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Chapitre 2 : Souvenirs...

            L'homme que Lidonna ne connaissait pas était extrêmement petit. Il était assez jeune, la trentaine quoi, mais ses longs cheveux étaient complètement grisé. Ils étaient rassemblés en une queue de cheval haute. Ses petits yeux bleus glaces étaient rivés sur ses mains. Ils étaient remplis de peur et d'inquiétude, comme s'il avait vécu une mauvaise expérience.

« Lidonna, ils t'ont expliqué pourquoi on voulait te faire voir notre Mentaliseur. »

La rouquine hocha la tête.

« Très bien, alors laissons le faire. »

En entendant ces paroles, il se leva et s'approcha de Lidonna. Il posa ses mains sur le crâne de Lidonna. Elle ne ressentait rien, mais d'un coup tout lui revint. Toute sa vie sur Terre lui revint. Elle se rappelait de son école primaire. Elle voyait parfaitement la maison qui abritait le QG des Papillons. Elle se rappelait de Xander et de Wiléa.

Mais il lui restait des zones d'ombres, elle le sentait.

« Vous ne m'avez pas rendu tous mes souvenirs, déclara-t-elle.

— Pardon ? »

Elle leva la tête vers Gia et Careil et répéta sans aucune méchanceté :

« Vous ne m'avez pas rendu tous mes souvenirs.

— Mais pourquoi tu dis ça ? s'étonna Careil.

— Je le sens.

— Comment ça ?

— Des zones d'ombre, répondit Rordian à sa place. Même pour moi elles sont bien distinctes. »

Les parents du garçon se regardèrent. Gia soupira.

« On a préféré laisser quelques uns de tes souvenirs flous, répondit-elle.

— Pourquoi ?

— Ses souvenirs sont trop importants pour risquer qu'ils se retrouvent chez les Ombres.

— Mais vous êtes bien au courant ! s'écria Lidonna.

— On sait bloquer notre esprit.

— Apprenez-moi !

— C'est trop dangereux. On ne connaît que le sujet de ces souvenirs, pas le contenu exact.

— Mais...

— Lidonna ne discute pas, on ne te les rendra pas. »

La rouquine le savait. Elle ne s'était pas fait d'illusion et elle avait eu raison. Elle se leva et sortit de la pièce. Elle ne s'attendait pas à voir Xander.

« Tu te rappelles de ma sœur maintenant ? demanda-t-il.

— Ouais... Maïwenn lui ressemble tellement...

— Physiquement uniquement. Niveau caractère elles sont à l'opposé l'une de l'autre.

— Peut-être, je ne me souviens pas assez d'elle. »

Lidonna lui sourit puis elle lui tourna le dos mais il la retint.

« Lidonna je voulais m'excuser de t'avoir accusé de l'avoir tuée. Je le pensais vraiment. »

Un grand sourire se dessina sur le visage de la jeune fille.

« C'est rien. Ça veut dire qu'on peut devenir ami ?

— Exagère pas. »

Le sourire de Lidonna retomba instantanément. Elle ne s'était pas attendue à une telle réponse. Ce qui fit rire son interlocuteur.

« La rancœur ne s'en va pas comme ça. »

Xander et sa franchise... Lidonna ne s'y habituait toujours pas. Elle soupira et se dirigea vers sa chambre pour prendre une douche. Depuis la dissolution des Gardieurs, elle n'avait pas revu Moudji ni Nucan. Elle savait que le garçon avait accepté de les rejoindre contrairement à l'ancienne Gardieure. Mais elle ne l'avait jamais croisé.

Ce qui lui rappela qu'elle n'avait pas vu Nick depuis un bout de temps. Elle ne comprenait pas pourquoi il lui manquait. Il l'avait trahi. Il avait trahi tout le monde. Mais elle avait toujours un petit espoir. Peut-être que... Elle espérait que ce n'était qu'une couverture. Qu'il y avait été contraint. Qu'il avait une bonne raison...

