Je préfère marcher où la vériter n'existe pas, celui qui a perdu une pétale d'une fleur, personne ne peut la remplacer.
L'illusion est l'acte le plus soulageant pour quelqu'un en deuil, n'est-ce pas ? C'est pour cela que je me dis que la mort la prit mais pas ses souvenirs donc pourquoi on doit accepter la tristesse et y vivre dans le silence à jamais ?
Chaque soir, je chante et je rechante cette chanson sans fin pour me mémorer tous les bons moments que j'ai passé. Les gens me disent que je vis dans le vide de la vie entre le passé et le futur et que je suis possédée du présent ténébreux.

"Dans les champs les plus grands, nous coupons les herbes gâchant la vue.
Le puit central, les pleures des villageois, nous cherchons l'eau de source.
Est-ce que je resterai toujours l'innocence des secrets ?
Les couteaux tranchent le bois d'une histoire, derrière toi se trouve la clé du sens.
Chaque pas sont et seront le bruit d'une étoile en danger."

Je vous remercie d'avoir lu, voté ou commenté ce chapitre, j'espère que vous l'avez apprecier. Que pensez-vous de ce chapitre ?
じゃ、また。