Chapitre 17.

P.D.V de ...

« Appel téléphonique entrant ».

Moi : Allo.

... : Ici l'hôpital *****, êtes-vous de la famille de Jakuzure Nonon, on a appelé le premier numéro dans ses contacts ; elle a eu un accident de voiture.

Moi : Oui, son état est-il critique.

... : On en parlera lorsque vous y serez, prévenez le reste de sa famille.

Moi : Ok merci.

Arrive à destination.

Je me rends à sa chambre, bon elle n'était pas dans un mauvais état, après un docteur s'est présenté.

Docteur : Vous êtes de sa famille.

... : Son amie, vous pouvez tout me dire, ses parents sont à l'étrangers et ne peuvent venir.

Docteur : Donc, elle a failli y passer heureusement qu'elle a percuté cet arbre dans un lieu public.

... : Elle n'a rien de grave.

Docteur : Non, elle et son bébé n'ont rien, si tout se passe bien elle va se réveiller dans les prochaines heures.

... : Son bébé !!!

Docteur : Ah oui elle est enceinte de trois semaines, il faut dorénavant qu'elle fasse attention, et qu'elle poursuive chez un gynéco dans les prochains jours.

... : Ok merci.

Il s'en va. Je n'en reviens pas, Nonon t'es enceinte, juste Satsuki n'est pas dans les parages et vous enchainait les bêtises.

Je partie voir mon père dans son département, je toque.

Papa : Entrer, ah Ryuko, j'espère que ce n'est rien de grave.

Moi : Je voudrais te demander un truc.

Avec l'aide de mon père, j'ai pu convaincre le docteur de ne rien dire sur la grossesse de Nonon, y compris elle, je lui en parlerais en personne.

Après cela j'ai parlé avec Satsuki sans évoquer la grossesse de Nonon, c'est à elle de lui dire.

Je lui demande aussi de prévenir les autres, bon je ne me suis pas encore habituer à être à l'aise avec le conseil des quatre mais je me dois d'aider Nonon, Satsuki aurait voulu venir mais je l'ai convaincu qu'elle serait mieux qu'elle s'occupe de Revocs ainsi que la résidence. Je l'ai aussi rassuré que tout va bien et que je l'informerais de tout nouveau.

Ellipse de trois jours.

P.D.V.de Ryuko.

Je ne sais pas pourquoi elle ne s'est pas réveillé, le docteur m'avait dit qu'elle était dans un état de choque et que son cerveau refusait de donner aucun ordre de peurs de se souvenir d'un souvenir douloureux, a vraie dire je ne comprends pas ce que fessait Nonon dans un endroit pareil, bon la bonne nouvelle c'est qu'il n'y a pas de danger pour le bébé.

P.D.V. d'Inumuta.

Je ne sais pas ce qui se passe vraiment, Nonon ne se réveille pas, je m'inquiète et personne ne veut me dire ce qu'elle a, j'ai juste trouver qu'on l'a trouvé près de la maison de Katherine lors de son accident, me suivait-elle et m'as telle perdu de vue, frustré elle n'a pas vu l'arbre devant elle. Ou a-t-elle entendu notre conversation, j'opte pour aucune option, je me dois de raconter tout ce qui s'est passé dernièrement a quelqu'un, car c'est lourd poids qui pèsent sur mes fines épaules, heureusement qu'Iori passera tout à l'heure pour prendre nos compte rendu et rendre visite à Nonon. Qu'est ce je vais faire, je ne sais pas et j'ai besoin de conseil. D'habitude c'est à moi de trouver la solution aux problèmes des autres, mais le mien Il n'y arrive pas.

J'entends quelqu'un sonner, je crois que c'est Iori. J'ouvre la porte et l'accueille du mieux que je peux sauf que mon visage avachi de cernes m'aide en rien.

Iori : Tu devrais prendre quelques jours de repos, je crois que tu ne vas pas bien.

Me dit-il du salon, j'apporte le café puis m'installe, je prends la tasse en main et contemple la vapeur qui s'y échappe, je sens le regard insistant d'Iori sur moi, et je finis par reporter mon attention sur lui.

Inumuta : Je m'inquiète pour Nonon et je suis un peu perdu.

Il me regarde étonné, c'est vrai que c'est la première que je sois aussi perdu.

Iori : Si c'est pour parler encore de ton hésitation à avouer tes sentiments à Nonon c'est...

Inumuta : Non c'est autre chose... eh... je ne sais par où commencer.

Iori : Par le début.

Inumuta : Bon.

Je lui raconte tout, son silence m'inquiète et me regarde sévèrement, puis finit par reprendre la parole.

Iori : T'es dans la merde, d'abords t'es sûr que t'es le père.