Le cœur de Lidonna se serra. Elle avait l'impression qu'elle n'arrivait plus à respirer. Elle s'obligea à prendre une grande respiration mais sous la douche elle avala un peu d'eau. Elle se mit alors à tousser d'étouffement.

Elle décida donc qu'il était temps de sortir. Elle enfila ses sous-vêtements puis ouvrit la porte qui mena à sa chambre. Quand elle vit Rordian assit sur son lit elle ne put s'empêcher de lâcher un cri.

« Ma beauté te fait tant peur que ça ? se moqua le garçon.

— Je suis en sous-vêtement ! » s'offusqua Lidonna en se mettant de dos.

Rordian s'approcha d'elle. Il l'enlaça en faisant glisser ses mains sur le ventre de la rouquine.

« Et alors ? lui susurra-t-il à l'oreille.

— Et si j'avais été complètement nue ?

— ça ne m'aurait pas vraiment dérangée. » répliqua-t-il.

Lidonna se défit de son étreinte pour le frapper. Il afficha un sourire en coin alors elle secoua la tête. Elle se dirigea vers son armoire. Et en s'habillant elle lui demanda :

« Pourquoi tu es venu me voir ?

— Je n'ai pas le droit de venir voir ma petite amie ? » s'offusqua-t-il.

La rouquine se tourna vers lui et lui offrit son plus beau regard voulant dire "prend moi pour une idiote".

« Depuis que je suis rentrée de cette grotte tu n'as pas trouvé une minute à m'accorder.

— Tu exagères !

— Presque pas. Alors ?

— Eh bien en parlant de cette grotte. Le conseil a enfin décidé qu'il était temps de retourner dans cette cavité. J'aurai préféré que tu n'y ailles pas mais tu es la seule qui la connaisse. »

C'est vrai que Lidonna ne voulait pas particulièrement retourner dans cette grotte, pourtant à son avis, ils auraient du y retourner immédiatement. Mais la mort d'Éthène avait chamboulée les esprits. Et après, les Papillons avait jugé Lidonna trop faible.

« On part quand ? demanda la rouquine prête à en découdre avec ses démons.

— Pas tout de suite. »

Lidonna fut déçue.

« Pourquoi t'es venu m'en parler maintenant alors ?

— Je te l'ai dit. Pour passer tu temps avec toi. »

Il s'approcha d'elle et l'embrassa. Ils n'avaient pas passé du temps tout les deux depuis... L'avaient-ils déjà fait ? Quelques minutes, mais jamais plus en tout cas. Ils en profitèrent donc tous les deux.

« Rordian, je t'en supplie parle moi des Papillons. »

A ses côtés Rordian se figea.

« Ils veulent vraiment que tu en saches le moins possible, répondit-il gêné.

— Mais je ne peux pas vivre ici sans connaître le fonctionnement de l'organisation ! répliqua-t-elle.

— D'accord, soupira-t-il. Donc les Papillons ont été créés presque en même temps que les Ombres. Au départ les Papillons étaient l'armée des Luminaires censée réprimer leurs manifestations. Puis les Ombres se sont calmés, les Papillons n'ayant plus aucune utilité ont peu à peu disparus du grand public. Mais dès que la première attaque à eu lieu. Les Luminaires se sont rassemblés et ont gonflés leurs rangs. Aujourd'hui le conseil est composé de neuf personnes. Mes parents, tes tuteurs, Xander, Samuel et moi et...Méréla et Quire Gonzua.

— G-Gonzua ? S'étrangla Lidonna.

— Je pense que c'est pour ça aussi qu'il ne voulait pas t'en parler. Tu as deux frères et une grand-mère encore en vie. »

Lidonna avait l'impression de tomber de haut. Elle qui avait toujours été seule venait de gagner d'un seul coup deux frères et une grand-mère. Sa vie venait de prendre un autre tournant et une question lui taraudait l'esprit :

« Pourquoi je ne suis pas allée vivre avec ma famille biologique ?

— C'est un vote du conseil. Tu es beaucoup trop importante et on a pensé que ce serait moins dangereux que tu sois avec Willôde et Keitel. Que ce serait moins dangereux pour ta grand-mère surtout.

