d'anneaux, il distingue une jeune femme munit d'une épaisse tignasse châtain, une écharpe rouge et or, ainsi que d'une posture mécontente.
« Putain! » Il jure juste avant de mettre ses pieds au sol en reconnaissant la sang-de-bourbe.
Il se dirige vers elle d'un aire menaçant. Il allait engueuler la Gryffondor de le déranger, mais elle commence à parler, alors prit par surprise, il n'a pas d'autre choix que de l'écouter râler.
« Comment est ce que tu peux voler sur ton balais alors que nous avons des obligations ? Le château ne va pas se surveiller tout seul. Ce n'est nullement pour nous faire plaisir qu'on à une semaine de plus, réfléchis un peut ! » s'exclame la Gryffondor en finissant par rugir telle une lionne car nous savons bien qu'elle ne peut juste pas parler correctement avec lui.
Et donc, visiblement, si elle vient le déranger c'est en plus pour lui faire une leçon de moral. Mais Draco ne lui répond pas en s'énervant parce qu'il sait très bien que ce qui va bien plus énerver la lionne c'est de s'en foutre.
« C'est tout ? » demande t-il d'un aire blasé. La Gryffondor est comme prévu, abasourdie. Le prince des Serpentard en profite donc pour se retourner et s'en voler à nouveau dans les aires. Seulement la jeune de femme à le réflexe de le rappeler.
« DRACO MALFOY ! » Hurle t-elle. « Tu va descendre immédiatement de ton fichu balais »
« Ou-loulou, la saint ni touche qui utilise le mot ''fichu'' » site t-il en imitant les guillemets avec ses doigts en mouvement.
Granger respire un bon coup pour ne pas s'énerver plus que ce qu'elle ne l'est.
« Tu te moque de moi là Malfoy ? »
« Légèrement » Il arbore son plus beau faux sourire afin d'encore plus se moquer d'elle.
« Tu me dégoûte ! » reprend t-elle en grimaçant.
« Au plaisir Granger ! »
Il se envol pour de bon cette fois sans faire attention à la rouge et or qui lui ordonne de redescendre. En comprenant qu'il ne le ferait pas, elle retourne surveiller le château en pestant contre le Serpentard.
Après une bonne heure à s'être entraîné à attraper le vif d'or, Draco décide d'aller dîner un peut avant d'aller prendre une douche, puis de se mettre réellement au travail en faisant quelques aller-retour dans les couloirs du château. Il va donc ranger son balais avec les autres, dans un petit cabanon fait pour ça. Il décide quand même d'ajouter un petit sortilèges pour que si quelqu'un d'autre que lui le touche, il se transforme en grenouille.
Il part en direction de ses appartements. Il prononce le mot de passe, entre, monte dans sa chambre. Il prend de quoi s'habiller, puis il se dirige dans la salle de bain. Il verrouille la porte et laisse l'eau couler pour remplir la baignoire. Il retire tout ses vêtements, et s'allonge dans l'eau.
Une fois propre, il s'habille, se coiffe rapidement, et part en direction des couloirs interdits aux élèves pour vérifier que personne ne s'y cache. Il tombe nez à nez avec deux étudiants, l'un de Serdaigle, l'autre de Gryffondor. Ils étaient tout les deux là, appuyés contre une statue, entrain de se bécoter. Il retire donc dix points à Serdaigle, et quinze points à Gryffondor avant d'ordonner aux élèves de 4éme années de s'en aller.
« Cinq points de plus que Julia, c'est inadmissible » s'énerve le Gryffondor. « Pourquoi ? » demande t-il de suite dans le seul but d'avoir des explications.
« Parce que j'aime pas les Gryffondor. » répond Draco le plus simplement du monde.
Bien évidement, il ne comptait pas retirer cinq points en plus au Gryffondor, il l'a juste dit pour faire chier son monde comme d'habitude, et bien évidement William Bréton marche en pleins dedans. Il cours même.