Inumuta : Comme je te l'ai déjà dit, je ne me rappelle de rien.

Iori : Je crois que tu devrais...

Il fut coupé par la sonnerie de son téléphone, je m'éclipse pour respirer un peu d'air, je dois vraiment réfléchir à ce que je dois faire.

Je retourne au salon et je vois Iori toujours en train de discuter au téléphone le sourire au lèvre quand il finit il se retourne vers moi et son sourire s'élargit ; si ce n'est pas Satsuki le rends comme ça je ne vois pas autres choses. J'ai eu à peine le temps d'ouvrir ma bouche qu'il m'empoigne le bras et me tire jusqu'à sa voiture, heureusement que j'avais mes baskets à mes pieds.

Iori était concentré sur la route toujours son sourire niaise scotché au visage.

Inumuta : Il se passe quoi ?

Iori : Ah oui Nonon s'est réveillé.

Quoi !!! tellement je n'y attendais pas mais pas du tout, je suis tellement heureux, mais la vérité me frappe le visage à plein fouet, je dois choisir entre mon amour et mon enfant.

Inumuta : Pourquoi t'es heureux à ce point.

Iori : Tu ne veux pas que je sois heureux, Nonon est une bonne amie et je m'inquiétais, tu ne l'étais pas ?

Inumuta : Bien sûr, j'ai hâte de la voir, mais tu ne me dis pas tout.

Iori : On peut rien te cacher toi, c'est banal tu sais mais pour moi ça ne l'est pas, Satsuki viendra.

Inumuta : C'est vraiment nias votre truc, vous ne vous êtes vu qu'a presque une journée et tu en fais toutes une histoire

Iori : Laisse tomber mec, tu verras quand tu te mettras avec Nonon, même auprès de toi elle te manquera.

Inumuta : J'espère bien.

P.D.V. de Nonon.

J'ouvre mes yeux puis les referme aussitôt, la lumière est trop intense, je sens une odeur de désinfectant et de médicaments, je rouvre mes yeux et constate que je suis à l'hôpital, mais je ne me rappelle pas du pourquoi ni comment je suis là.

Je sens une main me tenir fermement la mienne, je baise mon regard et je vois une touffe bleu avachie sur une chaise, elle s'est accroupie pendant son sommeil à mon chevet, je bouge mon autre main lui caresse les cheveux.

Elle se réveille et me regarde avec surprise.

Ryuko : Nonon !!!

Moi : Wow la dernière personne que je verrais aussi inquiète pour moi serait toi.

Ryuko : Tait-toi. Qu'est ce qui s'est passé.

Moi : Je ne me rappelle pas.

Ryuko : Attend je vais chercher le docteur.

Elle s'en va, je vois Gamagori-sempei et Sanageyama-sempei, Mako et toutes la clique entrée wow comme c'est chaleureux

P.D.V. de Ryuko.

Je ne sais pas ce qui s'est passé, j'appelle le docteur et il va la voir, j'en profite pour prévenir Satsuki qui s'occupera de prévenir Inumuta et Iori. Elle m'a aussi affirmé qu'elle viendra, je n'ai pas arrêté de la convaincre mais elle a insisté.

P.D.V. de Nonon.

Le docteur m'a posé un tas de questions, comme mon nom, prénom, date de naissance ect....

Cependant la journée de l'accident je ne m'en souviens pas même si j'essaye de toute mes forces rien me vient à l'esprit.

Gamagori : Alors docteur, pourquoi elle ne se rappelle pas de son accident.

Docteur : Et bien je ça a été douloureux pour Jakuzuez-san, son cerveau est en état de choque et pour minimiser les pertes il préférait oublier cette journée, avec le temps elle pourra s'en souvenir mais je ne préfère pas.

Gamagori : Merci docteur.

Docteur : Bon je vous laisse, vous pourriez la sortir d'ici son rétablissement.

Il s'en va.

La porte s'ouvre et laisse apparaitre Iori suivit d'Inumuta, il était si beau et souriant mais je ne sais pas j'ai mal au cœur, je ressens du dégout envers sa personne, je perds raison de moi-même.

Moi : Sortez le d'ici, je ne veux plus jamais le voir.

Dis-je en le pointant du doigt, je vois de la panique dans son regard mais peu importe, j'essaye de reprendre ma respiration mais cette douleur est trop intense que je suppose qu'elle disparaitra s'il dégage d'ici

Nonon : SORT.... SORT.

Je cris jusqu'à en perdre le souffle, et qu'aucun son ne puisse ressortir de ma bouche.

Les docteurs se précipitent dans la chambre alerter par mes cris.

L'infermière : Elle fait une crise de panique.

Docteur : Injecter lui un calment, et vous je vous prie de sortir.

Puis plus rien.