— Est-ce que... Est-ce que je pourrais les voir un jour ?

— Lidonna...

— Quoi ? Tu m'as dit qu'ils étaient en vie !

— Les Ombres recherchent les Luminaires. C'est pour cette raison qu'aujourd'hui j'ai les yeux vairons, la raison pour laquelle Éthène s'était faite attaquée, la raison pour laquelle Willôde et Keitel se sont fait enlevé. Quire et ta grand-mère ont également disparu. »

Pourquoi une bonne nouvelle devait forcément être accompagnée d'un malheur ?

« Après peut-être que Parker voudra bien te rencontrer, je lui en toucherai deux mots la prochaine fois que je le verrai.

— Tu penses qu'il pourrait refuser de voir ? s'inquiéta Lidonna.

— Je ne pense pas, mais comme Quire et Nozma ont disparu, il n'a peut-être pas la tête à ça. »

Lidonna comprenait. Avec la disparation de ses tuteurs, elle avait souvent la tête ailleurs. Et elle ne comprenait même pas comment Sam arrivait encore à assurer ses fonctions aux seins des Papillons.

« Il a beaucoup de mal justement.

— Et ta mère ? Et toi ? C'est votre famille aussi, fit remarquer Lidonna.

— Ma mère j'en sais rien, je m'en fous et moi... »

Il soupira.

« Et toi... ? l'encouragea la rouquine.

— Moi je passe outre. Je laisse mes sentiments de côté et j'avance. »

Lidonna avait de la peine pour lui. Elle s'approcha de lui et se blottit contre son torse. Il passa ses bras autour de ses épaules et posa sa tête sur la sienne.

« Pourquoi cette haine envers tes parents ?

— Apprends à les connaître et tu comprendras.

— Rordian... »

Il ne répondit pas. Alors Lidonna se tut. Elle n'obtiendrait rien de lui.

« On prend donc nos décisions à neuf.

— Comment ça se fait que Xander fait parti du conseil ?

— C'est un garçon très intelligent et il l'a prouvé à de nombreuse reprise. Il pense différemment des Luminaires parce qu'il a vécu autrement. Parce qu'il a été élevé autrement.

— Comment tu es au courant ? Je veux dire Xander et toi ce n'est pas l'amour fou, et ce n'est pas comme s'il était très expressif.

— On était ami, lui et moi, avant.

— Avant quoi ?

— Avant qu'il ne m'empêche de sauver ma sœur. Avant que je ne la crois morte. Mes parents sont une plaie ! Ils ont gâché une amitié. Et ce n'est pas comme si j'en avais des masses... »

La rouquine n'osa pas en demander plus. Sa vie privé était une grosse corde sensible et pour en savoir le plus possible, Lidonna ne devait pas trop en demander, elle le savait.

« Maintenant qu'Éthène est... enfin, qu'est-ce que vous allez faire ? Qui va prendre la tête du royaume ? Et quand est-ce qu'on va faire son enterrement ?

— Jamais.

— Pardon ?

— On ne peut pas se permettre que le peuple apprenne la nouvelle. Il leur faut un dirigeant fort. Il faut qu'ils pensent qu'Éthène est toujours leur Reine.

— Mais c'est une blague ? Et vous allez faire quoi de son corps ?! Le jeter à la poubelle comme un vulgaire animal domestique ?! Et tu m'expliques comment vous allez leur faire croire qu'une fille qui s'est suicidée est toujours en vie !

— On a beaucoup de Métamorphose dans l'organisation, explique Rordian.

— Un imposteur ! Génial ! » répliqua la rouquine ironique.

Elle bondit de son lit en colère.

« Te mets pas dans cet état, soupira-t-il.

— C'est...une...blague ?! Attends tu m'annonces qu'Éthène n'aura même pas le droit à un réel enterrement et tu me réponds...ça ?

— Sur Kayolina les enterrements ne veulent rien dire. Ils servent juste à annoncer au peuple qu'ils vont changer de gouverneur.

— Sauf que je n'ai pas été élevée sur Kayolina je te signale ! répliqua Lidonna.