« Je vais de suite voir Hermione Granger, c'est des points non légitime »
« Vas-y va te plaindre à la sang-de-bourbe, et dépêche toi ou je t'enlève dix points de plus »
Offusqués, les deux élèves s'en vont à grande vitesse tandis que le Serpentard note les moins dix points pour les deux maisons sur son carnet, avec la cause. Il ne voudrait pas être accusé de retirer des points injustes aux élèves. Même si c'est ce qu'il leur fait croire pour les traumatisés.
Il continue de marcher quelques minutes, et comme prévu personne dans les parages. Il n'a même pas croisé Miss teigne. Néanmoins, une lumière bleu attire son attention. Il s'y approche et découvre que la lumière s'échappe d'un tableau. Un tableau plutôt banal.
« Lumos »
Il approche sa baguette pour le déchiffrer et il y découvre quatre sorciers entrain de jouer aux cartes. Un jeu moldu d'après lui car il ne connaît absolument pas le principe de la Belote, le mot qu'il lit sur le cadre de bois noir. Ils sont assit autour d'une table ronde, une choppe de bièraubeurre à leur côtés, une pipe à la bouche pour l'un, un cigare pour l'autre.
Il dépose ses doigts sur les rebords en bois du tableau, mais l'un des quatre magiciens, celui qui porte un monocle de verre, intervient.
« Le mot de passe je vous prit, vous n'avez qu'une seule chance »
Le Serpentard ne s'attendait pas à devoir deviner un mot de passe. Il pensais simplement ouvrir le tableau et y découvrir des élèves entrain d'exercer la magie dans un genre de placard à balais. Il décide quand même de frapper à la porte, mais rien, aucune réponse.
Intrigué, il décide de ne pas gâcher sa chance en disant un mot de passe au hasard, mais plutôt d'aller faire des recherches et revenir avec une piste en main. Il fait donc demi tour pour finir d'explorer l'étage. Aucun élèves ne s'y trouve, la seule personne présente c'est Peeves, l'esprit frappeur du château.
Il réajuste sa cravate avant de se diriger au cinquième étage. Il fait des allez retour devant la salle sur demande tout en pensant fortement au tableau qu'il a trouvé, ainsi qu'au mot « mot de passe » et alors peut-être qu'il y trouverait ce qu'il cherche. Une petite porte apparaît. Le Serpentard jette un œil à droite, puis à gauche pour être sur que personne ne le voit se mettre à quatre pattes afin de pénétrer dans la fameuse salle.
En entrant, il lève les yeux au ciel désespéré, il s'attendait à trouver le mot de passe écrit sur un morceau de parchemin, rangé dans un petit écrin, posé sur une table au centre de la pièce. Mais il ne s'attendait certainement pas à trouver des centaines de montagnes de livres aussi gros que l'histoire de Poudlard, montant jusqu'au plafond qui bien évidement est très très haut. La seule chose qui varie la pièce c'est l'immense canapé en cuire noir, accompagné d'un verre à pied posé sur une table basse, Il y a également un lampe éteinte et un frigidaire qui renferme des boissons alcoolisés.
Le jeune homme ne pouvait pas rêver mieux.
Dans d'autre circonstance il aurait préféré abandonner cette histoire de tableau plutôt que de perdre quelques heures à lire des bouquins qui ne vont pas l'intéresser. Mais puisqu'il n'a rien à faire en particulier, il décide de tuer son temps de cette manière.
Il prend donc une bonne pile de livre qu'il dépose sur la table basse, il se sert un verre à boire et s'installe dans le canapé. Il feuillette le premier livre, puis un second, puis un troisième, puis un quatrième, puis une pile, puis deux. Rien, toujours rien qui pourrait l'intéresser. Aucune piste possible, mais le serpentard ne désespère pas. Il se met à penser à son meilleur ami, Blaise Zabini. Si il avait de l'aide, il irait deux fois plus vite et ça serait beaucoup plus amusant.
Il se ressert un troisième verre avant de continuer ses recherches. Son bloc note est pleins de gribouillis, dès qu'il pense trouver quelques chose, la piste est fructueuse à un moment donné. Il entame un livre de plus au moment ou il entend la porte s'ouvrir. Il s'y dirige donc, et trouve Blaise à quatre pattes.
« Blaise ? » s'étonne t-il.
« Draco, qu'est ce que tu fais là ? » demande le basané.
