P.D.V.de Roy.

Je n'avais pas fermé mes yeux, même mon corps réclamer le sommeil, mon esprit lui n'était pas du même avis, je cogitais dans tous les sens. Tout ceci est de ma faute, je l'aimais mais pas assez pour ne pas la mettre en danger, j'aurais dû la protéger mais au lieu de cela, je me distrais à jouer les fous dans un casino.

Je reçois un appel de Tsukiyo, il m'en dit plus sur la situation, qu'un portail a était ouvert jusqu'à Tokyo, hélas je ne peux le recréer maintenant il faut au moins deux jours mais j'attendrais car les vols pour Tokyo ne sont disponibles qu'à plus tard à cause des catastrophes naturelles qui ont attaqué le japon c'est dernier jour, et dire que même la chance n'est pas de mon côté.

Deux jours sont passé et j'ai bien réfléchie à la situation, je pense que la seule personne qui me déteste le plus pour me faire cela n'est autre qu'Hiroshi, l''héritier de la famille royale des vampires, et le grand frère d'Henry.

Me voilà devant sa villa, impossible qu'il soit à son château, et puis je n'ai pas le droit de m'y rendre sans raison précise. J'entre sans jouer les ninjas avec un grand fracas parce que je ne suis pas d'humeur à plaisanter, avec le plus grand nombre de mes hommes, ce sont des esprits et là plus part d'entre eux sont emprisonnes dans un gouffre ou nous les démons on ne peut l'approcher, c'est à Henry que revient le premier rôle, ils les sauvent et eux sont reconnaissant et vous servent à vie sans vous trahir.

Je laisse mes hommes se chargeaient de ses déchets, ce qui est le plus bizarre c'est qu'il n'a aucune présence d'aucun vampires, d'habitude se sont des propriétés royales et ils devraient y avoir des gardes et tous, je chercher dans différentes pièces et la dernière fut une sorte de bureau, je cherche avec Tsukiyo qui est enfaite un démon-loup-garou.

Tsukiyo : Maitre, il n'y a rien là.

Il se repose en posant sa main sur le mur ce qui fait ouvrir une sorte de passage secret.

Roy : Bien jouer.

On cherche partout mes il n'y a rien, je sens une onde magique, je constate alors que quelqu'un avait utilisait un portail magique à l'instant, merde j'arrive toujours à la dernière minute, je balance les quelques feuilles qui était sur un bureau par rage, je voudrais bien rabaisser la tension mais j'y arriverais jamais, les regrets rangent mon esprit.

J'ai de l'angoisse à la seule pensé qu'il lui ai arrivé quelque chose, je m'en veux tellement de l'avoir laissé seule, sera-t-elle morte à l'instant, en train de se vider de son sang, a ces pensées mon cœur se glace, mes jambes tremblent et mes mains deviennent moites, je me calme vite en tout en chassant toutes ses pensées négatifs, je contourne le bureau et une feuilles attire mon attention, c'était des plans d'une anciennes usines, je m'y rends a toutes vitesses laissant mes hommes cherchaient n'importe quoi. Je préviens Henry par la même occasion pour me rejoindre.

P.D.V.de Henry.

Arrivée à destination, Roy se précipite hors de la voiture et cours jusqu'à l'entré, on se téléporte à l'intérieur, à peine ais-je mis les pieds dans le sol que j'ai senti une odeur et pas n'importe laquelle, je sais très bien de quelle direction ça vient, alors je tenterais d'éloigner Roy, parce que s'il voit Lerza dans un sal état ça sera un vraie drame, Roy est du genre calme, c'est comme le thé, si je continue de le verser dans la tasse ça débordera et ça finira par te bruler. J'aurais du mal à contrôler son démon.

Moi : Cherche à gauche et moi à droite.

J'ai été le plus convainquant possible et ça a marché.

Je suivis l'odeur, c'était du sang, celui de Lerza, je le trouve vraiment dans un mauvais état.

Je vois bien que ses blessures n'ont pas cicatrisé, je comprends qu'elle n'a pas retrouver ses pouvoirs je me dois de l'amener à l'hôpital.

...

Après qu'ils l'ont pris en charge je retourne à l'usine, j'y étais presque, Roy allait entrer dans la pièce ou j'avais trouvé Lerza par avant et découvrira la grande flaque de sang qui y étais, heureusement que lorsqu'il me voit, il délaisse la poignet et me regarde avec attention.

Roy : Alors...

Moi : Je l'ai trouvé.

Roy : Ou est-elle,

Moi : Je n'ai pas perdu de temps et je l'ai emmené directement à l'hôpital, j'espère que tu ne m'en veux pas.

Roy : Non t'as bien fait, maintenant montre-moi ou tu l'as trouvé pour examiner les dégâts.

Moi : L'important c'est de l'avoir trouvé non, et puis il faut que tu sois à ses côtés.

Il me regarde peu convaincu puis se concentre sur mes dernières paroles, il m'incite à y aller.

Cela fait environ des heures qu'on attend, mais rien aucune nouvelle.

Soudain un docteur fait son apparition et nous demande de le suivre. On s'installe et on se présente et tout puis il nous regarde d'un air grave et je sens que Roy est mort d'inquiétude.

Docteur : Je ne sais pas ce qui est arrivé mais je peux vous dire que c'est un miracle.

Moi : Alors elle va s'en sortir.

Docteur : Je pense oui, elle a été exposer à de la violence physiquement que moralement, elle a un bras cassé, l'arcade ouvert et d'autres ^parties qu'ils fait coudre. Elle a aussi été laissé trois jours sans manger ni boire, on peut dire qu'elle a de la chance, son corps a besoin de repos donc on l'a plongé dans un comas artificiel, son corps ne supportera tout ça de toutes façon elle y sera plongé on a juste donné un coup de pouce, on ne sait pas quand elle se réveillera mais ça sera le temps qu'elle se remette sur pied, il faut aussi lors de son réveil conseiller un spécialiste pour qu'elle puis réapprendre à marcher et un psy pour poursuivre son état d'esprit ; cependant j'ai une mauvaise nouvelle.

Roy qui écoutait attentivement et en tremblant prends la parole.

Roy : Quoi ....donc....

Docteur : On n'a pas pu sauver le bébé.

Roy : LE Bébé.

Docteur : Vous ne le saviez pas, votre femme était enceinte.

J'ai cru qu'une tempête allait éclater mais je suis surprise de tant de calme, je tourne en sa direction et le vois les yeux inondes de larmes, puis s'évanouit.

On le transporte dans une des chambres de l'hôpital, espérant que cela améliorera son état.