— Et je te signale que ce n'est pas ma faute !

— On m'a toujours dit que l'enterrement est ce qui permet à l'esprit de se libérer et de rejoindre le ciel !

— Mais arrête de raconter n'importe quoi ! Les enterrements ont été inventés par les vivants ! Les morts sont morts, ils s'en foutent ! Les funérailles ne sont pas pour les morts mais bel et bien pour les vivants !

— Dégage de ma chambre ! Tout de suite ! »

Rordian se leva et s'approcha d'elle. Elle avait les yeux fulminants de rage.

« Lidonna tu ne comprends pas, on ne peut pas se permettre de laisser le peuple paniquer ou alors les Ombres prendre le pouvoir. Ne joue pas à la gamine ! »

La jeune fille était beaucoup trop en colère. Sa meilleure amie était morte et il lui demandait de comprendre ? Sans réfléchir elle le gifla.

Il resta quelques secondes, tête tournée avant de refaire face à Lidonna. Il afficha un faux sourire et déclara :

« Je suis désolé pour toi, pour ça, mais...

—Dégage. » le coupa-t-elle.

Rordian ne se fit pas prier. Il se leva et avant de partir il se tourna vers elle :

« Je sais que quand la colère sera retombée tu comprendras. »

Il claqua la porte derrière lui, laissant Lidonna debout dans sa chambre, pantoise. Elle n'était pas d'une nature violente, mais qu'est-ce que cette gifle avait été libératrice pour elle.

Lidonna s'effondra sur son lit en soupirant. Elle était en colère. Elle était surtout en colère parce que Rordian avait raison. Elle avait besoin d'un enterrement pour faire son deuil. Pour qu'elle réalise réellement qu'Éthène n'était plus en vie. Qu'elle était morte... Réaliser qu'elle ne rirait plus jamais avec elle. Qu'elle n'entendrait plus le son de sa voix. Qu'elle ne la verrait plus... jamais.

Lidonna ne put retenir ses larmes plus longtemps. Son amie lui manquait. Elle lui manquait plus qu'elle ne l'aurait imaginé. Et Loïs qui était encore dans le coma. Comment la jeune fille réagirait quand elle verrait l'état dans lequel était sa petite amie ? Malgré tous les soins qu'elle avait reçus, les brûlures avaient laissé de grosse cicatrice, sur son visage, sur son corps... L'os de sa jambe s'était mal consolidé. Elle boiterait toute sa vie, malgré de la rééducation. Sa paupière droite ne fonctionnerait certainement plus et si elle n'était pas aveugle elle aurait de la chance. La moitié de ses lèvres étaient déchiquetées.

Comment réagirait Calyopé ? Elle ne pourrait plus jamais se battre. Elle ne pourrait plus jamais rien faire. Elle n'était physiquement plus comme avant non plus. Comme aucun des kidnappés.

Il y avait eu différente réaction. De la colère jusqu'aux pleurs en passant pas une fausse indifférence. A chaque fois les victimes avaient eu besoin de beaucoup de soutien émotionnel, Calyopé aura besoin de Loïs. Et certainement inversement. Car Loïs avait également des cicatrices.

Lidonna se releva et décida de rendre visite à la jeune fille à l'infirmerie. Elle déambula dans les couloirs. Elle ne connaissait que quatre chemins. Celui de sa chambre à la salle d'entraînement. Celui de la salle d'entraînement à la salle de réunion. Celui de sa chambre au réfectoire. Et celui de sa chambre à l'infirmerie.

Les murs étaient pratiquement tous blancs. Mais chacun est orné par tout un tas de décorations. Tous les Papillons peuvent ajouter ce qu'ils voulaient. Tableaux, photos, peinture, dessins, écritures... C'était l'une des politiques de l'organisation. Lidonna aimait beaucoup passer du temps à observer ses couloirs. Elle apprenait un peu la vie de ces lieux.

Elle arriva à l'infirmerie. L'endroit était toujours égal à lui même. Coloré et joyeux. Tout pour mettre une bonne ambiance dans un monde de malade. Lidonna s'apprêta à rentrer dans la chambre de Loïs quand Firân lui attrapa l'épaule. Elle se tourna et se jeta dans ses bras.