« Toi qu'est ce que tu fais là ? » demande t'il a son tour plutôt dégoutté de devoir partager son secret.
« Tu vas trouver ça bizarre, mais j'ai entendu une voix dans ma tête qui me disait que je devais venir là. Alors je l'ai écouter et me voilà »
Draco rigole. Il prend son pote pour un fou avant de faire le lien.
« Attend j'ai pensé que j'avais besoin que tu viennes, et tu es là »
Les deux garçons se regardent, tout en écarquillant les yeux.
« Attends, tu veux dire que maintenant la salle sait faire ça ? » s'étonne Blaise.
« J'en sais rien, c'est étrange »
« Attend on va vérifier »
Le basané ferme les yeux. Au moment où il les ouvre, il y découvre une table avec des boites en cartons remplis de loukoums.
« Oh mon dieu » Blaise est époustouflé par cette super nouvelle. Il se jette sur une boite pour grignoter un peut.
« Donc tu vas me dire que l'autre soir, lors de la fête, aucun de vous n'a pensé à un truc et l'a eut ? » demande le blond en plissant les sourcilles.
« Si certainement, mais j'étais trop bourré pour m'en rappeler » Il répond tout en ajoutant un clin d'œil pour illustré sa réponse. Draco à un sourir aux lèvres, Blaise le fait rire.
Une ou deux friandise plus tard, le brun reprend la parole en regardant son ami. «Et sinon tu as pensé à quoi pour avoir autant de livres ici ?»
« J'ai besoin de trouver une petite info »
« Qui est ? »
Draco décide de ne pas lui révéler la réelle nature de ses recherches, il préfère garder ça secret pour l'instant. Seulement il peut pas l'envoyer sur une fausse piste sinon son aide ici ne servirait absolument à rien.
« Je peux juste de dire ces mots là : Mot de passe, tableau, lumière et joueurs de carte »
« Tu sais que tu peux tout me dire, je suis ton meilleur ami » essaye de négocier le Serpentard.
Seulement, le petit prince de ces derniers reprend d'une manière plutôt froide :
« Je sais mais j'en ai pas envie »
Que ce soit envers ses amis, sa famille, ses ennemies, ou autre, Draco Malfoy a toujours été très honnête même si il pouvait blesser en imposant la vérité. La seule personne à qui il ment en permanence, c'est nul autre que lui-même.
« Je vois » dit-il d'un aire vexé et ironique à la fois. Il prend une petite pile de livres à son tour, se sert à boire et s'installe pour se plonger dans les livres.
Lorsque les deux Serpentard décident qu'ils ont assez cherché pour la journée, ils sortent de la salle sur demande. Ils ne trouvent personne dans les couloirs ce qui est plutôt étrange pour un deuxième jour de cours. Le ciel est assez sombre à l'extérieur. Ils redescendent tout le château pour aller jeter un coup d'œil à la tour de l'horloge. Ils s'aperçoivent donc que le repas du soir a commencé il y a quinze minutes maintenant. Ils marchent très vite pour qu'il leur reste suffisamment à mangé sur la table.
« Au pire on ira manger dans la salle sur demande » plaisante Blaise.
« Je ne tiens pas à passer ma vie là-bas »
« Moi non plus t'inquiète pas » il reprend, déçus que son ami n'a pas vraiment saisit le sens de sa blague.
Ils arrivent dans la grande salle, seulement personne ne fait attention au deux Serpentard tant la joie de la nouvelle année est encore présente chez les élèves.
« Où est ce que vous étiez passé ? » s'excite la seule fille de leur bande lorsqu'ils arrivent à leur place habituelle.
C'est Pansy qui pose la question, mais naturellement, Goyle et Nott ont également la tête tournée vers eux pour connaître la réponse.
« ça ne vous regarde pas » répond Draco avant que Blaise n'ai le temps de tout raconter. Il tient vraiment à garder tout ça secret.
Blaise jette un regard incompris à son meilleur ami, mais ne renchérit pas. Ils s'installent tout les deux, et se servent leur assiettes. Le basané lui, se sert qu'une petite assiette de salade, son estomac est bien de trop remplis de loukoums qu'il en a mal au ventre.
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