Chapitre 14.
P.D.V. de Nonon.
Le connard, dois-je avoir des soupçons, ou peut-être que j'en fais trop, si ça se trouve ce n'est qu'un adolescent qui a les hormones en ébullitions, bon je retourne en classe. A la fin du cours, j'appelle Nai pour le remercier de m'avoir défendu et en le conseillant de ne pas prendre au sérieux les propos de Rito pour ne pas s'attirer des problèmes, on se salut poliment avant de me diriger vers mon casier dans la salle des profs où je trouve un autre panneau en plastique scotché sur celui-ci, écrit dessus « warning 2 ». Peut-être dois-je en parler avec Satsuki ;, on verra avec le temps.
Je croise Inumuta dans mon chemin mais je l'ignore bien évidement il n'était pas du même avis ; il me bloque la route à chaque Pa.
Nonon : Tu veux quoi, fait vite j'ai cour dans cinq minute.
Inumuta : J'ai à te parler, l'appartement a été fini je t'enverrais les coordonnes, je te dirais tout peu importe les conséquences.
Je m'apprête à partir, mais il me plaque au mur puis m'embrasse à pleine bouche, je commence vraiment à m'habituer à son coté sauvage en plus ses lèvres m'ont manqué, tout de lui enfaite... mais qu'est-ce que je raconte, je le repousse et cours jusqu'à ma salle de classe.
P.D.V.de Rito.
Je suis à court d'idées, je ne sais pas quoi faire pour changer de classe, déjà que Ryuko n'est dans aucun de mes cours, comment suis-je supposé me rapprocher d'elle, et là je vois ma mère débarque avec plein de cartons, elle trébuche à cause de ma chaussure que j'ai laissé trainer là et tombe, je me retiens de rire le mieux possible pour ne pas être privés de cartes bancaires et elle me gronde.
Maman : Ne laisse pas trainer tes affaires dans tous les recoins de la maison, imagine si je portais autre chose que des cartons vides ça aurait provoqué un accident....
Blablabla,,,,, et là j'ai eu une idée, pourquoi ne pas provoquer un accident ou je serais la victime et Nonon l'auteur du drame, oh que si ça va fonctionner je dois juste avoir le bon timing.
Maman : Rito.... Hey je te parle.
Je serre ma mère dans mes bras.
Rito : T'es la meilleure Okasan.
Maman : Qu'est ce qui t'arrive là, je ne suis pas morte, je te signale.
Je me décolle d'elle et sourit, elle me regarde d'un air de dégout, c'est vrai que je devrais ressembler à une peluche avec mon sourire nias.
Maman : Reprends ton sérieux et arrêtes de regarder des films à l'eau de roses, je crois que ça t'as contaminé, fait ce que tu as à faire.
Elle tourne les talons, en vérité je ne suis jamais montré aussi câlins avec elles, c'est vrai que j'agis dernièrement différemment, c'est sûr que je l'ai surprise mais je sais qu'au fond d'elle, elle est heureuse, car j'avais depuis bien longtemps était trop froid et distant avec elle, lorsque l'être le plus cher à m'ont cœur nous a abandonnés, mon père, j'avais au fond de mon cœur cette même peur que ma mère fasse de même, mais je l'ai assez testé et je crois que je dois me détendre et laissé la vie prendre son cour............. Bon à présent exécutant ce plan.
P.D.V.de Nonon.
J'hésite entre partir ou rester, de toutes façon il forcera encore et encore, vraiment têtu, de plus son changement de comportement est vraiment impressionné, c'est vraiment frustrant d'être témoin d'un tel changement, il est devenu si sexy et si attirant, putain, pourquoi ça ne peut pas marcher, je crois que je vais commettre une connerie, ressaisit-toi Nonon ; écoute ce que dit ta tête et pas ton cœur.
Je me suis rendu compte que j'étais compte que je suis déjà arrivé à destination, je paye le taxi en vraie je dois vraiment penser à m'acheter une voiture avec tous ses déplacements. Je sonne et la porte s'ouvre, je prends l'ascenseur jusqu'au deuxième étage, celui d'Inumuta à ce que je sache.
Je sonne, et Inumuta m'ouvre bien-sûr, j'entre et je le vois s'assoir sur le canapé, je reste debout attendant qu'il parle.
Inumuta : Assieds-toi, je ne vais pas te manger.
Nonon : Non merci, je préfère rester là, entendre ce que tu as à me dire et partir.
Inumuta : Pour aller ou, prends tes clefs chez Gamagori-sempei, tu es au premier étages at arrêtes de trainer dans les hôtels, ce n'est pas trop pour une fille seule.
Nonon : Ça ne me pose aucun problème, et je suis pas une fille normale.
Inumuta : La vipère, toujours aussi bavard.
Je ne l'avais pas remarqué mais il était à présent devant moi.
Nonon : Tu veux parler de quoi.
Inumuta : Attends un peu, ne soit pas impatiente chaque chose en son temps.
Nonon : Si on va pas parler alors je n'ai rien à faire ici.
Il me bloque la route.
Inumuta : Ne repends pas ton venin sur moi parce que c'est moi qui le fera.
Nonon : Quoi !!!! Ah.
Il m'embrassait le coup, non en vérité il me bouffait le coup, pourquoi il fait cela je dois le repousser mais le connard a pris des muscles et avec tous ces problèmes je me suis beaucoup lâché. Je ne pouvais plus retenir mes gémissements.
Nonon : Inumuta.... Non.
Il torturait le lobe de mon oreille tout en me murmurant des mots doux.
Inumuta : Nonon tu m'as manqué............. Ta peau est si douce.
Nonon : T'as bu... t'es malade.... Aie
Le connard m'avait mordu. Il me retourne de façon à ce que je sois devant lui et encre son regard dans le mien.
Inumuta : Arrête de tout le temps prendre mon sérieux à la légère...
Il me regarde longuement avant de poser son front contre le mien, ça y est j'en peux plus, je vais commettre une autre connerie si ça continue j'essaye d'être raisonnable.
Nonon : Inumuta, discutons mais pas comme ça ok...
Inumuta : Putain, arrête de parler, tu compliques les choses, juste écoute ce que j'ai à te dire.
Je fais un oui de la tête, il me caressait la joue puis jouait avec mes cheveux si confortablement que j'ai envie de dormir, il me regardait les yeux brillants, une lueur sombre me mettant à nu devant lui, j'ai le cœur brulant d'impatience.
Inumuta : Tu sais j'y ai réfléchie beaucoup et je me devais de te le dire, je ...
Soudain....
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