« Que me vaut cette effusion de joie ? demanda-t-il quand elle se défit de l'étreinte.

— Ça fait longtemps qu'on s'était pas vu, expliqua Lidonna.

— C'est vrai, tu m'avais manqué ! Oh là, t'as pleuré ?

— Tu m'avais manqué aussi, répondit-elle avec un sourire. Ouais, peut-être un peu. »

Elle détourna le regard. Il la connaissait toujours aussi bien c'est dingue !

« Pourquoi ? Rordian ?

— Pas vraiment non. C'est surtout Éthène. Elle me manque tellement...

— Je comprends. »

Firân s'approcha d'elle et passa ses bras autour de ses épaules. Elle posa sa tête contre son torse et essaya au maximum de retenir ses larmes. Quelques gouttes d'eau salées perlèrent aux coins de ses yeux et dévalèrent ses joues, mais pas plus. Elle avait fait des progrès et elle se promit qu'un jour elle bannirait le verbe "pleurer" de son vocabulaire.

« Tu venais voir Loïs ?

— Ouais.

— Tu sais que maintenant il y a des heures de visite ?

— Je t'en prie, laisse-moi la voir. J'en ai besoin ! supplia la rouquine.

— Ok, mais fais pas trop de bruit. Il y en certain qui se sont réveillés de leur coma, ils ont besoin de calme.

— Promis. Tu fais quoi toi ?

— Je vais leur chercher de la morphine. »

Ceux qui se réveillaient souffraient le martyr.

Lidonna ouvrit la porte qui menait à la chambre de son amie. Elle était branchée à de moins en moins de machine. Signe que son état s'améliorait de jour en jour. Plus personne n'avait peur pour elle. Ses jours n'étaient plus comptés.

Les cheveux de Loïs perdaient doucement de leur couleur bleu. Mais son visage était paisible. Elle ne souffrait plus.

« Eh ma belle, comment ça va ? D'après les médecins et les Soigneurs, mieux. Heureusement, je n'aurai pas supporté de perdre ma deuxième meilleure amie. Moi je mène mon petit train de vie. Je ne fais rien, on ne me laisse rien faire. Je ne sais pas de quoi ils ont peur. »

Lidonna continua à lui parler. Elle aimait particulièrement se livrer à elle. Mais c'est vrai qu'elle aurait préféré qu'elle lui réponde. Les monologues c'était sympa cinq minutes, mais la voix de Loïs lui manquait. Beaucoup de chose lui manquait. Lidonna se sentait bien seule.

« Je t'en prie, reviens vite, tu me manques tellement. »

Loïs bougea un peu sa main. Tellement infiniment que Lidonna eut l'impression de rêver. Mais quand elle la vit une seconde fois, les yeux de la rouquine s'écarquillèrent autant qu'ils le pouvaient et elle se figea.

Elle sortit en trombe de la chambre et sauta sur Firân.

« Est-ce que Loïs a déjà bougé ?

— Comment ça bougé ?

— Sa main, deux fois. »

En voyant que le garçon de ne réagissait pas, elle comprit que c'était très bon signe. Ils se précipitèrent vers le lit de Loïs. Elle bougea une nouvelle fois sa main, plus distinctement cette fois. Lidonna la vit cligner des paupières avant qu'elle n'ouvre les yeux, regardent ses deux assaillants et disent d'une toute petite voix :

« Euh... bonjour. »

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

Fin de chapitre !

On commence à en apprendre un peu plus sur les Papillons !

- pas d'enterrement pour Ethène et une Métamorphose pour la remplacer ? Quel est vôtre avis là dessus 😱

- Lidonna s'est enfin vengé de la gifle que lui avait mise Rordian, satisfaits ? 😂

- et pour finir, Loïs se réveille enfin 🥰 (oui ce n'est pas une question 😂)

Voilà, c'est tout pour cette semaine 🥰
On se retrouve dans 7 jours !

Bisouilles 💜

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